Saint-Etienne de Vicq – château de Verseilles

Epoque : XV° – Protection : ISMH (2003)
Propriétaire : Monsieur et Madame Carrier
Visite : non
Adresse : château de Verseilles 03300 Saint-Etienne-de-Vicq
Téléphone :
Courriel :
Site internet :

Verseilles (www.chateau-fort-manoir-chateau.eu)
Verseilles (www.france-voyage.com)
Verseilles (www.france-voyage.com)
Verseilles (www.chateau-fort-manoir-chateau.eu)
Verseilles (www.allier-auvergne-tourisme.com)

Situation

Saint-Etienne de Vicq est situé à 11km à l’est de Vichy

Verseilles est situé à 7 km au sud de Saint-Etienne de Vicq

Histoire

Construit au milieu du XVe siècle, le château de Verseilles se présente comme une maison-forte dont les dispositions architecturales n’ont pas subi de modifications notables, hormis quelques percements du XVIe siècle. Elle est constituée d’un corps de bâtiment à deux niveaux, flanqué aux angles de deux tours rondes. Au centre de la façade principale une autre tour circulaire abrite un escalier en vis. C’est ici que s’ouvre la porte d’entrée. Les tours d’angle, plus hautes à l’origine, ont été tronquées et recouvertes de toits en appentis. Au XVIe siècle, le gout de la Renaissance y a apporté des fenêtres à meneaux, qui égayent les façades. Les premiers seigneurs de Verseilles sont connus par un acte de 1411, ou Jean de Verseilles, seigneur de la Ramas, est mentionné comme vassal de la dame d’Albret. Au milieu du XVe siècle, l’édifice était aux mains des Montmorillon. En 1490, les Josien possèdent Verseilles par lettre royale, datée de Gannat. En 1503, Jozien de verseilles rend aveu à la duchesse de Bourbon pour “sa maison et place fort de Verseilles, en toute justice, haute, moyenne et basse, ensemble mothe foussoyée…”. En 1578, Madeleine de Josien porta la seigneurie de Verseilles à son époux Pierre du Vernet, écuyer. Après avoir plusieurs fois changé de propriétaires, l’édifice arriva en 1630 à Philibert Badier, seigneur de La Motte Bonvin à Cusset. Les Badier, étendant leur domaine par l’achat successif de seigneuries, Cérézat, Chazeuil…, et obtinrent, en 1725, l’érection de leur terre de Verseilles en marquisat.

(source :”www.chateau-fort-manoir-chateau.eu”)

La Ferté-Hauterive – La Tour des Moines

Epoque :  XIV°- Protection : ISMH (1986)
Propriétaire : Privé
Visite : non
Adresse : château de la Tour des Moines 03340 La Ferté-Hauterive
Téléphone :
Courriel :
Site internet :

La Tour aux Moines (www.historvista.com)
La Ferté-Hauterive - La Tour aux Moines (J.P. Luce)
La Tour aux Moines (www.historvista.com)
La Tour aux Moines (www.historvista.com)
La Tour aux Moines (chateau.over-blog.net)
La Tour aux Moines (chateau.over-blog.net)

Situation

La Ferté-Hauterive est située à 21 km au sud de Moulins

La Tour des Moines est située à la sortie ouest du bourg

Histoire

La Ferté indique par son nom une origine fortifiée ancienne. Cette terre fut donnée vers l’an 1000 par les seigneurs de Bourbon aux bénédictins de Souvigny. Elle fut dès lors appelée La Ferté aux Moines ou Ferté Moniale. En 1442, Dom Cholet, prieur de Souvigny, reçut du duc de Bourbon l’autorisation de construire un château fort en la paroisse de Bresnay, mais sans trace de celui-ci dans la localité, il est probable que le lieu de La Ferté fut préféré. On peut ainsi dater le donjon du milieu du XVe siècle. Les prieurs séjournèrent fréquemment à La Ferté jusqu’a la Révolution. Le couronnement du donjon a conservé dans son intégralité le dispositif défensif composé de hourds à pans de bois en surplomb. La route coupe actuellement les anciens bâtiments avec ce qui fut jadis les jardins et qu’entouraient des fossés. L’emplacement de ceux-ci est encore visible au pied du donjon qui comporte quatre niveaux plus un chemin de ronde sur mâchicoulis coiffé par un toit à pavillon. Des ouvertures ont été réalisées au XVIIIe ou au XIXe siècle, en même temps que furent construits deux corps de logis bas contre les côtés sud et est.

