Lignerolles – Les gorges du Cher

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Lignerolles - Les gorges du Cher (La Montagne du 14 août 2022)

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Le Vernet – Les Hurlevents

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Actualités : Le Vernet - Les Hurlevents (La Montagne du 14 août 2022)

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Cognat-Lyonne – Vue de l’église

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Cognat-Lyonne - Vue de l'église (La Montagne du 14 août 2022)

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Noyant d’Allier – Les Côtes Matras

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Actualités : Noyant d'Allier - les Côtes Matras (La Montagne 14 août 2022)

Noyant d'Allier - Les Côtes Matras (La Montagne du 14 août 2022)

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Saint-Nicolas des Biefs – le plateau de La Verrerie

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Actualités : Le Plateau de La Verrerie (La Montagne du 14 août 2022)

Actualités : Le Plateau de La Verrerie (La Montagne du 14 août 2022)

Saint-Nicolas des Biefs - Plateau de la Verrerie (La Montagne du 14 août 2022)

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Les races animales du Bourbonnais

Races animales du Bourbonnais

Les races animales bourbonnaises sont-elles préservées ?

(article d’Alain Landry dans les Cahiers du Bourbonnais n°185)

S’il est un cas unique en France grâce à son passé historique et sa spécificité administrative, c’est bien la province et duché de Bourbonnais.

Quelle autre province de France peut se prévaloir d’appartenir à un seul département ? (avec quelques amputations il est vrai) Quel département peut se prévaloir d’avoir donné à la France une dynastie de huit rois qui ont porté à son sommet et au monde la notion de civilisation et de l’art à la française ? Mais ce qui en fait aussi un lieu sans égal, c’est la richesse

des races animales qui y ont été développées… les races animales bourbonnaises, élevées traditionnellement, parties intégrales de notre patrimoine, sont les ambassadeurs du Bourbonnais. Elles en assurent la bonne renommée en France et dans le monde. Le braque du Bourbonnais est largement utilisé par les chasseurs en France, mais également au Québec, aux États-Unis, au Royaume-Uni, au Portugal, en Espagne, en Norvège, en Suède et en Italie.

La foire aux ânes de Braize accueille un public toujours plus nombreux et l’âne du Bourbonnais est reconnu comme une race à part entière par les haras nationaux.

Le C.I.P.B. (Comité interprofessionnel du poulet bourbonnais), travaille sans précipitation à l’obtention de son A.O.C. depuis près de huit années. Des raisons majeures de perpétuer la tradition et de ne pas laisser – par indifférence – une race s’éteindre en sombrant dans l’oubli.

Pourtant, quelques-unes sont lourdement menacées par une indifférence à tous les niveaux.

Revue de détail de ces animaux… pas comme les autres !

(source : extrait de l’article d’Alain Landry dans les Cahiers du Bourbonnais n°185)

Poule du Bourbonnais (futura-sciences.com)

Poule et coq bourbonnais

À sa lointaine origine, elle est issue du croisement de races indo-européennes (Brahmapootra) et de races locales. Son plumage blanc herminé semble souligner son appartenance au duché de Bourbonnais. D’une bonne taille, la poule atteint 2,5 kg, et 1 kilo de plus pour le coq. Elle pond en quantité honorable des œufs teintés beige clair, mais n’est pas une excellente couveuse. Sa grande rusticité et sa capacité d’engraissement font oublier ce léger défaut.

C’est une race très active qui se débrouille bien pour trouver sa nourriture sur un parcours enherbé, à l’abri d’une haie. En résumé, une très bonne poule fermière à la chair très délicate. Jadis orgueil de nos fermes, sa production en poulet de chair est reprise et soutenue par quelques esprits passionnés et courageux comme les Ets. Bernard Leutrat, de Saint-Germain de Salles et l’entreprise Allier-volailles d’Escurolles, rejoints par des éleveurs bourbonnais, amoureux de l’élégant gallinacé et fiers de leur terroir, œuvrant tous au développement de l’économie départementale.

