Montluçon – Musée de la musique – MUPOP

Epoque :  – Protection :
Propriétaire :
Visite :
Dates et horaires : Ouvert du mardi au dimanche :
Du 1er juin au 31 août de 10h à 19h
Du 1er septembre au 31 mai de 14h à 18h (et sur rendez-vous le matin pour les groupes)
Fermé du 1er au 31 janvier inclus pour maintenance (réouverture le 1er février), le 1er mai et le 25 décembre et tous les lundis.
Adresse : 3 rue Notre-Dame 03100 Montluçon
Téléphone : 04 70 02 19 62
Courriel :
Site internet : www.mupop.fr

Travelers' Map is loading...
If you see this after your page is loaded completely, leafletJS files are missing.
MUPOP (jaimelafrance.tourisme.fr)
MUPOP (www.expositif.fr)
MUPOP (image1.lamontagne.fr)

Situation

le MUPOP est situé à Montluçon : 3 Rue Notre Dame, 03100 Montluçon.

Description

Activement soutenu par le ministère de la Culture et de la Communication et labellisé Musée de France, le MuPop abrite la plus grande collection d’instruments et d’objets musicaux de France depuis le milieu du XVIIIe siècle. Il a ouvert ses portes le 21 juin 2013, jour de la fête de la musique. Il est installé, sur une surface de 3300 m2, dans des hôtels historiques du centre ville, les hôtels Charnisay et Méchain, qui abritent les collections d’instruments, tandis qu’une extension moderne accueille les espaces d’animation.
On y trouve 3500 instruments de musique répartis sur trois parcours (parcours musical immersif, parcours instrumental enrichi, parcours numérique interactif), 200 points d’écoute mobile, un espace d’exposition temporaire, un espace de médiation et un centre de documentation.

Historique

Le musée tire son origine du musée de la vielle, qui s’était développé à Montluçon dans les années 1960-1970. Progressivement, le musée a élargi son territoire aux cornemuses, puis aux guitares électriques et à tous les aspects des musiques populaires, tant traditionnelles que contemporaines. Il a alors été nécessaire de concevoir pour lui un cadre d’exposition plus large et une muséographie plus attractive.

Cadre architectural

Le MuPop est installé dans deux hôtels particuliers du vieux Montluçon : l’hôtel Charnisay et l’hôtel Méchain. Leur rénovation, conçue par l’architecte Philippe Tixier (Atelier 4), en groupement avec Bruno Morel architecte, ingénieur, architecte du patrimoine, Pascal Payeur scénographe et l’entreprise générale GFC, a duré trois ans. Les deux hôtels voisins ont été traités différemment : l’hôtel Charnisay a été restauré dans le respect de son intégrité patrimoniale, tandis que l’hôtel Méchain, qui avait beaucoup souffert au cours des siècles, a été habillé d’une enveloppe contemporaine ; cette alliance entre tradition et modernité correspond à celle qu’on trouve dans les collections du musée. Les deux bâtiments sont reliés par une extension moderne en béton qui abrite l’entrée du musée.

(source : wikipédia)

Cognat-Lyonne – église Sainte-Radegonde

Epoque :  XII°- Protection : MH (1862)
Propriétaire : Commune de Cognat-Lyonne
Visite :
Dates et horaires : Du 01/06/2018 au 16/09/2018 ( 15:00 / 19:00 ) ouvert pour les Journées du patrimoine.
Visite sur rendez-vous appeler la mairie qui donne les coordonnées de la personne qui a les clefs. Eglise ouverte les dimanches de 15h à 19h de juin à mi septembre (journées du patrimoine).
Adresse :
Téléphone : 04 70 56 50 43
Courriel :
Site internet :

Travelers' Map is loading...
If you see this after your page is loaded completely, leafletJS files are missing.
Cognat-Lyonne église (mw2.google.com)
Cognat-Lyonne église (Antoine Garnier)
Cognat-Lyonne église (www.allier-hotels-restaurants.com)

