Ebreuil – Les gorges de la Sioule

Visite : en canoë à Ebreuil
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Les gorges de la Sioule (Wikipédia)
Les gorges de la Sioule à Chouvigny (mapio.net)
Les méandres de la Sioule - environs de Menat (www.bellesroutesdefrance.fr)
Les gorges de la Sioule à Chouvigny (www.auvergne-tourisme.info)

Situation

Dans le Bourbonnais, les Gorges de la Sioule de dessinent entre le pont de Menat et Ebreuil :

à 31 km à l’ouest de Vichy
à 54 km au sud-est de Montluçon
à 61 km au sud de Moulins

Description

Avant de rejoindre les eaux calmes de l’Allier, la Sioule dévale les contreforts du Massif-Central dans un environnement sauvage qui mérite le détour. La rivière, qui marquait jadis le pas entre le Bourbonnais et l’Auvergne, entre oc et oil, délimite encore aujourd’hui l’Allier sur sa rive gauche et le Puy-de-Dôme à sa droite.

Juché sur la falaise, le château de Chouvigny, ancienne forteresse du XIIIe siècle, domine les gorges, que les promeneurs prennent plaisir à découvrir en remontant le lit de la rivière.

Entre les vallées de la Sioule et de la Bouble, la forêt des Colettes arbore 1600 ha de chênes et de hêtres, repère des amateurs de champignons. Le massif forestier abrite également une base VTT et cyclo labellisée FFCT, le Vert Plateau, qui propose là, 280 km de sentiers balisés pour une découverte plus sportive.

Parmi les nombreuses églises romanes qui font le charme des environs (Gannat, Mazerier, Biozat…), l’église Saint-Léger à Ébreuil, ancienne abbatiale, rappelle qu’une puissante abbaye bénédictine a siégé là pendant près de 900 ans. Les fresques de la tribune, exécutées vers 1125, sont les plus anciennes parmi les nombreux ornements de l’édifice.

(Source : “www.allier-auvergne-tourisme.com”)

Les environs

Ebreuil – L’abbaye Saint-Léger

Chouvigny – Le château de Chouvigny à 10 km à l’ouest d’Ebreuil

Saint-Remy de Blot (63) – Ruines de Château Rocher à 18 km à l’ouest d’Ebreuil

Veauce – église Sainte-Croix

Epoque :  XI°- Protection : MH (1840)
Propriétaire :
Visite :
Dates et horaires : Du 01/01/2018 au 31/12/2018 ( 09:00 / 20:00 )jusqu’à 18h du 01/11 au 31/03
Adresse : 2 rue de l’Église 03450 Veauce
Téléphone : 04 70 58 53 03
Courriel :
Site internet :

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Eglise Sainte-Croix (www.flickr.com)
Eglise Saint-Croix (mes voyages en France)
Eglise Sainte-Croix (atlas roman))
Eglise Sainte-Croix - le clocher (myopenweek.com)

Situation

Veauce est situé à 39 km à l’ouest de Vichy

L’église est dans le village

Histoire

La date précise de sa construction n’est pas connue, mais son histoire est liée à celle du château.
Elle existe au XIème siècle (don d’Aimon de Veauce à l’abbaye Saint-Léger d’Ebreuil en 1080). Elle fut construite par les Bénédictins pour leur usage. Ils avaient probablement leur monastère à proximité.
A la fin du XVème siècle, un chapitre collégial y fut fondé sous le patronage de Saint-Vénérand, par Jean Bessoles. Ce chapitre disparut en 1766.
De style roman, cette église fut élevée sous l’influence de l’école auvergnate.
Le chevet est entièrement construit en pierres calcaires disposées en assises régulières. Il est proche par le plan et la structure des églises majeures de la Limagne romane.
On y voit une multitude de marques de tâcherons, surtout de grandes lettres B, E; H,
En 1779 (date inscrite au-dessus de la porte), la nef fut amputée de deux travées et la façade reconstruite.
Le clocher a été rehaussé en 1882. Les trois cloches furent offertes par le Baron Charles Eugène De Cadier de Veauce.
L’église est classée monument historique depuis 1840.
Depuis 1997, l’église est illuminée tous les samedis, dimanches soirs et les jours de fête, jusqu’à minuit.