Une curiosité spécifique à l’administration française : le ministère de l’Agriculture, via son officine I.N.A.O. (Institut national des appellations d’origine), exige, pour satisfaire à l’A.O.C convoitée, – clé d’une commercialisation à grande échelle – que la Poule Bourbonnaise abandonne… son nom, afin que l’A.O.C. « Poulet bourbonnais » soit conservée… Comprenne qui pourra… au pays des Gribouilles administratives ! D’autant qu’un jugement du tribunal de Moulins, en date du 28 mars 1961 : « … dit et juge que pour la production du “Poulet Bourbonnais”, les animaux : coqs, poules ou poulets vendus pour la consommation ne peuvent provenir, d’après les usages locaux, loyaux, constants et très anciens, que :

1°) d’animaux de race bourbonnaise, c’est-à-dire correspondant au standard de la race tel qu’il a été déposé par le Bourbonnais-Club le 9 octobre 1911 et approuvé par la Fédération nationale des sociétés d’aviculture de France le 19 avril 1920.

2°) d’un territoire comprenant toutes les communes du département de l’Allier et aux communes appartenant aux cantons limitrophes du dit département.

3°) d’élevages conduits suivant les méthodes définies au rapport, et notamment avoir été élevés et engraissés selon les coutumes traditionnelles du Bourbonnais (élevage en liberté ou parquets herbeux et engraissés à l’aide de produits naturels avec emploi facultatif de lait écrémé ou de lait en poudre et additionnés de compléments minéraux vitaminés).

Dit que l’appellation “Poulets du Bourbonnais” est réservée aux produits définis dans le rapport et élevés et engraissés dans la zone délimitée dans la carte annexée au rapport… ». « La chose est jugée ; le droit est dit » ; mais qu’elle sera la valeur de cet acte de justice face aux exigences capricieuses d’une l’administration non contrôlée ? Ceci est une autre affaire… qui est à suivre.

https://poules-club.com/selection-de-40-races-de-poules-fermieres/

Le saviez-vous ? Les Anglo-Saxons, plus constants que les Français en matière d’élevage et de sélection des races animales auraient “ récupéré ”, au siècle passé, le gallinacé bourbonnais pour produire la race Sussex, de taille nettement plus trapue et lourde ; L’on conjecture une “piraterie britannique afin de créer une race dite “Sussex“ pataude et trapue, sans l’élégance française, mais au plumage très proche et pour cause ! son l’hermine ducale trahirait le larcin.

Contact : – “Union avicole bourbonnaise – Bourbonnais club” – Président : Christian Roy, rue du Chatet 03500 Saint-Pourçain-sur-Sioule Tél. : 04 70 45 48 14

(source : extrait de l’article d’Alain Landry dans les Cahiers du Bourbonnais n°185)

Braque du Bourbonnais
(éleveurs-online.com)

Le braque du Bourbonnais

C’est une race de braque très anciennement connue ; elle fut décrite pour la première fois par l’Italien Ulysse Aldrovandus en 1537.

Largement utilisé par les chasseurs, ce braque, défini anoure dès l’origine, est un champion sur gibier à plumes et un virtuose sur bécasse. De taille moyenne, il est un doux compagnon en famille. De fond blanc, sa robe présente des mouchetures de couleur fauve ou marron, ce qui est un atout appréciable, car elle est facilement repérable à la chasse au bois, au gibier d’eau “à la passée” et à la bécasse, chasse ou il excelle.

Chez-nous en Bourbonnais, la couleur fauve est dénommée “fleur de pêcher” et la couleur marron est dénommée “lie de vin”. Mais la réglementation de la S.C.C. (Société centrale canine), qui est l’autorité de tutelle des clubs de races, ne connaît ni la poésie des choses, ni la beauté de la langue française et ses nuances

D’une grande finesse de nez, avec un arrêt ferme naturel, le braque du Bourbonnais règle de lui-même sa quête en fonction du terrain ; son rapport est également naturel tant sur terre qu’à l’eau. Aujourd’hui, on compte 1 400 sujets en France et 200 sujets hors de France.

Contact : Club du “Braque du Bourbonnais” – Président : Alain Picot, 26, rue de la Lombardie. 03100 Montluçon. Tél. : 04 70 05 58 12

(source : extrait de l’article d’Alain Landry dans les Cahiers du Bourbonnais n°185)

 

Canard blanc du Bourbonnais (lespalmipedesdomestiques.com)

Le canard blanc du Bourbonnais

Le mâle peut peser jusqu’à 3,5 kg et la femelle environ 3 kg. Il a un plumage blanc avec un bec de couleur « ongle rosé », sans trace de noir, et des pattes de couleur orange, les ongles roses.

