Saint-Germain de Salles – Salles

Epoque :  XVI° – XVII° – XIX°- Protection :
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Saint-Germain de Salles - Salles (www.leggett-immo.com)
Saint-Germain de Salles - Salles (Hadrianus-CC BY-SA 4.0)
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Saint-Germain de Salles - Salles (Daftintin76)

Situation

Histoire

Les environs

Saint-Germain de Salles – Bel-Air

Epoque :  – Protection :
Propriétaire :
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Saint-Germain de Salles - Bel Air (www.allier-hotels-restaurants.com)
Saint-Germain de Salles - Bel Air (mapio.net)
Saint-Germain de Salles - Bel Air (mapio.net)
Saint-Germain de Salles - Bel Air (mapio.net)

Situation

Histoire

Les environs

Valignat – L’Ormet

Epoque :  XVIII° – XX°- Protection :
Propriétaire : Privé
Visite : Ne se visite pas
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Valignat - l'Ormet avant 1916 (pas de tour) (P. L.)
Valignat - l'Ormet vers 1930 (P. L.).jpg

Situation

Valignat est à 39 km à l’ouest de Vichy, à 49 km au sud-est de Montluçon et à 56 km au sud de Moulins.

L’Ormet est à 1 km au sud du bourg de Valignat

Petite histoire de l’Ormet

L’Ormet poste de guet

On trouve trace de L’Ormet dès le début du XVIe siècle, vers 1510. A l’époque, le château de Veauce, situé 200 m en contrebas, à 15 minutes à pied, est une des plus grosses forteresses de la région. Une garnison y est installée en permanence. Le château de Veauce est alors un fief des Bourbons et se trouve à la limite du territoire des Comtes d’Auvergne et des ducs de Bourbon (1).

Depuis le château de Veauce et sa tour de guet, on surveille tout le sud et l’est du secteur, et on voit très loin. Mais au nord, le début du plateau de Naves cache l’arrivée éventuelle des troupes ennemies (ou des troupes de brigands, nombreuses à l’époque par temps de famine).

Vers 1510, le domaine de l’Ormet est donné par le seigneur de Veauce à un de ses officiers. Le bénéficiaire prend dès lors le nom du domaine. L’Ormet va servir de poste de guet avancé pour le château de Veauce. En effet, depuis L’Ormet, on voit très loin au nord comme à l’est. Quoi de plus facile que d’envoyer un coureur jusqu’au château de Veauce, ou encore plus simplement de sonner l’alarme ; une simple cloche s’entend.

L’Ormet est alors un domaine agricole important (il le restera jusqu’au XIXe siècle), qui va des hauteurs de Veauce (la ferme en ruine que l’on voit à droite en allant à Veauce, dès la descente du plateau) jusqu’au village de Valignat.

Les guerres de religion entre armées catholiques et protestantes vont encore mettre la région à mal au XVIe siècle (2), de même que la Fronde au XVIIe, puis les combats entre provinces ou simplement entre châtelains se raréfient. Le royaume de France se stabilise et l’importance des châteaux forts et autres maisons fortes disparaît. L’Ormet n’a plus de raison d’être en tant que poste de guet avancé.

Le bâtiment

Le domaine agricole va perdurer jusqu’au tout début du XXe siècle. Le bâtiment quant à lui va se modifier. On n’a pas de renseignements sur ce qu’il était aux XVIe et XVIIe siècles. Sans doute une ferme fortifiée, avec peut-être une tour ronde à toit plat à un seul pan, typique des maisons fortes dont on voit encore quelques exemples dans le Bourbonnais… Emile Mâle (3), en visite à L’Ormet à la fin des années 30, a relevé les traces de murs datant du XVIIe siècle. Le bâtiment actuel date du XVIIIe siècle, du moins quant aux murs. D’important travaux ont eu lieu au XXe siècle.

