Ferrières sur Sichon – Grotte des fées

Epoque :  – Protection :
Propriétaire :
Visite : oui
Dates et horaires : Prendre la clé et la lampe de poche auprès de la Maison de la Vallée du Sichon, 1 place de la Poste à Ferrières sur Sichon.
Tél : 04 70 41 14 89
Adresse : Hameau de Forest 03250 Ferrières-sur-Sichon
Téléphone : Office du tourisme 04 70 59 38 40
Courriel : ot.mayet-montagne@wanadoo.fr
Site internet : www.tourisme-montagne-bourbonnaise.com

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Grotte de Fées (www.ferrieres-sur-sichon.fr)
Grotte de Fées (www.randos-allier.com)

Actualités : Découvrir la grotte aux fées et ses légendes (La Semaine de l'Allier 6 août 2020)

Ferrières sur Sichon - Grottes des fées (Semaine de l'Allier 6 août 2020)

Situation

Ferrières sur Sichon se situe à 26 km au sud-est de Vichy

La Grotte des Fées (Hameau de Forest) se situe à 1,7 km au sud-ouest de Ferrières sur Sichon

Histoire

Magnifique cavité située au bord du Sichon, cette grotte doit son nom à la légende selon laquelle des fées l’habitaient.
Ornée de concrétions et de cascatelles, elle développe 44m de réseau pénétrable.
La 1ère partie, dite touristique, est une galerie aux parois de calcite longue de 30m.
La 2ème partie, dite spéléologique, est basse et étroite, elle nécessite une tenue adaptée

Il était une fois en Montagne Bourbonnaise…
« LA GROTTE DES FEES »

Les parois de la Grotte des Fées près de Ferrières sont couvertes de stalactites formées par les dépôts des eaux calcaires qui suintent à travers la voûte. L’ensemble de ces concrétions présente les formes les plus bizarres que l’imagination interprète suivant sa fantaisie.
Dans le fond de la grotte un bloc de rocher représente assez confusément la forme d’un homme soutenant la voûte sur ses épaules. On raconte que jadis un géant habitait le bois Boudet où il faisait de grands ravages, s’emparant des bœufs et des moutons des alentours ; les fées aussi bonnes que leur voisin était mauvais, lui jouèrent plus d’un tour pour soustraire les paysans à sa férocité. Aussi le géant conçut-il contre les fées une haine profonde ; un jour il pénétra dans leur grotte et tenta de faire écrouler la voûte en la soulevant sur ses épaules. Les fées l’ayant aperçu allumèrent un grand feu de balais à l’entrée de la grotte. Le géant mourut asphyxié et le rocher qui soutient aujourd’hui la voûte représente son corps resté en place et pétrifié dans son dernier sommeil.
Vers l’entrée de la grotte, un rocher allongé représente une femme enveloppée dans un linceul ; un jour la plus jeune des habitantes de la grotte se baignait dans le Sichon quand elle fut aperçue par un être bizarre, moitié faune, moitié magicien. Séduit par la beauté de la baigneuse, le faune résolut de l’enlever. La jeune fée très effrayée s’enfuit à toutes jambes, serrée de très près par son ennemi qui l’atteignit juste au moment où elle entrait dans la grotte ; pour lui échapper, elle se changea en pierre et prit la forme d’une nymphe.
A l’entrée de la grotte un énorme bloc de pierre désigné sous le nom de rocher du chameau est également l’objet d’une légende. Autrefois vivait quelque part en Orient, une jeune princesse de la plus grande beauté. Ses parents voulaient lui faire épouser un chevalier qu’elle n’aimait pas. Comme on ne cessait d’insister pour qu’elle se décide et que même on la menaçait des plus cruels châtiments si elle persistait dans son refus, elle s’enfuit du logis paternel et se dirigea vers l’ouest sans bien savoir où elle allait. Après avoir marché bien des jours et bien des nuits, elle finit par arriver dans la montagne bourbonnaise où les braves fées, prenant pitié de sa fatigue et de sa détresse, la secoururent et la recueillirent dans leur grotte. Là, elle ne manqua de rien et connut la paix et la tranquillité mais hélas, ce ne fut pas pour longtemps. Un jour, en effet, qu’elle reposait au bord du Sichon elle vit soudain apparaître un officier de son père suivi de plusieurs soldats. Comprenant tout de suite que cette caravane était à sa poursuite, elle poussa un cri de terreur et se mit à courir dans la direction de la grotte afin de s’y cacher et d’échapper à ses ravisseurs. Une vieille fée entendant ses cris accourut à son secours. Elle arriva juste au moment où l’officier atteignait la princesse et tendait la main pour la saisir. Voyant le danger que courrait la protégée, la fée arracha du sol un gros quartier de rocher et le lança avec force sur la tête du soldat qui fut écrasé et tué sur le coup ainsi que sa monture. Ils furent ensevelis sous les débris du rocher qui les recouvrit comme un manteau de pierres et forma ainsi le bloc que l’on voit à l’entrée de la grotte des fées.

