Noyant d’Allier – Les Côtes Matras

Epoque :  – Protection :
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Site internet : blog de Dominique 03

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Actualités : Noyant d'Allier - les Côtes Matras (La Montagne 14 août 2022)

Noyant d'Allier - Les Côtes Matras (La Montagne du 14 août 2022)

Situation

Histoire

Les environs

Saint-Nicolas des Biefs – le plateau de La Verrerie

Epoque :  – Protection :
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Actualités : Le Plateau de La Verrerie (La Montagne du 14 août 2022)

Actualités : Le Plateau de La Verrerie (La Montagne du 14 août 2022)

Saint-Nicolas des Biefs - Plateau de la Verrerie (La Montagne du 14 août 2022)

Situation

Histoire

Les environs

Vichy – Chalet et villas impériaux

Epoque :  – Protection :
Propriétaire :
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Site internet :

Chalet impériaux Vichy (vichy-destinations.fr)
dav
Vichy - Les chalets et villas impériaux (La Montagne du 14 août 2022)

Situation

Histoire

Les environs

Bourbon l’Archambault – Chapelle de Vernouillet

Epoque : XIV° – Protection :
Propriétaire : Privé, Monsieur Alain Ohier
Visite :
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone :
Courriel : alainohier@gmail.com.
Site internet :

Bourbon l'Archambault - Chapelle de Vernouillet (Google maps)
Bourbon l'Archambault - La Vierge de Vernouillet - Musée Augustin Bernard (www.bourbonlarchambault.com)
Bourbon L'Archambault - Notre Dame de Vernouillet (lieuxsacres.canalblog.com)

Situation

Bourbon L’Archambault est à 23 km à l’ouest de Moulins et à 48 km au nord-est de Montluçon.

La Chapelle de Vernouillet est à  3 km au nord de Bourbon L’Archambault.

La chapelle est accessible par la route de Saint-Plaisir, tourner deux fois à droite à la Queue-de-l’Étang et monter jusqu’à la butte de Vernouillet.

Histoire

Le prieuré est une propriété privée maintenant.
« L’ensemble du prieuré fut vendu 5300 livres, le 26 mars 1791, par le district de Cérilly. L’ancienne chapelle a été transformée en habitation particulière qui, dans un petit réduit, a conservé la vieille statue de la Vierge. Cette chapelle était composée du sanctuaire (8mx6, hors d’œuvre) couvert par des voûtes d’arêtes dont les nervures retombent sur des consoles du commencement du XIVe s. Les parements de cette partie de l’édifice sont en grès et offrent un moyen appareil très régulier ; de la nef, qui mesure 13 mètres de longueur, et qui a été reconstruite plus tard et complètement bouleversée par les dispositions nouvelles de l’habitation. Un campanile surmontait le pignon du chœur. Sous le carrelage on a trouvé des cercueils de pierre en forme d’auge, avec leurs couvercles à pans. »

( Source : Abbé Joseph CLEMENT, Inventaire archéologique et bibliographique des communes du département de l’Allier. Canton de Bourbon l’Archambault

Les environs

Bourbon l’Archambault – La Forteresse à 3 km au sud

Ygrande – L’église Saint Martin à 13 km à l’ouest

Souvigny – la Prieurale à 16  km au sud-est

Bègues – église Saint-Aignan

Epoque :  XV°- Protection : inscription par arrêté du 21 juillet 1970
Propriétaire : Commune de Saint-Aignan
Visite :
Dates et horaires :
Adresse : 5 Place de l’Église 03800 Bègues
Téléphone :
Courriel :
Site internet :

Bègues - Saint-Aignan (®F. Goglins - Monumentum)
Bègues - Saint-Aignan (®Mairie Bègues - Monumentum)
Bègues - Saint-Aignan (®F. Goglins - Monumentum)
Bègues - Saint-Aignan (®Adrianus - Monumentum)
Bègues - Saint-Aignan (®F. Goglins - Monumentum)
Bègues - Saint-Aignan (®F. Goglins - Monumentum)