A partir de 1590, à compter de Gilbert de Lormet, on trouve mention de tous les héritiers successifs du château. Jusqu’à la fin du XVIIIe siècle, le petit château reste dans la même famille, changeant simplement de propriétaire au rythme des successions et des mariages. A la Révolution française, un « trou » de quelques années nous le fait perdre de vue. Est-il vendu comme « Bien national » ? On sait simplement qu’en 1815, le domaine appartient désormais à la famille Laubignat, qui le donne en exploitation à des fermiers.

A la fin du 19e siècle et au début du 20e, les derniers des Laubignat vendent peu à peu les terres pour maintenir leur train de vie et entretenir le petit château. Quand arrive la guerre de 1914, il ne reste rien. Ils vendent alors le bâtiment à une famille franco-chilienne qui va entreprendre en 1916 de nombreux travaux :

— destruction des murs et des bâtiments de ferme attenant au bâtiment principal. Ils ne vont garder que l’ensemble pigeonnier-chapelle-atelier, et la petite ferme au nord, — construction de l’aile de service (cuisine actuelle)

— construction de la tour, qui est d’abord une tour d’eau : une citerne est alors installée à son sommet, au troisième niveau. Elle est alimentée par une pompe qui prend l’eau dans le puits qui se trouve sous la maison,

— aménagement de salles d’eau avec eau courante grâce à la tour dans toutes les chambres (un véritable luxe dans la région pour l’époque, le village de Valignat n’aura l’eau courante qu’en 1964 !).

Ces aménagements malheureusement ne profiteront pas à la famille. Les deux fils sont malades et mourront rapidement, l’un a été intoxiqué par les gaz pendant la guerre de 14-18, l’autre est atteint de tuberculose. L’Ormet va être mis en vente et rester vide pendant cinq ans.

Les années sombres

En 1934, Jeanne et Louis Laederich rachètent L’Ormet pour en faire leur futur lieu d’habitation à leur retraite. Ils habitent alors Paris (Louis est médecin des Hôpitaux) où leurs deux enfants suivent leurs études.

Quand Paris est occupé en 1940, ils viennent habiter à L’Ormet, alors en zone non occupée (la ligne de démarcation est au Pont Régemortes, à Moulins). Ils y résideront jusqu’à ce que les Allemands envahissent la moitié sud de la France, et regagnent alors Paris, pour faciliter la poursuite des études de leurs enfants.

En juin 1944, des hommes du maquis de Veauce s’installent quelques jours à L’Ormet, récupèrent matelas et couvertures, puis installent leur camp dans les bois de Veauce. Malheureusement, une dénonciation fait réagir l’armée d’occupation. Le 31 juillet 1944, un détachement allemand arrive devant L’Ormet vide, récupère quelques meubles qu’il répertorie soigneusement (on en retrouvera quelques-uns à Gannat dans un entrepôt), et met le feu à tous les bâtiments en représailles.

Du bâtiment principal, il restera les murs, que leurs 80 cm d’épaisseur ont sauvé de la destruction. La ferme sera totalement détruite. Seul le bâtiment pigeonnier-chapelle ne brûlera pas ; les soldats ayant fermé ses portes massives après avoir allumé l’incendie, celui-ci s’étouffera. Le bâtiment est encore daté de 1763. Un des deux vitraux du XIXe est toujours en place dans la chapelle.

Le bâtiment principal a été reconstruit au titre des dommages de guerre entre 1946 et 1950, pratiquement à l’identique. La toiture a été surélevée pour permettre une plus grande hauteur de plafond dans les chambres au second étage. Les encadrements de fenêtres d’origine, endommagés par l’incendie, ont été remplacés par des encadrements en briques.

Aujourd’hui

A partir de 1950, L’Ormet a été habité en permanence par la famille Laederich.

(1) En 1527, à la suite de la trahison du Connétable Louis de Bourbon, le duché du Bourbonnais sera rattaché à la Couronne de France.

(2) A l’Eglise de Cognat entre Gannat et Vichy, l’histoire des plus forts combats de 1568 y est racontée sur une fresque.

(3) historien, spécialiste de l’architecture bourbonnaise. Il situe Valignat comme « le point où la France du Midi s’arrête et où la France du Nord commence ».