(source : www.tourisme-montagne-bourbonnaise.com)

Ferrières sur Sichon- Musée de Glozel

Epoque :  – Protection :
Propriétaire :
Visite :
Dates et horaires : De juin à septembre inclus, le Musée de Glozel est ouvert tous les dimanches après-midi de 14h à 18h
Adresse : Musée de Glozel – Glozel – 03250 Ferrières-sur-Sichon
Téléphone : 04 70 41 12 96
Courriel : contact@museedeglozel.org

Site internet : www.museedeglozel.org

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Glozel (www.allier-auvergne-tourisme.com)
Emile Fradin et le le chanoine Côte (© Musée de Glozel)
Glozel (jean.dif.free.fr)
Fouilles de Glozel (www.valeursactuelles.com)
Ferrières sur Sichon - Glozel (Emile Fradin)
Ferrières sur Sichon - Glozel (entrée de la Grotte de Puyravel)
Ferrières sur Sichon - Glozel (le champ des fouilles)
Ferrières sur Sichon - Glozel (le musée)
Ferrières sur Sichon - Glozel (le musée)
Ferrières sur Sichon - Glozel (les fouilles)
Ferrières sur Sichon - Glozel (les fouilles)
Fouilles de Glozel (www.valeursactuelles.com)

Actualités : Glozel ... Une incroyable aventure (La Semaine de l'Allier 7 mars 2024)

Situation

Ferrières sur Sichon se situe à 26 km au sud-est de Vichy

Le musée de Glozel se situe à 5 km au nord-ouest de Ferrières sur Sichon

Histoire

1924 : une chambre de la maison familiale…

Le Musée de Glozel est aussi ancien que l’invention du gisement. En effet, dès la fin de l’hiver 1924, époque des premières découvertes, les conditions muséographiques, à savoir conservation et exposition, sont déjà réunies. Les objets recueillis sont rassemblés au village de Glozel. On expose en plein air les éléments de structure (dalles et briques à cupules). Le mobilier archéologique, quant à lui, est conservé à l’intérieur d’une chambre de la maison de Claude Fradin, inventeur du gisement avec son beau-fils Antoine et son petit-fils Emile. Rapidement les curieux, essentiellement de Ferrières et des communes voisines, commencent à affluer. La visite est libre.

1926 : … puis le séjour…

Mais le volume croissant des découvertes et leur médiatisation, entraînant une fréquentation toujours plus importante, rendent nécessaire une organisation muséographique plus élaborée. Joseph Loth, membre du Collège de France et de l’Institut, après sa visite et ses fouilles d’octobre 1926 avec Henri Breuil, encourage vivement l’aménagement d’un véritable musée. On décide alors d’affecter une pièce de la maison à cet usage. Ce sera le séjour. Des étagères sont d’abord accrochées aux murs. Puis des vitrines leur sont substituées. Un panneau, fixé au-dessus de la porte d’entrée, signale le Musée et en affiche le statut. Un droit de visite est désormais perçu.

