Avermes – château de Segange

Epoque :  XV° -XVI°- XIX° Protection : ISMH (1938)
Propriétaire : Famille de Tracy
Visite :
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet :

Seganges (www.avermes.fr)
Seganges (www.chateau-fort-manoir-chateau.eu)
Seganges (www.chateau-fort-manoir-chateau.eu)
Seganges (www.chateau-fort-manoir-chateau.eu)

Situation

Avermes se situe à 3,6 km au nord de Moulins

Le château de Seganges se situe à4,3 km au nord-est d’Avermes

Histoire

La façade sud-est du château de Seganges, avec sa haute toiture en ardoise, est ornementée dans le style Renaissance. A l’extrémité droite du corps de logis, un arceau de pierre marque l’emplacement d’une porte cochère, autrefois le centre d’une façade restée inachevée. La tourelle à encorbellement construite au milieu de la façade renferme une chapelle. De chaque côté de cette tourelle, deux bas-reliefs portent les initiales de François Ier et du connétable, martelées pendant la Terreur.

En 1495, ce manoir reçoit la reine Anne de Bretagne qui, pendant le séjour du roi Charles VIII en Italie pour y faire la guerre, passe quinze mois chez sa belle-soeur Anne de Beaujeu à Moulins. La duchesse Anne de Bourbon fut ravie de prendre un peu de liberté avec elle. Pendant cette période, la capitale du Bourbonnais devient d’ailleurs le centre des affaires du royaume. Le seigneur de Seganges est alors Nicolas Petitdé, argentier du duc Pierre II de Bourbon, et il est possible que le duc et la duchesse aient demandé à l’un de leurs familiers d’accueillir la reine de France.

Anne de Bretagne, veuve de Charles VIII, épousera le roi Louis XII. Elle en aura deux filles, dont l’une sera l’épouse de François d’Angoulême, futur François Ier. Le fils de Nicolas Petitdé sera arrêté lors du procès du connétable. La seigneurie passa entre différents propriétaires. Pendant la Terreur, l’un d’eux mourut à la Mal-Coiffée à Moulins. Le château fut pillé, mais pas démoli. Son histoire est symbolique de la disparition, aux XIVème et XVème siècles, des anciennes familles seigneuriales, dont les terres furent rachetées par des officiers ducaux, résidant ailleurs que sur les biens qu’ils acquéraient, pour accroître leur patrimoine foncier.

L’édifice se compose également d’un beau pigeonnier.

(source : “www.randos-allier.com”)

Les environs

Moulins – La Cathédrale à 4,4 km au sud

Trevol – Le château d’Avrilly à 10,2 km au nord-est

Villeneuve sur Allier – Le château du Riau à 13,4 km au nord-ouest

Autry -Issards – Château de Rimasoir

Epoque :  XVII° – XIX°- Protection :
Propriétaire : Privé
Visite :  Non
Adresse : Rimasoir 03210 Autry-Issards
Téléphone :
Courriel :
Site internet :

Rimasoir vue du ciel (www.ulmag.fr)
Rimasoir vue du ciel (www.ulmag.fr)

Situation

Autry-Issards se situe à 17 km à l’ouest de Moulins

Rimasoir se situe à 2,6 km au sud-est d’Autry-Issards

Histoire

Rimazoir est un logis avec deux tours rondes d’angle en façade, datant de la fin du XIX ème siècle. De Rimazoir, on ne sait pas grand-chose. En 1698, Jean Chérion, marchand, en était fermier. Simple domaine encore au XVIII ème siècle il appartenait aux Aubery, seigneurs du Goutet. Le château actuel a été entièrement restauré au début du XIX ème siècle par Louis de Gaulmyn qui en était devenu propriétaire. Puis de nouvelles constructions y ont été ajoutées vers 1897.

(soucre :”www.allier-hotels-restaurants.com”)

Les environs

Souvigny – La Prieurale à 7,2 km à l’est

Saint-Menoux – église à 7,6 km au nord

Bourbon l’Archambault – La forteresse à 10,2 km au nord-Ouest

Agonges – Château du Vieux Monceau

Epoque :  XVI° – Protection :
Propriétaire : Privé
Visite : non
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet :

Le Vieux Monceau (Allier-hotels-restaurant.com)
Le Vieux Monceau (Allier-hotels-restaurant.com)
Agonges - Le Vieux Monceau (J.P. Luce)
Agonges - Le Vieux Monceau

Situation

Agonges est situé à 18 km à l’ouest de Moulins

Le Vieux Monceau est situé à 500 m au nord-ouest du bourg

Histoire

Le Vieux Monceau est un manoir du XVIème siècle de forme rectangulaire d’un étage et comble perdu à toit pentu et tour carrée dotée d’un escalier à vis. Il possède en outre deux tours rondes. Il est indiqué sur la carte de Cassini sous le nom de “Petit Monceau”.