Ses yeux sont grands et foncés à noir. Son corps est long, large, légèrement relevé. Le dos est large et long, légèrement incliné vers l’arrière. Les ailes sont fortes, collées au corps et ne se croisent pas.

Sa queue est assez courte, dégagée de la ligne du dos, en éventail ; celle du mâle avec des plumes bouclées.

Cette race à la chair onctueuse est de nouveau en expansion, après avoir failli disparaître…

Cuisiné à la sauce Duchambais, c’est un régal ; la recette nous viendrait des troupes d’occupation de 1815 qui nous apprirent le principe de l’aigre-doux, alors inconnu dans notre cuisine locale et régionale.

Contact :  “Union avicole bourbonnaise – Bourbonnais club” – Président : Christian Roy, rue du Chatet 03500 Saint-Pourçain-sur-Sioule – Tél. : 04 70 45 48 14

(source : extrait de l’article d’Alain Landry dans les Cahiers du Bourbonnais n°185)

Ane du Bourbonnais
(France bleu)

L’âne du Bourbonnais

De taille moyenne (légèrement plus petit que son cousin du Berry), il mesure de 1,20 m à 1,35 m au garrot selon le sexe. C’est un animal robuste et d’une intelligence remarquable. Bâté, il porte jusqu’à 90 kg, ce qui en fait un très bon randonneur. Attelé, il est docile et fort ; il était encore utilisé dans les années 1920 à Vichy pour promener les curistes à la découverte de la ville. Dans les années cinquante, la plus petite exploitation agricole possédait encore son âne qui rendait de nombreux services comme pour butter les pommes de terre ou sarcler les vignes, et transporter hommes et marchandises vers les villages d’un trot alerte !

L’ennui et un surplus de nourriture sont de nos jours les plus grands ennemis du gentil animal.

Contacts : – Association française de l’âne bourbonnais –

Présidente : Marie-Michèle Doucet, 8, impasse du Château – 95810 Grizy-lès-Plâtres – Tél.. : 01 34 66 67 44 ; Fax. : 01 34 66 62 22

  • Maison de l’âne du Bourbonnais, “Beauregard“- 03360 Braize, Tél./Fax.: 04 70 06 08 87.

(source : extrait de l’article d’Alain Landry dans les Cahiers du Bourbonnais n°185)

Pigeon coquillé du Bourbonnais (Cahiers Bourbonnais)

Le pigeon coquillé du Bourbonnais

Benjamine, (1987), des races bourbonnaises, (en cours d’homologation), ce gracieux colombin compte actuellement 4 à 500 sujets.

D’un port altier, son cou est orné d’un collier de plumes régulier, bien droit, descendant sur la poitrine qu’il met en valeur et semble protéger sa tête bien détachée.

Selon son standard, ce pigeon est fier, vif et botté, il porte collier ; son poids est de 350 à 400 grammes environ, selon le sexe.

Différentes variétés existent : noir, bleu, fleur de pécher, rouge, jaune, argenté. Sa chair, fine et délicate, est appréciée des gourmets.

Contact : Centre d’élevage : Jean-Claude Gayet – 03120 Le Breuil – Tél. : 04 70 99 26 75

(2 éleveurs sont en Bourbonnais, 1 en Alsace, 1 en Allemagne)

(source : extrait de l’article d’Alain Landry dans les Cahiers du Bourbonnais n°185)

Dindon noir du Bourbonnais (wikipedia.org)

Le dindon du Bourbonnais

Son plumage et son torse sont uniformément d’un noir jais à reflets métalliques, sans trace de reflets bronzés. Sa tête est longue, dépourvue de plumes et recouverte de granulations ou caroncules allant grossissant jusqu’à la base du cou.

Cette race rustique, de nature vagabonde, aime les grands espaces.

Le mâle, ou coq d’Inde, atteint 12 kg (prononcer « cô d’Inde » et parfois plus simplement « l’dinde » ou encore « un dinde », en parler bourbonnais) atteint les 12 kg. Et la poule pèse entre 7 et 9 kg.

La poule d’Inde est moins osseuse que le coq ; moins volumineuse aussi elle est plus facile à enfourner.

C’est une dinde très pondeuse et excellente couveuse.