(Source :”Châteaux, Fiefs, Mottes, Maisons Fortes et Manoirs en Bourbonnais aux éditions De Borée “)

Chapeau – château de la Cour

Epoque :  XV° -XVI°- Protection : MH (1972)
Propriétaire : Privé
Visite : non
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet :

La Cour (Wikipédia)
La Cour (Wikipédia)
La Cour (Wikipédia)
La Cour (www.allier-hotels-restaurants.com)
La Cour (www.chateau-fort-manoir-chateau.eu)

Situation

Chapeau est situé à 18 km au sud-ouest de Moulins

La Cour est située à 500m à l’est de Chapeau

Histoire

Le château actuel remplace une ancienne forteresse médiévale, qui appartenait à la famille de Vichy. En 1462, le fief devient propriété de Hugues de Buyat qui fait construire le château sur deux mottes contiguës, l’une portant l’habitation, l’autre les dépendances. Ces constructions étaient isolées par des fossés en forme de 8. Le château se compose d’une habitation formée de deux corps de logis perpendiculaires, inscrite à l’intérieur d’un quadrilatère aux angles garnis de tours circulaires. Au sud-est s’étend un jardin à la française et au nord-ouest la cour d’entrée où l’on pénètre par la guette et que limitent, au nord-ouest et au sud-ouest, les communs dont les angles sont défendus par des tours circulaires. La construction est en brique de deux couleurs : briques noires enn losanges sur fond de briques rouges ; décor de chevrons de briques noires sur fond de briques rouges XV ème siècle.

La propriété, après diverses mutations, fut vendue aux Mégret fonctionnaires royaux à Moulins, auxquels succédèrent les Feydeau, jusqu’en 1758. François Bernard des Crots d’Estrées fut le dernier seigneur de la Cour en Chapeau, son fils s’en dessaisit en 1811, au profit d’un industriel lyonnais, M. Merlot, qui la revendit en 1823 aux Tortel. La famille Tortel l’a cédé il ya quelques années.

(source :”www.allier-hotels-restaurants.com”)

Veauce – Le château

Epoque :  XI° – XIII° – XIV° – XV° – XVII° – XIX°- Protection : MH (1985)
Propriétaire : Madame Elisabeth Mincer
Visite : non
Dates et horaires :
Adresse : Château de Veauce 03450 Veauce
Téléphone : 04 70 90 99 25 (Mme  Florit – Galligramme)- 06 31 54 24 04 – 06 08 58 47 77
Courriel : chateauveauce@gmail.co /  calligramme.fd@orange.fr
Site internet : www.chateau-de-veauce.com

Veauce (taigong788 - Skyrock.com)
Veauce : Cour intérieure (www.france-voyage.com)
Veauce (www.chateau-de-veauce.com)
Veauce (www.lamontagne.fr)
Veauce (www.jaimemonpatrimoine.fr)
Veauce : tour de l'horloge et façade (www.france-voyage.com)
Veauce : porte en accolade avec armoiries (www.france-voyage.com)
La Porterie de Veauce (www.france-voyage.com)

Situation

Veauce est situé à 37 km à l’ouest de Vichy

Le château est situé à 300 m au sud-est du bourg

Histoire

A l’origine Veauce est un oppidum romain qui protège la voie Romaine entre Clermont et Bourges, puis au IX et X ieme siècles ce n’est qu’un édifice construit en Bois, et peu à peu consolidé par des remparts pour servir de refuge aux villageois mais aussi au Monastère de Veauce attenant, confié à un seigneur nommé par le Baron de Bourbon pour en entretenir la défense.
La seigneurie de Veauce a alors le droit de justice sur un territoire assez vaste Ebreuil, Vicq, Mercurol, Lalizolle, mais aussi sur l’ensemble de la forêt des Colettes.
Guillaume CADIER, seigneur de Saint Augustin, de la Brosse Cadier écuyer, chevalier, était en 1286, gentilhomme de Louis 1er, duc de Bourbon, comte de Clermont. GUILLAUME de CADIER sous le règne de Louis IX (futur Saint Louis) reçoit la seigneurie de VEAUCE d’Agnès de Bourbon (fille d’Archambault IX baron de Bourbon de 1242 à 1249), mariée à Jean de Bourgogne et mère de Béatrix femme de Robert de France l’un des fils de Saint Louis
Il lui rendit, en cette qualité, foi et hommages, le lundi après la fête Saint Georges de l’année 1307, pour sa seigneurie de la Brosse Cadier (la seigneurie de la BROSSE-CADIER est à l’époque un territoire considérable dont relevait les seigneuries d’YZEURE, de SAINT BONNET, d’AVERNES, TREVOL et GENNETINES qui protégeaient Moulins sur Allier).
– Il est dédommagé du fief de Veauce par Louis Ier par en 1317 en lui attribuant la seigneurie de BELLEPERCHE, (Louis de BOURBON échangeant ensuite ses droits sur le fief de VEAUCE contre un pressoir et des vignes à SAINT POURCAIN avec son cousin le roi PHILIPPE V (PHILIPPE le BEL).