1929 : aménagement d’une salle d’exposition

Enfin, en 1929, après les deux années les plus bruyantes de l’affaire, un nouveau local, dans le prolongement nord de la maison, est réaménagé pour accueillir les collections. Le panneau du Musée change de porte. C’est cette pièce unique qui, aujourd’hui encore, constitue le Musée de Glozel. Elle a bénéficié entre-temps de quelques aménagements. Ils n’ont toutefois pas entamé ce charme des cabinets d’antiquités

(source : www.museedeglozel.com)

Les environs

Ferrières sur Sichon – Château de Montgilbert à km au nord

Ferrières sur Sichon – Grotte des fées à 6 km au sud-est

Lavoine – Rocher Saint Vincent à 12,4 km au sud-est

Escurolles – église Saint-Cyr et Sainte Julitte

Epoque : XI° – Protection : ISMH (1927)
Propriétaire : Commune d’Escurolles
Visite :
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet des églises peintes : eglisespeintesenbourbonnais.planet-allier.com
Blog des églises peintes : repb03.free.fr

Escurolles St Cyr et Ste Julitte (atlas-roman.blogspot.fr)
Escurolles St Cyr et Ste Julitte (églises peintes en Bourbonnais)

Situation

Escurolles se situe à 15 km à l’ouest de Vichy

L’église est dans le village

Histoire

La première église, aux alentours de l’an mil, est une dépendance de Cluny .
L’édifice comporte une nef avec deux bas-côtés, un transept, une abside et deux absidioles. Ces éléments datent du XIe et du XIIe siècles. A l’origine le clocher était situé à la croisée du transept, mais il fut détruit par la foudre en 1760, et ensuite remplacé par un clocher-porche construit sur le côté ouest. Comme sa fragilité en faisait un danger, on ne garda que deux piles et la charpente à l’extérieur de l’édifice.
Les chapiteaux des piliers ont des motifs à décor végétal ou animalier. Des travaux sur la voûte ont permis de découvrir une peinture murale représentant un Christ en gloire, probablement du XIIIe siècle.
L’église possède également des vitraux signés du maître-verrier Emile Thibaud et un vitrail de Jacques Dorchies représentant l’Eucharistie.

(Source : www.petit-patrimoine.com)

Les environs

Escurolles – La château des Granges dans le village

Escurolles – Notre Dame de Banelle à 2,9 km au sud-est

Saint-Pont – Le château à 3,5 km au nord-est

Lurcy-Levis – Street Art City

Epoque :  – Protection : non
Propriétaire : Gilles et Sylvie Iniesta
Visite : oui
Dates et horaires : Ouvert au public du 30 mars au 4 novembre 2018 tous les jours de 11h à 19h.
Adresse : Château de Béguin, Les Bruyères de Béguin, 03320 Lurcy-Lévis
Téléphone :
06 44 95 59 86
Courriel :
contact@street-art-city.com
Site internet : www.street-art-city.com

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Street Art City (moulins-tourisme)
Street Art City (lamontagne.fr)
Street Art City (jorisdelacour.fr)

Situation

Lurcy-Levis se situe à 39,5 km au nord-ouest de Moulins

Street Art City se situe à 2,7 km au sud-ouest de Lurcy-Levis

Histoire

Gilles et Sylvie Iniesta. Ils ont revendu leur société de marketing direct, fondée en Espagne à la fin des années 90. Ils sont arrivés à Lurcy-Lévis après avoir acheté et réhabilité, le château de Béguin, depuis revendu à un groupe hôtelier. La propriété comprenait le centre des PTT auquel ils cherchaient à « redonner une âme »

Au milieu d’un paysage rural, un lieu unique au monde dédié à l’Art City et au Graffiti cueille le visiteur et le saisit de stupéfaction. Époustouflant et inattendu, le site offre une découverte visuelle au cours d’une promenade architecturale et artistique en immersion totale. La déambulation le propulse dans une incroyable sensation, l’ absorbant tout entier au cœur d’une perpétuelle métamorphose graffi’K sans précédent. La diversité artistique provoque le sentiment d’insatiabilité, de ne pas pouvoir tout voir en une seule fois et le plonge dans la magie d’une étape éphémère.
La découverte du site peut être complétée par la visite intérieure de l’Hôtel 128 : les artistes se sont approprié chacun l’espace d’une chambre de l’ancien hôtel désaffecté du site et ont laissé libre cours à l’expression de leur créativité.
Une aventure à vivre et revivre encore sans modération !