Situation

Cognat-Lyonne se situe à 10 km à l’ouest de Vichy

Histoire

L’église Sainte Radegonde de Cognat-Lyonne a été construite au XII ème siècle. Elle en a conservé son clocher octogonal, ses hauts pignons auvergnats à l’avant du transept et son chevet tri-folié. C’est le seul vestige du village, qui fut détruit pendant les guerres de religions opposant catholiques et protestants. L’église se trouve en un lieu où se déroula un important fait d’armes pendant les guerres de Religion dans le Bourbonnais, le 6 janvier 1568, suite auquel le château et l’église auraient été brûlés par les Protestants.
Sur le sommet de la butte, un mémorial raconte la bataille, avec un peu d’humour : “C’est en hiver que s’entre-tuèrent les catholiques et les protestants, sur cette colline, le 6 Janvier 1568. L’armée protestante fut victorieuse, mais son chef, le capitaine Poncenat, fut tué par erreur par ses propres troupes, le soir après la bataille”…

(source : www.allier-hotels-restaurants.com)

Les environs

Monteignet sur l’Andelot – châteu de Fonforte à 3,5km à l’ouest

Escurolles – château des Granges à 7,8 km au nord

Charmes – Abbaye de Pont Ratier à 7,6 km au sud-ouest

Gannat – église Sainte-Croix

Epoque :  XII°- Protection : MH (1910)
Propriétaire : Commune de Gannat
Visite :
Dates et horaires : Toute l’année, tous les jours. De 8h à 12h et de 14h à 18h.
Adresse : Place Hennequin – 03800 Gannat
Téléphone : 04 70 90 00 50
Courriel :
Site internet :

Travelers' Map is loading...
If you see this after your page is loaded completely, leafletJS files are missing.
Gannat (wikipédia)
Gannat (Sabine Compas))
Gannat (Fondation du patrimoine)

Situation

Gannat se situe à 22 km à l’ouest de Vichy

Histoire

Il ne reste pas de document sur la construction de l’église romane Sainte-Croix de Gannat. L’église était peut-être liée à la motte du duc de Bourbon qui a été remplacée au XIIIe siècle par le château autour duquel s’est développée la ville. Il reste des éléments importants de l’église romane dans le chevet et le chœur de l’église actuelle. Le style la rattache à la fin du XIIe siècle. L’église romane était dédiée à Saint-Saturnin.

En novembre 1236, Archambaud VIII octroie une charte permettant aux habitants de s’organiser en commune. C’est au XIIIe siècle que la dédicace de l’église change pour devenir l’église Sainte-Croix. Le quartier autour de l’église s’est développé pour devenir le plus important de la ville ce qui a dû nécessiter d’entreprendre la reconstruction de l’église gothique.

On peut en avoir une preuve par une clause du testament d’une dame Pétronille qui lègue le 11 novembre 1296 une somme de cinq sous à “l’édifice de Sainte-Croix”. Le style des parties basses – grandes arcades et bas-côtés – permet de faire remonter le début de la reconstruction de la nef de cette époque. La claire-voie de la nef et les consoles sur lesquelles reposent les colonnettes engagées recevant la retombée des ogives ne sont pas antérieures au XIVe siècle. Les voûtes de la nef ont dû être remaniées ultérieurement.

Des chapelles sont ajoutées du XIVe au XVIe siècles aux bas-côtés et au déambulatoire. En 1335, une donation est faite pour créer une vicairie perpétuelle pour la dévotion de la Vierge entraînant la construction d’une chapelle. La chapelle Saint-Jean-Baptiste, à côté du croisillon sud de l’ancien transept roman, est relevée de ses ruines après une autorisation donnée le 5 mars 1505 par l’official de Clermont, Antoine de Langeac. La chapelle de la Faulconnière qui a remplacé le croisillon sud comporte une travée droite et un chevet pentagonal. À l’est, une chapelle est construite et terminée avant 1559 car à cette date Anne Prunier demande dans son testament d’y être inhumée.

En 1641, la sacristie est construite contre le croisillon nord. Le 7 mars 1652, la tour qui se trouvait à la croisée du transept s’effondre en détruisant une partie du chevet, du déambulatoire. La reconstruction commence immédiatement. Le clocher est remplacé par une tour en façade terminée en 1659 pour un certain Potier de Riom. Tous les travaux de reconstruction sont terminés en 1665 pour un coût de 14 500 livres.

En 1880 est construite la tribune d’orgue.