(source : “mairie-veauce.planet-allier.com”)

Les environs

Veauce – Le château au sud-ouest du village

Bellenaves – Le château à 6.8 km au nord

Ebreuil – Abbaye Saint-Léger à 7.2 km au sud

Saint-Désiré – église Saint-Désiré

Epoque : XI°-XII° – Protection : MH (1875)
Propriétaire : Commune de Saint-Désiré
Visite :
Dates et horaires : Du 01/01/2018 au 31/12/2018 ( 07:30 / 19:30 En cas de fermeture demander les clés en mairie
Adresse : Place de l’Église 03370 Saint-Désiré
Téléphone : 04 70 07 10 12
Courriel :
Site internet :

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église de Saint-Désiré (www.allier-auvergne-tourisme.com)
église de Saint-Désiré (www.france-voyage.com)
église de Saint-Désiré (www.france-voyage.com)
Eglise Saint-Désiré - La Crypte (Wikipédia)
Modillon sculpté (tête grotesque) de l'église romane Saint-Désiré (www.france-voyage.com)

Situation

Saint-Désiré est situé à 24 km au nord-ouest de Montluçon

L’église Saint-Désiré est dans le village

Histoire

Vers 500, le château construit sur la motte de Salviacus devient la propriété des évêques de Bourges. Le village est attesté depuis l’époque gallo-romaine. Il était situé à proximité de la voie antique reliant Châteaumeillant à Néris. Une communauté chrétienne a dû exister très tôt à la suite de l’évangélisation par saint Martial de Limoges.

L’évêque de Bourges saint Désiré y serait mort en 552 au retour d’un concile à Clermont.

Il existe une crypte du XIe siècle construite autour du tombeau de saint Désiré, probablement antérieur. Le prieuré a été fondé en 1055 par Ebe de Charenton, et Archambaud II de Bourbon, frère d’Aymon de Bourbon (1030-1070), archevêque de Bourges. Le prieuré est placé sous la dépendance de l’abbaye Saint-Michel de la Cluse. Ce choix vient probablement du fait que l’abbaye Saint-Michel de la Cluse a été fondé, vers 960, par un seigneur de la maison d’Auvergne, Hugues de Décousu à son retour d’un voyage à Rome. L’église a d’abord été dédiée à saint Martial et a été occupée par des moines du prieuré voisin de la Chapelaude. Les moines décident de la construction de l’église entreprise entre 1066 et 1091 d’après le cartulaire de la Chapelaude autour de la crypte plus ancienne où reposait le corps de saint Désiré.

En 1130, Suger prétendit qu’un pseudo-diplôme de Dagobert donnait la propriété du prieuré à l’abbaye de Saint-Denis. L’affaire fut portée devant le roi de France et le pape, mais à la Révolution l’église Saint-Désiré relevait de l’abbaye Saint-Michel de la Cluse. La notoriété du lieu venait du corps de saint Désiré.

Au XIXe siècle, l’église a été amputée des deux premières travées occidentale. La nef centrale est alors recouverte par un berceau en bois qui avait remplacé une voûte en maçonnerie à une époque non connue mais dont il subsistait des amorces. Cette charpente avait nécessité le surhaussement des murs goutteraux.

L’église est restaurée, entre 1866 et 1890, par les architectes Denis et Georges Darcy qui ont cru nécessaires de lui ajouter un clocher-porche à l’ouest. Les murs gouttereaux sont repris vers 1889 et la voûte en plein cintre de la nef centrale rétablie. Les restaurations ont fait disparaître les fresques anciennes. Les relevés qui en avaient été faits auparavant ont donné un nom, peut-être celui du peintre ou d’un moine du prieuré de la Chapelaude : Omblardus monacus, avec une date MCXVI.., qui serait 1118.

(source :”wikipédia”)

Moulins – Le Jacquemart

Epoque :  XV°- Protection : MH (1929)
Propriétaire :
Visite : oui
Dates et horaires : de 17h à 18h les 9/04, 28/05, 11 et 18/06, 9 et 23/07, 3 et 10/09, 1er et 8/10 ;
– de 18h à 19h le 7/05 ;
– de 18h30 à 19h15 les 6 et 13/08 ;
– à 18h et 20h dans le cadre de la Nuit des Musées le 21/05 ;
– de 15h à 17h le 2/07 : Jacquemart et quartier historique
Adresse : Le Jacquemart Place de l’Hôtel-de-Ville 03000 Moulins
Téléphone : 04 70 48 01 36
Courriel :
Site internet : ville-moulins.fr

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Le Jacquemart (Wikipédia)
Le Jacquemart (medieval.mrugala.net)
Le Jacquemart - Les automates (Wikipédia)
Le Jacquemart - détail des automates (etudiant.aujourdhui.fr)
Incendie du Jacquemart nuit du 12 au 13 mai 1946 (image1.lamontagne.fr)