Vernusse – Château de Puy-Guillon

Epoque :  XV°-XVIII°-XIX°- Protection : ISMH (2010)
Propriétaire : Privé
Visite : oui à certaines périodes
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone : 06 15 62 56 18 (info La Montagne)
Courriel :
Site internet :

Puy Guillon (www.chateau-fort-manoir-chateau.eu)
Puy Guillon (www.allier-hotels-restaurants.com)
Puy Guillon (www.collection-jfm.fr)

Situation

Vernusse se situe à 36,9 km au sud-est de Montluçon

Le château de Puy-Guillon se situe à 1,8 km au sud-ouest de Vernusse

Histoire

Le fief de Puy Guillon, tel un immortel guerrier, fier de son passé, cette citadelle, vieille de sept siècles, solidement implantée sur son “podium” comme l’écrivaient les Romains, a vaillamment traversé l’histoire. Dès 1398 la famille de Beaucaire prend possession du château. Certains de ses membres sont devenus célèbres. François de Beaucaire fut évêque de Metz puis nommé cardinal en 1545, au moment du concile de Trente, dont il fut le rapporteur. Jean de Beaucaire, le troisième du nom dont la pierre tombale est déposée dans l’église, fut chevalier de l’Ordre du Roi, premier maître d’hôtel de la reine d’Ecosse. Marie de Beaucaire, dame d’honneur de la dauphine, se maria en seconde noce avant 1563 à Sébastien de Luxembourg, duc de Penthièvre, ce qui fait d’elle une ancêtre de Louis XV et de plusieurs famille royales européennes. Par les femmes, le château passa ensuite à la famille d’Alègre puis à la famille de Rollat jusqu’en 1832.
Le château de Puyguillon fut érigé au XV ème siècle sur un terre-plein constituant terrasse et se composait d’un gros donjon carré défendu par une courtine de forme quadrangulaire, flanquée d’une grosse tour ronde et, à l’ouest en contrebas, par une basse-cour entourée d’une enceinte. Au XVII ème siècle, une nouvelle bâtisse fut construite longeant l’enceinte supérieure. Son édification face aux jardins ordonnancés et récemment aménagés côté sud offrait ainsi un lieu de vie plus appréciable. Aux XVII ème et XVIII ème siècles, des communs firent également leur apparition le long de la basse-cour. Vers 1870, de nouveaux bâtiments furent construits dans le but de rallier les différents corps de logis. Ainsi, les communs formait désormais un front continu autour des côtés Ouest, Nord et (sous la terrasse) Est de la cour inférieure, tandis qu’une aile Est formait liaison entre les deux parties du château lui-même. Cet élément fut édifié en prenant modèle sur le bâtiment XVII ème siècle. Enfin, un petit corps de bâtiment prolongeait cette nouvelle aile jusqu’au donjon et se distinguait sur le plan architectural par des références médiévales, notamment avec ses baies cintrées et sa tour d’escalier crénelée.

(source : www.chateau-fort-manoir-chateau.eu et www.allier-hotels-restaurants.com)

Les environs

Beaune d’Allier – Château de Sallebrune à 13 km à l’ouest

Blomard – Château de Sarre à 5,6 km au nord

Saint-Bonnet de Four- église  Saint-Bonnet à 12,6 km au nord-ouest

Colombier-église Saint-Patrocle

Epoque :  XII°-XV° – Protection : MH (1928)
Propriétaire : Commune de Colombier
Visite :
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet :

Colombier (lieuxsacres.canalblog.com)
Colombier - Portail polylobé (lieuxsacres.canalblog.com)
Colombier - Fontaine Saint-Patrocle (lieuxsacres.canalblog.com)
Colombier - Fontaine Saint-Patrocle (lieuxsacres.canalblog.com)

Situation

Colombier se situe à 20,4 km au sud-est de Montluçon.

