Marcillat en Combraille – La Romagère

Epoque :  XVI° – Protection :
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Situation

Histoire

Le château de La Romagère a conservé, sur son tertre, un aspect féodal. Ses tours d’angle pleines attestent son ancienneté. Il est au centre d’un large dispositif circulaire en éperon, qui épouse la forme de la colline, et qui fut protégé à sa base par des étangs ou terrains marécageux, et peut-être par des lignes de haies. En 1503, Ligier de Courtois, écuyer, Seigneur de Fougières, reconnaît tenir en fief de la duchesse de Bourbon “le lieu et domaine de Fougières, et la moitié du lieu de La Remagière, joignant ensemble pour un revenu de 20 à 25 livres par an.

(source : Extrait : Châteaux, Fiefs, Mottes, Maisons Fortes et Manoirs en Bourbonnais aux éditions De Borée)

Les environs

Lurcy-Lévis – Les Génétais

Epoque : XVIII° – Protection :
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Histoire

Le château des Génnetais est un ensemble rural aujourd’hui, Les Gennetais ont conservé un pavillon porche d’accès à la cour et un bâtiment massif, en forme de tour surmonté d’un clocheton, coiffé à l’impériale. L’ancien fief des Gennetais était un fief noble justicier. En 1501 Gounot des Barres, seigneur en partie de Lurcy, est aussi seigneur de Gennetais. Au XVIIe siècle, la seigneurie est aux mains de la famille Ganache, possessionnée dans la région.

(Source : Extrait : Châteaux, Fiefs, Mottes, Maisons Fortes et Manoirs en Bourbonnais aux éditions De Borée)

Les environs

Louroux-Hodemont-Haut-Bocage – Civrais

Epoque :  – Protection :
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Histoire

Le château actuel est une bâtisse à étage pouvant dater du XVIe siècle, avec tour ronde. La partie basse du logis présente un tympan armorié et à l’angle, une autre tour du XVIIIe siècle. De vastes communs ferment la cour. D’une ancienne chapelle, subsiste une pierre datée de 1832. En 1098, Hamon Palazeis donne aux moines de La Chapelaude le manse de Civray. En 1301 un aveu de Renaud de Moulins, damoiseau, “pour ce qu’il tient en fief de Monseigneur Robert comte de Clermont, seigneur de Bourbonnoys, c’est assavoir en la chastellenie de Hiricon, son chazal de Syvrai avec totes les apertinences et totes les remptes queque elles soient…”. En 1468, Jehan d’Hérisson, écuyer, seigneur de Civray, rend foi et hommage pour son hostel, terre et seigneurie. La famille d’Hérisson est encore présente en 1503, lorsque Guillaume de Hériçon reconnaît tenir en fief de la duchesse de Bourbon, pour lui et pour ses frères, “la moitié du lieu et tènement de Civray, avec domaines et dixmes de vin”. A la fin du XVIIe siècle, Gilbert de Rochebut, chevalier, est seigneur de Civray. Au XVIIIe siècle, la terre est en possession d’une famille de la Bruyère, et appartient actuellement à la famille de Colasson.

(Source : Extrait : Châteaux, Fiefs, Mottes, Maisons Fortes et Manoirs en Bourbonnais aux éditions De Borée)

Les environs

Louroux de Beaune – Les Chaumes

Epoque :  – Protection :
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Louroux de Beaune est à 24.6 km à l’est de Montluçon et à 55.6 km au sud-est de Moulins

Les Chaumes sont 2 km à l’ouest de Louroux de Beaune.

Histoire

Du siège du fief des Chaulmes, reste un grand bâtiment en rectangle, primitivement flanqué de plusieurs tours dont deux ont subsisté. Cette demeure seigneuriale était entourée de fossés actuellement comblés. À l’intérieur est un vieil escalier de pierre et une cheminée dont le manteau est orné des armes des de Saint-Chamand qui, au XVIIe siècle, s’intitulaient seigneurs des Chaumes et de Vernassaux. Auparavant, en 1631 dame Regnée de la Richardye, était veuve de Gaspard Jabaud, écuyer, seigneur des Chaulmes, mais le père de Gaspard, Pierre Jabaud était déjà seigneur des Chaulmes. Ces seigneurs étaient maîtres d’un lieu en ruines, si l’on en iuge par un procès verbal de 1740, mais le fief fut cependant acquis au milieu du XVIIIe siècle par la famille Siramy, d’origine rurale et dont les membres s’élèveront par leur travail et leur volonté au rang de propriétaires terriens.

(source : Extrait : Châteaux, Fiefs, Mottes, Maisons Fortes et Manoirs en Bourbonnais aux éditions De Borée)

Saint-Palais – Maison-Neuve

Epoque : XVI° – XVII° – Protection :
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Histoire

Le château de Maison-Neuve, des XVIe et XVIIe siècles, est une bâtisse rectangulaire trapue, flanquée de deux tourelles demi rondes sur chaque face, l’ensemble est garni de créneaux et de meurtrières. La construction occupe toute la partie centrale d’une motte d’une quarantaine de mètres de diamètre, taillée dans le plateau, et entourée de larges fossés de quatre à cinq mètres de profondeur, et d’une dizaine de mètres de largeur. Cette structure est bien conservée, et les fossés sont encore parés. Ils étaient alimentés par un réservoir supérieur et par un étang protégeant ce manoir à caractères archaïques sur la moitié ouest. Comme son nom l’indique, il a pu succéder à une construction antérieure. En 1503, dans le dénombrement des fiefs du Bourbonnais, messire Geoffroy Baltrin, chevalier, est seigneur de la Maison Neuve. Il fait aveu à la duchesse de Bourbon de plusieurs dîmes de blés, d’agneaux et de plusieurs cens.