Situation

Moulins, Place de l’Hotel-de-Ville

Histoire

La tour actuelle a été construite entre 1452 et 1455. Son aspect alors ne ressemble pas à celui d’aujourd’hui, la tour ayant subi deux incendies. Elle ressemblait initialement à une flèche, surmontée de gargouilles et d’une corniche ornée. À son sommet, elle était couronnée d’une aiguille.
De 1451 à 1455, quatre consulats (les gouvernements de la ville) consécutifs se consacrent à l’acquisition et à la construction d’une tour d’horloge perfectionnée, à l’image de celles construites en Flandre.
Pour ce faire, le 16 mai 1452, un impôt spécial « sur le fait de l’horloge » est levé (ainsi qu’en 1653 et 1654) par Jean II de Bourbon : « Par le commandement de Monseigneur le chancelier bailler leur porçion de l’impoct de l’orloge de la dicte ville. ».
Au début de l’année 1453, la tour est élevée. C’est « l’ancêtre » de la tour Jacquemart actuelle.
En 1454, elle reçoit un couronnement de charpente en bois puis l’année suivante, en 1455, ses derniers accessoires. Cette même année, le fût est coiffé d’une fine aiguille en ardoise d’Orléans, ornée de pennons et de bannières armoriées par Jehan Chasteau.
La cloche est fondue par Robert Bresmant. Elle est ornée des armes du duc, de la duchesse de bourbon et de la ville.
Il y a alors un seul sonneur, un automate en fer peint qui frappe une cloche en égrenant les heures. Un soleil et une lune figurent au niveau du cadran de l’horloge.

Incendie de 1655

Il n’y a pas d’avaries notoires pendant deux siècles malgré les réparations courantes qui doivent être effectuées sur le mécanisme.
Mais dans la nuit du 20 au 21 novembre 1655, un incendie qui partait des Halles, vers la collégiale, ravageât le Jacquemart. Les Halles sont entièrement détruites. La tour ne garde que sa carcasse de pierre, sauvegarde considérée alors comme miraculeuse, l’incendie s’arrêtant lorsqu’est jeté dans les flammes le voile qui recouvre la Vierge noire de la ville.

Reconstruction de 1656

En 1656, de la construction primitive, il ne subsiste que la partie en soubassement qui sert de base à une restauration.
Le 18 septembre 1656, la tour est reconstruite, mais a subi les influences du siècle avec l’apparition d’une nouvelle couverture en impériale et de la haute lanterne octogonale (détruite par l’incendie en 1946).
L’unique sonneur est remplacé par une famille complète de quatre jaquemarts — père, mère, fils et fille — taillés dans du bois de chêne et de châtaignier et recouverts de plomb. Les parents mesurent 1,80 m et les deux enfants, 1 m. Chacun est muni d’un marteau et pivote sur son axe, d’une seule pièce.
La tenue du père est proche de l’uniforme de garde-française (autrefois grenadier). Ce vêtement est réduit à une veste courte, pour faciliter sa rotation. Sa coiffe est ornée aux armes de la ville. Celle de la mère, Jacquette, à l’anatomie réaliste, est en tenue de roturière et porte un bonnet. Un ventre rebondi peut laisser penser à la représentation d’une femme enceinte ou à l’embonpoint des mères de famille bourgeoises.
La fille, Jacqueline, au profil mutin et nez pointu, est coiffée d’une bonnet gaufré et est vêtue d’une robe à pli. Quant au fils, Jacquelin, il est coiffé d’un béret et est habillé d’un modeste justaucorps juponnant.
Les Jacquemarts de 1655 sonneront jusqu’en 1946.
La première cloche, détruite par l’incendie de 1655, est remplacée par trois timbres pour les parents et pour chaque enfant de la famille :
La cloche centrale pour Jacquemart et “Jacquette”, nommée « Marie-Anne » car placée sous le parrainage de la reine-mère Anne d’Autriche, la mère de Louis XIV. La fonte de la cloche a été faite par Pavie et Mangeot en 1656 dans la cour de l’Hôtel de Ville. Cette cloche est d’un diamètre en 1,74 m et pèse 4 250 kg.
Les deux petites cloches pour “Jacquelin” et “Jacqueline”. Fondues en octobre 1658, elles pèsent 150 et 125 kg et font 0,64 et 0,68 m de diamètre.
Approximativement, le père et la mère frappent 56 940 coups par an et les enfants, qui frappent les quarts d’heure, environ 175 200 coups par an.

Après la Révolution

La couronne royale qui surmontait le couronnement disparaît pendant la Révolution.
La tour est classée au titre des monuments historiques le 10 octobre 1929.

