Jaligny – Prieuré de Marseigne

Epoque :  XVIII°- Protection :
Propriétaire : Privé
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Jaligny- Prieuré de Marseigne (randos-allier.com)
Jaligny- Prieuré de Marseigne (wikipedia-Mangouste35)

Situation

Jaligny est à 31 km au sud-est de Moulins et à 37.2 km au nord-est de Vichy;

Le prieuré de Marseigne est à 1.2 km à l’ouest

Histoire

Le nom ancien de Marseigne, Marsinha, pourrait dériver du latin Martis signa : enseigne de Mars.

Une voie romaine secondaire passait par Marseigne, reliant Decize à Roanne par la vallée de la Besbre. Venant de Dompierre, elle rejoignait ensuite Lapalisse. Son existence est avérée par les nombreux vestiges gallo-romains découverts à ses abords. Elle remplaçait un chemin proto-historique attesté par le champ d’urnes de Dompierre et le trésor de Marseigne, composé de bijoux d’or et d’un lingot de bronze, datant de l’âge du bronze trouvés en 1868 et 1869. Des restes de cette voie ont été identifiés à Decize, Marseigne et Dompierre.

Marseigne était une paroisse placée sous le patronage de saint Blaise. Dépendant du diocèse de Clermont, elle appartenait à l’élection de Moulins.

Un prieuré est déjà connu sur ce territoire en 1293 comme dépendance de l’abbaye des bénédictines de Notre-Dame de Nevers. Le monastère aurait été bâti sur l’emplacement d’un ancien camp romain. Les bâtiments furent détruits par un incendie au XVIIIe siècle. Il en subsiste un beau logis à double corps, « le Couvent ».

On mentionne également un prieuré, placé sous le vocable de Notre-Dame et rattaché à l’abbaye Saint-Martin de Nevers, monastère de chanoines réguliers de saint Augustin. Le prieur de Marseigne percevait en totalité la dîme de la paroisse ainsi que la dime de Paray, sur le territoire de Saligny, indivise avec le curé prieur de Saligny et le propriétaire de cette terre.

L’église paroissiale a été détruite à la Révolution française. Le lieu-dit « La Vieille Cure » est le seul témoignage géographique de l’existence de cette ancienne paroisse dont le presbytère était déjà « ruyné de long temps » en 1624.

En 1792, la commune de Marseigne, créée par la loi du , fut rattachée à celle de Jaligny. La paroisse Saint-Blaise le fut à la paroisse Saint-Hippolyte en 1797, au retour du curé de Jaligny, Guillaume-Joseph Foulhoux, déporté depuis 1791. Le dernier curé de Marseigne, Lacombe, a été remplacé en 1791 par le curé constitutionnel de Jaligny.

Source : wikipédia.fr)

Les environs

Jaligny- Le château à 1.2 km à l’est

Chatelperron – le Château à 5.4 km au nord-est

Chavroches – le Château à 3.8 km au sud

Saint-Désiré – Chapelle Sainte-Agathe

Epoque :  XII° – Protection : ISMH (1929)
Propriétaire :
Visite :Extérieure, toute l’année, tous les jours.
Pour visite intérieure, remise des clés en mairie.
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone : 04 70 07 10 12 (remise des clés en cas de fermeture)
Courriel : mairie-saint-desire@wanadoo.fr
Site internet :

Face book : Chapelle-Sainte-Agathe

Saint-Désiré - Chapelle Sainte-Agathe (berry.medieval.over-blog.com)
Saint-Désiré - Chapelle Sainte-Agathe (berry.medieval.over-blog.com)
Saint-Désiré - Chapelle Sainte-Agathe (sauvegardeartfrancais.fr)
Saint-Désiré - Chapelle Sainte-Agathe (sauvegardeartfrancais.fr)

Situation

Saint-Désiré est situé à 24 km au nord-ouest de Montluçon

La chapelle Sainte-Agathe est à 2.5 km à l’ouest de Saint-Désiré

Histoire

Edifice servant de lieu de pèlerinage, semblant remonter à l’époque romane. L’abside et les deux absidioles pourraient dater du 12e siècle. Le reste de l’édifice pourrait être une réalisation tardive suivant les principes romans. La chapelle se compose d’une nef couverte d’une voûte en plein cintre en plâtre sur lattis et d’une abside centrale flanquée de deux absidioles latérales voûtées en pierre en cul-de-four. Au-dessus de la travée occidentale s’élève un clocher carré couvert d’une flèche de pierre. Occupée par le maquis en 1944.

