Sauvagny – château de La Varenne

Epoque :  XVII° – XVIII°- Protection :
Propriétaire :
Visite :
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet :

Sauvagny - La Varenne (www.allier-hotels-restaurants.com)
Sauvagny - La Varenne (l.yimg.com)
Sauvagny - La Varenne (www.allier-hotels-restaurants.com)
Sauvagny - La Varenne (www.allier-hotels-restaurants.com)

Situation

Histoire

Les environs

Saint-Menoux – château de Souys

Epoque : XVII – Protection : ISMH (1952)
Propriétaire : Ville de Bobigny
Visite : non
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet :

Souys (patrimoine-de-france.com)
Souys (jbsvilletaneuse.free)
Souys (Wikipédia)
Souys (www.flickr.fr)

Situation

Saint- Menoux se situe à 5 km à l’ouest de Moulins

Le château de Souys se situe à 2 km au nord-est de Saint-Menoux

Histoire

C’est Pierre Gaudon qui fit construire le château au milieu du XVIIe siècle. Ses plans sont attribués à Mansart. Il est composé d’un corps de logis flanqué de deux ailes formant avant corps sur chaque façade, chaque corps de bâtiment est couvert d’une toiture en ardoises, indépendante, en pavillon, les façades sont ornées de chaînes d’angles traitées en gros bossages à fort relief. Le château est disposé au fond d’une cour d’honneur dont l’accès s’effectue par un portail en plein cintre encadré d’une ordonnance ionique également traitée en forts bossages. De chaque côté de l’entrée s’élève un pavillon dans le style du château abritant, à gauche, des dépendances, à droite, une chapelle établie sur plan en rotonde et couverte d’une coupole. A droite de la chapelle s’étendent les communs avec un portail à bossages et un comble brisé.

Un château dessiné pour Madame de Montespan ?

Le château est l’objet de récits quasi-légendaires, transmis par les différentes familles qui ont habité les lieux. Elles concernent toutes le personnage de Madame de Montespan, favorite royale, mère de huit enfants qu’elle a du roi Louis XIV. Le château aurait été construit sur l’ordre du Roi pour Madame de Montespan. Le fait s’avère inexact. Madame de Montespan ne fait que séjourner à Souys : on est sûr qu’elle y est reçue en mai 1700 alors qu’elle se rend aux eaux de Bourbon-l’Archambault ; son passage à Saint-Menoux est signalé le 17 mai. Peut-être s’y est-elle arrêtée à d’autres moments entre 1692 et 1707, date à laquelle elle est meurt à Bourbon-l’Archambault.

La tradition fait même référence à un séjour en 1668. Madame de Montespan y aurait accouché d’un enfant. La chambre du premier étage a été appelée pendant longtemps « chambre de Madame de Montespan » ou « chambre rouge ».

Souys à partir du XVIII°

En 1692, Jacques Faverot acquiert en même temps que Souys la terre voisine de Cluzor. Les deux fiefs réunis forment un ensemble important, d’une superficie de 600 à 700 hectares.

Madame de Serre de Saint-Roman achète le château en 1775. Quand éclate la Révolution, la famille de Saint-Roman quitte Paris pour Souys. Jacques-Pierre de Saint-Roman est condamné à mort et sera guillotiné. Madame de Serre de Saint-Roman voit quant à elle tous ses biens mis sous séquestre. Cependant, un arrêté de février 1799 lui réattribue Souys et Cluzor.

En 1849, les terres de Souys et son château sont acquis par Léonce Thomas et sa belle-mère. La famille Thomas reste attachée à Souys et à sa région pendant plusieurs générations, Max Thomas choisissant sa première épouse dans une famille d’Agonges, les Saulnier de Praingy. C’est Max Thomas qui commande à l’architecte Moreau des travaux et qui transforme la décoration intérieure. À sa mort en 1911, tous ses biens de Souys sont l’objet d’un long et difficile partage lors du règlement de sa succession : il avait eu onze enfants. Le château devient le lieu de vacances de toute la famille Thomas jusqu’en 1945. La fille d’Henri Thomas prend la décision de le vendre en 1948. L’acquéreur est Monsieur de La Motte Rouge ; il le cèdera à la municipalité de Bobigny qui cherche un lieu pour installer un centre de vacances.