– Philippe V, roi de France concède alors le fief de Veauce à son cousin Louis de Clermont – En 1327 Charles V érige la Baronnie de Bourbon en duché,

– C’est en 1400 que Louis II de Bourbon érige le fief de Veauce en baronnie au profit Robert Dauphin qui devient alors évêque de Chartres, La Baronnie est alors démembrée, toutefois des seigneurs environnants dénommés sieurs de Veauce nommés par Robert Dauphin, puis ses successeurs jouissent de droits sur les églises environnantes, prélèvent les dimes locales, exercent la justice haute, moyenne et basse, ainsi se constituent autour du fort et dans le fort lui-même des dépendances.
– N’oublions pas qu’a l’époque le cadastre, ou les actes de succession, n’existent pas et que seules les décisions du duc ou du roi prévalent. – En 1523, à la mort du Connétable de Bourbon, le fort de Veauce est rattaché directement à la couronne – En 1600 les fortifications de Veauce ne sont plus guère qu’une ruine – En 1664 les restes du fort de Veauce et les droits attachés sont confiés à Amade de Blich par Louis IV, Amade de Blich cherche à rétablir les droits de la Baronnie en vain, en 1688 un jugement est rendu le 4 octobre 1692 ordonnant à Mme de Blich de fournir les lettres patentes sans qu’elle puisse y donner suite. – – Ainsi la forteresse ainsi que ses droits sont alors saisies par la Sénéchaussée du Bourbonnais pour être restitué à Michel de Cadier seigneur de Saint Augustin avec les 6 domaines, la tuilerie, les moulins, les bois et les droits seigneuriaux attachés en contrepartie d’une soulte de 75000 F de l’époque et ainsi fait construire le tournebride du Château (Château des noix) peut être afin d’y séjourner quand il est à Veauce (le fort et ses bâtiments semblant inhabitables) – Ainsi Michel de Cadier rend hommage et foi le 20 mars 1701 au roi Louis XIV qui lui confère les droits héréditaires sur le titre, puis de nouveau il rend foi et hommage le 9 aout 1718 à Louis XV. – Et les armoiries des Cadier deviennent l’association de celles de Cadier à celle de la baronnie de Veauce (les fleurs de lys des bourbon)

– Francois Claude de Cadier succède à son père, nommé Maire de Moulins, il rend foi et hommage es qualité de Baron de Veauce le 6 juillet 1752 puis renouvelle cet hommage à Louis XVI le 11 octobre 1776

– Francois déclaré suspect en 1793 pendant la terreur meurt prisonnier a la Mal coiffé à Moulins le 27 avril 1794 ses biens (Hotel particuliers à Paris et Moulins, le Château de Saint Augustin, le fort de Veauce etc.) sont alors mis sous séquestres ou vendus.

– Son fils André Amable de Cadier rachète le Fort de Veauce en 1814 et meurt à Paris le 13 mars 1834. – Le Fort de Veauce est ainsi abandonné depuis fort longtemps en logement de fermiers, une grande partie de la forteresse a été déconstruite pour utiliser la pierre a la construction de logement et Bâtiments agricole à l’intérieur et à l’extérieur des fortifications.

– Les Bâtiments principaux sont à ciel ouvert et la végétation a repris sa place. – C’est ainsi que Charles Eugène de Cadier Baron de Veauce après ses études à Paris et à Londres résidant au Château de Montagu près de Marcoussis, découvre après son mariage avec sa première femme Isabelle Perceval d’Egemont (d’origine Irlandaise) les restes de la forteresse imbriqués dans le village de Veauce.

Ainsi à partir de 1841 il mandate : Pour le parc le Paysagiste le Comte de Lavenne de Choulot.
Pour le fort et le bâti Hippolyte Durant architecte (contemporain et éternel rival de Violet le Duc), architecte entre autre de la basilique de Lourdes, du théâtre de Moulins et du château de Monte-Cristo d’Alexandre Dumas.

L’objectif étant de montrer la continuité de la vie autour de la forteresse et de l’Architecture au travers les siècles contrairement à de nombreux château de la même époque où les parties féodales on servit à construire les nouveaux bâtiments, ou simplement ou un château a été réimplanté dans le parc.

Tout d’abord Hippolyte Durant fait un travail d’archéologue en cherchant à comprendre l’architecture Médiévale, cherchant à comprendre l’organisation de la place forte, en démembrant peu à peu les bâtiments annexés au cours des siècles, récupérant les pierres manquantes à la partie féodale, restaurant la trajectoire historique de la forteresse. Il n’a rien enlevé au fort restaurant l’image du passé guerrier de la place forte, constituant ainsi 3 versants à ce nouvel édifice, le versant féodal, le versant médiéval et enfin un versant ludique répondant aux critères de modernité : réceptions, galeries communicantes, jardins et communion avec la nature tel que vivent les intellectuels au 19ème siècle Il a souhaité redonner au fort ses moments d’apogée avec la reconstruction des tours donjons, manèges, chemins de rondes, perfection technique de la fin du XIII ieme, vision unitaire avec créneaux et meurtrières.