Situation

Bègues est à 58 km au sud de Moulins et à 28 km à l’ouest de Vichy

Histoire

Eglise d’origine romane, dont il subsiste de cette période la nef, le transept, le clocher, le choeur et les absidioles. Les murs latéraux des bas-côtés ont été reconstruits à une époque récente. La façade occidentale s’ouvre par une porte en arc brisé abritée sous un porche établi postérieurement. Le porche d’entrée est orné d’un reste de peinture murale du 15e siècle, représentant la Vierge et plusieurs saints. Le vantail droit de la porte présente un verrou du 15e siècle, en fer forgé, dont l’extrémité est ornée d’une tête d’animal. Au-dessus de la fenêtre ouvrant sur les bras nord, est encastré dans un mur une pierre en andésite sculptée d’armoiries bûchées, sous une couronne. L’édifice est un élément archéologique intéressant pour l’étude du roman auvergnat.

Elle est dédiée à saint Aignan († 453), évêque d’Orléans qui organisa la défense de la ville attaquée par les Huns d’Attila.

La paroisse dépendait anciennement de l’abbaye Saint-Léger d’Ébreuil.

Saint Aignan est représenté sur un vitrail dû à l’atelier du peintre-verrier clermontois Antoine Champrobert (1876).

(Source : Monumentum et Wikipédia)

Les environs

Gannat – Paléopolis à 2 km au sud-est

Saint-Bonnet de Rochefort – Viaduc de Rouzat à 5 km au nord

Saint-Bonnet de Rochefort – Château de Rochefort à 8 km au nord

Avermes – Chapelle Notre Dame de La Salette

Epoque : 1871-1873 – Protection : inscrit MH : 19 mai 2003
Propriétaire : Commune d’Avermes
Visite : oui
Dates et horaires : du 01/01 au 31/12/2022 tous les jours de 9h à 17h.

Adresse : Le Bourg 03000 Avermes
Téléphone : 04 70 46 55 03
Courriel : accueil@mairieavermes.fr
Site internet :

Avermes Chapelle Notre Dame de La Salette (Allier-Auvergne-tourisme.com)
Avermes - Chapelle Notre Dame de La Salette (Allier-hotels-restaurants.com)
Avermes - Chapelle Notre Dame de La Salette (carte postale)
Avermes - Chapelle Notre Dame de La Salette (Prebillat Photographies)
Avermes - Chapelle Notre Dame de La Salette (Prebillat Photographies)
Avermes - Chapelle Notre Dame de La Salette (Prebillat Photographies)

Situation

Avermes est à 4 km au Nord de Moulins

La chapelle Notre Dame de La Salette est située dans le centre ville sur la place Claude Wormser.

Histoire

L’église d’Avermes date de la fin du XIXe (1871-1873) elle est construite proche de l’emplacement de l’ancienne église qui fut démolie durant la guerre de 1870.

Un premier lieu de culte dédié à Saint Michel avait été, presque intégralement démoli en 1775, certains textes font état d’une église primitive du XIIe siècle.

Monseigneur de Dreux-Brézé, évêque de Moulins, confronté à l’avancée de l’armée prussienne proche des limites de la Nièvre, forme le vœu de remplacer l’édifice précédent par un nouveau sanctuaire si l’invasion épargne le diocèse de Moulins.

La chapelle votive est donc édifiée suite à la coopération d’un grand nombre de souscripteurs dans le style du XIIIe siècle. La première pierre sera posée le 9 septembre 1871 et l’inauguration aura lieu deux ans plus tard, jour pour jour.

Structurellement l’église se compose d’une nef à cinq travées de style néo-gothique et est complétée par deux chapelles latérales en 1898. suivant les plans de l’architecte Mitton. Élancée et gracieuse sont les adjectifs employés pour la décrire, elle domine le val de l’Allier et la ville de Moulins, elle est inscrite dans un ravissant paysage qui fait l’admiration des promeneurs. Un grand escalier en pierre de 55 marches par lequel on peut y accéder du côté de l’Allier, confère à l’église un caractère monumental que l’on retrouve assez rarement dans les localités d’importance similaire a Avernes.

Elle est inscrite depuis 1938 sur la liste des Monuments Historiques.