L’église Saint-Patrocle est dans le village.

Histoire

La construction de l’église prieurale débuta au XIème siècle, des transformations furent exécutées aux XIIème et XIIIème siècles notamment. Le très beau clocher élevé sur la croisée du transept est du XIIème, de style roman. Le portail d’entrée et du début de la période gothique. A proximité de l’église coule la fontaine Saint-Patrocle, du nom du saint dont les restes reposent toujours dans l’église.
Édifice roman, composé d’une nef de cinq travées, flanquée de bas-côtés, d’un transept saillant, une absidiole ouvrant sur chaque bras. Le chœur à chevet plat date du XVème siècle, la sacristie, qui le prolonge, est du XIXème siècle. La façade actuelle a été construite au début de la période gothique.
Outre l’église, la dévotion à saint Patrocle se centre sur la fontaine. Cette eau, toujours fraîche, est réputée avoir des vertus thérapeutiques. La légende rapporte que celui-ci manquant d’eau lorsqu’il construisit le monastère, il lança un marteau de telle force qu’il retomba à près de 300 mètres en créant la source. D’autres appellent l’endroit “le marteau de Thor”. Pourtant, c’est Sucellus, le dieu gaulois, qui aurait été le mieux placé : “Sucellus, dieu au maillet et au chaudron, protecteur de la fécondité, il fait jaillir les sources sylvestres en frappant le sol de sa masse. Il a été assimilé à Sylvain ou à Vulcain. On le représente sous la forme d’un vieillard ou d’un homme d’âge mûr, vêtu à la gauloise d’une tunique à capuche, de braies et de bottes, et portant un maillet et parfois un chaudron, souvent accompagné d’un chien. Il est souvent accompagné de la déesse Nantosvelta. Contrairement aux autres dieux gaulois, qui ont leur équivalent en Irlande et au pays de Galles, on ne le trouve qu’en Gaule. ”
La source est réputée pour la guérison des maladies de peau et pour que les jeunes filles à marier trouvent un partenaire. Il suffit pour celà qu’elles trempent leur pied droit deux fois dans le dernier bassin. Une procession à la fontaine a lieu le dernier Dimanche de Juillet. Le pélerinage à Saint Patrocle, survivance probable d’un culte gaulois, n’a cessé qu’en 1970.
Né dans la région de Bourges, Patrocle s’intruisit très vite dans les sciences, les lettres sacrées et profanes. L’évêque de Bourges l’ordonna diacre à l’âge de vingt-cinq ans, puis archidiacre. On le considérait comme l’un des hommes les plus saints et les plus cultivés de son époque.
Devenu le précepteur des fils de Clodomir, roi des Francs, il eut pu vivre à la cour, être l’un des conseillers du royaume. Les honneurs ne le tentaient pas, une existence fastueuse ne convenait pas à son caractère. Le clergé séculier lui parut même trop attaché aux biens de ce monde. Il avait l’ardent désir de se consacrer uniquement à Dieu et il se retira dans la solitude, pour y vivre, prier, méditer.
(Source : lieuxsacres.canalblog.com)

Saint-Bonnet de Four – église Saint-Bonnet

Epoque : XI° – Protection : ISMH (26 novembre 1963)
Propriétaire : Commune de Saint Bonnet de Four
Visite :
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet :

Saint Bonnet de Four (www.clocherstors.com)
Saint Bonnet de Four (wikipédia)

Actualités : Drôle de clocher : quand le défaut devient une force (Semaine de l'Allier 6 août 2020)

Saint-Bonnet de Four - église Saint-Bonnet (Semaine de l'Allier 6 août 2020)

Situation

Saint-Bonnet de Four se situe à 26,5 km à l’est de Montluçon

L’église est dans le village de Saint-Bonnet de Four.