(source : wikipédia)

Les environs

Saint-Menoux : L’église à 2 km au sud-ouest

Moulins – Le musée du Costume – CNCS à 12.3 km à l’est

Souvigny – La Prieurale à 7.7 km au sud

Yzeure – église Saint-Pierre

Epoque : XII° – Protection : MH(1914)
Propriétaire : Commune d’Yzeure
Visite : Les visites sont libres tous les jours de 9 h à 12 h et de 14 h à 16 h 45.
Dates et horaires : Des visites guidées sont proposées sur réservation au 04 70 48 53 80 ou culture@ville-yzeure.com
Adresse :
Téléphone : 04 70 48 53 80
Courriel : culture@ville-yzeure.com
Site internet :

Yzeure (lieuxsacres.canalblog.com)
Yzeure (lieuxsacres.canalblog.com)
Yzeure (lieuxsacres.canalblog.com)
Yzeure (lieuxsacres.canalblog.com)
Yzeure (lieuxsacres.canalblog.com)
Yzeure (www.allier-auvergne-tourisme.com)

Actualité : 90 heures pour le buste reliquaire du XVII° (La Montagne du 7 novembre 2023)

Yzeure - Le buste reliquaire de église Saint-Pierre - La Montagne

Situation

Yzeure se situe à 1,9 km à l’est de Moulins

Histoire

Un monastère fut construit au IX ème siecle. L’église Saint-Pierre fut rattachée à l’abbaye de bénédictines de Saint-Menoux au XII ème siècle et garde la trace de plusieurs campagnes de construction.Construite en partie à l’époque romane, elle est remarquable par l’ornementation de sa façade du XII ème siècle et par sa crypte du IX ème et X ème siècle.Le mobilier est également exceptionnel comme les bancs d’œuvre des corporations, la statue polychrome de la Vierge à l’enfant dont le drapé permet une datation du XIV ème siècle et la chaire en bois sculpté de 1623.
L’édifice a conservé, dans la majeure partie de son ensemble, ses dispositions primitives remontant à la première moitié du XII ème siècle. La nef comprend quatre travées voûtées en berceau d’ogive sur doubleau. Les bas-côtés sont couverts de voûtes d’arêtes. Les deux transepts, la travée de croisée et la travée formant chœur sont fermés par des berceaux plein cintre. Le sanctuaire est voûté sur nervures. Du côté gauche du chœur, une grande chapelle divisée en deux travées a remplacé au XV ème siècle le bas-côté roman et son absidiole. Les chapelles latérales au bas-côté gauche de la nef, ont été établies aux XVII ème et XVI ème siècles. Au début du XVII ème siècle, construction du clocher sur la première travée de la nef. Ce dernier se trouvait primitivement sur la croisée. Une crypte, paraissant dater du XI ème siècle, s’étend sous le sanctuaire et une partie du chœur. Elle a été déblayée en 1872. Les voûtes d’arêtes qui la forment, portent des traces de peinture du XV ème siècle et des inscriptions sur phylactères.

(source : www.allier-hotels-restaurants.com)

Les environs

Moulins – Palais Ducal à 2 km à l’ouest

Moulins – Musée du costume CNCS à 4 km à l’ouest

Moulins – Cathédrale à 2 km à l’ouest

Toulon sur Allier – église Sainte Marthe

Epoque :  XI°- Protection : ISMH (1926)
Propriétaire : commune de Toulon sur Allier
Visite :
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone : 04 70 20 41 28
Courriel :
Site internet :

Toulon sur Allier (www.flickr.com)
Toulon sur Allier (photos-eglises.fr)
Toulon sur Allier (www.randos-allier.com)

Actualités : Restauration de l'église, chacun participe à son niveau (La Semaine de l'Allier 24 mars 2016)

Toulon sur Allier - Eglise sainte Marthe (La Semaine de l'Allier 24 mars 2016)

Situation

Toulon sur Allier se situe à 5,9 km au sud de Moulins

Histoire

Nef à quatre travées, datée du XI ème siècle, avec des voûtes en berceau modernes. Transept, abside et absidioles du début du XIII ème siècle. Transept saillant dont la croisée est couverte d’une coupole octogonale sur trompes, montée sur un tambour dont les faces verticales et latérales sont percées de fenêtres plein cintre. Sur le bras nord, ouvre une absidiole en hémicycle. Le bras sud et son absidiole ont été remaniés au XIX ème siècle. La porte de façade est ouverte sur un avant-corps couvert d’un glacis au-dessus d’une ligne de corbeaux à masque. Sur les faces latérales et l’abside subsistent les modillons à copeaux ou à cartouches. Le clocher carré est percé sur chaque face (sauf à l’est, remaniée) de trois baies plein cintre séparées par des colonnes jumelées. L’église a été agrandie en 1894, la façade occidentale a été refaite à neuf, le sommet du clocher retouché.