Les trois versants de cet assemblage servent à la fonction, aucun superflu en dehors des vitraux de la galerie car au XIX on redécouvre le vitrail et on en profite pour montrer ses quartiers de noblesses.

Tous les ornements sont utiles tel que le dauphin de la source, les gargouilles accessoires indispensables pour la défense des intempéries placés dans l’économie de l’architecture raisonné. Veauce compose un langage contemporain à partie d’un langage historique par la forme de son architecture unique d’où l’on contemple 1000 ans d’histoire architecturale, mais aussi du duché du Bourbonnais.
En 1973, le baron Eugène de Cadier vend le château à Ephraïm Tagori de la Tour, un curieux personnage, ingénieur en armement et officier de l’armée britannique, né à Jérusalem, vétéran de la bataille de Stalingrad et de la guerre des Six jours. L’engouement pour les phénomènes de châteaux hantés durant les années 1980 amena de nombreux curieux, dont Tagori tira profit en faisant sortir de l’ombre le fantôme de Lucie qu’il prétend voir tous les soirs, sur les 12 coups de minuit, se promener sur les courtines….

D’après la légende Lucie, une belle et jeune domestique d’à peine 18 ans (issue d’une famille noble désargentée) fut courtisée par le baron de l’époque, Guy de Daillon (vers 1560), qui était déjà marié à Jacqueline de La Fayette. Alors que ce dernier était parti guerroyer, la baronne, jalouse, en profita pour jeter Lucie dans la prison de la tour dite « mal coiffée », située au saillant sud-est de la forteresse. La jeune fille y mourut de faim, de froid et de peur. Depuis, elle reviendrait certaines nuits errer sur le chemin de ronde.

Durant la nuit du 4 août 1984, une équipe de France Inter dirigée par le journaliste Jean-Yves Casgha, spécialiste des reportages sur le paranormal, y consacra entièrement son émission « Boulevard de l’étrange ». Accompagnée du médium Raymond Réant et de sa petite-fille Aurore (alors âgée d’une dizaine d’années), l’équipe aurait été témoin de l’apparition du fantôme de Lucie (ou de la dame blanche) dans les hauteurs du château et aurait même conservé des traces tangibles de sa rencontre avec Lucie : une photographie et des enregistrements sonores (qui n’ont pu trouver à ce jour d’explication scientifique).

A la mort d’Ephraim Tagori en 1998, le château se dégrade rapidement et est finalement acheté en 2002 par une citoyenne britannique, Elisabeth Mincer. En 2015 naît le Fonds de dotation Calligramme / Elisabeth Mincer, qui est le nouveau propriétaire du château ; sans but lucratif, il a pour objectifs de sauvegarder le château et d’en faire un centre de tourisme culturel et de la nature « accessible à tous ».

Architecture

Ce château fort des XIe et XIIIe siècles, centré sur une cour intérieure, a été plusieurs fois modifié. Il comporte un chemin de ronde couvert reliant les tours. Les trois tours datent des XIIIe et XIVe siècles. Au XVe siècle un logis en bordure de ravin est construit à l’emplacement d’une partie des fortifications. Ses fenêtres sont à croisées de pierre et il comporte une tourelle d’escalier. Le tournebride nommé aussi le manoir des noix date de la même époque et constitue un château miniature. Au XVIIe ou XVIIIe siècle, une terrasse hors des fortifications vient prolonger le château et au XIXe siècle un corps de logis avec porterie remplace un autre bâtiment.

(Source :”Wikipédia” et Charles de Veauce)

Les environs

Saint Bonnet de Rochefort – Château de Rochefort à 7 km à l’ouest
Ebreuil – Abbaye Saint-Leger à 7 km au sud
Charroux – Le village à 9 km à l’ouest

Thionne – château des Fougis

Epoque : XIV° – XV° – XVI° Protection : non
Propriétaire : Privé
Visite :
Dates et horaires :
Adresse : château des Fougis 03220 Thionne
Téléphone : 
Courriel :
Site internet  :

Les Fougis (www.chateau-fort-manoir-chateau.eu)
Les Fougis (www.chateau-fort-manoir-chateau.eu)
Les Fougis (www.chateau-fort-manoir-chateau.eu)
Les Fougis (www.chateau-fort-manoir-chateau.eu)

Situation

Thionne est situé à 29 km au sud-est de Moulins

Les Fougis sont situés à 3 km au nord de Thionne

Histoire

La tradition voulait que les Fougis fussent, au XVe siècle, un rendez-vous de chasse des Bourbon. En 1495, en effet, on voit le duc Charles III régler des comptes avec Hughes Le Long, seigneur des Fougis, grand prévôt de la vénerie du duc. Avant cette date, il est fait mention de la seigneurie des Fougis, en 1410, dans un dénombrement que rend Pierre Bodet à Guichard Dauphin, seigneur de Jaligny, mais les Le Long étaient possessionnés aux Fougis dès 1461 par Hugonin le Long, écuyer, grand prévôt de la vénerie de Pierre II de Bourbon. Les le Long resteront propriétaires des Fougis et le resteront jusqu’en 1727, date à laquelle le fief sera légué à un neveu, Jean de Berthier de Bizy. Des descendants le conserveront jusqu’à la Révolution. Il sera ensuite acheté en 1802 par Antoine Clayeux, puis vendu à l’artiste E. Engelbrecht.