On peut y observer une vierge à l’enfant en bois du XVe siècle. Cette statue provient de l’église précédente, vendue comme bien national en 1795 et démolie par la suite par son acquéreur.

Le ministère de la culture propose la description suivante : Pendant la guerre de 1870, l’évêque de Moulins fit voeu d’édifier une nouvelle église à Avermes si son diocèse était épargné par les Prussiens. Les plans de l’édifice furent confiés au révérend père Desrosiers, et la première pierre fut posée en 1871. L’inauguration eut lieu en 1873. En 1892, Alfred Bertrand se voit confier la conception d’un escalier permettant d’accéder à l’église depuis le bas de la colline dominant l’Allier. Une statue de Notre-Dame de la Salette fut installée au pied de l’escalier. En 1893, l’architecte Mitton agrandit la chapelle par deux chapelles latérales. Une croix portant Saint-Michel fut installée à la même date au sud-est de l’église.

(Source : Mairie d’Avermes et Ministère de la culture.)

Les environs

Moulins – Le Palais Ducal à 3 km au sud-est.

Moulins – Le musée Anne de Beaujeu à 3 km au sud-est.

Villeneuve sur Allier – Le château du Riau à 12 km au nord

Office de Tourisme de Châtel-Montagne

Epoque :  – Protection :
Propriétaire :
Visite :
Dates et horaires :
Adresse : 15 place Alphonse Corre 03250 Châtel-Montagne
Téléphone : 04 70 59 37 89
Courriel : chatel-montagne@vichydestinations.fr
Site internet :https://www.allier-auvergne-tourisme.com/commerce-et-service/chatel-montagne/office-de-tourisme-vichy-montagne-bourbonnaise/5600610#group_5600610-3

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Office de Tourisme de Châtel-Montagne©Amélie Peingnez

Situation

Histoire

Espace Art Roman

MUSÉE, SCIENCES ET TECHNIQUES, ARTS ET CULTURE, ARCHITECTURE, ART SACRÉ, HISTOIRE LOCALE, GUIDE LE ROUTARD, CIRCUITS DE FRANCE_POI, PROTOCOLES SANITAIRES DE L’ETAT.

Maquettes, grimoires et vidéos vous immergeront au temps de la construction de l’église « Notre Dame de Châtel » et du travail des bâtisseurs.
L’Espace Art Roman vous propose de vous replonger aux temps des bâtisseurs.
Des vidéos présentent le travaille des différents artisans qui sont intervenus dans la construction de l’église : tailleurs de pierres, forgerons, charpentiers….
Des maquettes de l’église vous montre le travail architectural, des grimoires racontent l’histoire de Châtel-Montagne et de son église.

Les environs

Châtel-Montagne – L’église Notre-Dame à 300m

Le Mayet de Montagne  – Osarium – Musée de la vannerie à  6 km au sud

Ferrières sur Sichon – château de Mongilbert à 17 km au sud

Chemilly – Les Girodeaux

Epoque : XVII° (1662) – Protection : MH (2002)
Propriétaire :
Visite :
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet :

Chemilly - Les Girodeaux (geneallier.blogspot.com)
Chemilly - Les Girodeaux (geneallier.blogspot.com)
Chemilly - Les Girodeaux (geneallier.blogspot.com)

Situation

Histoire

Ensemble rural avec logis de maître et chapelle aux belles portes, bâtiments à pans de bois, pavillon-porche, 1662.

(source : à la découverte du Bourbonnais- Jacques Corrocher, Henriette Dussourd)

Les environs

Les races animales du Bourbonnais

Races animales du Bourbonnais

Les races animales bourbonnaises sont-elles préservées ?

(article d’Alain Landry dans les Cahiers du Bourbonnais n°185)

S’il est un cas unique en France grâce à son passé historique et sa spécificité administrative, c’est bien la province et duché de Bourbonnais.