Incendie de 1946 et reconstruction

Des feux de Bengale que l’on avait placés au sommet du Jacquemart, pour fêter le premier anniversaire de la victoire des Alliés et la Libération, causèrent un incendie qui ravagea le haut de la tour dans la nuit du 12 au 13 mai 1946, seul le fut principal est épargné. L’enquête révéla que des feux de Bengale avaient été installés sur la plate-forme haute du campanile — en bois — et non sur l’étage inférieur — en pierre —.
La partie haute va être reconstruite à l’identique, en partie grâce à une souscription. Le 23 août 1946, une délibération du Conseil municipal décide l’établissement des travaux de reconstruction qui seront confiés à l’architecte Génermont.
À partir de cette date, débute l’établissement de devis, tous plus ou moins respectés. Il y aura de nombreux contre temps dus aux difficultés inhérentes à la période de l’après-guerre avec un manque de matériaux, un manque d’essence, la longueur des démarches pour obtenir des bons de rationnement pour les ouvriers qui ont un statut spécial de “travailleurs de force”, etc. La première date prévue pour l’achèvement des travaux était alors le 6 septembre 1947 mais la nouvelle tour ne sera opérationnelle qu’en juin 1948, des travaux se poursuivant encore l’année suivante.

 

Un timbre de la tour sera émis en 1955 et une flamme philatélique du millénaire de Moulins en 1990.

(source :”Wikipédia”)

Les environs

Moulins – Le Palais Ducal à 200m au nord

Moulins – le musée Anne de Beaujeu à 300m au nord

Moulins le CNCS (musée du costume) à 3 km à l’ouest

Châtel de Neuvre – église Saint-Laurent

Epoque : XI° – Protection : MH (1927)
Propriétaire : Commune de Châtel de Neuvre
Visite : ouverte toute l’année de 9h à 18h
Adresse :
Téléphone :
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Site internet :

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Eglise Saint-Laurent à Châtel de Neuvre (maj-photoseglises.blogspot.ch)
Eglise Saint-Laurent à Châtel de Neuvre (Wikimédia)
Eglise Saint-Laurent à Châtel de Neuvre (lieuxsacres.canalblog.com)
Eglise Saint-Laurent à Châtel de Neuvre (www.cartesfrance.fr)

Situation

Châtel de Neuvre est situé à 18 km au sud de Moulins.

L’église Saint-Laurent est situé à la sortie sud de Châtel de Neuvre

.

Histoire

Oppidum gaulois puis castrum romain, Châtel-de-Neuvre fut le chef lieu d’une viguerie appartenant à un certain Aymard qui est le fondateur de la souche…des Bourbons. De son riche passé historique, Châtel-de-Neuvre a conservé de nombreuses traces dont une église classée. Les premières étapes de sa construction remontent au IXe siècle. L’église Saint-Laurent recèle en outre des fresques des XIV ème et XV ème siècles. La paroisse de Châtel-de-Neuvre appartenait au diocèse de Clermont. L’église Saint-Laurent, située au sommet d’une butte dominant la vallée de l’Allier, occupe l’une des positions les plus spéctaculaires du département Le transept peu saillant fut modifié au nord à l’époque gothique. Les absidioles, asymétriques, sont légèrement plus tardives que la nef. Le clocher, dont la souche remonte également à l’époque romane, a été amputé de sa flèche.

A mi-hauteur de la façade ouest, de chaque côté, on remarque deux stèles funéraires gallo-romaines très usées, qui confirment, comme certains éléments sculptés remployés dans le parement du côté sud-ouest du transept, la présence d’un ancien établissement antique sur ce site. L’église comporte une nef très étroite, l’une des plus anciennes de l’Allier. Celle-ci est éclairée directement et contrebutée de bas-côtés voûtés en quart de cercle.Le transept peu saillant fut modifié au nord à l’époque gothique. Les absidioles, asymétriques, sont légèrement plus tardives que la nef. Le clocher, dont la souche remonte également à l’époque romane, a été amputé de sa flèche.A mi-hauteur de la façade ouest, de chaque côté, on remarque deux stèles funéraires gallo-romaines très usées, qui confirment, comme certains éléments sculptés remployés dans le parement du côté sud-ouest du transept, la présence d’un ancien établissement antique sur ce site.

(source :”www.allier-hotels-restaurants.com”)

Bessay sur Allier – église Saint-Martin

Epoque : XII° – Protection : MH (1910)
Propriétaire : Commune de Bessay
Visite : ouverte toute l’année
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet :

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église Saint-Martin à Bessay (www.randos-allier.com)
église Saint-Martin à Bessay (photos-eglises.fr)
église Saint-Martin à Bessay (photos-eglises.fr)
église Saint-Martin à Bessay (www.jacquet.fr)

Situation

Bessay sur Allier est situé à 15 km au sud de Moulins

L’église Saint- Martin est dans le centre ville de Bessay

Histoire

L’église ( XI et XIIème siècles ) dédiée à l’évèque de Tours est l’oeuvre des moines bénédictins qui se voient confirmer la possession du prieuré de Bessay par Pascal II en 1105. Ils assument alors le service de l’église paroissiale avant qu’un prieur-curé soit établi vers la fin du XVI ème siècle.