Marigny – église Saint-Pourçain

Epoque :  XII°- Protection : MH (2019)
Propriétaire : commune de Marigny
Visite : oui
Dates et horaires : L’église est ouverte toute l’année de 9h à 17h. du lundi au vendredi
Visite libre avec document
Adresse :
Téléphone : 04 70 43 93 57
Courriel :
Site internet :

Travelers' Map is loading...
If you see this after your page is loaded completely, leafletJS files are missing.
Marigny (medieval.mrugala.net)
Marigny (www.auvergne-centrefrance.com)
Marigny (wikipédia)

Situation

Marigny se situe à 11,1 km à l’ouest de Moulins

Histoire

Église du XIIème siècle composée d’une nef de trois travées, une quatrième travée formant chœur, et d’une abside semi circulaire. Des transepts ont été ajoutés. La chapelle sud a été ajoutée au XVème siècle et la chapelle nord au milieu du XIXème. La façade présente un lourd pignon au bas duquel s’ouvre une porte à tympan trilobé (XIIème siècle) sous deux rouleaux d’ores, couronnée par une corniche et des corbeaux. Le portail est orné de sculptures (tête d’ange ; tête de bouc ; flore ; homme à la virilité accentuée ; chimère ou griffon…). Le clocher présente deux étages, le premier étant décoré sur ses quatre faces de trois arcatures aveugles ; le second, qui contient le beffroi, présente chaque face percée de trois baies séparées par des colonnes géminées.

D’origine romane, cette église fut remaniée au XVIIème siècle (deux chapelles), puis au XIXème siècle. Sa nef à trois travées est unique et son chœur est plus étroit. Elle présente un portail à tympan trilobé et des chapiteaux ornés de feuilles recourbées, de têtes et de griffons.

En 1097, lors de son passage à Souvigny, le pape Urbain II confirma par une bulle la possession de l’église au prieur de Souvigny. Cette possession fut confirmée par une seconde bulle du pape Eugène III, en 1152. L’église fut fermée durant la Révolution. Elle ne fut rendue au culte qu’en 1852

(Source : www.auvergne-centrefrance.com)

Les environs

Marigny – château de Charnes à 1km au nord

Saint Menoux – Eglise à 5 km à l’ouest

Bourbon l’Archambault – la Forteresse à 13 km à l’ouest

Le Montet – église Saint-Gervais – Saint-Protais

Epoque : XII° – XIX° – Protection : MH (1889)
Propriétaire : commune du Montet
Visite : oui
Dates et horaires : Toute l’année, tous les jours de 9h à 19h.
Adresse : Place du Général Hoche 03240 Le Montet
Téléphone :
Courriel :
Site internet :

Travelers' Map is loading...
If you see this after your page is loaded completely, leafletJS files are missing.
Le Montet (lieuxsacres.canalblog.com)
Le Montet (lieuxsacres.canalblog.com)
Le Montet (lieuxsacres.canalblog.com)
Le Montet (lieuxsacres.canalblog.com)
Le Montet (lieuxsacres.canalblog.com)
Le Montet (lieuxsacres.canalblog.com)

Situation

Le Montet se situe à 36 km au sud-ouest de Moulins et à 48 km au nord-est de Montluçon.