(source : pop.culture.gouv.fr)

Saint-Désiré – Abbaye de Bussières

Epoque :  XIII° – XVI° – XI- Protection :
Propriétaire : Privé
Visite :
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet :

Saint-Désiré - Abbay de Bussières (cc-pays-huriel.com)
Saint-Désiré - Abbay de Bussières (cister.net)
Saint-Désiré - Abbaye de Bussières (map-france.com)
Saint-Désiré - Abbaye de Bussières (communes.com)

Situation

 

L’abbaye de Bussières (appelée Bussières-les-Nonains pour la différencier de l’abbaye masculine de la Bussière en Côte-d’Or) est une abbaye cistercienne féminine, située en Auvergne. Fondée sur le territoire de l’actuelle commune de Saint-Désiré, dans l’Allier, elle est déplacée en 1625 à l’intérieur des murs de Bourges.

Saint-Désiré est situé à 24 km au nord-ouest de Montluçon

L’abbaye de Bussières est à 8.2 km au nord-est de Saint-Désiré

Histoire

Fondation d’une communauté déjà existante.

L’abbaye de Bussière est fondée en 1188 ou avant par les religieuses cisterciennes de l’Éclache. À cette époque, le territoire sur lequel l’abbaye est implantée fait partie de la paroisse de Moussais, rattachée plus tard à Saint-Désiré.

La nouvelle fondation reçoit l’aide et le soutien d’Ebbes de Déols et de sa femme Guiberge de Bourbon.

La charte de fondation de 1188/89 montre que la communauté de religieuses ne s’est pas créée à ce moment-là : elle existait déjà ailleurs, et déjà sous le nom de Bussière. Leur lieu précédent est inconnu ; mais en changeant de lieu elle garde son nom, qui devient celui du lieu actuel de Bussière.

Plusieurs dons permettent à l’abbaye de s’enrichir quelque peu. En particulier est connu le don de Aulaet Lacabata, qui se fait cistercienne à l’abbaye et donne à cette occasion en 1202 le bois et la terre « du Perier » et la terre de La Chaud. Surtout, les dons de la maison de Culan (Guillaume et son petit-fils Hélie en particulier) sont importants et durables, suggérant que les Culan pourraient être les donateurs originels du site de la Bussière.

Moyen Âge

Le conflit de filiation de l’abbaye

L’abbaye de Bussière est particulièrement intéressante parce qu’elle représente un cas d’école des conflits liés à la filiation particulière des abbayes cisterciennes féminines. Le conflit opposant les deux maisons féminine de l’Éclache et masculine de Noirlac (que les sources anciennes nomment La Maison-Dieu-sur-Cher) a permis la constitution d’un exceptionnel fonds d’archives, rassemblant des chartes qui remontent jusqu’aux années 1180.

Dès 1188, les cisterciens de Noirlac estiment qu’il est de leur devoir d’encadrer le nouveau monastère. Ils reçoivent en outre un cens annuel certes symbolique (suivant les sources, une livre de cire ou d’encens) ; en revanche, les moniales s’engagent à céder tout cens qui leur serait donné sur les terres appartenant aux moines, moyennant un dédommagement. Ainsi, les moines maintiennent-ils les religieuses dans une forme de dépendance économique. Parallèlement, la possibilité inverse (laisser le monastère féminin prendre une emprise économique ou foncière, quelle qu’elle soit, sur Noirlac) est rendue impossible, se fondant pour cela sur le Chapitre Général de 1152.

Ce sont également les moines de Noirlac qui proposent aux cisterciennes un transfert de leur abbaye depuis la Bussière jusqu’en un lieu nommé Terra Petraria et non identifié à ce jour ; ce transfert semble ne jamais avoir eu lieu, soit que la Terra Petraria ait paru inadaptée à l’établissement d’une communauté cistercienne, soit que ce déplacement soit au cœur des conflits latents entre les moines et les moniales, soit pour une autre raison.