>Bien que reconstruit à la fin du XVIe siècle (un portail de style classique est daté de 1593), les Fougis sont encore percés de meurtrières plus décoratives qu’efficaces. Et N. de Nicolay en parle, en 1569, comme d’un « chasteau fort, terre et seigneurie… »

Le château présente un corps de logis principal de plan rectangulaire, flanqué de deux tours carrées aux angles sud-ouest et nord-est, et d’une tour ronde au sud-est. Une aile en retour d’équerre vers le nord est terminée à l’angle oriental par une autre tour carrée. Les murs sont faits de briques rouges et brunes appareillées de motifs losangés, alors que l’encadrement des ouvertures est en calcaire blanc. La façade nord ainsi que certaines ouvertures des autres côtés, on été modifiées au XIXe siècle.»

(source :”R. Germain & coll. – „Châteaux, fiefs en Bourbonnais“, 2004, Éditions De Borée”)

Les environs

Jaligny – Le château à 4 km au sud

Chatelperron – Le château à 8 km à l’est

Saint Voir – L’église Saint-Voir et Saint-Sever à 5 km à l’ouest

Montluçon – le château des Ducs

Epoque :  XIV°- Protection : ISMH (1926)
Propriétaire : Commune de Montluçon
Visite : non
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet :

Château de Montluçon (mapio.net)
Château de Montluçon (mapio.net)
Château de Montluçon - Les Remparts (gerval2.free.fr)
Château de Montluçon (www.guide-tourisme-france.com)
Château de Montluçon (allier.foxoo.com)
Château de Montluçon (static.panoramio.com)
Château de Montluçon (www.allier-auvergne-tourisme.com)
Château de Montluçon (Wikipédia)

Situation

Le château des Ducs est dans le centre ville de Montluçon

Histoire

Époque médiévale

En 1070, Guillaume, fils d’Archambaud IV de Bourbon, devint seigneur de Montluçon et y fit construire une première forteresse sur l’emplacement d’un castrum.

Le château de Montluçon fut occupé par les Anglais de 1171 à 1188 lors de la période plantagenaise. Après cette occupation, Philippe Auguste le remit aux Bourbons, à travers Guy II de Dampierre, et ces derniers le transformèrent en place forte.

Ce qu’il reste du château fut construit à partir de 1370, en plein cœur de la guerre de Cent Ans par Louis II de Bourbon.

L’édifice était entouré par une double rangée de remparts, percée de quatre portes, et il comptait quarante et une tours. Lors du rattachement du Bourbonnais à la couronne de France, sous François Ier, le château fut abandonné.

Louis II de Bourbon fut le principal contributeur à la construction du château. Ce dernier fut commencé en pleine guerre de Cent Ans, mais on y travaillait encore à la veille de la Renaissance ; dans la première moitié du XIVe siècle, Louis II et ses successeurs élevèrent le grand logis, à peu près tel qu’il nous est conservé, et la tour carrée ; les ouvertures de la façade est, l’aile nord, et la tour de l’horloge datent du milieu du XVe siècle et appartiennent à trois campagnes de construction dont les deux premières sont très peu éloignées l’une de l’autre ; enfin, durant la dernière moitié du XVe siècle, on éleva la galerie sur la cour et on embellit l’intérieur nord.

Ces diverses constructions, bien que relativement modestes, nous permettent de suivre l’évolution bien connue qui se produisit dans l’architecture militaire française durant le XVe siècle : Louis II de Bourbon conçut l’idée d’un véritable château fort qu’il ne put achever, et qui, embelli par ses successeurs, d’une galerie, d’une élégante tourelle et de larges ouvertures, devint une demeure de plaisance pour les derniers ducs de Bourbon. Il sera abandonné à partir de 1527.

Époque moderne

Après 1662, les princes de Condé, devenus seigneurs engagistes du Bourbonnais, concèdent le château à un fermier et s’en désintéressent totalement. Celui-ci se trouve alors dans un état déplorable selon Nicolas de Nicolay, qui constate que « a faute d’entretainement de couverture » le château tombait en ruines, ce qui était « grand dommage ».

À la Révolution, seules les armoiries des ducs de Bourbon sont détruites de la tour de l’horloge. Puis le tribunal de police s’installa dans une des salles du château qui, en raison de ses dimensions, servit également de lieu de réunion aux assemblées générales des habitants.

