Nassigny – église Saint-Martin

Epoque :  XIII°- Protection :
Propriétaire :
Visite :
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet :

Nassigny - église Saint-Martin (www.sauvegardeartfrancais.fr)
Nassigny - église Saint-Martin (www.sauvegardeartfrancais.fr)
Nassigny - église Saint-Martin (www.fondation-patrimoine.org)
Nassigny - église Saint-Martin (www.sauvegardeartfrancais.fr)

Actualités : Un patrimoine d'exception à conserver (La Montagne 5 juillet 2014)

Nassigny - église Saint-Martin (La Montagne 5 juillet 2014)

Actualités : Les rénovations de Printemps

Nassigny - église Saint-Martin (Semaine de l'Allier du 28 mars 2019)

Situation

Nassigny est à 18,8 km au nord de Montluçon

Histoire

S’inscrivant très heureusement dans un site protégé de la vallée du Cher, l’église Saint-Martin est construite en pierre de Vallon de Sully (grès rose) et remonte à l’époque romane, à l’exception du transept et du chevet, modification du XIXe s.
Elle est implantée sur une villa gallo-romaine donnée en 694 par le roi Childebert III à l’abbaye de Saint-Denis. La nef unique, large de 7 mètres, est précédée d’un beau clocher-porche couvert d’essences de châtaignier.
Le chevet plat, visible sur un dessin ancien, a été modifié en 1878 par une abside semi-circulaire et l’adjonction d’un transept terminé au nord et au sud par les absidioles également semi-circulaires.
Le mobilier comprend une belle cuve baptismale en pierre décorée d’une croix grecque pattée inscrite dans un cercle supporté par une longue hampe.
Des têtes marquent les angles ; l’ensemble est posé sur quatre colonnettes trapues avec des bases frustes.
Il faut y ajouter trois statues en bois polychrome du XVIe s.
E.C. (www.sauvegardeartfrancais.fr)

Le Veurdre – église Saint-Hippolyte

Epoque : XI° – Protection : non
Propriétaire : commune du Veurdre
Visite : oui avec dépliant
Dates et horaires : Toute l’année, tous les jours de 10h à 19h.
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet :

Le Veurdre - Saint-Hippolyte (www.mesvoyagesenfrance.com)
Le Veurdre - Saint-Hippolyte (medias.sit.auvergne-tourisme.info)
Le Veurdre - Saint-Hippolyte (www.mesvoyagesenfrance.com)

Situation

Le Veurdre se situe à 36 km au nord-ouest de Moulins

Histoire

Cette église construite à la fin du XI ème siècle dans un style roman clunisien a été fortement remaniée au cours des siècles. La nef est précédée d’un narthex sur la gauche duquel s’ouvre un baptistère, très rare en pays de Lévis. Une chapelle gothique y est accolée. L’édifice est surmonté d’un clocher carré du XV ème orné d’une corniche à modillons. Une chaire curiale en bois sculpté de la fin du XVI ème et un maître-autel baroque en bois sculpté et doré du début du XVII ème, constituent un mobilier de qualité. Une belle statuette du XV ème ou du XVI ème représente la Vierge recevant l’enseignement de sainte Anne.

(Source : www.allier-hotels-restaurants.com)

Les environs

Le Veurdre – Le musée de la batellerie à 2.4 km au nord-ouest

Lurcy-Levis – Street Art City à 12.2 km au sud ouest

Château sur Allier – Le château de Saint-Augustin à 8.2 km au nord-ouest

Yzeure – église Saint-Pierre

Epoque : XII° – Protection : MH(1914)
Propriétaire : Commune d’Yzeure
Visite : Les visites sont libres tous les jours de 9 h à 12 h et de 14 h à 16 h 45.
Dates et horaires : Des visites guidées sont proposées sur réservation au 04 70 48 53 80 ou culture@ville-yzeure.com
Adresse :
Téléphone : 04 70 48 53 80
Courriel : culture@ville-yzeure.com
Site internet :