Ce type de construction correspond à celui des manoirs qui se développent à partir du XVème siècle et qui peut-être la demeure d’un riche bourgeois

Une chapelle de style roman, située au sud-ouest pourrait-être cette chapelle Saint Roch signalée en 1647 comme lieu de culte et de pèlerinage

C’était la maison de repos des religieuses de Saint-Menoux, tout comme Le châtelet à Marigny l’était des religieux de Souvigny.

Les environs

Eglise d’Agonges (1 km au sud-est)

Château de l’Augère à Agonges (4 km à l’est)

Eglise de Saint Menoux (3 km au sud-est).

Agonges – Château de L’Epine

Epoque :  XV° – XVI° – Protection : ISMH
Propriétaire : 
Visite :
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet :

L'Epine (Wikipédia)
L'Epine (Wikipédia)
L'Epine (Wikipédia)
L'Epine - intérieur (Wikipédia)
L'Epine - plan (Wikipédia)

Situation

Agonges est à 18 km au nord-ouest de Moulins.

L’Epine est à 5 km au nord d’Agonges

Histoire

A l’origine, peut-être simple motte médiévale, palissée de bois et protégée par une digue d’argile entourant la structure, le domaine de Lespine, Lépine, ou encore l’Espine, selon les anciennes graphies, devait cependant apparaître, dès le XIIIième siècle, comme une Maison Forte rurale. Les périodes successives d’instabilité politique et de pillages à répétition qu’engendra la très fameuse guerre de Cent Ans, entre le XIVième et le XVième siècle, peuvent expliquer le renforcement des fortifications : l’aménagement des douves remonterait au début de cette époque, alors que la construction des tours d’angle, conférant à l’ensemble architectural son titre de château, daterait du XVième siècle.

La ferme fortifiée de l’Epine constitue aujourd’hui, un des rares exemples de ce type aussi bien conservé en Bourbonnais; malgré l’œuvre du temps, elle se dresse, ou plutôt se love, toujours surprenante dans le bocage et  témoigne encore des craintes d’une époque de grands troubles, déchirée entre héroïsme et sauvagerie.

L’ancien château se présente sous la forme d’un quadrilatère presque parfait, indiquant à ses angles les quatre points cardinaux, entouré de douves toujours en eau, et situé près d’une rivière, la Burge, dont le nom servit à rebaptiser Bourbon l’Archambault durant la Grande Révolution.

On y accède encore par la grande porte en ogive ou la poterne d’entrée, autrefois précédées par un pont levis jeté sur les douves. A première vue, seules subsistent trois des quatre tours, aux angles Nord, Ouest et Sud du bâtiment. Or, si l’on a pu penser qu’il en exista une quatrième à l’Est, rien cependant ne l’atteste et l’absence même de fondations à cet emplacement pose un doute quant à son existence passée. Par ailleurs, demeurent en bon état certains des murs d’enceinte, percés de meurtrières à différentes hauteurs, et servant d’appuis aux maisons et granges.

La partie la plus ancienne est l’ensemble que forment la tour Sud, à gauche de l’entrée, et le petit bâtiment y attenant. Ce dernier possède encore une fenêtre à meneaux en pierre et une ouverture plus ancienne côté route, sa cheminée donnait sur un four à pain dont on distingue encore l’ouverture. Le rez de chaussée de la tour devait servir de chapelle, avec sa pièce voûtée, la seule de la maison, percée de cinq petites fenêtres et d’une porte en  plein cintre. Au dessus se trouvait le pigeonnier, on y accède par un escalier et l’on peut y voir une charpente à deux étages, rayonnant autour d’un très haut poinçon vertical. L’étage le plus haut de cet ensemble à l’aspect d’une roue classique. La seconde roue de la charpente, située plus bas, se distingue par des rayons qui partent, non de l’axe central, mais d’un épais carré de bois bâti autour de cet axe, diminuant de moitié la longueur des rayons comme au château des Bordes. Dans les murs sont logés des nids à pigeons, cylindriques, en terre cuite comme au château de Moncoquet à Châtel de Neuvre.