La réécriture après 1185 des chartes auparavant rédigées par Michèle de l’Éclache fait de l’abbé de Noirlac le seul arbitre des éventuels conflits entre Bussière et les autres abbayes de l’ordre, ce qui coupe définitivement celle-ci de son abbaye-mère. L’abbé de Noirlac semble se fonder sur les relations existant entre Cîteaux et Tart comme d’une jurisprudence l’autorisant à faire de même pour Bussière, sachant que, de toute manière, chaque abbé masculin avait pour ce faire une relative autonomie et qu’il n’y avait pas de prescription uniformisée à ce sujet, du moins dans ces débuts du XIIe siècle.

Cependant, le lien fort unissant la communauté de Bussières à la maison-mère de l’Éclache ne se coupe pas complètement, les usages de Tart étant transmis via l’Éclache à la communauté nouvellement établie, d’autant que plusieurs moniales de Bussières étaient évidemment venues de la maison-mère de l’Éclache. Ainsi, l’abbé de Cîteaux, Gauthier d’Orchies ou d’Ochies écrit-il en 1219 à son homologue de Noirlac en parlant de Bussière, « fille de l’Éclache ». Quant à Raoul de La Roche-Aymon, abbé de Clairvaux, il va plus loin et ordonne à l’abbé de Noirlac la cessation des relations avec Bussière, ce qu’évidemment ne souhaitent pas les moines berrichons. S’ensuit la rédaction d’actes prétendument datés de 1188-1189, mais dont le style révèle une écriture bien plus tardive et une antidatation. La conservation des véritables écrits de 1189 et de 1228-1237 montre les soucis différents des deux époques : à la fin du XIIe siècle, il est important pour les moines de Noirlac de veiller à profiter pécuniairement de la présence des moniales, et de veiller à ce que celles-ci ne spolient pas les moines ; au milieu du XIIIe siècle, ces questions matérielles passent au second plan, le respect de la discipline et de la spiritualité chez leurs consœurs étant désormais les préoccupations majeures des abbés masculins.

À une date inconnue, l’abbaye fonde un établissement à Montluçon, l’abbaye ou le prieuré Saint-Robert.

(source : wikipédia.fr)

Charmes – Abbaye de Pont-Ratier

Epoque :  XII° – XVI° – XVIII°- Protection : ISMH (2001)
Propriétaire : Privé
Visite :
Dates et horaires :
Adresse : 8 Pont Ratier 03800 Charmes
Téléphone :
Courriel :
Site internet :

Charmes - Abbaye de Pont-Ratier (Hervé Rebours )
Charmes - Abbaye de Pont-Ratier (capture google map)

Situation

charmes est à 16.7 km au sud-est de Vichy et à 58.1 km au sud de Moulins;

L’abbaye de Pont-Ratier est à 2.8 km au nord de Charmes

Histoire

Ce prieuré de l’ordre de Fontevraud (particularité rare dans la région) serait du XIIe siècle. Il fut attaqué et incendié par les protestants en 1537. Sous la Révolution, les religieuses qui refusaient de quitter leur monastère furent guillotinées.

L’épouse d’Archambault IX y est inhumée dans la chapelle.

Le prieuré se cache derrière des frondaisons ; il se présente, après avoir franchi un portail monumental du XVI°s – avec l’autorisation du propriétaire –, comme une cour fermée sur trois côtés ; une aile qui fermait le quadrilatère a disparu. Il reste une ancienne chapelle, le logis, ainsi que les dortoirs, qui malheureusement ont perdu leur plancher, cloisons et fenêtres à la suite d’un incendie.

La charpente a été refaite par des menuisiers de la marine-coque de bateau renversé- la toiture aussi.

Elle fut attaquée et incendiée par les protestants en 1537.

A la Révolution, les nonnes qui refusaient de quitter leur monastère furent guillotinées.