Quant à orgueil, ce coq au paon approche

Et fait sa queue en roue comme luy,

Les barbillons et creste d’icelluy

Sont de couleur à l’azurée proche.

Pierre Belon, 1557

Chaque année, à la mi-décembre, une foire aux dindes ( de toutes races et variétés) se tient à Jaligny. Oies et canards sont également présents. On parle parfois de la « dinde de Jaligny », mais c’est un terme commun à une foule de sujets de provenance variée et de races tout autant indéfinies.

Rôtie et truffée, farcie à la chair à saucisse et aux marrons, auxquels on peut ajouter le foie haché d’une volaille. On l’aura préalablement désénervée et on la présentera à table en « bonnet d’évêque », ce « proche du paon » est un mets royal.

Contact : “Union avicole bourbonnaise – Bourbonnais club” – Président : Christian Roy, rue du Chatet 03500 Saint-Pourçain-sur-Sioule – Tél. : 04 70 45 48 14

(source : extrait de l’article d’Alain Landry dans les Cahiers du Bourbonnais n°185)

Oie blanche du Bourbonnais (fermedebeaumont.com)

L’oie blanche du Bourbonnais

C’est une oie active, massive, trapue, mais sans lourdeur.

Son plumage immaculé est très serré et possède un duvet très fin ; son port est trapu, son dos est large et plat à hauteur des épaules, long et incliné vers l’arrière. Son bec est de couleur rouge orangé, tirant parfois sur le rose vif, le moins jaune possible. Ses yeux sont de couleur bleu clair.

Le mâle pèse jusqu’à 10 kg et la femelle de 5 à 8 kg.

Voilà une race très rustique et prolifique, pondant et couvant bien. Cette grande mangeuse d’herbe est d’un élevage économique et peu délicat.

C’est, à notre avis, rôtie et dorée que le fumet du plat engage à savourer sa chair goutteuse.

Contact : “Union avicole bourbonnaise – Bourbonnais club” – président : Christian Roy, rue du Chatet, 03500 Saint-Pourçain-sur-Sioule – Tél. : 04 70 45 48 14

(source : extrait de l’article d’Alain Landry dans les Cahiers du Bourbonnais n°185)

Lapin gris du Bourbonnais (lapin-gris-bourbonnais.com)

Le lapin gris du Bourbonnais

Ce lapin, au pelage gris foncé, se rapprochant du gris fer a des oreilles assez courtes, portées légèrement en V, aurait été menacé de disparition totale si un groupe de passionnés ne l’avaient relancé. Le poil est court, serré, fin et brillant.

La femelle est douce, prolifique et rustique. Son poids peut atteindre les 5 kg (sans les dépasser) et sa chair est ferme et très fine.

Le lapin possède sur les volailles la grande supériorité de ne pas devoir subir une attente de 24 heures, une fois dépouillé, pour passer à la casserole sans risque d’être filandreux ; on le met à cuire 20 minutes après.

Le secret, c’est de ne pas laisser à la viande le temps de refroidir. Rôti, en gibelotte, à la moutarde (de Charroux de préférence), aux macaronis, au vin blanc ou mariné en terrine, en compote ou en rillettes, vous vous régalerez en régalant vos amis.

Contacts : “Union avicole bourbonnaise – Bourbonnais club” – président : Christian Roy, rue du Chatet, 03500 Saint-Pourçain-sur-Sioule Tél. : 04 70 45 48 14.

– Club Doyen et Européen des éleveurs du “Lapin gris du Bourbonnais” – président d’honneur et  fondateur : Jean-Claude Gayet, 03120 Le Breuil Tél. : 04 70 99 26 75. – (61 éleveurs en France, couvrant 14 départements -1 seul dans l’Allier-, 14 en Belgique, 3 en Allemagne, 2 en Hollande, 1 au Danemark -).

(source : extrait de l’article d’Alain Landry dans les Cahiers du Bourbonnais n°185)

Arfeuilles – Cascade de La Pisserotte

Visite : libre
Dates et horaires :
Adresse : Le Verger 03120 Arfeuilles
Téléphone :
Courriel :
Site internet : Cascade de la Pisserotte

Arfeuilles - La Pisserotte (La loutre vagabonde.wordpress.com)
Arfeuilles - La Pisserotte (capture ignrando.fr)
Arfeuilles - La Pisserotte (La loutre vagabonde.wordpress.com)
Arfeuilles - La Pisserotte (La loutre vagabonde.wordpress.com)
Arfeuilles - La Pisserotte (La loutre vagabonde.wordpress.com)
Arfeuilles - La Pisserotte (La loutre vagabonde.wordpress.com)

Situation et itinéraire :

Arfeuilles est à 29.3 km à l’ouest de Vichy et à 64 km au sud-est de Moulins.