Histoire

La paroisse du Montet appartenait autrefois au diocèse de Bourges. Cette église romane marque le centre d’un ancien prieuré bénédictin fondé en 1195 par le sire de Bourbon, Archambault II, et dépendait du monastère de Michel-de-La-Cluse à Avagliana près de Turin dans le Piémont.
Le sommet de la colline où elle s’élève a livré les traces d’une importante occupation antique, site néolithique et ancien camp romain.
Dévastée par les protestants en 1568, l’église originelle, où les premiers Bourbon avaient choisi d’élever leurs tombeaux, a été amputée au XIXème siècle de sa partie est.
Actuellement, elle ne comporte plus qu’une nef et deux bas-côtés terminés par un petit choeur.
Ses chapiteaux et son portail principal à l’ouest ont reçu un décor sculpté d’un grand intéret.
On retrouve là, gravé dans la pierre, les indications sur toutes les énergies présentes en ce lieu : les serpents entrelacés montrent bien les deux vouivres se croisant sous l’église. Il y aurait aussi présence de rivières souterraines artificielles sous forme de galets.
Sur le parvis, un carré magique, et à l’emplacement du Saint Michel, une cheminée cosmo-tellurique.
Sur les chapiteaux, des oiseaux affrontés buvant au même calice, des entrelacs, des rinceaux et autres feuilles d’acanthe rappellent ceux de Souvigny, alors que le portail, dont la frise grecque et les serpents sont authentiquement romans, rappelle l’un des portails du monastère de Cluse. Le style des chapiteaux porte à croire que l’équipe venue de Bourgogne vers 1150 pour embellir les monastères voisins se doubla d’une équipe de sculpteurs de l’école d’Auvergne pour les chapiteaux à personnages et les têtes phytomorphes (jaillissant de feuillages).
Un superbe triton nous parle encore des deux courants d’eau souterrains avec sa queue de poisson bifide.
Sur un autre pilier, de la gueule d’un taureau (tellurisme) sortent les deux courants, qui se séparent en deux chacun, puis en trois. Ce qui nous donne 12 à la fin. Entre ces entrelacs, une grenade, symbole de la connaissance. Un lion à tête d’homme, ailes d’aigle et pieds de taureau (tétramorphe ou sphinx), les deux pattes arrière dans un vase entouré du serpent terrestre, les énergies d’en bas,(sur le serpent, les 7 chakras principaux) montre le cordon autour des reins du personnage à sa gauche (d’ailleurs ce n’est pas un noeud qui ferme le cordon, mais les deux pans passent l’un dans l’autre, le “flux” n’est pas coupé). Ce personnage est bien ancré par la position de ses jambes à la terre, et se relie au ciel avec un bras levé. De l’autre main, il montre son chakra coronal. Le cordon, ou ceinture des moines marque la différence entre les chakras supérieurs et inférieurs. Un des pieds du personnage est relié à une sorte de bourgeon-grenade, ou peut-être le symbole des failles, sur lequel le tétramorphe pose aussi une patte. La queue de l’animal se termine par une tête de… je ne sais pas trop quoi, (il se pourrait que ce soit la tête du taureau vu précédemment) regardant en arrière, vers le passé, vers l’expérience.
Il a la gueule ouverte, pour raconter, prévenir ?  Le tétramorphe de l’autre côté a une crinière différente. Je pencherai pour une face de soleil et une face de lune, ce qui relie aux astres.
L’énergie du lieu nous permettrait-elle de nous élever ?
Dans l’explication “éxotérique”, il est dit que ce chapiteau représente le prophète Daniel dans la fosse aux lions, levant une main afin d’imposer le respect aux bêtes…
Le clocher, situé à l’angle nord-ouest du monument, est l’oeuvre de l’architecte Lassus, auteur du sacré-coeur de Moulins. Il s’est servi des pierres de l’ancienne église ruinée.
La longueur de l’église est de 60 mètres, largeur 15 mètres, longueur du transept 28 mètres, sa largeur 6 mètres, la hauteur des bas-côtés de 9 mètres, la hauteur du transept de 13 mètres et celle de la grande nef de 15 mètres.
A l’intérieur, plusieurs maquettes représentent Le Montet aux différents âges de son histoire :
Habitée depuis la plus haute antiquité, la colline était, avant que la main de l’homme n’en eut adouci les pentes, un rocher, au sommet duquel les gaulois bâtirent un premier sanctuaire. Les romains installèrent également un camp fortifié, avec la présence d’un temple.
Le christianisme s’implanta dans la région, et Le Montet fut évangélisé par Saint Ursin. Une modeste église fut construite près du sanctuaire païen. Le village est protégé par des palissades en bois contre les invasions wisigothes. Le Montet de par sa position géographique, était situé à la bifurcation d’anciennes voies romaines, donc gauloises, ce qui a permi son rapide développement.
Au moyen-âge, Le Montet devint un poste d’observation. Le monastère fut fondé en 940 et devint un important prieuré de plus de 50 moines. C’est sur leur initiative que fut érigée la muraille d’enceinte de la ville.L’église prieurale était  considérée à l’époque comme le plus beau et le plus vaste des édifices religieux du Bourbonnais. Jusqu’au désastre de 1568, où la ville fut ravagée par les protestants. Il reste des traces de l’incendie dans l’église, sur les pierres.
(source : lieuxsacres.canalblog.com)