L’église est construite dans l’enceinte du cimetière et comporte une nef de quatre travées, des bas côtés, un transept légèrement saillant et un chevet plat précédé d’une travée droite. Deux chapelles rectangulaires communiquent avec le transept. Le clocher de l’édifice est carré avec un faisceau de colonnettes caractéristiques du début du XIIIème siècle. Il abrite quatre cloches, la plus ancienne datant de 1687, une autre provenant comme le bénitier, de l’église de Neuglise.

Transept
La porte de l’église est surmontée d’une archivolte de deux voussures en plein cintre. Le linteau est sculpté d’une représentation insolite de l’agneau pascal, entouré de deux loups. La composition est due à la volonté du donateur de l’oeuvre, le prince Czartoryski, propriétaire de Chaugy. D’origine polonaise, il a voulu ainsi évoquer par l’agneau la Pologne menacée par deux loups, la Prusse et la Russie.

Linteau de l’église
Les voûtes de la nef ont fait l’objet, à la fin de l’époque romane, d’une réfection quasi intégrale. La communication des chapelles latérales avec la travée droite s’opère par des arcs en plein cintre retombant sur des impostes garnies de rinceaux.

Fonts baptismaux
Outre des fonts baptismaux carrés de l’époque romane, le mobilier de l’édifice comprend un bénitier provenant de l’église de Neuglise, détruite vers 1850. De dimension disproportionnée par rapport à l’intérieur de l’église, il est orné d’un relief bas. Un petit personnage est distinct sur la face avant.

(source :”bessay.sur.allier.pagesperso-orange.fr”)

Moulins – Le pont Régemortes (les ponts)

Epoque :  milieu du XVIII°- Protection : MH (1946)
Concepteur : Louis de Régemortes
Longueur  : 301.50m
Portée principale : 19.50 m
Matériaux : Pierre

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Le Pont Régemortes - face sud (fr.wikipedia.org)
Le Pont Régemortes - vue aérienne (Jean-Louis Zimmermann - CC BY 2.0)
Le Pont Régemortes (Gérard JOYON - CC BY 3.0)
Le Pont Régemortes -face nord (Mapio.net)
Le Pont Régemortes (www.agora-photo.com)
Destruction d'une arche du pont de Régemortes le 18 juin1940 (A. D. Allier, 1 J. © A. D. Allier)
Le Pont Régemortes (User:Otourly - CC BY-SA 3.0)

Actualités : les ponts à Moulins, il reste beaucoup à découvrir

Pont Régemortes (La Montagne 25 novembre 2019)

Actualités : les ponts à Moulins, il reste beaucoup à découvrir

Moulins - Les ponts (La Montagne 20 octobre 2022)

Situation

Le pont Régemortes est situé à l’ouest du centre ville de Moulins, reliant le quartier des Mariniers à celui de la Madeleine.

Histoire

Le pont Régemortes est un pont en pierre au dessus de l’Allier, à Moulins, dans le département homonyme. Il porte le nom de Louis de Règemorte, l’ingénieur qui l’a conçu et construit au milieu du XVIIIe siècle. Pont innovant pour son époque, il fut le premier à résister aux fortes crues de la rivière.

Construction du pont

En 1750, Louis de Régemortes, ingénieur des turcies et levées de la Loire, fut chargé d’étudier le projet d’un pont destiné à remplacer celui qui avait été dessiné par Mansart en 1705 et qui avait été emporté par la crue de 1710 avant même d’être terminé. Les ponts à Moulins, comme ceux de la ville plus en aval de Vichy, ont au cours de l’histoire régulièrement été emportés par les violentes crues de l’Allier. Fort de son expérience sur la Loire et de l’échec du pont de Mansart, il constate que l’effondrement des ponts est du à la puissance des crues mais également à la mobilité et à l’épaisseur des sables sur lesquels il repose, pouvant atteindre jusqu’à 16 m. Les pilotis, sur lesquels reposaient les piles des précédents ponts ne pouvaient pas atteindre la couche de roche dure.

De 1750 à 1753, Régemortes établit un projet, qui fut approuvé par la municipalité de Moulins puis par un arrêt du conseil du Roi le 6 mai 1753. Ce projet comporte deux innovations :
un radier général, déjà employé mais à plus petite échelle sur la Vienne, qui va apporter une bonne rigidité artificielle,
une large ouverture pour le passage des eaux avec 253 mètres (pour une longueur totale d’environ 300 mètres) alors que le pont de Mansart n’en prévoyait que 113 mètres).