A Arfeuilles sur la droite vous trouverez un stop avec une route qui descends sur 4.9 km, prenez là elle vous emmènera au Parking du hameau du Verger. Une fois au parking, partez dans le petit hameau, des panneaux sont indiqués pour vous emmenez aux cascades.

Durée : 35 minutes environ

Une fois le hameau passé vous vous enfoncerez dans les bas fonds de la Vallée pour découvrir sur votre gauche un petit étang ! Baignade interdite bien évidemment sauf si vous voulez vous faire suçoter les os par les têtards bourbonnais et attention ils sont coriaces ceux là !

Une fois le hameau passé vous vous enfoncerez dans les bas fonds de la Vallée pour découvrir sur votre gauche un petit étang ! Baignade interdite bien évidemment sauf si vous voulez vous faire suçoter les os par les têtards bourbonnais et attention ils sont coriaces ceux là !

La première partie est plate avec sur la droite une vue sur la vallée, ensuite le sentier commence à s’enfoncer dans l’antre de la Terre.

Allez on descends ! Ah.. j’oubliais mais la descente se fait fort bien après pour la remonter c’est pas tout à fais la même ahah’ courage ! Les photos on été prise en sens inverse donc vous avez la montée ici.

Sur la gauche vous trouverez de très grandes roches, comme un éboulement naturel, où la verdure étincelle d’un vert magnifique ! Le rocher n’étant ni le rocher du roi Lion hein, ni la grotte d’un hobbit sauf si vous voulez finir en crêpe Wahouuuu !

Ce type d’accumulation rocheuse peu en été, surtout selon le soleil l’orientation du soleil attirer les vipères se faisant rôtir pour leur bronzage ! Méfiance de ne pas finir en ViperMan.

Une fois en bas vous arriverez face à un petit pont en bois, traversez le et laissez vous guider aux sons des cascades qui seront pile face à vous sur les hauteurs ! Vous traverserez un morceau peu boisé au milieu, avec les restes d’un feu, à savoir que sur ce site le camping sauvage et les feux sont strictement interdit. La baignade ne l’étant pas, cependant à vos risques et périls, tout repose sur le randonneur.

Et vous voilà aux cascades ! Maintenant faites vous dorer la pilule sur les rochers, trempez vous les pieds, éclatez vous mais toujours avec prudence pour ne pas chuter. Sur les hauteurs des cascades, vous trouverez encore des cascades, aux plus téméraires d’escalader sur le côté en faisant attention de ne pas glisser. L’eau est peu profonde.. enfin avec ma taille ça reste profond même dans un petit bassin ahah ! Mais beaucoup de torrent. La cascade de gauche est accessible en traversant le peu d’eau.

(source : laloutrevagabonde.wordpress.com)

Histoire

Chatelperron – La grotte des fées

Epoque : Paléolithique supérieur – Chatelperronien – Protection : MH en 1949
Propriétaire :
Visite :
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet :

Chatelperron - La Grottes des fées (wikipédia-CC BY-SA 4.0)
Chatelperron - La Grottes des fées (La Montagne - © Séverine TREMODEUX)
Chatelperron - La Grottes des fées (wikipédia-JYB Devot)
Chatelperron - La Grottes des fées (www.chatelperron.interco-abl.net)
Chatelperron - La Grottes des fées (www.chatelperron.interco-abl.net)

Actualités : Le site cache t-il des secrets ?

Chatelperron - La Grottes des fées (La Montagne du 13 octobre 2019)

Situation

La grotte est située à environ un kilomètre au nord du bourg, sur la rive gauche du Graveron, à 5 ou 6 mètres au-dessus du niveau du ruisseau.