La ville de Montluçon rachète le château au prince de Condé le 8 avril 1816 dans le but d’en faire une caserne d’infanterie. C’est à partir de ce moment-là qu’eurent lieu les démolitions les plus déplorables.

Le château se voit débarrassé de sa galerie de bois pour faire place à des constructions en béton. L’intérieur fut remanié maintes fois pour l’installation d’un tribunal, d’une salle de spectacle et des bureaux de la mairie de la ville de Montluçon.

En résumé, le château de Montluçon, reconstruit durant l’extrême fin du XIVe siècle, eut à souffrir, après avoir connu un moment de splendeur, d’un abandon de près de trois siècles, auquel succéda, pendant tout le XIXe siècle une période de démolitions plus désastreuses encore.

En 1935, la ville de Montluçon le restaure. De cette restauration, seule la galerie en bois sera bien réalisée. En effet, le château a vu sa lucarne de type gothique, mal restaurée et recouverte de ciment, ainsi que la salle du deuxième étage du donjon, salle qui semblerait être l’ancienne chambre du Bon Duc, Louis II de Bourbon, et dans laquelle il décédera en août 1410. Dans cette salle, se trouve une voûte en berceau en plein-cintre surhaussé, retombant sur deux arcs très surbaissés, bandés le long des murs nord et sud. Cette voûte est très curieuse, car il s’agit d’une voûte en croisée d’ogives à deux branches supplémentaires, qui partent de chaque angle du pan coupé, pour aboutir à la clef de voûte centrale. Cette disposition est provoquée par la présence dans cette salle d’une cheminée en pan coupé. La clef de voûte qui complète l’ensemble de cette pièce est composée de quatre fleurons rayonnant autour d’un écu et réunis par des petits arcs en tiers-point trilobés. Les murs de cette salle sont, eux aussi, recouverts de ciment. Les joints des pierres du château de Montluçon sont également tous refaits avec du ciment. Ce qui ne peut pas être considéré comme authentique.

Les plafonds des principales salles du château seront refaits en lambris de bois qui recouvrent, pour certaines, des charpentes en métal installées lors de cette restauration des années 1930.

Depuis 1959, le château abritait un musée consacré aux musiques populaires. Depuis l’année 2013, le château sert désormais de réserve au nouveau musée de la ville de Montluçon, le MuPop.

(source : “Wikipédia”)

Les environs

Montluçon – Le musée Mupop à 400 m à l’ouest

Montluçon – Le château de La Louvière à 1,5 km à l’est

Montluçon – L’église Notre Dame à 300 m à l’est

Hérisson – château de La Roche Othon

Epoque :  XIV° – XVII°- Protection : ISMH (2010)
Propriétaire : Privé
Visite : non
Dates et horaires :
Adresse : château de la Roche Othon 03190 Hérisson
Téléphone :
Courriel :
Site internet :

La Roche-Othon (H.Rebours)
La Roche-Othon (www.allier-hotels-restaurants.com)
La Roche-Othon (www.allier-hotels-restaurants.com)

Situation

Hérisson est situé à 24 km au nord-est de Montluçon

La Roche-Othon est située à 5,3 km au nord-ouest d’Hérisson

Histoire

Au XIV ème siècle, le château fut le théâtre d’un épisode de la Guerre de Cent ans dont témoigne une inscription dans la cour. L’édifice, remanié au XVII ème siècle sur une structure médiévale en grande partie conservée (baies à meneau et croisée sur la façade sud), est constitué par un corps de logis, avec deux bâtiments de communs entourant une cour intérieure. Le corps de logis est flanqué d’un petit pavillon, sans doute l’ancien donjon arasé au XVII ème siècle. Une tour carrée est engagée à l’angle du bâtiment. La façade nord et sa galerie en charpente a été plaquée sur le corps de logis au XVII ème siècle. A l’intérieur, le rez-de-chaussée et le premier étage conservent plusieurs cheminées d’époque gothique ayant conservé leur polychromie. La porte de l’ancienne enceinte relie actuellement deux bâtiments d’exploitation. Du côté extérieur, les restes d’une tour de flanquement rappellent la destination défensive de l’endroit.