(source : Pierre et Patricia Laederich)

Les environs

Veauce – Le château à 1km au sud

Naves – Le château à 4km à l’ouest

Bellenaves – Le château à 5km au nord

Bourbon l’Archambault – La Sainte Chapelle

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Bourbon l'Archambault - Saint Chapelle (www.lamontagne.fr)
Bourbon l'Archambault - Saint Chapelle
Bourbon l'Archambault - Saint Chapelle

Actualités : Retour sur l'histoire d'un trésor d'architecture disparu il y a deux cents ans (La Montagne 3 janvier 2020)

Bourbon l'Archambault - Saint Chapelle (La Montagne 3 janvier 2020)

Situation

Bourbon-l’Archambault est situé à 23 km à l’ouest de Moulins.
La Sainte Chapelle est située à 1 km à la sortie nord du bourg.

Histoire

Article de La Montagne du 3 janvier 2020

Retour sur l’histoire d’un trésor d’architecture disparu il y a plus de deux cents ans.

Vie et trépas des Saintes Chapelles

Si ce n’est une histoire et des souvenirs, il ne reste plus rien des saintes chapelles de la forteresse de Bourbon-l’Archambault. Retour sur l’épopée de ces deux joyaux d’architecture du château.

Révélée au grand public le 2 décembre dernier par Stéphane Bern au travers de son document « Secrets d’Histoire » consacré à « Anne de France ou l’honneur des Bourbons », la forteresse de Bourbon n’a pu afficher, contrairement à Riom, ses saintes chapelles. Et pour cause, ces deux joyaux d’architecture du château de Bourbon ont été rasés après la Révolution de 1789.

Une rivale de Paris

Pourtant, la fille de Louis XI, unie à Pierre II de Bourbon, a vraisemblablement foulé la grande Sainte-Chapelle, puisque celle-ci fut achevée en 1508, alors qu’elle était devenue veuve en 1503 et qu’elle est décédée à Chantelle en 1522. Ce monument, « sœur et rivale de la Sainte-Chapelle de Paris » avait été ordonné par le duc Jean II de Bourbon (1427-1488) en 1479. Aux manettes de sa réalisation, l’architecte Clément Mauclerc, qui allait en faire une splendeur vit s’élever un ouvrage du plus pur style gothique flamboyant. Michel Colombe, le maître sculpteur dont le talent fit école de nombreuses décennies durant, réalisa ici des prouesses. Ce fut de la dentelle de pierre, ponctuée de personnages sculptés comme Adam et Ève, le roi Louis IX, Jean II et sa femme qui ornaient le porche.
Les douze vitraux étaient magnifiques, comme en témoigne le relevé précis que Roger de Gaignières en a fait lorsqu’il accompagna la Marquise de Montespan en cure. L’ornement était d’une richesse infinie comme en témoignent les relevés réalisés peu de temps avant le saccage révolutionnaire, et rapportés par Achille Allier dans son « Voyage pittoresque. »

Fragments de la croix du Christ

Evidemment, qui dit sainte chapelle dit sainte relique. À Bourbon, c’est le sixième fils de Saint-Louis lui-même, Robert de France, qui apporta en 1287 les fragments de la croix et de la couronne du Christ que son père lui avait offerts de son vivant. Le fils de Robert et de Béatrix, le duc Louis Ier de Bourbon, fit élever vers 1315, sur le flanc est du château-fort, une Sainte-chapelle, qui fera néanmoins figure de naine auprès de sa grande sœur, érigée à sa gauche deux siècles plus tard.
Achille Allier, après maints détails de ces deux joyaux de pierre et de verre, décrit le Trésor, espèces de crypte enfouie entre les deux monuments, loin des regards, qui abritait le reliquaire de la Sainte-Croix. Celui-ci pesait treize marcs (3,181 kg). Il était fleurdelisé, surmonté d’une couronne et de pierreries, à la gloire de Louis II et daté de 1395. On comprend que le 13 octobre 1793, au plus chaud de la Révolution, les troupes de Fouché se soient appropriées au nom de la République ce reliquaire inestimable.
Quant aux chapelles, jadis desservies par un chapitre de quatre chanoines, trois semi-prébendiers, six vicaires, un trésorier, trois clercs, elles ont été détruites après la vente du château comme bien national au profit du sieur Nicolas. Qu’on se rassure, chaque pierre a été réutilisée lors des constructions de châteaux et belles demeures au XIX e siècle ! La main de Dieu. La grande Sainte-Chapelle ne fut pas épargnée par les rigueurs du ciel.