Les premiers aveux connus remontent à 1322, à cette date, “Etienne Boutefeu, damoiseau, seigneur de Puychapin, alias de Monchanin, de Lespine, rend foi et hommage pour l’hôtel de Puychapin, ensemble les maisons de Lespine et ses dépendances, paroisse d’Agonges, de Couzon et d’Aubigny, châtellenie de Bourbon. ”

En 1688, Charles Legendre, époux de Marguerite de Vialet, chevalier et seigneur de Saint-Aubin sur Loire, de Saligny, de l’Epine, des Noix Cressanges et de la forêt de Liemolles, conseiller du Roi au Grand Conseil, rend foi et hommage de ses nombreuses terres et dépendances, tant pour lui que pour sa femme, épousée l’année précédente. Le fils de ce mariage, Gilbert-Charles Legendre, chevalier, marquis de Saint-Aubin, baron de la Forêt, seigneur de la Motte-Bresson, Le Reau, l’Epine, Liemolles etc…, conseiller du Roi, Maitre des requêtes, est un des hommes les plus riches de son temps. Cependant, à l’époque de la Régence de Philippe d’Orléans et du fameux système financier de Law, le marquis de Saint-Aubin plaça des millions de livres dans les actions de la sulfureuse Compagnie des Indes, et pour ce faire, hypothéqua ses biens fonciers. Lorsque l’affaire parut mal tourner et la banqueroute s’annoncer, il confia ses titres à deux aigrefins avec mission de les vendre, ce qu’ils firent, mais dérobant la somme, ils prirent la fuite pour les Pays-Bas. Dès lors, le marquis se trouvant sans ressource, les créanciers firent saisir les terres. Placées sous bail judiciaire, les choses traînèrent en longueur et ce ne fut qu’entre 1749 et 1751 que les ventes furent réalisées. Gilbert-Charles, resté célibataire, se consola de la perte de sa fortune en écrivant plusieurs ouvrages littéraires et philosophiques, aujourd’hui oubliés.

En 1785, nous retrouvons, grâce aux archives de Beaumont, la propriété de l’Epine entre les mains des Pères Chartreux de Moulins.

En 1791, la terre est aliénée par la Nation, aucune information concernant la période révolutionnaire.

Les temps devenant plus calme, l’Epine se trouve au XIXième siècle entre les mains de la famille Devaulx de Chambord, dont une fille épousa son cousin Devaulx de Villemouse. La fille issue de cette union épousa Calixte de Chavagnac et apporta l’Epine à son mari. Jusqu’en 1988, l’Epine est propriété de la famille de Chavagnac.

En 1988, M. et Mme Ronchaud rachètent la demeure, commencent une réhabilitation et obtiennent l’inscription du château à l’inventaire des monuments historiques.

Depuis la fin de l’année 2001, ce sont M. Laporte et Clemenceau.

De nombreuse questions se posent concernant l’origine  et la signification de l’appellation de “l’Epine”

(source : Alain Martin Saint-Léon)

Les environs

Château de L’Augère 4,1 km au sud

Forêt des Prieurés de Bagnolet à 1 km à l’ouest

Eglise Notre Dame à 5 km au sud

Agonges – Château des Vieux Echardons

Epoque :  XVIII°- Protection : ISMH
Propriétaire : Monsieur et Madame de Praingy
Visite : non
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet :

Les Vieux Echardons (Allier-hotels-restaurant.com)
Les Vieux Echardons (Allier-hotels-restaurant.com)
Les Vieux Echardons (Allier-hotels-restaurant.com)

Situation

Agonges est à 18 km au nord-ouest de Moulins.

Les Vieux Échardons ont leur entrée sur la partie sud de la place d’Agonges.

Histoire

Les Echardons, demeure du XVIIIième siècle s’ordonnent sur trois cotés  d’une cour. Les bâtiments ont conservé leur toit à la Mansart.

L’entrée se fait par  un portail aux piédroits surmontés d’une petite pyramide couronnée d’une boule en pierre. Une tour ronde est accolée au portail. Sa couverture  est un dôme évasé vers la base, surmonté d’un lanternon ajouré d’arcature, lui-même  coiffé d’un petit toit en dôme évasé.

(source : Alain Martin Saint-Léon)

Les environs

Eglise Notre Dame dans le bourg

Château de L’Augère à 3 km au nord

Saint Menoux – Abbaye à 2.7 km au sud

Agonges – château du Breuil

Epoque :  XVIII° – XIX° – Protection :
Propriétaire : Privé
Visite : non
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet :

Le Breuil (collection auteur)
Le Breuil (collection auteur)
Le Breuil (collection auteur)
Le Breuil (Allier-hotels-restaurant.com)
Le Breuil (Allier-hotels-restaurant.com)

Situation

Agonges est à 18 km au nord-ouest de Moulins

Le Breuil est à 2.2 km au nord-ouest du bourg

Histoire

Le Breuil serait, selon certains auteurs, une ville franche fondée vers le XIIème siècle et relevant pour partie de Saint-Menoux. Nicolas de Nicolay signale, en 1569, l’existence d’un château, d’une paroisse et d’une cure. En 1792, cette paroisse est rattachée à Agonges et son territoire est partagé entre Agonges, Saint-Menoux et Bourbon.
De cette ancienne paroisse, il ne reste qu’une chapelle dédiée à Saint-Raphaël, malheureusement encore à usage agricole.