(source : “www.allier-hotels-restaurants.com”)

Les environs

Hérisson – L’église de Chateloy à 4,2 km au sud-est

Hérisson – La Forteresse à 5,3 km au sud-est

Le Brethon – Le Prieuré de La Bouteille à 9,6 km au nord

Montaiguët en Forez – le château

Epoque :  XII° – XV° – Protection : ISMH (1927)
Propriétaire : Privé
Visite : oui, les extérieurs
Dates et horaires :
Adresse : Rue Ernest Préveraud 03130 Montaiguët-en-Forez
Téléphone : 04 70 55 20 01
Courriel :
Site internet :

Château de Montaiguët en Forez (www.chateau-fort-manoir-chateau.eu)
Château de Montaiguët en Forez (www.chateau-fort-manoir-chateau.eu)
Château de Montaiguët en Forez - les communs (www.chateau-fort-manoir-chateau.eu)
Château de Montaiguët en Forez (www.chateau-fort-manoir-chateau.eu)
Château de Montaiguët en Forez (www.chateau-fort-manoir-chateau.eu)

Situation

Montaiguët en Forez est situé à 39 km au nord-est de Vichy

Le château est dans Montaiguët

Histoire

La situation géographique de Montaigüet, à la limite du Forez et du Bourbonnais, lui a valu de nombreux litiges dans l’application de sa justice, qui dépendait de ces deux provinces. Il existait, dès le XIIe siècle, une “grange fortifiée” dont Guy II, comte de Forez, fait don à l’abbaye de la Bénisson-Dieu au moment de sa fondation en 1138 par saint Bernard. La terre appartient donc à cette communauté cistercienne jusqu’à la Révolution. Mais en 1611, l’abbaye qui avait été jusqu’alors occupée par des moines, est échangée contre le monastère de femmes de Mégemont en Auvergne. Les religieuses s’installent dès cette date à la Bénisson-Dieu et à Montaigüet. En 1790, cette terre est vendue comme bien national. Le château changera de nombreuses fois de mains jusqu’en 1923. Il est alors acquis par la lamille Dessert. On doit à Pierre de la Fïn, frère du seigneur de Beauvoir, élu abbé de la Bénisson-Dieu en 1460, d’avoir remplacé la construction du XIIe siècle par le château actuel. Il fit bâtir aussi une partie des remparts de la ville et la collégiale Sainte-Anne en 1496. À proximité du château, un des rares vestiges de l’enceinte de la ville est une porte fortifiée, vraisemblablement édifiée à la fin du XVe siècle. C’est une a construction de plan quadrangulaire percée d’un passage sous arc surbaIsse, que surmonte une chambre de garde d’où l’on manet#339;uvrait un pont-levis, dont on remarque les rainures d’encastrement sur la façade extérieure. Entre ces rainures, une niche encadrée de pinacles abrite la statue d’un personnage mitré qui pourrait être Pierre de la Fin. De part et d’autre de la porte, sont accolées deux tours cylindriques dont les toitures ont été rasées. Elles sont éqipées de canonnières et l’une d’elles permettait l’accès à la chambre de garde grâce à un escalier en vis.
Le château de Montaiguet est un bon exemple des petits châteaux fortifiés construits dans le Centre, sur le même plan carré cantonné de tours. Tours et corps de bâtiment s’élèvent à la même hauteur et comportent trois étages au-dessus de salles basses voûtées. La façade nord-ouest a été marquée par un mur construit en avant de cette dernière pour pouvoir loger un escalier dans l’intervalle. Le corps de logis comporte une pièce à chaque niveau, chacune comprenant une grange cheminée. Les pièces aménagées dans le tours affectent des plans différents: circulaire, rectangulaire ou hexagonal. Occupant le rez-de-chaussée de la tour Est du château, la chapelle castrale est une pièce circulaire voûtée d’ogives. Chacun des quatre voûtains a conservé une peinture murale représentant un évangéliste. Les peintures, datées du XVe siècle, donnent une représentation originale du thème des quatre évangélistes (attributs surdimensionnés par rapport à leur taille, Saint Jean a des traits orientaux). Le château du XVe siècle est un château fort martial et d’aspect imposant. Les travaux et la fondation du château allaient transformer le bourg.

(source : “www.chateau-fort-manoir-chateau.eu”)

Les environs

Loddes – L’église Saint-Pierre à 5,4 km au nord-ouest

Lapalisse – Le château de La Palice à 14,5 km à l’ouest

Droiturier – L’église Saint-Nicolas – Sainte-Croix à 11 km au sud-ouest

Bresnay – Château des Ecossais

Epoque : XIV° – XV° – Protection : ISMH (2001)
Propriétaire : Privé
Visite : non 
Adresse : château des Ecossais 03210 Bresnay
Téléphone :
Courriel :
Site internet :

Les Ecossais (Serge Porte)
Les Ecossais (www.randos-allier.com)
Bresnay - Les Ecossais (F.Ripart)
Les Ecossais (www.allier-hotels-restaurants.com)