Histoire

L’église Saint-Bonnet se situe dans le bourg de Saint-Bonnet de Four. Elle date du XIe siècle et possède un portail polylobé. Au XIVe siècle, s’est construit, sur le coté droit du transept, une chapelle gothique.
Le clocher de l’église de Saint-Bonnet de Four est très particulier et constitue la curiosité de la commune.Il est construit sur une tour carrée, et surmonté d’une flèche octogonale qui est tordue c’est ce que l’on appelle un clocher tors.
Le clocher fut incendié par la foudre en 1894 et reconstruit avec du bois trop vert qui se vrilla rapidement pour devenir ce qui constitue sa renommée aujourd’hui. En 1978, lors de la réfection de la toiture de l’église, décidée par le conseil municipal, les services des bâtiments de France exigèrent une restauration à l’identique.
Ainsi, la flèche a gardé sa torsion d’un huitième de tour de gauche à droite, accompagnée d’un important dévers. La couverture actuelle est en bardeaux de châtaigner.
L’église de Saint-Bonnet de Four est inscrite depuis 1963 à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques.
La chapelle gothique du transept sud correspond à la chapelle seigneuriale construite par les seigneurs de La Brosse qui s’y sont faits inhumer.
Les chapiteaux romans de l’église sont peints.
A remarquer aussi dans le mobilier de cette église un christ sur une poutre de gloire, deux vierges à l’enfant, un saint joseph, deux statues de Saint Bonnet en évêque et un baptistère sur quatre chapiteaux carolingiens.

(Source : www.petit-patrimoine.com)

Les environs

Vernusse – château de Puy-Guillon à 12,6 km au sud-est

Beaune d’Allier – Château de Sallebrune à 7,5 km au sud

Blomard – château de Sarre à 12,6 lm au sud

Audes – musée du canal de Berry

Epoque :  – Protection :
Propriétaire :
Visite : oui
Dates et horaires : du 1er avril au 1er novembre
Avril • Mai • Juin • Septembre • Octobre
ouvert du mardi au dimanche après-midi de 14 h 00 à 18 h 00 ainsi que les jours fériés
Juillet • Août • vacances de Pâques et de Toussaint
ouvert du mardi au dimanche de 10 h 00 à 12 h 30 et de 14 h 00 à 18 h 00
Adresse :
Magnette – 03190 Audes
Téléphone :
04 70 06 63 72
Courriel :
Site internet :
canal de Berry

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Musée du canale de Berry (static.apidae-tourisme.com)
Plan du musée (museecanaldeberry.fr)
Musée du canale de Berry (www.hdmedia.fr)

Situation

Audes se situe à 16,6 km au nord de Montluçon

Le musée du canal de Berry se situe à Magnette à 3,8 km à l’est d’Audes

Histoire

Situé au bord du Canal de Berry en plein cœur du Val de Cher, le musée fut créé en 1978 sur le site d’anciens fours à chaux par l’amicale laïque de Reugny. Chaque année, cette association de bénévoles créait une exposition sur un thème local et elle ne savait pas que l’exposition consacrée au canal de Berry allait être le début d’une grande aventure.
René CHAMBAREAU et quelques bénévoles ont réuni quelques pièces récupérée ici ou là, des dons de mariniers, d’éclusiers, de cantonniers, des dizaines de recherches, de rencontres et ont permis trente ans plus tard de constituer une collection unique sur le Canal de Berry. Ce fond est composé de près de 4000 pièces regroupant des documents administratifs, des plans d’époques, des objets de mariniers mais aussi des pièces monumentales comme des portes d’écluses et deux authentiques péniches ayant naviguées sir le Canal de Berry sauvées d’une destruction certaine.
Le canal, aujourd’hui, offre un nouvel engouement par la création d’une voie verte pour les amoureux des balades calmes sans moteur et pour les sportifs.