Yzeure (lieuxsacres.canalblog.com)
Yzeure (lieuxsacres.canalblog.com)
Yzeure (lieuxsacres.canalblog.com)
Yzeure (lieuxsacres.canalblog.com)
Yzeure (lieuxsacres.canalblog.com)
Yzeure (www.allier-auvergne-tourisme.com)

Actualité : 90 heures pour le buste reliquaire du XVII° (La Montagne du 7 novembre 2023)

Yzeure - Le buste reliquaire de église Saint-Pierre - La Montagne

Situation

Yzeure se situe à 1,9 km à l’est de Moulins

Histoire

Un monastère fut construit au IX ème siecle. L’église Saint-Pierre fut rattachée à l’abbaye de bénédictines de Saint-Menoux au XII ème siècle et garde la trace de plusieurs campagnes de construction.Construite en partie à l’époque romane, elle est remarquable par l’ornementation de sa façade du XII ème siècle et par sa crypte du IX ème et X ème siècle.Le mobilier est également exceptionnel comme les bancs d’œuvre des corporations, la statue polychrome de la Vierge à l’enfant dont le drapé permet une datation du XIV ème siècle et la chaire en bois sculpté de 1623.
L’édifice a conservé, dans la majeure partie de son ensemble, ses dispositions primitives remontant à la première moitié du XII ème siècle. La nef comprend quatre travées voûtées en berceau d’ogive sur doubleau. Les bas-côtés sont couverts de voûtes d’arêtes. Les deux transepts, la travée de croisée et la travée formant chœur sont fermés par des berceaux plein cintre. Le sanctuaire est voûté sur nervures. Du côté gauche du chœur, une grande chapelle divisée en deux travées a remplacé au XV ème siècle le bas-côté roman et son absidiole. Les chapelles latérales au bas-côté gauche de la nef, ont été établies aux XVII ème et XVI ème siècles. Au début du XVII ème siècle, construction du clocher sur la première travée de la nef. Ce dernier se trouvait primitivement sur la croisée. Une crypte, paraissant dater du XI ème siècle, s’étend sous le sanctuaire et une partie du chœur. Elle a été déblayée en 1872. Les voûtes d’arêtes qui la forment, portent des traces de peinture du XV ème siècle et des inscriptions sur phylactères.

(source : www.allier-hotels-restaurants.com)

Les environs

Moulins – Palais Ducal à 2 km à l’ouest

Moulins – Musée du costume CNCS à 4 km à l’ouest

Moulins – Cathédrale à 2 km à l’ouest

Gannat – église Sainte-Croix

Epoque :  XII°- Protection : MH (1910)
Propriétaire : Commune de Gannat
Visite :
Dates et horaires : Toute l’année, tous les jours. De 8h à 12h et de 14h à 18h.
Adresse : Place Hennequin – 03800 Gannat
Téléphone : 04 70 90 00 50
Courriel :
Site internet :

Gannat (wikipédia)
Gannat (Sabine Compas))
Gannat (Fondation du patrimoine)

Situation

Gannat se situe à 22 km à l’ouest de Vichy

Histoire

Il ne reste pas de document sur la construction de l’église romane Sainte-Croix de Gannat. L’église était peut-être liée à la motte du duc de Bourbon qui a été remplacée au XIIIe siècle par le château autour duquel s’est développée la ville. Il reste des éléments importants de l’église romane dans le chevet et le chœur de l’église actuelle. Le style la rattache à la fin du XIIe siècle. L’église romane était dédiée à Saint-Saturnin.

En novembre 1236, Archambaud VIII octroie une charte permettant aux habitants de s’organiser en commune. C’est au XIIIe siècle que la dédicace de l’église change pour devenir l’église Sainte-Croix. Le quartier autour de l’église s’est développé pour devenir le plus important de la ville ce qui a dû nécessiter d’entreprendre la reconstruction de l’église gothique.