Les environs

Noyant d’Allier – Les côtes Matras (point de vue) à 7 km au nord

Le Theil – château de Fontariol à 7,6 km au sud-est

Buxières les Mines – château de la Condemine à 12 km au nord-ouest

Domérat – église Notre Dame

Epoque :  XII° – Protection : MH (1910)
Propriétaire : Commune de Domérat
Visite : libre avec dépliant
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone :
Courriel : paroissesaintfrancoisdassise03.eklablog.com
Site internet :

Travelers' Map is loading...
If you see this after your page is loaded completely, leafletJS files are missing.
Domérat - la crypte (berry.medieval.over-blog.com)
Domérat (www.allier-hotels-restaurants.com)

Situation

Domérat est à 6,9 km au nord-ouest de Montluçon

Histoire

L’église Notre Dame est construite sur d’anciennes parties du XIIème siècle, conservées lors de sa restauration entre 1860 et 1865.
Elle est surtout célèbre pour sa crypte du XIème siècle dans laquelle on peut trouver une statue de Notre Dame de la Râche.

L’église
L’église en elle même est simple. L’entrée de la crypte se fait par le côté gauche du choeur, la sortie du côté droit à été murée. Quelques peintures anciennes, quelques statues et chasses donnent à l’ensemble une atmosphère sereine.

La Crypte
Cette crypte, la plus grande et l’une des plus anciennes du Bourbonnais,  s’étend sous tout le chœur, à l’emplacement d’une nécropole mérovingienne. Véritable petite église, elle comprend trois nefs de cinq travées, voûtées d’arêtes.
Ces voûtes retombent, dans le vaisseau central, sur des colonnes à chapiteaux simplement épannelés, autrefois peints, et à socle bagué.
La crypte fut bâtie aux environs de 1090. L’évolution de Domérat est liée à cette église, construite grâce à la présence des moines qui ont planté de la vigne sur le terroir.
La lèpre fit son apparition en 1195, et les habitants du pays se tournèrent vers celle qui aurait pu les aider, Notre-Dame.
Une statue lui fut dédiée, qui s’appellera Notre-Dame de la Râche, puisque dans le patois du pays, la lèproserie était baptisée la “Râcherie”. On construisit alors de petites chapelles autour de cet enclos, au champ des chapelettes.
Lorsqu’avec le temps la maladie disparut, la statue fut conduite dans la crypte actuelle. Petit à petit naitra la dévotion qui portera sur les maladies ressemblant à la lèpre.
La vierge en bois sera, à la fin du XVIème siècle, remplacée par une statue en pierre, la vierge à l’oiseau, réplique semble-t-il de l’originale. Mutilée à la révolution, elle fut restaurée en 1971.
Le rituel se déroule selon une tradition antique, avec cette phrase prononcée :” dépouillez-vous du vieil homme pour vous revêtir de l’homme nouveau.”
Dans la crypte, certains points permettent de recevoir le son amplifié. Ces points sont situés sur un croisement du réseau Hartmann. Le son envoie des vibrations qui sont senties jusque dans le choeur situé au dessus.

(source : lieuxsacres.canalblog.com)

Les environs

Huriel -château de La Toque à 6,2 km au nord-est

Monluçon – Musée de la musique (MUPOP) à 6,5 km au sud-est

Audes – Château de la Crête 14 km au nord

Huriel – église Notre Dame

Epoque :  XII°- Protection : MH 1862
Propriétaire : commune d’Huriel
Visite : oui
Dates et horaires : Visite libre avec document ou visite guidée.
Ouverte toute l’année de 9h à 18h. Visites guidées sur R.V.

Adresse :
Téléphone : 04 70 28 94 91
Courriel :
Site internet :

Travelers' Map is loading...
If you see this after your page is loaded completely, leafletJS files are missing.
Huriel - église Notre Dame (®Bernard Duplaix)
Huriel (files1.structurae.de)
Huriel - église Notre Dame (®Bernard Duplaix)
Huriel - église Notre Dame (®Bernard Duplaix)
Huriel (lieuxsacres.canalblog.com)
Huriel (www.mairie-huriel.fr)
Huriel - peinture murale (eglisespeintesenbourbonnais.planet-allier.com)