Les environs

Audes – Le château de la Crête à 3,2 km à l’ouest

Reugny – le prieuré Notre Dame à 1,1 km à l’est

Saint- Désiré – église Saint-Désiré à 16,6 km au nord-ouest

Lusigny – Château des Laurents

Epoque :  XIX°- Protection :
Propriétaire : Privé
Visite : non
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet :

Situation

Lusigny se situe à 13 km à l’est de Moulins

Le château des Laurents se situe à 2,4 km au nord-est de Lusigny

Histoire

Construite vers la fin du XIX ème siècle, cette gentilhommière a succédé à des bâtiments plus anciens qui appartenaient à la communauté éponyme des Laurents. Le corps de logis principal est flanqué de deux tours rondes aux angles. Une belle grille de clôture délimite la propriété, dont un joli portail permet l’accès.

Les environs

Chezy – Chateau des Louteaux à 6km au nord

Moulins – Palais Ducal à 13 km à l’ouest

Yzeure – église Saint-Pierre 12 km à l’ouest

Lurcy-levis – Château de Levis

Epoque :  XIV° – XVII°- Protection : ISMH (1945)
Propriétaire : Privé
Visite : non
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet :

Levis (www.allier-hotels-restaurants.com)
Levis (www.chateau-fort-manoir-chateau.eu)
Levis (www.allier-hotels-restaurants.com)
Levis (cdn.radiofrance.fr)

Situation

Lurcy- Levis se situe à 40 km au nord-ouest de Moulins

Le château de Levis se situe à 5 km au sud-ouest de Lurcy-Levis

Histoire

Description :

Construit dans les débuts du règne de Louis XIV, il est d’une architecture sobre et, avec son escalier central et ses pavillons, il rappelle le château de Fontainebleau plus ancien.

Depuis sa vaste cour d’honneur, au sud, entourée de douves et bordée par deux bâtiments de dépendances que longe une double allée de tilleuls, on découvre ce château et son escalier flanqué sur le pavillon central bâti au niveau du soubassement ; il est surplombé par un haut toit en pyramide. Il compte trois travées ; le premier étage est au niveau de l’étage des combles du corps central qui fait une soixantaine de mètres de long. Les portes fenêtres du rez-de-chaussée ouvrent sur le perron d’un escalier à double révolution.

Les pavillons à chaque extrémité des ailes plus larges et plus saillantes que l’avant-corps s’étagent sur quatre niveaux avec les combles. Ces pavillons sont en harmonie avec l’ensemble de la construction. Le corps central présente onze travées réparties inégalement de part et d’autre de l’avant-corps. Le pavillon central et les escaliers des deux façades ont été construits vers 1880.

Les combles sont éclairés par des lucarnes à ailerons couronnées d’un fronton cintré.

Le rez-de-chaussée est affecté aux pièces de service, les pavillons latéraux aux appartements, l’étage noble au centre est réservé aux pièces de réception. Celles-ci ont pour la plupart conservé leurs lambris, leurs plafonds à solives et poutres apparentes, ainsi que leurs cheminées de marbre ou de porphyre. La salle à manger conserve sa cheminée en pierre blanche dont le manteau repose sur des jambages en rétrécissant à la base et ornés d’une coquille. La hotte est garnie d’un tableau représentant une scène de cour.

Dans la basse-cour extérieure à l’ouest du château existe toujours le colombier, coiffé d’un toit conique aux tuiles brunes que surmonte une lanterne à l’impériale.

L’édifice est inscrit à l’Inventaire des monuments historiques en 19451. Abandonné depuis une dizaine d’années, vandalisé, il est actuellement en grand péril. Une campagne a été lancée en 2018 pour obtenir sa restauration;

Historique :

Il existait au Moyen Âge, sur l’emplacement de l’actuel château, un château fort portant le nom de Poligny, Poligni ou encore Poleigné, en bordure de la voie romaine allant de Clermont à Bourges par Bourbon-l’Archambault et Sancoins.

Ce château a été construit par la famille de Poligny ; le fief passe au XIIe siècle aux La Porte, seigneurs de Bannegon, en Berry. Au XIIIe siècle Guillaume de La Porte accorde une charte d’affranchissement aux habitants de Poligny qui s’obligent en contrepartie à régler la Taille, la Corvée, « clôtures et palissades » ainsi que le guet et garde en cas d’hostilité.