On peut en avoir une preuve par une clause du testament d’une dame Pétronille qui lègue le 11 novembre 1296 une somme de cinq sous à “l’édifice de Sainte-Croix”. Le style des parties basses – grandes arcades et bas-côtés – permet de faire remonter le début de la reconstruction de la nef de cette époque. La claire-voie de la nef et les consoles sur lesquelles reposent les colonnettes engagées recevant la retombée des ogives ne sont pas antérieures au XIVe siècle. Les voûtes de la nef ont dû être remaniées ultérieurement.

Des chapelles sont ajoutées du XIVe au XVIe siècles aux bas-côtés et au déambulatoire. En 1335, une donation est faite pour créer une vicairie perpétuelle pour la dévotion de la Vierge entraînant la construction d’une chapelle. La chapelle Saint-Jean-Baptiste, à côté du croisillon sud de l’ancien transept roman, est relevée de ses ruines après une autorisation donnée le 5 mars 1505 par l’official de Clermont, Antoine de Langeac. La chapelle de la Faulconnière qui a remplacé le croisillon sud comporte une travée droite et un chevet pentagonal. À l’est, une chapelle est construite et terminée avant 1559 car à cette date Anne Prunier demande dans son testament d’y être inhumée.

En 1641, la sacristie est construite contre le croisillon nord. Le 7 mars 1652, la tour qui se trouvait à la croisée du transept s’effondre en détruisant une partie du chevet, du déambulatoire. La reconstruction commence immédiatement. Le clocher est remplacé par une tour en façade terminée en 1659 pour un certain Potier de Riom. Tous les travaux de reconstruction sont terminés en 1665 pour un coût de 14 500 livres.

En 1880 est construite la tribune d’orgue.

Châtel-Montagne – église Notre Dame

Epoque :  XII°- Protection : MH (1840)
Propriétaire : Commune de Châtel-Montagne
Visite : Oui
Dates et horaires : Visite libre Selon la saison : entre 8h et 17h ou 9h et 19h, sauf pendant le déroulement des offices religieux ou des concerts Audio guide disponibles à la maison du patrimoine. Visite guidée Prendre rdv suffisamment à l’avance à la maison du patrimoine (04 70 59 37 89) ou auprès de Serge Seliverstoff (04 70 59 73 27)
Adresse : La Maison du Patrimoine Place Alphonse Corre 03250 – Châtel-Montagne
Téléphone : 04 70 59 37 89
Courriel : serge@seliverstoff.fr
Site internet : chatel-montagne.fr

Châtel-Montagne (lieuxsacres.canalblog.com)
Châtel-Montagne (lieuxsacres.canalblog.com)
Châtel-Montagne (lieuxsacres.canalblog.com)
Châtel-Montagne (photos.tourisme-en-france.com)
Châtel-Montagne (lieuxsacres.canalblog.com)
Châtel-Montagne (mapio.net)