Les travaux vont durer 10 ans, de 1753 à 1763. Régemortes fait détruire le quartier de la Madeleine en rive gauche, et y creuse, protégé de la rivière par un mur, la risberme, la première partie du radier sur une profondeur d’un 1,65 mètre et une largeur de 34 mètres. Une première moitié de pont est construite coté rive gauche, entre 1753 et 1759. Une fois achevée, il fait construire une digue légère pour orienter le débit de la rivière sous cette partie du nouveau pont et permettre la construction d’un radier coté rive droite puis de la seconde moitié du pont. L’ouvrage complet est achevé en 1763. Les déblais extraits de la rivière pour y placer le radier servent à la construction de digues coté rive droite pour protéger la ville de Moulins des crues.

Le pont mesure alors 300 mètres entre nus de culées avec 13 arches de 19,5 mètres. C’est le premier pont de grande dimension qui ait été construit sur un radier général avec un tablier horizontal et droit.

En 1771, Régemortes a publié un volume richement illustré décrivant la construction du pont de Moulins et les techniques utilisées.

Depuis la construction

Le pont résistera jusqu’à nos jours à tous les crues dont les deux crues exceptionnelles de 1790 et de 1866. Le pont servira de modèle pour le pont de Loire à Nevers et le pont-canal du Guétin.

Jusqu’à l’achèvement en 1859 du pont ferroviaire (dit Pont de fer ou Pont noir) situé en amont, il sera le seul pont de Moulins et environs franchissant l’Allier.

Seconde Guerre mondiale

Lors de la Seconde Guerre mondiale, le colonel d’Humières était en charge de la défense du secteur de Moulins2. Il décida, contre l’avis du maire, René Boudet, qui souhaitait une « ville ouverte », d’établir une ligne de défense sur la rive gauche de l’Allier et de miner une des arches du pont, la troisième en partant de la rive gauche, en disposant dessus six tonnes de nitrite.

Quand les Allemands envahirent la ville en provenant de Nevers et de la rive droite, le 18 juin, il fit sauter l’arche du pont, à 14h10, pour empêcher, la traversée des troupes allemandes. Le souffle de l’explosion détruisit de nombreuses vitres de Moulins, dont celles de la salle du conseil municipal, alors en réunion extraordinaire.

Une passerelle en bois sera assez rapidement installée et l’arche sera reconstruite en béton quelques mois plus tard.

Durant l’Occupation, cette partie de la rivière Allier marquait la ligne de démarcation qui séparait la France en deux, une zone occupée au nord et à l’ouest et zone libre au sud. La ligne séparait également le quartier de la Madeleine (seule partie de Moulins en zone libre) du reste de la ville. Le pont Régemortes sera un des principaux points de passage, situé sur la route entre Vichy où siégeait l’État français et Paris.

Ne peuvent alors franchir le pont que les possesseurs de laisser-passer. Outre les contrôles de l’armée puis de la douane allemande, la gendarmerie française contrôle elle aussi le pont, pour lutter contre le marché noir. Le passage clandestin seul ou avec l’aide de passeurs à travers la rivière est alors la seule solution pour ceux qui ne possèdent pas de laisser-passer.

Après guerre

Le pont est inscrit aux Monument historiques le 17 juillet 1946.

L’exploitation de gravières après guerre, contribueront à l’abaissement du lit de l’Allier, fragilisant le radier1. Pour le renforcer, un seuil d’enrochement sera créé et du béton sera injecté.

(source:”Wikipédia”)

Les environs

Moulins – Le Palais Ducal à 900 m au nord-est

Moulins – La Cathédrale à 900 m au nord-est

Moulins – Le CNCS (Musée du costume) à 500 m au nord-ouest

Doyet – Donjon de La Souche

Epoque :  XII° – XIV°- XV° Protection : MH (1991) et ISMH pour bâtiments des communs (1911)
Propriétaire : Privé
Visite : non
Adresse : D438 – La Souche 03170 – Doyet
Téléphone :
Courriel :
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Donjon de La Souche (mapio.net)
Donjon de La Souche (mapio.net)
Doyet - Donjon de La Souche (J.P. Luce)
Donjon de La Souche (images.patrimoine-de-france.com)
Donjon de La Souche (mapio.net)

Situation

Doyet est situé à 17 km à l’est de Montluçon.

La Souche est située à 3 km à l’est de Doyet.