Situation

Huriel se situe à 13 km au nord-ouest de Montluçon

Histoire

Ancienne église prieurale et paroissiale dépendant autrefois de l’abbaye de Déols, près de Châteauroux, Notre-Dame d’Huriel est un remarquable édifice roman, datant du début du XIIème siècle. Outre des caractères très marqués, l’église Notre-Dame se distingue également à travers des éléments architecturaux très originaux : en premier lieu, avec la coupole à huit pans montée sur pendentifs et trompes surplombant la croisée du transept, et aussi, avec son porche à arcature triple (schéma assez rare dans l’Allier, seulement trois édifices en relevant, notamment Châtel-Montagne) surmonté à l’intérieur par une tribune desservie par un double escalier. En forme de croix latine, Notre-Dame trouve son originalité à travers les influences auvergnates, berrichonnes et limousines reconnaissables dans son architecture, influences qui s’expliquent par la situation même de la ville d’Huriel, aux confins de l’Auvergne, près de la Marche et du Berry.

L’originalité de Notre-Dame ressort également à travers sa sculpture et son mobilier : le décor sculpté extérieur est très riche, avec un cordon de billettes qui cerne l’édifice quasiment en son entier, et au niveau des modillons et des chapiteaux des colonnettes qui flanquent les fenêtres, des éléments abstraits (entrelacs, feuillages, copeaux, …) mais aussi figuratifs (têtes animales et humaines, petits personnages). Les chapiteaux de la croisée, s’ils relèvent d’une facture assez frustre due à la dureté du granit employé, n’en sont pas moins intéressants, avec en particulier un homme ascensionnel jumeau de celui de Châtel-Montagne. Au titre du mobilier, la grille du chœur en fer forgé, réalisée sans aucune soudure ni rivet, est exceptionnelle : en forme de petites volutes, elle date des XIIème -XIIIème siècles, et est classée “objet historique” depuis 1841. En mai 2003, deux importants panneaux peints ont été découverts et restaurés : la première de ces fresques date de la fin XIVème, et représente Saint-Martin dans l’épisode de la Charité… la seconde, date du XVIIème siècle, et figure une Annonciation.

(source : www.auvergne-centrefrance.com)

Ferrières sur Sichon – Grotte des fées

Epoque :  – Protection :
Propriétaire :
Visite : oui
Dates et horaires : Prendre la clé et la lampe de poche auprès de la Maison de la Vallée du Sichon, 1 place de la Poste à Ferrières sur Sichon.
Tél : 04 70 41 14 89
Adresse : Hameau de Forest 03250 Ferrières-sur-Sichon
Téléphone : Office du tourisme 04 70 59 38 40
Courriel : ot.mayet-montagne@wanadoo.fr
Site internet : www.tourisme-montagne-bourbonnaise.com

Travelers' Map is loading...
If you see this after your page is loaded completely, leafletJS files are missing.
Grotte de Fées (www.ferrieres-sur-sichon.fr)
Grotte de Fées (www.randos-allier.com)

Actualités : Découvrir la grotte aux fées et ses légendes (La Semaine de l'Allier 6 août 2020)

Ferrières sur Sichon - Grottes des fées (Semaine de l'Allier 6 août 2020)

Situation

Ferrières sur Sichon se situe à 26 km au sud-est de Vichy

La Grotte des Fées (Hameau de Forest) se situe à 1,7 km au sud-ouest de Ferrières sur Sichon

Histoire

Magnifique cavité située au bord du Sichon, cette grotte doit son nom à la légende selon laquelle des fées l’habitaient.
Ornée de concrétions et de cascatelles, elle développe 44m de réseau pénétrable.
La 1ère partie, dite touristique, est une galerie aux parois de calcite longue de 30m.
La 2ème partie, dite spéléologique, est basse et étroite, elle nécessite une tenue adaptée

Il était une fois en Montagne Bourbonnaise…
« LA GROTTE DES FEES »