Quelle autre province de France peut se prévaloir d’appartenir à un seul département ? (avec quelques amputations il est vrai) Quel département peut se prévaloir d’avoir donné à la France une dynastie de huit rois qui ont porté à son sommet et au monde la notion de civilisation et de l’art à la française ? Mais ce qui en fait aussi un lieu sans égal, c’est la richesse

des races animales qui y ont été développées… les races animales bourbonnaises, élevées traditionnellement, parties intégrales de notre patrimoine, sont les ambassadeurs du Bourbonnais. Elles en assurent la bonne renommée en France et dans le monde. Le braque du Bourbonnais est largement utilisé par les chasseurs en France, mais également au Québec, aux États-Unis, au Royaume-Uni, au Portugal, en Espagne, en Norvège, en Suède et en Italie.

La foire aux ânes de Braize accueille un public toujours plus nombreux et l’âne du Bourbonnais est reconnu comme une race à part entière par les haras nationaux.

Le C.I.P.B. (Comité interprofessionnel du poulet bourbonnais), travaille sans précipitation à l’obtention de son A.O.C. depuis près de huit années. Des raisons majeures de perpétuer la tradition et de ne pas laisser – par indifférence – une race s’éteindre en sombrant dans l’oubli.

Pourtant, quelques-unes sont lourdement menacées par une indifférence à tous les niveaux.

Revue de détail de ces animaux… pas comme les autres !

(source : extrait de l’article d’Alain Landry dans les Cahiers du Bourbonnais n°185)

Poule du Bourbonnais (futura-sciences.com)

Poule et coq bourbonnais

À sa lointaine origine, elle est issue du croisement de races indo-européennes (Brahmapootra) et de races locales. Son plumage blanc herminé semble souligner son appartenance au duché de Bourbonnais. D’une bonne taille, la poule atteint 2,5 kg, et 1 kilo de plus pour le coq. Elle pond en quantité honorable des œufs teintés beige clair, mais n’est pas une excellente couveuse. Sa grande rusticité et sa capacité d’engraissement font oublier ce léger défaut.

C’est une race très active qui se débrouille bien pour trouver sa nourriture sur un parcours enherbé, à l’abri d’une haie. En résumé, une très bonne poule fermière à la chair très délicate. Jadis orgueil de nos fermes, sa production en poulet de chair est reprise et soutenue par quelques esprits passionnés et courageux comme les Ets. Bernard Leutrat, de Saint-Germain de Salles et l’entreprise Allier-volailles d’Escurolles, rejoints par des éleveurs bourbonnais, amoureux de l’élégant gallinacé et fiers de leur terroir, œuvrant tous au développement de l’économie départementale.

Une curiosité spécifique à l’administration française : le ministère de l’Agriculture, via son officine I.N.A.O. (Institut national des appellations d’origine), exige, pour satisfaire à l’A.O.C convoitée, – clé d’une commercialisation à grande échelle – que la Poule Bourbonnaise abandonne… son nom, afin que l’A.O.C. « Poulet bourbonnais » soit conservée… Comprenne qui pourra… au pays des Gribouilles administratives ! D’autant qu’un jugement du tribunal de Moulins, en date du 28 mars 1961 : « … dit et juge que pour la production du “Poulet Bourbonnais”, les animaux : coqs, poules ou poulets vendus pour la consommation ne peuvent provenir, d’après les usages locaux, loyaux, constants et très anciens, que :

1°) d’animaux de race bourbonnaise, c’est-à-dire correspondant au standard de la race tel qu’il a été déposé par le Bourbonnais-Club le 9 octobre 1911 et approuvé par la Fédération nationale des sociétés d’aviculture de France le 19 avril 1920.

2°) d’un territoire comprenant toutes les communes du département de l’Allier et aux communes appartenant aux cantons limitrophes du dit département.

3°) d’élevages conduits suivant les méthodes définies au rapport, et notamment avoir été élevés et engraissés selon les coutumes traditionnelles du Bourbonnais (élevage en liberté ou parquets herbeux et engraissés à l’aide de produits naturels avec emploi facultatif de lait écrémé ou de lait en poudre et additionnés de compléments minéraux vitaminés).