Situation

Châtel-Montagne est situé à 25 km à l’ouest de Vichy

L’église Notre Dame est située à l’extrémité nord du bourg

Histoire

Avant l’an 1080, une église – déjà dédiée à la Vierge Marie – appartenant au seigneur de Châtel, et dépendant du diocèse de Clermont, existait à Châtel-Montagne. En 1080/1082 – Le seigneur Dalmas et son épouse Étiennette donnent aux moines de Cluny tous les biens qu’ils possèdent à Châtel-Montagne, dont l’église Notre-Dame. 1095 – Le pape Urbain Il authentifie cette donation. 1095 à 1210 – Construction de l’église actuelle par agrandissement de l’église primitive, 1294, 1310 et 1353 – Le “registre des visites” constate la présence régulière d’un prieur et de quatre moines. 1462 – L’église devient église paroissiale. 1501 – Le prieuré de Châtel-Montagne est rattaché au couvent des moniales de Lavesne qui laissent tomber les bâtiments en ruines.
1700 – Les églises du Mayet, Nizerolles, Le Breuil, Saint-Clément et Arfeuilles relèvent de Châtel-Montagne, jusqu’en 1785.
1790 – A la suite de la révolution, suppression de la présence religieuse à Châtel-Montagne.
1793 – La municipalité jacobine de ” Mont sur Besbres ” abat la flèche en pierre de l’église. Le monument funéraire de Rollat est profané et détruit. Les statues des saints et de la Vierge brûlés au cimetière (qui jouxte alors l’église).
Les archives municipales sont brûlées devant l’église.
5 avril 1799 : vente de l’église à Jean Phélipon de Moulins pour la somme de 150.000 F.
L’édifice devient un entrepôt à salpêtre, gardé par les gardes nationaux, ce qui le sauve de la démolition.
1903 – L’église est rendue au culte.
1823 – Châtel-Montagne est rattaché au diocèse de Moulin, à la création de ce nouvel évêché.
vers 1835 – Une chapelle rectangulaire est construite, l’église est décorée d’imitations de marbre, de bronze et, au niveau des chapelles rayonnantes, “d’anges bouffis” sur fond bleu.
1840 – Inscription à l’inventaire des Monuments historiques.
1885 – La municipalité fait marteler les chapiteaux jugés indécents.
de 1850 à 1900 – Très importants travaux de restauration de l’église qui éliminent les quelques modifications architecturales rajoutées au cours du temps pour retrouver l’aspect primitif. Par économie, le clocher n’a pas été reconstruit. Depuis lors, seuls des travaux d’entretien courant des toitures et de rejointage ont été nécessaires.
1900 – Dom Athanase Desrosiers, curé de la paroisse, peint les stations du Chemin de Croix. Séparation de l’église et de l’État.
1938 – Les abords de l’église sont inscrits sur la liste des sites classés depuis le 4 janvier 1938.
De 1914 à 1955, les exemplaires retrouvés du bulletin paroissial témoignent tous d’une importante vie paroissiale (“même si les hommes s’occupent plus de leurs champs que des offices”) : processions, pèlerinages, congrégations, dons d’objets de culte, restauration des objets exposés à l’humidité de l’église, restaurations des cloches, etc..
1955 : A la suite du renouveau lié au concile de Vatican II, poussé par le zèle des conservateurs des Monuments Historiques et par le nouveau goût du jour, des lustres en bronze du XIIIe siècles, des vases sacrés anciens et la table de communion sont vendus. Le Christ de la poutre de gloire ainsi que les grilles du choeur sont entreposés à la
tribune
La chaire est entreposée au fond de l’église, son pied est coupé pour réaliser le lutrin.
L’autel en bois et stuc situé au fond du choeur est remplacé par un autel “moderne” en granit placé plus près des fidèles.
Le “chemin de croix”, aujourd’hui inscrit à l’inventaire complémentaire des monuments historiques, a failli disparaître
Description :
La nef :
La nef forme avec le massif ouest une unité architecturale et chronologique dans laquelle réside tout l’intérêt de l’église. Les fausses tribunes de la nef en sont un élément majeur.
Aspect extérieur de la nef : La nef et les bas-côtés sont couverts par deux toitures distinctes, en tuiles “romaines”.
Le transept :
A l’extérieur, le pignon sud du transept a été enlaidi par les restaurations du 19ème siècle responsables d’un aspect plat, massif, sans aucun relief. Il “déborde” latéralement dans sa partie haute suivant l’interprétation “romantiques” du style roman au 19ème siècle.
Le Chevet :
Aspect intérieur : Un déambulatoire avec quatre chapelles rayonnantes entoure un choeur en cul de four dont la voûte a été rehaussée au niveau de celle de la nef.
Le rond point du choeur : Le rond-point du sanctuaire entourant le maître autel est circonscrit par six colonnes cylindriques surmontées de chapiteaux placées dans le prolongement des deux grosses piles.
Aspect extérieur :
Le cul-de-four du choeur et 5 chapelles
rayonnantes.
La façade ouest et le porche ouest : C’est l’une des rares façades
occidentales tout à fait élaborées que possède l’Auvergne, oeuvre
d’architecture pure, bâtie sur deux plans accolés, où la décoration se réduit à un cordon à billette et trois cordons continus. Au rez-de-chaussée, le massif occidental s’ouvre largement vers l’extérieur: par trois arc sur sa façade ouest et un arc sur chaque face latérale. Il est divisé en trois nefs d’une travée, séparées par deux arcs en plein cintre
Le clocher : La tour clocher centrale surmontant le carré du transept a perdu sa flèche pendant l a Révolution.
Il a été construit sur le type “Bourbonnais-bourguignon”.
Porche sud et sacristie :
Le porche actuel n’est qu’une reconstruction sur le modèle ancien. Ce porche avait été réalisé après l’achèvement de la façade sud, contre laquelle il est accolé, ses murs latéraux prolongeant les deux derniers contreforts de cette façade.
La sacristie actuelle, construite avec un granit gris-bleuté extrait au Mayet de Montagne et scié mécaniquement, témoigne de la la même emphase romantique que le porche sud, les pignons du transept et la tourelle d’accès au clocher, et comporte la même décoration, car ils datent tous des travaux de restauration du 19ème siècle.