Coup de foudre

Le 2 août 1589, date de l’assassinat par Jacques Clément du roi Henri III de Valois, la foudre emporta la barre de l’ancien écusson des Bourbons que l’on voyait à la rosace occidentale de la chapelle. Certains y voient la main de Dieu plaçant sur le trône de France Henri IV de Navarre, issu de la branche cadette de nos ducs. En 1648, un autre orage détruira la couverture et le clocher délicieux, fondant même les cloches. Mal réparée, la chapelle subsista tant bien que mal jusqu’à la Révolution.

Les environs

Bourbon l’Archambault – La Forteresse sur le même site

Saint Menoux – Eglise (9 km à l’est)

Souvigny – La Prieurale (13 km au sud-est)

Moulins – Les Hôtels particuliers

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Actualités : Les Hôtels particuliers de la rue de Paris (La Semaine de l'Allier 6 février 202)

Moulins - Les Hôtels particuliers de la rue de Paris (La Semaine de l'Allier 6 février 2020)
Moulins- Hôtel Vic de Pontgibaud (de Rougé) (Pinterest- CC BY-SA 4.0)

Actualités : L'Hôtel Vic de Pontgibaud (de Rougé). Un particulier veut sauver ce bijou abandonné.

Moulins - Hôtel Vic de Pontgibaud (de Rougé) (La Semaine de l'Allier 6 février 2020)
Moulins- Hôtel Héron (Pinterest- CC BY-SA 4.0)
Moulins- Hôtel de Chavagnac (Pinterest- CC BY-SA 4.0)
Moulins- Hôtel ancien collège des jésuites (Pinterest- CC BY-SA 4.0)
Moulins- Hôtel Dubuisson de Douzon (Pinterest- CC BY-SA 4.0)
Moulins- Hôtel de la Feronnays (Pinterest- CC BY-SA 4.0)
Moulins- Hôtel de Rochefort (Pinterest- CC BY-SA 4.0)
Moulins- Hôtel de Ballore (Pinterest- CC BY-SA 4.0)
Moulins- Hôtel de Garidel (Pinterest- CC BY-SA 4.0)
Moulins- Hôtel de Morat (Pinterest- CC BY-SA 4.0)

Situation

Histoire

Les environs

Saint-Genest – Mallerée

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Saint Genest - Mallerée (www.allier-hotels-restaurants.com)
Saint Genest - Mallerée (www.allier-hotels-restaurants.com)

Situation

Histoire

Les environs

Cérilly – Musée Charles-Louis Philippe

Propriétaire : Commune de Cérilly
Visite : Oui
Dates et horaires :

– du 1er mai au 30 Juin de 15h à 18h, samedi, dimanche et jours fériés

– du 1er juillet au 31 août de 15h à 18h, vendredi, samedi, dimanche et jour fériés

– du 1er septembre au 30 septembre de 15h à 18h, samedi, dimanche et jours fériés

Adresse : 5 rue Charles-Louis Philippe 03350 Cérilly
Téléphone : 04 70 67 52 00
Courriel : mairie@mairie-cerilly.com
Site internet : www.mairiecerilly.com

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Charles-Louis Philippe (www.babelio.com)
Muséee Charles-Louis Philippe à Cérilly (www.mairiecerilly.com)
Charles-Louis Philippe (www.telerama.fr)
Charles-Louis-Philippe Bubu de Montparnasse

Situation

Cérilly est à 40 km au nord-est de Montluçon et à 45 à l’ouest de Moulins.