Le Breuil est actuellement une maison bourgeoise, cet ancien logis sur motte, du XVIIIe siècle, fut remanié à la fin du XIXe siècle. Le bâtiment d’habitation se compose d’un long corps de logis de forme rectangulaire, flanqué par un avant-corps en pavillon au centre. Les deux niveaux et le niveau de comble sont largement éclairés par de nombreuses fenêtres et lucarnes. L’avant-corps du XIXe siècle est orné d’un fronton en arc de cercle à la fenêtre du premier étage et d’un fronton triangulaire à la fenêtre des combles. Le Breuil et Beaumont connurent les mêmes propriétaires aux XVIIe et XVIIIe siècles.

En 1631 Jean Esmé de Fonglatié, écuyer, était sieur du Breuil. En 1649 c’était Claude de Troussebois qui détenait la seigneurie. Puis ce furent les famille Faure, Bourdier de Beauregard et en 1871 Le Breuil fut vendu à la famille Durye. Puis le Breuil devient le siège de la station de testage de la race charolaise et acheté il y a quelques années par une famille Bourbonnaise, il retrouve enfin sa vocation familiale.

Les environs

Agonges – Château de L’Augère à 4.4 km au nord-est

Saint-Menoux – Eglise de Saint Menoux à 4.1 km au sud-est

Forêt des Prieurés de Bagnolet à 5,4 km au nord-est

Agonges – Praingy

Epoque :  XIX°- Protection :
Propriétaire : Monsieur et Madame Compagnon
Visite :
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet :

Praingy (lamontagne.fr)
Praingy (www.larondedeschateauxagonges.fr)

Situation

Agonges est situé à 18 km à l’ouest de Moulins

Praingy est situé à 3.9 km au nord du bourg

Histoire

Demeure du XIXiéme siècle construite très probablement sur l’emplacement d’une motte féodale, ˮla Motte Varennesˮ. Praingy est alors plus gentilhommière que château.

La première mention d’un propriétaire de Praingy, datant du 8 septembre 1610, concerne Antoine de Gastel, alias Gastet, seigneur de Marcibaut  et Pringy puis, en 1613, Pierre de Mercy, fils d’Étienne de Mercy, écuyer, sieur de Pringy, et de Gabrielle de Gastet. Le 6 mars 1623 est mentionné René de Mercy, fils d’Etienne, seigneur de Pringy, et de Gilberte Gastet.

Le 18 avril 1646 apparait Marie Thévenin, femme de Jean Vigier, seigneur de Praingy, procureur à Bourbon, le 17 octobre 1653, Gilbert Vigier, également procureur de Roi. En mars et septembre 1657 sont mentionnés Gilbert et Jean Vigier. C’est très certainement ce Jean Vigier, décédé le 23 mai 1698, qui a fait ériger, en 1686 la croix de carrefour qui se trouve dans l’église.

Une certaine Madeleine Vigier de Praingy, née vers 1656 épousera Matthias Troussebois, lui-même né vers 1653 .

Anne-Elisabeth de Troussebois se marie dans la chapelle de Beaumont, le 8 avril 1749 avec Edouard de Beaufort-Montboissier-Canillac.

Est –ce du fait de cette union que Praingy entre dans les possesions des Canillac ? Toujours est-il que lors de la vente de Beaumont, en mars 1785 par Ignace Comte de Canillac, ˮpatrice romain, prince de l’église, Mestre de camp, Lt-commandant du régiment de Bourbon Infanterieˮ, époux de Dame Elisabeth de Roucherolles, à Jean Gilbert Faure, ˮavocat en parlement, conseiller du roi, Président Trésorier de France au bureau de finances de la Généralité de Moulinsˮ, est mentionné dans l’acte de venteˮ….la terre de Praingy comprenant un château et six domainesˮ

Donc les Faure entre en possession de Praingy à cette date. Selon des Gozis, la famille Faure était d’ancienne origine bourbonnaise transplantée en Nivernais Le nouveau châtelain ne jouit que cinq ans de sa propriété puisqu’il trépassa en 1790 laissant une veuve et une fille. Cette dernière, Marie Honorée Théodate Faure étant décédée peu après son père, les biens se partagent entre sa mère née Anne Paris et ses oncle et tante paternels: Charles Faure chanoine du ci-devant chapitre d’Hérisson et Françoise Faure veuve en 2ème  noces de Claude Perceau chirurgien à Hérisson. Ce partage a eu lieu le 9 novembre 1792 et on attribue après tirage au sort Beaumont et Le Breuil à la veuve.