Les parois de la Grotte des Fées près de Ferrières sont couvertes de stalactites formées par les dépôts des eaux calcaires qui suintent à travers la voûte. L’ensemble de ces concrétions présente les formes les plus bizarres que l’imagination interprète suivant sa fantaisie.
Dans le fond de la grotte un bloc de rocher représente assez confusément la forme d’un homme soutenant la voûte sur ses épaules. On raconte que jadis un géant habitait le bois Boudet où il faisait de grands ravages, s’emparant des bœufs et des moutons des alentours ; les fées aussi bonnes que leur voisin était mauvais, lui jouèrent plus d’un tour pour soustraire les paysans à sa férocité. Aussi le géant conçut-il contre les fées une haine profonde ; un jour il pénétra dans leur grotte et tenta de faire écrouler la voûte en la soulevant sur ses épaules. Les fées l’ayant aperçu allumèrent un grand feu de balais à l’entrée de la grotte. Le géant mourut asphyxié et le rocher qui soutient aujourd’hui la voûte représente son corps resté en place et pétrifié dans son dernier sommeil.
Vers l’entrée de la grotte, un rocher allongé représente une femme enveloppée dans un linceul ; un jour la plus jeune des habitantes de la grotte se baignait dans le Sichon quand elle fut aperçue par un être bizarre, moitié faune, moitié magicien. Séduit par la beauté de la baigneuse, le faune résolut de l’enlever. La jeune fée très effrayée s’enfuit à toutes jambes, serrée de très près par son ennemi qui l’atteignit juste au moment où elle entrait dans la grotte ; pour lui échapper, elle se changea en pierre et prit la forme d’une nymphe.
A l’entrée de la grotte un énorme bloc de pierre désigné sous le nom de rocher du chameau est également l’objet d’une légende. Autrefois vivait quelque part en Orient, une jeune princesse de la plus grande beauté. Ses parents voulaient lui faire épouser un chevalier qu’elle n’aimait pas. Comme on ne cessait d’insister pour qu’elle se décide et que même on la menaçait des plus cruels châtiments si elle persistait dans son refus, elle s’enfuit du logis paternel et se dirigea vers l’ouest sans bien savoir où elle allait. Après avoir marché bien des jours et bien des nuits, elle finit par arriver dans la montagne bourbonnaise où les braves fées, prenant pitié de sa fatigue et de sa détresse, la secoururent et la recueillirent dans leur grotte. Là, elle ne manqua de rien et connut la paix et la tranquillité mais hélas, ce ne fut pas pour longtemps. Un jour, en effet, qu’elle reposait au bord du Sichon elle vit soudain apparaître un officier de son père suivi de plusieurs soldats. Comprenant tout de suite que cette caravane était à sa poursuite, elle poussa un cri de terreur et se mit à courir dans la direction de la grotte afin de s’y cacher et d’échapper à ses ravisseurs. Une vieille fée entendant ses cris accourut à son secours. Elle arriva juste au moment où l’officier atteignait la princesse et tendait la main pour la saisir. Voyant le danger que courrait la protégée, la fée arracha du sol un gros quartier de rocher et le lança avec force sur la tête du soldat qui fut écrasé et tué sur le coup ainsi que sa monture. Ils furent ensevelis sous les débris du rocher qui les recouvrit comme un manteau de pierres et forma ainsi le bloc que l’on voit à l’entrée de la grotte des fées.

(source : www.tourisme-montagne-bourbonnaise.com)

Ferrières sur Sichon- Musée de Glozel

Epoque :  – Protection :
Propriétaire :
Visite :
Dates et horaires : De juin à septembre inclus, le Musée de Glozel est ouvert tous les dimanches après-midi de 14h à 18h
Adresse : Musée de Glozel – Glozel – 03250 Ferrières-sur-Sichon
Téléphone : 04 70 41 12 96
Courriel : contact@museedeglozel.org

Site internet : www.museedeglozel.org

Travelers' Map is loading...
If you see this after your page is loaded completely, leafletJS files are missing.
Glozel (www.allier-auvergne-tourisme.com)
Emile Fradin et le le chanoine Côte (© Musée de Glozel)
Glozel (jean.dif.free.fr)
Fouilles de Glozel (www.valeursactuelles.com)
Ferrières sur Sichon - Glozel (Emile Fradin)
Ferrières sur Sichon - Glozel (entrée de la Grotte de Puyravel)
Ferrières sur Sichon - Glozel (le champ des fouilles)
Ferrières sur Sichon - Glozel (le musée)
Ferrières sur Sichon - Glozel (le musée)
Ferrières sur Sichon - Glozel (les fouilles)
Ferrières sur Sichon - Glozel (les fouilles)
Fouilles de Glozel (www.valeursactuelles.com)