(Sources : wikipédia.fr et allier-hotels-restaurants.com)

Agonges – Le Breuil – église Saint-Raphaël

Epoque :  XV° – Protection :
Propriétaire : privé
Visite : non, mais visible
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet :

Agonges - Le Breuil - église Saint-Raphaël (randos-allier.com)
Agonges - Le Breuil - église Saint-Raphaël (randos-allier.com)
Agonges - Le Breuil - église Saint-Raphaël (allier-hotels-restaurants.com)
Agonges - Le Breuil - église Saint-Raphaël (randos-allier.com)
Agonges - Le Breuil - église Saint-Raphaël (randos-allier.com)
Agonges - Le Breuil - église Saint-Raphaël (randos-allier.com)
Agonges - Le Breuil - église Saint-Raphaël (allier-hotels-restaurants.com)
Agonges - Le Breuil - église Saint-Raphaël (allier-hotels-restaurants.com)
Agonges - Le Breuil - église Saint-Raphaël (allier-hotels-restaurants.com)
Agonges - Le Breuil - église Saint-Raphaël (allier-hotels-restaurants.com)
Agonges - Le Breuil - église Saint-Raphaël (nievretourisme.blogspot.com)

Situation

Agonges est à 18 km au nord-ouest de Moulins

La Chapelle Saint-Raphaël du Breuil est à 2.2 km au nord-ouest du bourg

Histoire

Le Breuil serait, selon certains auteurs, une ville franche fondé vers le XIIème siècle et relevant pour partie de Saint-Menoux. Nicolay signale, en 1569, l’existence d’un château, d’une paroisse et d’une cure. En 1792, cette paroisse est rattachée à Agonges et son territoire est partagé entre Agonges, Saint-Menoux et Bourbon. L’église Saint-Raphaël est un édifice en pierre de taille, orné de moulurations. La nef de deux travées est voûtée d’ogives dont les nervures retombent sur des groupes de trois colonnettes. Ce type d’église d’architecture simplifiée serait d’influence gothique méridionale.

(source : randos-allier.com)

Les environs

Agonges – Château de L’Augère à 4.4 km au nord-est

Saint-Menoux – Eglise de Saint Menoux à 4.1 km au sud-est

Forêt des Prieurés de Bagnolet à 5,4 km au nord-est

Abrest – église Saint-Hilaire

Epoque : XVIII° – XIX°- Protection :
Propriétaire : commune
Visite :
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet :

Abrest - église Saint-Hilaire (Pierre Bastien - communes.com)
Abrest - église Saint-Hilaire (nievretourisme.blogspot.com)
Abrest - église Saint-Hilaire (allier-hotesl-restaurants.com)

Situation

Abrest est situé à 3,2 km au sud-est de Vichy.

Histoire

L’église telle qu’on la connaît aujourd’hui a été construite à la fin de 1793.

Ancienne paroisse du diocèse de Clermont. Elle fut fortifiée à la fin du XVI éme siècle.Le plan de l’église est longitudinal. Son transept est saillant et le chevet arrondi. Il n’y a pas de traces visibles à l’extérieur de chapelles. L’église n’est dotée que d’un seul accès, à l’ouest, le portail étant surmonté d’un clocher couvert d’ardoises, contrairement à la couverture de tuiles du reste du toit. La construction de l’église telle qu’on la connaît date de 1793. Il est probable qu’elle a été construite sur un édifice plus ancien, dont on sait qu’il a été fortifié à la fin du XV Ième siècle.

(source : www.allier-hotels-restaurants.com)

Les environs

Abrest – château des Chaussins à 2.2 km au sud-est

Vichy- musée de l’Opéra à 5.5 km au nord

Busset – château de Busset à 8 km au sud-est

Colombier – Le Prieuré

Epoque :  XV°- Protection : ISMH (-1943)
Propriétaire :Madame Moyer
Visite :
Dates et horaires :
Adresse : 4 Place de l’Église 03600 Colombier
Téléphone :
Courriel :
Site internet :

Colombier - Le Prieuré ( J.P. Luce)
Colombier - Le Prieuré (La Montagne© photos Cécile Champagnat)
Colombier - Le Prieuré (pop.culture.gouv.fr)

Situation

Colombier se situe à 20,4 km au sud-est de Montluçon.