Gilbert Saulnier achètera Praingy en 1802  et en fera don à son fils Fernand. Ce dernier ne l’occupera qu’après que certains travaux de restauration n’aient été réalisés.

(Source : Histoire d’Agonges : A. Martin Saint-Léon)

Les environs

Agonges – église Notre Dame à 3.9 km au sud.

Agonges – château de l’Augère à 204 km au sud-est.

Saint Menoux- Abbaye à 6.4 km au sud.

Saint-Pourçain sur Sioule – église Sainte-Croix

Epoque : XI) – XV° – Protection : MH (1875)
Propriétaire : Commune de Saint-Pourçain sur Sioule
Visite :
Dates et horaires : Toute l’année de 8h à 19h (20h en juillet et août).
Adresse : Place Carnot 03500 SAINT POURCAIN SUR SIOULE
Téléphone :
Courriel :
Site internet :

Eglise Sainte-Croix (vitrail.ndoduc.com)
Eglise Sainte-Croix (www.allier-auvergne-tourisme.com)
église Sainte-Croix - Christ (www.petit-patrimoine.com)
Eglise Sainte-Croix -Vitraux (vitrail.ndoduc.com)

Actualités : L'église fait peau neuve

Saint-Pourçain sur Sioule - église Sainte-Croix (Semaine de l'Allier 9 juillet 2020)

Situation

Saint-Pourçain sur Sioule se situe à 2km au nord de Vichy et à 30 km au sud de Moulins

Histoire

L’ancienne prieurale Sainte-Croix, aujourd’hui paroissiale, est un vaste édifice qui nécessita plusieurs campagnes de construction. Elle présente un porche datant du début de l’époque romane au-dessus duquel s’élève le clocher. La nef gothique est couverte d’une charpente en carène de vaisseau. A l’intérieur, le chœur dont le rond-point comporte des arcs aigus très élégants, est désaxé au sud et est entouré d’un déambulatoire à quatre chapelles rayonnantes avec maître-autel du XVIIIe siècle. Le porche nord a conservé les niches et les bases de ses anciennes statues-colonnes détruites à la Révolution.
Les stalles de moines bénédictins du XVème siècle, la statue de l’Ecce homo en pierre polychrome de la fin du XVIème siècle et le maître autel du XVIIIème siècle constituent les plus beaux objets conservés à l’intérieur de cette église qui possèdent aussi un orgue Cavaillé-Coll du XIXème siècle.

(source :”lieuxsacres.canalblog.com”)

Les environs

Saulcet -église Saint-Julien à 3,3 km au nord-ouest

Verneuil en Bourbonnais – Village à 5,7 km au nord-ouest

Chareil-Cintrat – château de Chareil à 7,7 km au sud-ouest

Sauvagny – église Saint-Germain

Epoque : XI° – Protection : MH (1930)
Propriétaire : Monsieur et Madame Séguier
Visite :
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet :

église de Sauvagny (static.panoramio.com.storage.googleapis.com)
église de Sauvagny (photos-eglises.fr)
église de Sauvagny (idata.over-blog.com)

Situation

Sauvagny se situe à 22 km au nord-est de Montluçon

Histoire

Eglise romane du 12e siècle, à une nef voûtée en berceau (tiers point) , de trois travées séparées par des doubleaux reposant sur des pilastres cannelés (influence bourguignonne) terminés en biseau au-dessus des piédroits séparant les arcatures de chaque travée. Le choeur se termine par une abside en cul-de-four, percée de trois ouvertures ornées chacune à l’intérieur de deux colonnettes. Le linteau du portail occidental a été remplacé au 18e siècle par un arc surbaissé. Au-dessus du portail, campanile pour deux cloches. Ce petit monument, dont les pilastres cannelés dénotent l’influence bourguignonne, a appartenu aux chevaliers de Saint-Jean de Jérusalem.
(source : “www2.culture.gouv.fr)

Vendue comme bien national à la Révolution, elle reste une propriété privée. Elle sert de chapelle funéraire aux familles d’Agoult et Séguier, propriétaires du château de La Varenne.

Les environs

Venas – église Saint-Paul à 8km au nord-ouest

Hérisson – La Forteresse à 13 km au nord-ouest

Buxières les Mines – château de La Condemine à 16 km à l’ouest