Dit que l’appellation “Poulets du Bourbonnais” est réservée aux produits définis dans le rapport et élevés et engraissés dans la zone délimitée dans la carte annexée au rapport… ». « La chose est jugée ; le droit est dit » ; mais qu’elle sera la valeur de cet acte de justice face aux exigences capricieuses d’une l’administration non contrôlée ? Ceci est une autre affaire… qui est à suivre.

https://poules-club.com/selection-de-40-races-de-poules-fermieres/

Le saviez-vous ? Les Anglo-Saxons, plus constants que les Français en matière d’élevage et de sélection des races animales auraient “ récupéré ”, au siècle passé, le gallinacé bourbonnais pour produire la race Sussex, de taille nettement plus trapue et lourde ; L’on conjecture une “piraterie britannique afin de créer une race dite “Sussex“ pataude et trapue, sans l’élégance française, mais au plumage très proche et pour cause ! son l’hermine ducale trahirait le larcin.

Contact : – “Union avicole bourbonnaise – Bourbonnais club” – Président : Christian Roy, rue du Chatet 03500 Saint-Pourçain-sur-Sioule Tél. : 04 70 45 48 14

(source : extrait de l’article d’Alain Landry dans les Cahiers du Bourbonnais n°185)

Braque du Bourbonnais
(éleveurs-online.com)

Le braque du Bourbonnais

C’est une race de braque très anciennement connue ; elle fut décrite pour la première fois par l’Italien Ulysse Aldrovandus en 1537.

Largement utilisé par les chasseurs, ce braque, défini anoure dès l’origine, est un champion sur gibier à plumes et un virtuose sur bécasse. De taille moyenne, il est un doux compagnon en famille. De fond blanc, sa robe présente des mouchetures de couleur fauve ou marron, ce qui est un atout appréciable, car elle est facilement repérable à la chasse au bois, au gibier d’eau “à la passée” et à la bécasse, chasse ou il excelle.

Chez-nous en Bourbonnais, la couleur fauve est dénommée “fleur de pêcher” et la couleur marron est dénommée “lie de vin”. Mais la réglementation de la S.C.C. (Société centrale canine), qui est l’autorité de tutelle des clubs de races, ne connaît ni la poésie des choses, ni la beauté de la langue française et ses nuances

D’une grande finesse de nez, avec un arrêt ferme naturel, le braque du Bourbonnais règle de lui-même sa quête en fonction du terrain ; son rapport est également naturel tant sur terre qu’à l’eau. Aujourd’hui, on compte 1 400 sujets en France et 200 sujets hors de France.

Contact : Club du “Braque du Bourbonnais” – Président : Alain Picot, 26, rue de la Lombardie. 03100 Montluçon. Tél. : 04 70 05 58 12

(source : extrait de l’article d’Alain Landry dans les Cahiers du Bourbonnais n°185)

 

Canard blanc du Bourbonnais (lespalmipedesdomestiques.com)

Le canard blanc du Bourbonnais

Le mâle peut peser jusqu’à 3,5 kg et la femelle environ 3 kg. Il a un plumage blanc avec un bec de couleur « ongle rosé », sans trace de noir, et des pattes de couleur orange, les ongles roses.

Ses yeux sont grands et foncés à noir. Son corps est long, large, légèrement relevé. Le dos est large et long, légèrement incliné vers l’arrière. Les ailes sont fortes, collées au corps et ne se croisent pas.

Sa queue est assez courte, dégagée de la ligne du dos, en éventail ; celle du mâle avec des plumes bouclées.

Cette race à la chair onctueuse est de nouveau en expansion, après avoir failli disparaître…

Cuisiné à la sauce Duchambais, c’est un régal ; la recette nous viendrait des troupes d’occupation de 1815 qui nous apprirent le principe de l’aigre-doux, alors inconnu dans notre cuisine locale et régionale.

Contact :  “Union avicole bourbonnaise – Bourbonnais club” – Président : Christian Roy, rue du Chatet 03500 Saint-Pourçain-sur-Sioule – Tél. : 04 70 45 48 14

(source : extrait de l’article d’Alain Landry dans les Cahiers du Bourbonnais n°185)

Ane du Bourbonnais
(France bleu)

L’âne du Bourbonnais

De taille moyenne (légèrement plus petit que son cousin du Berry), il mesure de 1,20 m à 1,35 m au garrot selon le sexe. C’est un animal robuste et d’une intelligence remarquable. Bâté, il porte jusqu’à 90 kg, ce qui en fait un très bon randonneur. Attelé, il est docile et fort ; il était encore utilisé dans les années 1920 à Vichy pour promener les curistes à la découverte de la ville. Dans les années cinquante, la plus petite exploitation agricole possédait encore son âne qui rendait de nombreux services comme pour butter les pommes de terre ou sarcler les vignes, et transporter hommes et marchandises vers les villages d’un trot alerte !