Histoire

Toponymie.
La grotte des Fées de Châtelperron est aussi appelée « Boîte aux Fées » ou « Caves aux fées ». La grotte, ou plutôt les grottes, sont constituées de deux ouvertures distinctes. À l’origine, il existait trois cavités : la grotte Poirier, la grotte Bailleau et la grotte Effondrée dont la superstructure a disparu.

Occupation des grottes.
Une première fréquentation des grottes a lieu au Moustérien, puis une seconde au Châtelperronien et à l’Aurignacien. Les résultats des différentes fouilles ont nourri la controverse sur la cohabitation entre les Hommes anatomiquement modernes et les Néandertaliens. Le Castelperronien est ainsi une période de transition entre l’arrivée de l’homme de Cro-Magnon et la disparition de l’homme de Néandertal.
La période historique est attestée par la découverte de quelques objets gallo-romains.
Au XIXe siècle, un cantonnier s’installe dans la grotte dite alors « Boîte aux Fées »

Découverte et fouilles du site préhistorique.

Vers 1840, peut-être en 1848, un projet de voie ferrée dans la vallée du Graveron, reliant les mines de Bert à Dompierre-sur-Besbre, est à l’origine de la découverte du site de la grotte des Fées. Le tracé ferroviaire accusant un léger coude au niveau de l’éperon rocheux, des travaux d’amélioration du rayon de courbure conduisent à la mise au jour d’objets préhistoriques devant l’entrée des grottes.
Albert Poirier, ingénieur de la Compagnie des Mines de Bert et chargé de la construction de la voie ferrée, est également un paléontologue et fouille la grotte qui porte aujourd’hui son nom.
De 1867 à 1872, le docteur Guillaume Bailleau fouille la grotte éponyme. Il y trouve plusieurs milliers de silex taillés et des défenses de mammouth de plus de 2 mètres de longueur.
La grotte Effondrée est découverte en 1867 par le docteur Bailleau, qui reconnaîtra plus tard qu’il s’agit d’une grotte dont le toit a disparu. Dans les années 1950, Henri Delporte, spécialiste de l’Aurignacien, entreprend la fouille de la grotte Effondrée où il met en évidence deux niveaux d’occupation, Moustérien et Châtelperronien. Les dernières fouilles y sont menées de 1951 à 1954 et en 1962 par Henri Delporte qui met au jour des lames à dos en silex, dites « couteaux de Châtelperron », des burins, des grattoirs et des perçoirs.
La plus grande partie de l’outillage se trouve aujourd’hui au British Museum et au musée de Philadelphie. Quelques pièces sont exposées au musée Anne-de-Beaujeu de Moulins ainsi qu’au Musée d’archéologie nationale de Saint-Germain-en-Laye. La salle d’exposition de Châtelperron (Préhistorama, installé dans l’ancienne gare) ne présente pour le moment que des reproductions.
La commune de Châtelperron, où se trouve le site de la grotte des Fées (35 000 – 30 000 ans av. J.-C.), a donné son nom à une culture du début du Paléolithique supérieur, le Châtelperronien ou Castelperronien. Les résultats des fouilles ont notamment alimenté la controverse sur la cohabitation entre les Hommes anatomiquement modernes et les Néandertaliens9.
L’édifice est classé au titre des monuments historiques en 1949.

Mythes et légendes.
Les parois de la grotte des Fées sont couvertes de spéléothèmes formés par les dépôts des eaux calcaires qui percolent à travers la voûte. Les formes de ces concrétions ont de tous temps inspiré l’imagination des visiteurs qui leur ont donné des noms particuliers : le géant, la nymphe, le chameau.
Plusieurs légendes se seraient également développées au fil des temps. Ces histoires semblent cependant confondre cette grotte des Fées avec son homonyme à Ferrières-sur-Sichon.

(source : Wikipédia )

Les environs

Ferrières sur Sichon – Grotte des fées

Epoque :  – Protection :
Propriétaire :
Visite : oui
Dates et horaires : Prendre la clé et la lampe de poche auprès de la Maison de la Vallée du Sichon, 1 place de la Poste à Ferrières sur Sichon.
Tél : 04 70 41 14 89
Adresse : Hameau de Forest 03250 Ferrières-sur-Sichon
Téléphone : Office du tourisme 04 70 59 38 40
Courriel : ot.mayet-montagne@wanadoo.fr
Site internet : www.tourisme-montagne-bourbonnaise.com