(Source : Extrait : Châteaux, Fiefs, Mottes, Maisons Fortes et Manoirs en Bourbonnais aux éditions De Borée)

Les environs

Saint-Menoux – Le Petit Souys

Epoque :  XV° – XVIII°- Protection :
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Histoire

Le manoir a été édifié au XVe siècle par Jean Gaudon, régisseur du temporel du prieuré de Souvigny de 1489 à 1493. Logis remanié au XVIIIe siècle (escalier, baies, four à pain, charpentes). Les bâtiments nobles et de basse-cour sont disposés autour d’une même cour fermée, à laquelle on accède par un porche, et bordée d’un fossé au sud. En face du porche, le logis et la cuisine isolée accolée à l’est. Le logis noble comprend un rez-de-chaussée, un premier étage et un comble. Au rez de chaussée, la salle et son cabinet. A l’étage une chambre et son cabinet. Les cheminées, en pignon, sont conservées (âtre surélevé, piédroits dans les salles et cabinets, corbeaux dans la cuisine ; linteau droit de calcaire sculpté dans les salles, linteau droit de bois dans les cabinets ainsi que la cuisine), à l’exception de celle du fournil. Dans la basse-cour puits et abreuvoir. Les portes et les fenêtres sont chanfreinées, les salles et leurs cabinets se signalant en façade par de larges fenêtres à meneau et traverse et appuis saillants. Les encadrements sont en grès, les toits de tuile plate (à deux croupes sur le logis). Cheminées des salles sculptées de fenestrages gothiques.

(source : chateau-fort-manoir-chateau.eu)

Les environs

Saint-Martinien – Bartillat

Epoque :  XVII° – XIX°- Protection :
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Histoire

En 1503, Bernardin Rabeau, écuyer, seigneur de Dibedojon, tient en fief du seigneur de Culan son hostel noble de La Tour de Berthollat. Au début du XVIIe siècle, la terre de Barthillat est acquise par une vieille famille locale, les Jehanot, dont la lignée est mentionné, dès 1328, avec un Guillaume Jehanot, noble et damoiseau. En 1457, Pierre Jehanot, chevalier, est seigneur de Bonnefont et Maussat. Au cours des siècles, cette famille étend son domaine par des acquisitions considérables, ses membres portent en premier lieu le titre de seigneur de Barthillat. Ils y ajoutent par la suite celui de baron, puis de marquis d’Huriel. Ils sont également possesseurs du château voisin de Laage. L’actuel château de Barthillat, bâti au XVIIIe siècle, semble n’avoir été qu’un pied à terre qui fut réaménagé au XIXe siècle, dans le goût de l’époque, c’est un pastiche de demeure médiévale avec un donjon crénelé. Restent du XVIIIe siècle, la chapelle et les vastes dépendances. Mais il semble qu’il faille chercher le château primitif de Barthillat aux Taviots, lieu-dit proche, sur un plateau protégé et qui fut également un site gallo romain.

(source : Extrait : Châteaux, Fiefs, Mottes, Maisons Fortes et Manoirs en Bourbonnais aux éditions De Borée)

Les environs

Louroux-Bourbonnais – Thivalière

Epoque :  XIX° – Protection :
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Situation

Louroux-Bourbonnais est à 34 km à l’est de Montluçon et à 43 à l’ouest de Moulins.

Thivalière est à 3.9 km au sud-ouest de Louroux-Bourbonnais.

Histoire

Thivalière, qui s’est développé dans une région de défrichement, a pu être le siège d’un ancien château, puisque la tradition en a conservé le nom, alors que la construction actuelle, réalisée vers 1845, n’est qu’un beau manoir. Le corps de logis de plan rectangulaire à deux niveaux, disposant de sept travées de fenêtres en longueur, est coiffé d’une haute toiture en pavillon.

(Source : Châteaux, Fiefs, Mottes, Maisons Fortes et Manoirs en Bourbonnais aux éditions De Borée)

Les environs

Vieure – château de La Chaussière à 9.9 km à l’est

Hérisson – La Forteresse à 11,2 km à l’ouest

Ygrande – église Saint Martin à 14 km au nord-est

Chavenon – La Jaunerie

Epoque : XVIII° – Protection :
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Chavenon - La Jaunerie (capture google map)
Chavenon - La Jaunerie (boutique.genealogie.com)

Situation

Chavenon est à 32 km de Montluçon et à 40 km de Moulins

La Jaunerie est 1.8 km au sud de Chavenon

Histoire

Logis, XVIII°s.

Les environs

Murat – Ruines du château à 2.6 km à l’ouest

Chappes – Le Grand Coudray à 7.1 km au sud-est

Buxières les Mines – La Condemine à 10.3 km au nord