Actualités : Glozel ... Une incroyable aventure (La Semaine de l'Allier 7 mars 2024)

Situation

Ferrières sur Sichon se situe à 26 km au sud-est de Vichy

Le musée de Glozel se situe à 5 km au nord-ouest de Ferrières sur Sichon

Histoire

1924 : une chambre de la maison familiale…

Le Musée de Glozel est aussi ancien que l’invention du gisement. En effet, dès la fin de l’hiver 1924, époque des premières découvertes, les conditions muséographiques, à savoir conservation et exposition, sont déjà réunies. Les objets recueillis sont rassemblés au village de Glozel. On expose en plein air les éléments de structure (dalles et briques à cupules). Le mobilier archéologique, quant à lui, est conservé à l’intérieur d’une chambre de la maison de Claude Fradin, inventeur du gisement avec son beau-fils Antoine et son petit-fils Emile. Rapidement les curieux, essentiellement de Ferrières et des communes voisines, commencent à affluer. La visite est libre.

1926 : … puis le séjour…

Mais le volume croissant des découvertes et leur médiatisation, entraînant une fréquentation toujours plus importante, rendent nécessaire une organisation muséographique plus élaborée. Joseph Loth, membre du Collège de France et de l’Institut, après sa visite et ses fouilles d’octobre 1926 avec Henri Breuil, encourage vivement l’aménagement d’un véritable musée. On décide alors d’affecter une pièce de la maison à cet usage. Ce sera le séjour. Des étagères sont d’abord accrochées aux murs. Puis des vitrines leur sont substituées. Un panneau, fixé au-dessus de la porte d’entrée, signale le Musée et en affiche le statut. Un droit de visite est désormais perçu.

1929 : aménagement d’une salle d’exposition

Enfin, en 1929, après les deux années les plus bruyantes de l’affaire, un nouveau local, dans le prolongement nord de la maison, est réaménagé pour accueillir les collections. Le panneau du Musée change de porte. C’est cette pièce unique qui, aujourd’hui encore, constitue le Musée de Glozel. Elle a bénéficié entre-temps de quelques aménagements. Ils n’ont toutefois pas entamé ce charme des cabinets d’antiquités

(source : www.museedeglozel.com)

Les environs

Ferrières sur Sichon – Château de Montgilbert à km au nord

Ferrières sur Sichon – Grotte des fées à 6 km au sud-est

Lavoine – Rocher Saint Vincent à 12,4 km au sud-est

Escurolles – église Saint-Cyr et Sainte Julitte

Epoque : XI° – Protection : ISMH (1927)
Propriétaire : Commune d’Escurolles
Visite :
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet des églises peintes : eglisespeintesenbourbonnais.planet-allier.com
Blog des églises peintes : repb03.free.fr

Travelers' Map is loading...
If you see this after your page is loaded completely, leafletJS files are missing.
Escurolles St Cyr et Ste Julitte (atlas-roman.blogspot.fr)
Escurolles St Cyr et Ste Julitte (églises peintes en Bourbonnais)

Situation

Escurolles se situe à 15 km à l’ouest de Vichy

L’église est dans le village

Histoire

La première église, aux alentours de l’an mil, est une dépendance de Cluny .
L’édifice comporte une nef avec deux bas-côtés, un transept, une abside et deux absidioles. Ces éléments datent du XIe et du XIIe siècles. A l’origine le clocher était situé à la croisée du transept, mais il fut détruit par la foudre en 1760, et ensuite remplacé par un clocher-porche construit sur le côté ouest. Comme sa fragilité en faisait un danger, on ne garda que deux piles et la charpente à l’extérieur de l’édifice.
Les chapiteaux des piliers ont des motifs à décor végétal ou animalier. Des travaux sur la voûte ont permis de découvrir une peinture murale représentant un Christ en gloire, probablement du XIIIe siècle.
L’église possède également des vitraux signés du maître-verrier Emile Thibaud et un vitrail de Jacques Dorchies représentant l’Eucharistie.

(Source : www.petit-patrimoine.com)

Les environs

Escurolles – La château des Granges dans le village

Escurolles – Notre Dame de Banelle à 2,9 km au sud-est

Saint-Pont – Le château à 3,5 km au nord-est