Grotte de Fées (www.ferrieres-sur-sichon.fr)
Grotte de Fées (www.randos-allier.com)

Actualités : Découvrir la grotte aux fées et ses légendes (La Semaine de l'Allier 6 août 2020)

Ferrières sur Sichon - Grottes des fées (Semaine de l'Allier 6 août 2020)

Situation

Ferrières sur Sichon se situe à 26 km au sud-est de Vichy

La Grotte des Fées (Hameau de Forest) se situe à 1,7 km au sud-ouest de Ferrières sur Sichon

Histoire

Magnifique cavité située au bord du Sichon, cette grotte doit son nom à la légende selon laquelle des fées l’habitaient.
Ornée de concrétions et de cascatelles, elle développe 44m de réseau pénétrable.
La 1ère partie, dite touristique, est une galerie aux parois de calcite longue de 30m.
La 2ème partie, dite spéléologique, est basse et étroite, elle nécessite une tenue adaptée

Il était une fois en Montagne Bourbonnaise…
« LA GROTTE DES FEES »

Les parois de la Grotte des Fées près de Ferrières sont couvertes de stalactites formées par les dépôts des eaux calcaires qui suintent à travers la voûte. L’ensemble de ces concrétions présente les formes les plus bizarres que l’imagination interprète suivant sa fantaisie.
Dans le fond de la grotte un bloc de rocher représente assez confusément la forme d’un homme soutenant la voûte sur ses épaules. On raconte que jadis un géant habitait le bois Boudet où il faisait de grands ravages, s’emparant des bœufs et des moutons des alentours ; les fées aussi bonnes que leur voisin était mauvais, lui jouèrent plus d’un tour pour soustraire les paysans à sa férocité. Aussi le géant conçut-il contre les fées une haine profonde ; un jour il pénétra dans leur grotte et tenta de faire écrouler la voûte en la soulevant sur ses épaules. Les fées l’ayant aperçu allumèrent un grand feu de balais à l’entrée de la grotte. Le géant mourut asphyxié et le rocher qui soutient aujourd’hui la voûte représente son corps resté en place et pétrifié dans son dernier sommeil.
Vers l’entrée de la grotte, un rocher allongé représente une femme enveloppée dans un linceul ; un jour la plus jeune des habitantes de la grotte se baignait dans le Sichon quand elle fut aperçue par un être bizarre, moitié faune, moitié magicien. Séduit par la beauté de la baigneuse, le faune résolut de l’enlever. La jeune fée très effrayée s’enfuit à toutes jambes, serrée de très près par son ennemi qui l’atteignit juste au moment où elle entrait dans la grotte ; pour lui échapper, elle se changea en pierre et prit la forme d’une nymphe.
A l’entrée de la grotte un énorme bloc de pierre désigné sous le nom de rocher du chameau est également l’objet d’une légende. Autrefois vivait quelque part en Orient, une jeune princesse de la plus grande beauté. Ses parents voulaient lui faire épouser un chevalier qu’elle n’aimait pas. Comme on ne cessait d’insister pour qu’elle se décide et que même on la menaçait des plus cruels châtiments si elle persistait dans son refus, elle s’enfuit du logis paternel et se dirigea vers l’ouest sans bien savoir où elle allait. Après avoir marché bien des jours et bien des nuits, elle finit par arriver dans la montagne bourbonnaise où les braves fées, prenant pitié de sa fatigue et de sa détresse, la secoururent et la recueillirent dans leur grotte. Là, elle ne manqua de rien et connut la paix et la tranquillité mais hélas, ce ne fut pas pour longtemps. Un jour, en effet, qu’elle reposait au bord du Sichon elle vit soudain apparaître un officier de son père suivi de plusieurs soldats. Comprenant tout de suite que cette caravane était à sa poursuite, elle poussa un cri de terreur et se mit à courir dans la direction de la grotte afin de s’y cacher et d’échapper à ses ravisseurs. Une vieille fée entendant ses cris accourut à son secours. Elle arriva juste au moment où l’officier atteignait la princesse et tendait la main pour la saisir. Voyant le danger que courrait la protégée, la fée arracha du sol un gros quartier de rocher et le lança avec force sur la tête du soldat qui fut écrasé et tué sur le coup ainsi que sa monture. Ils furent ensevelis sous les débris du rocher qui les recouvrit comme un manteau de pierres et forma ainsi le bloc que l’on voit à l’entrée de la grotte des fées.