Le prieuré est à côté de l’église dans le village.

Histoire

La Montagne 6 juin 2013 : Les extérieurs de l’édifice sont inscrits aux Monuments historiques depuis 1943.

Agnès Moyer a repris le site en 2000. Depuis, elle s’attache à restaurer le prieuré de l’église, doucement, sûrement, et avec le sourire.

Quand elle entre dans la cour, elle est « bien. Les gens me disent : “on sent une force ici” », rapporte-t-elle, avec le sourire.

Agnès Moyer est l’heureuse propriétaire du prieuré de l’église de Colombier. Ce jour-là, elle effectue des travaux, aidée d’un ami. « Mon bonheur, c’est de travailler dans cette maison. Les gens me demandent souvent quand je vais la finir. Ça ne m’intéresse pas ! Et j’ai tout dans la tête ; je n’ai pas besoin d’un architecte », raconte-t-elle à l’intérieur de l’édifice. Il n’est pas inscrit, mais tout a été fait dans les règles de l’art : matériaux de récupération, plafond français, vieilles dalles, terre cuite…

Depuis 1805Par contre, l’extérieur, lui, est inscrit aux Monuments historiques depuis 1943.

Le site « est dans ma famille depuis 1805. Après la Révolution, un de mes arrières arrières arrières-grand oncle était prêtre à Colombier. L’abbé Beynat a acheté le prieuré pour en faire un presbytère. Il a toujours été transmis par les femmes et il est arrivé à ma mère dans les années 30. À ce moment-là, ça a changé de branche. Quand j’étais toute jeune, je venais souvent là. L’abbé Astier a vécu cinquante ans. Il est mort en 1996. Nous l’avons repris en 2000. »

Ça, c’est pour l’histoire familiale, qui repose maintenant entièrement sur ses épaules. Loin d’être frêles.

Déléguée des Maisons Paysanne de France, Agnès Moyer a à c’ur de restaurer le site à l’ancienne. « Je suis très exigeante. Il n’y a pas un sac de ciment qui rentre ici ! »

ExtensionsD’avril à septembre, elle fait visiter les extérieurs. Mais même depuis la cour, on peut observer les différentes extensions de cette « grosse maison forte du 15 XV e siècle ». C’est le prieur Dom Arnaud Cochereau qui a fait construire les deux ailes, au XVII e siècle, « avec la grange et le porche », détaille-t-elle. Des douves, côté nord et est, rappellent que le lieu était entouré d’eau. Depuis, il a coulé sous le pont. Mais le lieu est toujours là.

Seher Turkmen (La Montagne 6 juin 2013)

Les environs

Beaune d’Allier – château de Sallebrune à 10 km à l’est

Néris les Bains – site antique à 11,4 km à l’est

Doyet – Donjon de La Souche à 11,1 km au nord

Murat – Barbate – chapelle Sainte Marie-Madeleine

Epoque :  XVIII° – Protection :
Propriétaire : Monsieur Monce
Visite :
Dates et horaires :
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Murat - Barbate - chapelle Sainte Marie Madeleine (sauvegardeartfrancais.fr)
Murat - Barbate - chapelle Sainte Marie Madeleine (sauvegardeartfrancais.fr)
Murat - Barbate - chapelle Sainte Marie Madeleine (sauvegardeartfrancais.fr)
Murat - Barbatte - chapelle Sainte Marie-Madeleine 2006 (J.P. Luce)
Murat - Barbate - chapelle Sainte Marie Madeleine (sauvegardeartfrancais.fr)
Murat - Barbate - chapelle Sainte Marie Madeleine (sauvegardeartfrancais.fr)

Actualités : La chapelle a été sauvée de la ruine

Murat - Barbate - chapelle Sainte Marie Madeleine (La Montagne 6 janvier 2019)

Actualités : Il restaure une chapelle avec les techniques d'époque (Semaine de l'Allier 6 août 2020)

Murat - Barbatte - chapelle Sainte Marie Madeleine (La Semaine de l'Allier 6 août 2020)

Situation

Murat est à 28.7 km au nord-est de Montluçon et à 42.5 km au sud-ouest de Moulins.