(source :” www.chatel-montagne.com”)

Les environs

Ferrières sur Sichon – Ruine du château de Montgilbert à 13 km au sud

Ferrières sur Sichon – Musée de Glozel à 13 km au sud

Saint Nicolas des Biefs – L’Allée des sorcières à 13 km au sud-est

Bessay sur Allier – église Saint-Martin

Epoque : XII° – Protection : MH (1910)
Propriétaire : Commune de Bessay
Visite : ouverte toute l’année
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet :

église Saint-Martin à Bessay (www.randos-allier.com)
église Saint-Martin à Bessay (photos-eglises.fr)
église Saint-Martin à Bessay (photos-eglises.fr)
église Saint-Martin à Bessay (www.jacquet.fr)

Situation

Bessay sur Allier est situé à 15 km au sud de Moulins

L’église Saint- Martin est dans le centre ville de Bessay

Histoire

L’église ( XI et XIIème siècles ) dédiée à l’évèque de Tours est l’oeuvre des moines bénédictins qui se voient confirmer la possession du prieuré de Bessay par Pascal II en 1105. Ils assument alors le service de l’église paroissiale avant qu’un prieur-curé soit établi vers la fin du XVI ème siècle.

L’église est construite dans l’enceinte du cimetière et comporte une nef de quatre travées, des bas côtés, un transept légèrement saillant et un chevet plat précédé d’une travée droite. Deux chapelles rectangulaires communiquent avec le transept. Le clocher de l’édifice est carré avec un faisceau de colonnettes caractéristiques du début du XIIIème siècle. Il abrite quatre cloches, la plus ancienne datant de 1687, une autre provenant comme le bénitier, de l’église de Neuglise.

Transept
La porte de l’église est surmontée d’une archivolte de deux voussures en plein cintre. Le linteau est sculpté d’une représentation insolite de l’agneau pascal, entouré de deux loups. La composition est due à la volonté du donateur de l’oeuvre, le prince Czartoryski, propriétaire de Chaugy. D’origine polonaise, il a voulu ainsi évoquer par l’agneau la Pologne menacée par deux loups, la Prusse et la Russie.

Linteau de l’église
Les voûtes de la nef ont fait l’objet, à la fin de l’époque romane, d’une réfection quasi intégrale. La communication des chapelles latérales avec la travée droite s’opère par des arcs en plein cintre retombant sur des impostes garnies de rinceaux.

Fonts baptismaux
Outre des fonts baptismaux carrés de l’époque romane, le mobilier de l’édifice comprend un bénitier provenant de l’église de Neuglise, détruite vers 1850. De dimension disproportionnée par rapport à l’intérieur de l’église, il est orné d’un relief bas. Un petit personnage est distinct sur la face avant.

(source :”bessay.sur.allier.pagesperso-orange.fr”)