(source : www.tourisme-montagne-bourbonnaise.com)

Saint-Nicolas des Biefs – Allées des hêtres tortueux

Epoque :  -400 ans – Protection : inscrit ENS « Espaces Naturels Sensibles »
Propriétaire :
Visite : Oui, accès libre, promenade à Saint-Nicolas des Biefs
Contact : la-bletterie-pierre-chatel
Téléphone :  04 77 65 10 22
Site internet : tourisme-montagne-bourbonnaise.com

Allées des Géants (www.allier-auvergne-tourisme.com)
(l.yimg.com)
Allées des Géants (www.allier-auvergne-tourisme.com)
Allées des Géants (www.allier-auvergne-tourisme.com)

Situation

Saint-Nicolas des Biefs est situé à 38 km au sud-ouest de Vichy
Le hameau de « La Bletterie » est situé à 3,7 km au sud-ouest du Bourg de Saint-Nicolas des Biefs. Le chemin des sorcières débute au croisement de la route avec le chemin de « La Bletterie ».

Histoire

A quelques kilomètres au sud du village de Saint-Nicolas-des-Biefs, près du lieu-dit La Bletterie, il existe un chemin forestier unique. Une allée remarquable répertoriée depuis 1998 par le Muséum d’Histoire Naturelle comme étant un ensemble d’éléments naturels exceptionnel. L’allée des géants est aussi appelée le chemin des sorcières…

Le parcours dans ce décor qui ressemble à un film fantastique, procure une étrange sensation ! À chaque pas, on plonge au cœur d’une armée de colosses qui lancent leurs longues silhouettes vers le ciel. Des hêtres, vieux de plus de 400 ans, recouverts de mousse, forment une haie d’honneur à ce vieux chemin pavé de feuilles mortes. Piédestal d’où s’élèvent des bouquets d’énormes branches, les troncs imposants et noueux complètent cette vision fantastique. En ce lieu de plénitude, les couples ont gravé pendant des siècles leur amour dans l’écorce. Sculptures romantiques, qui avec les années, s’incrustent à jamais dans la chair de l’arbre.

Il semblerait que ce soit le dernier exemple de chemin mis en valeur par des plantations de hêtres autour du village de La Bletterie. En effet, dans le souvenirs d’habitants âgés, d’autres chemins étaient ainsi plantés, cette coutume locale représentant peut-être un signe de propriété sur les chemins partant du petit village. Tous ces chemins desservaient des forêts appartenant à la communauté Bletterie, dissoute vers 1750.

Aujourd’hui, source de curiosité et de promenades, ce chemin était à une époque très fréquenté car il menait à Saint-Nicolas des Biefs où les artisans verriers réalisaient une importante activité commerciale. Cette bordure végétale qui cumulait les fonctions délimitait aussi les propriétés. Elle protégeait du soleil, des vents et des congères de neige, mais était également une source inépuisable de bois de chauffage. Lors des corvées de bois, les habitants pratiquaient la taille dite en têtard, les troncs étaient élagués de certaines branches à environs 1,50m du sol, les coupes réunies en fagots servaient pour le four à pain du village. Ces multiples coupes ont généré à chaque fois des bourrelets de cicatrisation plus ou moins proéminents donnant à l’arbre une silhouette tortueuse, les branches restantes étaient plessées. Le plessage est une technique qui n’a laissé localement que très peu de traces de son existence, elle consistait à croiser les branches restantes à l’horizontale afin de créer un tressage. Dans la plupart des cas, le plessage était obligatoire et parfois inscrit dans le bail du locataire.

Les formes particulières de ces hêtres exceptionnels qui sont la trace vivante d’anciennes coutumes et pratiques des hommes de cette région, laissent libre cours à l’imagination… On pourrait croire à un chemin surnaturel menant vers d’autres mondes ou d’autres époques…

L’Allée des géants est, sans conteste, un lieu d’où se dégage une ambiance mystérieuse qui a tout pour plaire…

Les environs

Châtel-Montagne – église Notre Dame à 13 km au nord-ouest

Ferrières sur Sichon – -château de Montgilbert à 21 km à l’ouest

Mayet de Montagne – Rocher druidique de Courtine à 16 km à l’ouest