À la mort, en 1366, du dernier descendant mâle de la famille, il passe en indivision aux filles, l’une épouse du sieur des Barres qui possède Bannegon, et l’autre mariée à un Châteaumorand. L’indivision cessera au XVe siècle lorsque Jean de Châteaumorand, conseiller et chambellan du roi Charles VI, réunit entre ses mains la totalité du fief.

Sa fille, Agnès de Châteaumorand, apporte le domaine de Poligny dans la famille de Lévis en épousant Brémond de Lévis, chambellan du duc de Bourbon, seigneur de La Voulte et descendant de Guy Ier de Lévis.

Son fils Louis de Lévis rend hommage pour son fief en 1506 au roi Charles VIII, dont il est le chambellan. Son successeur sera Charles de Lévis, grand maître et général réformateur des Eaux et forêts de France sous le règne du roi Henri II. Vient ensuite Claude de Lévis, panetier du roi et futur chambellan du duc d’Alençon. Il fut le père de Jean de Lévis, mort assassiné en 1611, et dont le petit-fils Roger de Lévis héritera du fief de Poligny dont la terre sera érigée en marquisat. Il fut lieutenant général au gouvernement de Bourbonnais ; on lui doit la construction de ce château qui prendra le nom de Lévis. Le château passe ensuite au fils de Roger, Charles-Antoine de Lévis (vers 1643-1719), maître de camp de cavalerie dont l’épouse Marie-Françoise de Béthisy (vers 1637-1719) dont Saint-Simon dans ses Mémoires, nous fait part de son avarice notoire et de sa passion frénétique pour le jeux. Son petit-fils, Charles Eugène de Lévis-Charlus (1669-1734), s’illustre dans la cavalerie à la bataille de Fleurus (1690), au siège de Mons (1691), à la bataille de Steinkerque (1692), et aux sièges de Namur (1692) et de Charleroi (1693).

Dernier des marquis de Poligny, Charles Eugène obtint, le 13 février 1723, pour lui et ses descendants mâles, que les terres et seigneuries de Lurcy-le-Sauvage, Poligny, etc. soient érigées en duché-pairie sous le nom de duché de Lévis (ou Lévy). Le titre s’éteignit avec lui.

Après un incendie, en 1744, le château fut reconstruit par Mansart de Jouy. Les deux pavillons d’angle datent de cette époque. Ses trois frères étant morts avant leur père, Marie-Françoise de Lévis, seule héritière du duc de Lévis, apporta la terre et le château de Lévis à la famille de Castries qui les vendit en 1752 à Jacques Hardouin-Mansart. Le château est saisi en 1759 et adjugé à André de Sinéty (1712-1846), gouverneur des Enfants de France, et son épouse Marie-Anne de Ravenel. Lévis changera plusieurs fois de propriétaires par ventes ou héritages; ceux-ci furent :
le marquis Louis de Sinéty, qui ouvre une manufacture de porcelaine dans le château même, et part s’installer au château de Neureux. Les ateliers seront transférés en 1850 à Couleuvre, le nouveau propriétaire désirant habiter Lévis ;
Castellane : Louise-Cordélia-Eucharis Greffulhe, épouse séparée de biens du maréchal de France comte Boniface de Castellane, achète ce château et le domaine de 45 006 ha à Alphée de Sinéty, née Alphée Thuret pour la somme de 1 600 000 francs en 1823. Elle le revendra en 1833 à :
Thuret : Isaac Thuret fit effectuer quelques restaurations en 1852 ;
Waldner de Freundstein, par le mariage d’Adèle Thuret, petite-fille d’Isaac, avec le diplomate Eugène de Waldner de Freundstein en 1872.

(source :”Wikipédia”)

Les environs :

Lurcy-Lévis – Street Art City à 3km au nord-ouest

Château sur Allier – La Chavanée à 10 km au nord-est

Château sur Allier – Château de Saint-Augustin à 12 km au nord-est