Situation

Bresnay est situé à 18 km au sud-ouest de Moulins

Les Ecossais sont situés à 1.7 km au nord-ouest de Bresnay

Histoire

Au nord-ouest de la commune de Bresnay, se trouve le château des Écossais. Il est de plan rectangulaire, doté d’une tour octogonale en façade et de tours circulaires aux angles. On voit encore les douves qui sont sèches. La cour intérieure est délimitée par des communs, lesquels sont pourvus d’un pigeonnier. L’ensemble date de la fin du XVe siècle. Le propriétaire portait le nom du lieu, il était seigneur d’Escoussay. La famille est encore connue sous ce nom à la fin du XVe siècle, puisque Jehan et Charles d’Escoussay possèdent une terre avec justice dans les paroisses de Lucenay-sur-Allier et Bresnay, mais c’est Jehan Breschart qui, en 1503, détient en fief la “place forte d’Escousses en maisonnages, basse-cour, mothe, fossés, molin, estang, coulombier, garenne, prés, terre, vignes, buissons, boys, la mestairie Le Tremblay, estant, pasturages, cens, bourdelaiges, taillables, marciages, blés, corvées, dixmes, carpots, champarts…”, pour plus de 100 livres de revenus annuels. Il est mentionné par Nicolas de Nicolay, son seigneur étant vassal du duc. Dans la seconde moitié du XVIIe siècle, ses propriétaires étaient des Meaulne. Louis Meaulne, avocat à Moulins, en 1654, était à la fois sieur des Écossais et de Champagnat. Il exerça également les fonctions de contrôleur général des gabelles en Bourbonnais et Auvergne (attesté en 1667). Après sa mort, Antoine Ferrand, écuyer, prit ces titres. En 1686, lui avait succédé François Burand. Marie Françoise Burand apporta par mariage la seigneurie à Michel Grangier de Boisdechamp ancien garde du corps, décédé en 1767 à 76 ans, les deux conjoints avaient 21 ans de différence, Marie Françoise mourut en 1772.
Le logis rectangulaire à la haute toiture de tuiles plates est défendu par deux grosses tours rondes côté nord et une tourelle d’escalier à pans sur la façade sud. De l’époque médiévale, ont été également conservés les douves, le pigeonnier et une cheminée gothique. Construction des communs au XIXe siècle.

(source : “Extrait de Châteaux, Fiefs, Mottes, Maisons Fortes et Manoirs en Bourbonnais, éditions De Borée”)

Les environs

Bresnay – L’église Saint-Bathélémy à 1.7 km au sud-est

Besson – Le château du Vieux-Bostz à 2.9 km au nord

Besson – Le chateau de Fourchaud à 3.1 km à l’est

Noyant d’Allier – Le château

Epoque :  XVI°- Protection : ISMH (2007)
Propriétaire : Monsieur et Madame Lorrain
Visite : non
Adresse : château de Noyant 03210 Noyant-d’Allier
Téléphone :
Courriel :
Site internet :

Le château (A.J.Cassaigne)
Le château (www.allier-hotels-restaurants.com)
Le château (www.ulmag.fr)

Situation

Noyant d’Allier est situé à 21 km au sud-ouest de Moulins

Le château est situé dans le bourg

Histoire

Fief connu à partir du XIVe siècle. Le château, construit probablement au cours du XVe siècle, appartient à la typologie des hautes tours donjons quadrangulaires, flanquées d’une tourelle contenant un escalier à vis et surmontées d’un couronnement défensif autour d’un chemin de ronde. En 1503, damoiselle Anne de Chareilh fait aveu de son fief à la duchesse de Bourbon comprenant le logis et seigneurie de Noyant. En 1569, le seigneur de Noyant était Blaise de la Souche et que la maison seigneuriale de Noyant consistait en une grosse et forte tour carrée, non fossoyée… sans justice. En 1673, François Emé des Rochers, écuyer et en 1700, Jacques de la Motte, également écuyer, furent seigneurs de Noyant. Le domaine était confié à des fermiers en 1715, le curé de Noyant inscrivit à cette date, “le fermier de la seigneurie de Noyant était un singulier homme, dangereux pour son orgueuil, insupportable aux gens de bien, le Tarquin des laboureurs”.
L’ensemble des bâtiment enferme une cour intérieure, on compte trois tours quadrangulaires et un donjon dans le système défensif. Les tours hautes de quatre niveaux, sont couvertes d’un toit en pavillon tandis que le donjon, une grosse et forte tour carrée est desservi par un escalier en vis abrité dans une tour cylindrique accolée. Le donjon et le logis ont été entièrement transformés au XVIe siècle par des fenêtres à meneaux de style Renaissance et le donjon surmonté de crénelage et mâchicoulis décoratifs. L’enceinte médiévale qui entourait le donjon a conservé son tracé et une partie de ses murs. Des bâtiments de communs ont été construits au XVIIIe siècle (la maison de gardien et le grand pavillon ouest) et au début du XXe siècle (la grange et le hangar nord-est, les dépendances à l’est). Un parc a été aménagé par le paysagiste Treyve.

(source :”Châteaux, Fiefs, Mottes, Maisons Fortes et Manoirs en Bourbonnais aux éditions De Borée”)

Les environs

Noyant d’Allier – La Pagode et le Bouddha à 500 m au nord dans le bourg

Souvigny – La Prieurale à 9 km au nord-est

Meillers – L’église Saint-Julien à 5 km au nord