Histoire

Château comprenant un système fortifié complexe, englobant une enceinte extérieure flanquée de tours, ceignant une basse cour entourée de dépendances (grange, fournil, chapelle, moulin) et creusée d’une mare pavée circulaire servant de réserve d’eau au Moyen-âge, cette enceinte était garnie à l’origine d’une entrée à pont-levis. Le château donjon est doté d’une première enceinte plus réduite, flanquée de 4 tours circulaires entourant une braie et défendue par des douves à l’origine franchies par un pont levis remplacé aujourd’hui par un ouvrage maçonné. En façade, une tourelle carrée demi hors œuvre contient l’escalier en vis. Deux meurtrières tournantes sur pivot défendent le pont d’accès, ainsi qu’une porte renforcée par une grille extérieure en fer forgé pivotant sur gonds, pièce du XVème également rare. Le flanquement vertical est assuré par des mâchicoulis sur consoles à ressauts en quart-de-rond et linteaux trilobés. A l’intérieur, le château comporte deux grandes salles par niveau, garnies de tommettes et de plafonds à la française.

Plusieurs comportent de belles cheminées monumentales en pierre. Au rez-de-chaussée, la salle d’armes s’orne d’une frise peinte de scènes de chasse, décor représentatif de la vie quotidienne dans un château au XVème. Dans l’embrasure de la fenêtre de la pièce, présence d’armes dessinées en 1720, à l’occasion du mariage d’Isabelle de La Souche avec Gilbert de Courteix.

Le château de la Souche est cité en 1359

A l’origine, le château était protégé par un double système de fossés: l’un, extérieur, grossièrement circulaire; l’autre, carré, autour de l’enceinte cantonnée de quatre tours rondes reliées par une courtine. Le pont-levis primitif, remplacé par un pont dormant, était défendu par la tour, toujours pourvue de ses canonnières. Les meurtrières pivotantes de la chemise sont un des rares exemples subsistant de ce type d’art militaire médiéval. L’enceinte extérieure était également flanquée de tours de défense. Le massif donjon carré est ceint d’une couronne de mâchicoulis trilobés abritant le chemin de ronde, et coiffé d’une haute et élégante toiture de tuiles. Il est accosté d’une gracieuse tourelle également crénelée, l’éclairage est assuré par de petites fenêtres à meneaux, tandis que des archères sont prévues pour la défense. L’entrée de l’édifice est protégée par une grille à fers plats forgés du XVème siècle. Les trois niveaux sont desservis par un escalier en vis de la tourelle, elle aussi munie de meurtrières. A l’intérieur, le château comporte deux grandes salles par niveau, garnies de tommettes et de plafonds à la française. Plusieurs comportent de belles cheminées monumentales en pierre. Au rez-de-chaussée, la salle d’armes s’orne d’une frise peinte polychrome représentant des scènes de chasse au déroulement chronologique, décor représentatif de la vie quotidienne dans un château au XVème siècle.

(source :”www.auvergne-centrefrance.com”)

Monétay sur Allier – Château de La Chaise

Epoque :  XV° – XIX°- Protection :
Propriétaire : Monsieur et Madame de L’Estoille
Visite : non
Adresse : 3, route de Contigny 03500 Monétay sur Allier
Téléphone : 06 64 62 30 91
Courriel : solangedelestoille@yahoo.fr
Site internet :

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Actualités : Festival, Théâtres de Bourbon, des châteaux pour décor (La Semaine de l'Allier du 4 août 2022)

Monétay sur Allier - La Chaise (La Semaine de l'Allier du 4 août 2022)