(source : www.allier-hotels-restaurants.com)

Teillet-Argenty – église Saint-Blaise

Epoque :  XII°- Protection : MH (1934)
Propriétaire : Commune de Teillet-Argenty
Visite :
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet :

Teillet-Argenty - Saint Blaise (berry.medieval.over-blog.com)
Teillet-Argenty - Saint Blaise (berry.medieval.over-blog.com)

Situation

Teillet-Argenty se situe à 10,5 km au sud-ouest de Montluçon

Histoire

L’église est de plan longitudinal, sans transept et composée d’une seule nef de quatre travées. L’édifice est ponctué de contreforts qui viennent renforcer la structure. Les travées sont séparées par des doubleaux brisés. L’abside est voûtée en cul-de-four. Deux contreforts sont adossés au portail ouest. Celui-ci est est en arc brisé à ressauts et ses ébrasements sont composés  de quatre rouleaux. L’élévation est une alternance d’appareil régulier en moellons dressés et en pierre de taille. Le toit de l’église est en tuile et en bâtière. 

L’église a été vendue comme bien national à la Révolution. Elle a été transformée en étable. Dans les années 1970, elle a été rachetée par la commune pour un franc symbolique

Sainte-Thérence – église Sainte-Thérence

Epoque :  XII°- Protection : MH (1965)
Propriétaire : commune de Sainte-Thérence
Visite : Libre avec dépliant
Dates et horaires : Toute l’année, tous les jours de 9h à 19h
Adresse :
Téléphone :
Courriel : http://www.saintetherencebourg.fr/
Site internet :

Sainte-Thérence (www.allier-hotels-restaurants.com)
Sainte-Thérence (Antoine Garnier)
Sainte-Thérence (Antoine Garnier)

Situation

Sainte-Thérence se situe à 15,7 km au sud de Montluçon.

Histoire

Sainte Thérence était une humble bergère qui vécut au début du VI ème siècle. Un jour qu’elle traversait à gué pour rejoindre l’ermite Saint Marien, un orage provoqua une crue soudaine. Alors qu’elle se noyait, la voix de Dieu arrêta les flots. Pour remercier le seigneur, elle conçut le projet de construire une chapelle.En gardant son troupeau, elle ramassait les pierres le jour, en remplissait un chariot tiré par son âne et les emportait au maçon le soir en rentrant à la ferme. Un matin, un ours les surprit et égorgea le pauvre âne. Thérence se fâcha, pris l’ours par les oreilles et l’attela à la charrette. L’ours remplaça l’âne… Le soir venu, Thérence le libéra et à sa grande surprise, trouva son âne devant sa porte.Quand la sainte mourut, conformément à sa volonté, son corps fut confié à un chariot attelé par des bœufs, pour qu’elle soit enterrée là où ils s’arrêteraient. Ils tombèrent à genoux en un lieu qui devint Sainte-Thérence.

Improprement appelé tombeau : ce monument est fait d’une grosse dalle de pierre, parfois qualifiée de dolmen qui repose sur des pierres dressées et des colonnes. La pierre porte des signes de grattage, le but était d’obtenir un peu de poussière qu’on mélangeait à des breuvages pour soigner maux de gorges et convulsions.

(source : www.allier-restaurants.com)

Saligny sur Roudon – La Varenne

Epoque :  XV°- Protection : ?
Propriétaire : privé
Visite :
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet :

La Varenne (Hervé Rebours)
La Varenne (Hervé Rebours)
La Varenne (www.randos-allier.com)
La Varenne (www.allier-hotels-restaurants.com)

Situation

Saligny se situe à 40,7 km au sud-est de Moulins

et à 58,2 km au nord-est de Vichy.

La Varenne se situe à 6,4 km au sud’ouest de Saligny sur Roudon

Histoire

Le château de la Varenne comporte un corps de logis de plan rectangulaire à un étage, encadré sur la façade postérieure par deux tours circulaires talutées, et flanqué en retour d’équerre, d’une haute tour quadrangulaire, coiffée d’un toit en pavillon. Dans le prolongement de cette tour, un petit corps de logis bas, augmenté dans l’angle extérieur d’une tour ronde, ferme un côté de la cour. La façade du logis principal, donnant sur cette cour, est rythmée par une galerie ouverte, portée par des piliers qui, à l’étage, soutiennent la retombée du toit. L’ensemble est entouré de douves.
qu’un pigeonnier témoignent de la demeure d’un gentilhomme, campagnard vivant sur ces terres en chassant le cerf ou le loup dans les bois voisins.