L’ennui et un surplus de nourriture sont de nos jours les plus grands ennemis du gentil animal.

Contacts : – Association française de l’âne bourbonnais –

Présidente : Marie-Michèle Doucet, 8, impasse du Château – 95810 Grizy-lès-Plâtres – Tél.. : 01 34 66 67 44 ; Fax. : 01 34 66 62 22

  • Maison de l’âne du Bourbonnais, “Beauregard“- 03360 Braize, Tél./Fax.: 04 70 06 08 87.

(source : extrait de l’article d’Alain Landry dans les Cahiers du Bourbonnais n°185)

Pigeon coquillé du Bourbonnais (Cahiers Bourbonnais)

Le pigeon coquillé du Bourbonnais

Benjamine, (1987), des races bourbonnaises, (en cours d’homologation), ce gracieux colombin compte actuellement 4 à 500 sujets.

D’un port altier, son cou est orné d’un collier de plumes régulier, bien droit, descendant sur la poitrine qu’il met en valeur et semble protéger sa tête bien détachée.

Selon son standard, ce pigeon est fier, vif et botté, il porte collier ; son poids est de 350 à 400 grammes environ, selon le sexe.

Différentes variétés existent : noir, bleu, fleur de pécher, rouge, jaune, argenté. Sa chair, fine et délicate, est appréciée des gourmets.

Contact : Centre d’élevage : Jean-Claude Gayet – 03120 Le Breuil – Tél. : 04 70 99 26 75

(2 éleveurs sont en Bourbonnais, 1 en Alsace, 1 en Allemagne)

(source : extrait de l’article d’Alain Landry dans les Cahiers du Bourbonnais n°185)

Dindon noir du Bourbonnais (wikipedia.org)

Le dindon du Bourbonnais

Son plumage et son torse sont uniformément d’un noir jais à reflets métalliques, sans trace de reflets bronzés. Sa tête est longue, dépourvue de plumes et recouverte de granulations ou caroncules allant grossissant jusqu’à la base du cou.

Cette race rustique, de nature vagabonde, aime les grands espaces.

Le mâle, ou coq d’Inde, atteint 12 kg (prononcer « cô d’Inde » et parfois plus simplement « l’dinde » ou encore « un dinde », en parler bourbonnais) atteint les 12 kg. Et la poule pèse entre 7 et 9 kg.

La poule d’Inde est moins osseuse que le coq ; moins volumineuse aussi elle est plus facile à enfourner.

C’est une dinde très pondeuse et excellente couveuse.

Quant à orgueil, ce coq au paon approche

Et fait sa queue en roue comme luy,

Les barbillons et creste d’icelluy

Sont de couleur à l’azurée proche.

Pierre Belon, 1557

Chaque année, à la mi-décembre, une foire aux dindes ( de toutes races et variétés) se tient à Jaligny. Oies et canards sont également présents. On parle parfois de la « dinde de Jaligny », mais c’est un terme commun à une foule de sujets de provenance variée et de races tout autant indéfinies.

Rôtie et truffée, farcie à la chair à saucisse et aux marrons, auxquels on peut ajouter le foie haché d’une volaille. On l’aura préalablement désénervée et on la présentera à table en « bonnet d’évêque », ce « proche du paon » est un mets royal.

Contact : “Union avicole bourbonnaise – Bourbonnais club” – Président : Christian Roy, rue du Chatet 03500 Saint-Pourçain-sur-Sioule – Tél. : 04 70 45 48 14

(source : extrait de l’article d’Alain Landry dans les Cahiers du Bourbonnais n°185)

Oie blanche du Bourbonnais (fermedebeaumont.com)

L’oie blanche du Bourbonnais

C’est une oie active, massive, trapue, mais sans lourdeur.