Situation

Monétay sur Allier est situé à 26 km au sud de Moulins

La Chaise est à 1 km au sud de Monétay sur Allier

Histoire

La construction du château du Riau (Lachaise aujourd’hui) s’étale entre le 15ème et le 20ème siècle. Les preuves les plus anciennes remontent à Claude Popillon, argentier du Duc Jean II de Bourbon, qui était propriétaire au Riau en 1473.
La propriété passa ensuite (contre 1190 écus d’or) à la famille des du Buisson, en 1592, puis, en 1665 à la famille des Roy de Lachaise qui lui donna son nom. Lors de l’achat du Riau par Claude Roy de Lachaise, l’ensemble des bâtiments était composé d’une maison de maître, d’une chapelle et d’un bâtiment d’exploitation viticole, situé au bord de la voie romaine Bourges-Clermont, et dominant le val d’Allier.
Les deux tours dominant à l’est l’Allier ont été abattues vers 1750 par ordonnane du roi, parce qu’elles gênaient la navigation. La chapelle présente des ouvertures romanes, ce qui semble attester de la présence d’une première construction aux environs du 12ème siècle.
Lachaise et sa terre sont intimement liées au vignoble de Saint-Pourçain. En 1569, Nicolas de Nicolay, géographe du roi Charles IX écrit : “Monestay est paroisse sur Allier, située en pays de vignoble… Au terroir de Lachaise croissent les meilleurs vins de tout le Bourbonnais”.
Le port de Lachaise, situé sur l’Allier a eu une importance économique considérable pendant de nombreux siècles puisque c’est de là que partait le vin de Saint-Pourçain pour être vendu à Paris. Sous la cour nord du château, il existe encore de grandes caves dont l’accès se faisait par un escalier situé dans le bâtiment qui était alors le pressoir et le cuvage.
Jusqu’au début du 19ème siècle, il ne semble pas que les bâtiments aient été modifiés de façon significative.
A la suite de problèmes familiaux, ils sont laissés quelque peu à l’abandon, et en 1848, quand Emmanuel Roy de Lachaise hérite de cette propriété, son état général est pitoyable : “Ce pauvre Lachaise n’a pas plus de tuiles sur les toits que de carreaux aux fenêtres et chaque chambre répond aux noms des animaux qui s’y trouvent : chambre des hirondelles, chambre des limaces… Certaines pièces n’ont plus ni plancher ni plafond, l’escalier est effondré”. Emmanuel et son épouse s’attelent alors à restaurer leur nouvelle maison. En 1853 dans le prolongement de la restauration de la chapelle qui est agrandie, et pour laquelle est créé un clocher, l’ensemble de la façade sud est restauré, les fenêtres transformées, le toit surélevé et agrémenté de lucarnes.
En 1857, les deux tours d’entrée sont construites, amorçant ainsi la nouvelle orientation des bâtiments et de la cour vers le nord. En 1859, la toiture du bâtiment nord (pressoir et cuvage) s’effondre. Le coût de la restauration étant trop élevé, les Roy de Lachaise décident de le démolir afin d’ouvrir la cour sur le nord et d’offrir ainsi la vue sur les deux nouvelles tours construites deux ans auparavant. En même temps, ils construisent une nouvelle grange, à 150m au nord du bâtiment principal, au-delà de la poterne d’entrée.
La restauration s’achève en 1903 par la construction par Henri, fils d’Emmanuel, sous la direction de l’architecte Moreau, de deux pavillons à l’ouest du bâtiment principal.
Le château entretenu et habité aujourd’hui par l’arrière-petit-fils d’Henri, n’a plus changé.

(source :”www.monetay-sur-allier.com”)

Monétay sur Allier- Château de La Grillière

Epoque : XIX° – Protection : ISMH (1988) – L’escalier monumental avec son vestibule, MH (1990
Propriétaire : Monsieur de Chasseval
Visite : non
Adresse : château de la Grillière 03500 Monétay-sur-Allier
Téléphone :
Courriel :
Site internet :

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La Grillière - Détail de la réfection de la toiture (www.cupapizarras.com)
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Situation

Monétay sur Allier est situé à 26 km au sud de Moulins

La Grillière est à 1.5 km au nord de Monétay

Histoire

Le château de Lagrillère, étonnant joyau de l’architecture écossaise, que l’on découvre au creux d’un écrin de verdure entre Monétay et Châtel-de-Neuvre.

Cet édifice en brique rouge, de plan asymétrique, fût construit à la fin du XIXe siècle, lorsque Stephen DURIEU DE LACARELLE, revenant d’un voyage en Ecosse décide d’abandonner son château de Logères pour faire construire à quelques centaines de mètres d’un premier château Louis XV, un bâtiment dans le style anglicisant des années 1900. Le projet initial est conçu par Jean MOREAU, poursuivi en 1899 par son fils, René, en collaboration avec le propriétaire qui conçoit lui-même plans, projets de façades et d’aménagement.

Les décors intérieurs sont exécutés par le sculpteur THIEBAUD et le peintre décorateur DETANGER. Le grand et le petit salons, séparés par des colonnes à chapiteaux corinthiens s’ornent de stucs et de boiseries dans l’esprit du XVIIIe siècle. La bibliothèque fumoir, le cabinet de travail et la salle à manger aux boiseries surmontées de scènes mythologiques sont en partie récupérés au château de Logère.

A l’étage, les chambres décorées et meublées dans des styles différents évoquent le 17ème siècle, le 18ème siècle ou l’ Empire.

Mais l’élément intérieur le plus remarquable reste l’escalier monumental en marbre rose de style Renaissance à deux volées en retour, symétriques par rapport à la montée après le palier intermédiaire.

Le magnifique parc, est redessiné à la même époque.

Et pour terminer cette visite étonnante, un auvent attenant aux communs du château, construit par un élève de Gustave EIFFEL qui reprend les structures en poutrelles d’acier de notre bonne vieille « Tour » nous invite à penser que Monétay…rivalise avec Paris !

Aujourd’hui, Hugues du Chemin de Chasseval et son épouse Florence de Galbert, héritiers, habitent le château. Sous l’impulsion de Monsieur Juban le parc est devenu un haut lieu de la chasse aux faisans vénérés, activité reconnue dans toute la France

(source :”www.monetay-sur-allier.com”)