La chapelle Sainte Marie-Madeleine à Barbate est à 3.9 km au nord de Murat

Histoire

Petite chapelle édifiée en 1784, dédiée à Saint Marie-Madeleine.

L’origine de la chapelle n’est pas connue. Sa présence à Barbate sur un plateau inculte à mi-chemin de la forêt de Dreuille et du village de Murat pourrait résulter du passage d’une route importante (médiévale ou même antérieure) reliant Murat à Bourbon l’Archambault.

Une légende raconte qu’un seigneur chassant dans la région était poursuivi par un sanglier.
Il fit vœu à sainte Marie-Madeleine de lui élever une chapelle s’il échappait à l’animal. Ayant réussi l’abattre, le seigneur éleva plus tard la chapelle à proximité d’une fontaine dont l’eau jouissait de propriétés miraculeuses. Ces eaux auraient une double vertu, celle de guérir les maladies des yeux et celle de préserver de la fièvre, quand on en buvait lors des pèlerinages qui s’y déroulaient le 22 juillet, jour de la Sainte-Madeleine.

Aujourd’hui la chapelle de Barbate, sise sur la route de Lariaud, est une propriété privée. Par manque d’entretien ces dernières années, la toiture s’était effondrée. Le jeune propriétaire qui a fait l’acquisition du terrain a restauré à l’identique l’édifice.

Description :

Chapelle à nef unique édifiée au XVIIIe siècle, avec petit clocheton.

Elle porte l’inscription suivante « Saint-Hubert, prie pour nous – Sancta Maria Magdalena ora pro nobis – J’ay été faite par les soins de Msre François de la Roche de Robinière, Sr de Barbatte Soult des gardes de corps du Roy, lieu, colonel de cavalerie, Cher de l’ordre de Mre de St Louis – J’ay pour parrain M. Marini-Gilbert Michelon du Cholet, officier au régiment de Paris et damoiselle Françoise de la Roche de Villefranche. »

Sont représentés un Christ en croix, une Vierge couronnée ainsi que des petites têtes d’anges ailés et la mention « IB Goussel FL 1784 ».

Les murs intérieurs de la chapelle sont blanchis à la chaux et le sol est pavé de carreaux de brique. Elle contient deux vieilles statues de bois : une sainte Marie-Madeleine et un saint Jean-Baptiste.

A 150 mètres, au bas de la brande, au milieu des chênes se trouve une fontaine dite de « Barbate » et aussi « Ste Madeleine », une fontaine qui selon la légende préserve les maladies.

(source : www.sauvegardeartfrancais.fr)

Néris les Bains – église Saint-Georges

Epoque :  XI°-XII°- Protection : Classé MH (1923)
Propriétaire : Commune
Visite :
Dates et horaires :
Adresse : 1 Rue Monthyon 03310 Néris-les-Bains
Téléphone :
Courriel :
Site internet :

Néris les Bains -Saint-Georges (monumentum.fr)
Néris les Bains -Saint-Georges (Jacques Mossot)
Néris les Bains -Saint-Georges (allier-auvergne-tourisme.com)
Néris les Bains -Saint-Georges (monumentum.fr)
Néris les Bains -Saint-Georges (Jacques Mossot)

Vidéo de l'office du tourisme

Situation

Histoire

Edifice présentant trois époques de construction : période romaine pour les murs nord-ouest et sud-ouest ; 11e siècle pour le chevet et les transepts ; 12e siècle pour les nefs. L’église comprend une nef voûtée en berceau et des bas-côtés voûtés de la même manière mais les berceaux disposés perpendiculairement à la nef. Une coupole octogonale sur trompes s’élève sur la croisée. L’abside et les absidioles sont voûtées en cul-de-four. Le clocher comporte un étage octogonal ajouré de baies jumelles sur les huit faces. Il est couronné par une haute couverture en charpente habillée d’ardoises qui a remplacé, après 1583, la couverture primitive abattue par un ouragan.

(source : Monumentum.fr)