Son plumage immaculé est très serré et possède un duvet très fin ; son port est trapu, son dos est large et plat à hauteur des épaules, long et incliné vers l’arrière. Son bec est de couleur rouge orangé, tirant parfois sur le rose vif, le moins jaune possible. Ses yeux sont de couleur bleu clair.

Le mâle pèse jusqu’à 10 kg et la femelle de 5 à 8 kg.

Voilà une race très rustique et prolifique, pondant et couvant bien. Cette grande mangeuse d’herbe est d’un élevage économique et peu délicat.

C’est, à notre avis, rôtie et dorée que le fumet du plat engage à savourer sa chair goutteuse.

Contact : “Union avicole bourbonnaise – Bourbonnais club” – président : Christian Roy, rue du Chatet, 03500 Saint-Pourçain-sur-Sioule – Tél. : 04 70 45 48 14

(source : extrait de l’article d’Alain Landry dans les Cahiers du Bourbonnais n°185)

Lapin gris du Bourbonnais (lapin-gris-bourbonnais.com)

Le lapin gris du Bourbonnais

Ce lapin, au pelage gris foncé, se rapprochant du gris fer a des oreilles assez courtes, portées légèrement en V, aurait été menacé de disparition totale si un groupe de passionnés ne l’avaient relancé. Le poil est court, serré, fin et brillant.

La femelle est douce, prolifique et rustique. Son poids peut atteindre les 5 kg (sans les dépasser) et sa chair est ferme et très fine.

Le lapin possède sur les volailles la grande supériorité de ne pas devoir subir une attente de 24 heures, une fois dépouillé, pour passer à la casserole sans risque d’être filandreux ; on le met à cuire 20 minutes après.

Le secret, c’est de ne pas laisser à la viande le temps de refroidir. Rôti, en gibelotte, à la moutarde (de Charroux de préférence), aux macaronis, au vin blanc ou mariné en terrine, en compote ou en rillettes, vous vous régalerez en régalant vos amis.

Contacts : “Union avicole bourbonnaise – Bourbonnais club” – président : Christian Roy, rue du Chatet, 03500 Saint-Pourçain-sur-Sioule Tél. : 04 70 45 48 14.

– Club Doyen et Européen des éleveurs du “Lapin gris du Bourbonnais” – président d’honneur et  fondateur : Jean-Claude Gayet, 03120 Le Breuil Tél. : 04 70 99 26 75. – (61 éleveurs en France, couvrant 14 départements -1 seul dans l’Allier-, 14 en Belgique, 3 en Allemagne, 2 en Hollande, 1 au Danemark -).

(source : extrait de l’article d’Alain Landry dans les Cahiers du Bourbonnais n°185)

Château sur Allier – La ferme d’Embraud

Epoque :  – Protection :
Propriétaire : Acquise par La Chavannée en 1977
Visite :(intérieur populaire bourbonnais reconstitué), visite sur rendez-vous, expositions et fêtes champêtres.
Dates et horaires :
Adresse :La Chavannée
Embraud 03320 Château-sur-Allier
Téléphone : 04.70.66.43.82
Courriel : frederic.paris@lachavannee.com
Site internet : http://lachavannee.free.fr/Embraud/la%20ferme.html

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Château sur Allier - La ferme d'Embraud (lachavannee.free_.fr)

Situation

Histoire

Acquise par La Chavannée en 1977, cette locature bourbonnaise se compose d’une maison d’habitation et d’une grange. Le premier bâtiment abrite des pièces où l’on peut retrouver l’intérieur traditionnel paysan au XIXème siècle, ainsi qu’une exposition thématique.

Dans la grange, des salles d’activités, une cuisine, un dortoir et des sanitaires nous permettent de recevoir des groupes.

De plus, trois fois l’an, Embraud accueille nos fêtes : Les Brandons, la fête de la rivière le jeudi de l’ascension, et la fête des Chavans l’été.

Venez donc un de ces jours-là…

(source : http://lachavannee.free.fr/Embraud/la%20ferme.html)

Les environs