Le musée Charles-Louis Philippe est au 5, rue Charles-Louis Philippe.

Histoire

Maisons des illustres
La maison natale de Charles-Louis Philippe abrite depuis 1937 un musée consacré à la vie et à l’œuvre de l’écrivain (1874-1909), auteur notamment de « Bubu de Montparnasse », « Le Père Perdrix », « La Mère et l’Enfant », « Dans la Petite Ville », … C’est une petite maison à la façade étroite, élevée sur 2 étages et encastrée entre 2 autres bâtiments.
Ce musée, restauré en 1994 et labellisé « Maisons des illustres » en 2012 par le ministère de la Culture, respecte l’atmosphère de la maison où Charles-Louis Philippe a vécu jusqu’à l’âge de 22 ans. Du vieil escalier jusqu’à sa chambre avec son ancien carrelage, son mobilier et la fenêtre donnant sur la petite cour, en passant par l’atelier de sabotier de son père et la chambre de sa sœur.
Sur plusieurs panneaux, l’enfance de l’écrivain à Cérilly est évoquée à partir de souvenirs de famille, cahiers d’école, diplômes et bulletins scolaires, photos de classe.
Au rez-de-chaussée, dans la première pièce qui servait de cuisine et chambre parentale, se trouve la bibliothèque ayant appartenu à l’auteur, pleine de livres d’époque et de divers documents. Plusieurs vitrines et panneaux retracent l’enfance de l’écrivain, évoquée à partir de souvenirs de famille, cahiers d’école, diplômes, bulletins scolaires et photos de classe. La seconde pièce constitue l’atelier de sabotier de son père.
A l’étage, se trouvent les 2 chambres des enfants Philippe, Charles-Louis et Louise, sa sœur jumelle. Dans la chambre de l’écrivain, tout est d’origine : le lit, le bureau, les prix scolaires gagnés par lui-même et sa sœur. Les objets personnels de l’écrivain côtoient les manuscrits, parmi lesquels “Bubu de Montparnasse”, “Le Père Perdrix, “La Mère et l’Enfant”, et divers souvenirs de famille, permettant de retracer sa vie et ses rencontres, notamment avec André Gide. Dans la chambre de Louise, plus vaste, des panneaux présentent les analyses et documents sur les œuvres de Charles-Louis Philippe et celles de ses amis, André Gide, Valéry Larbaud, Léon-Paul Fargue, Francis Jourdain, Léon Werth, Lucien Jean, Henri Vandeputte et Jean Giraudoux.
Le musée regorge de multiples photos, dont celles de la maison de Carnetin (près de Lagny en Seine-et-Marne) où Charles-Louis Philippe et ses amis parisiens se réunissaient les fins de semaine de 1904 à 1907. Il est possible d’admirer les illustrations du livre « Bubu de Montparnasse » dont celles réalisées par André Dunoyer de Segonzac. De nombreuses eaux-fortes de celui-ci sont également exposées dans le musée.
Dans la petite cour, subsiste encore le puits qui, à l’époque, était utilisé par quatre familles constituant ainsi un lieu de rencontre et de convivialité.

(Source : www.mairiecerilly.com)

Les environs

Saint-Genest – Gouttière

Epoque :  – Protection :
Propriétaire :
Visite :
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet :

Saint Genest - Gouttière (www.allier-hotels-restaurants.com)
Saint Genest - Gouttière (saint-genest-03.fr)
Saint Genest - Gouttière (www.allier-hotels-restaurants.com)

Situation

Histoire

Le Château de Gouttières, au sud de Montluçon, est assis sur l’éperon de confluence du Cher et du ruisseau Maréchat. Un château primitif appelé par la légende le château d’Hirondelle était édifié dès le IXe siècle, et fut démoli au Xe, lors des invasions des Magyars. Il fut reconstruit vers 1150 par Thomas Brandon, et dénommé Guottière, déformé en Gouttières. Il était alors l’un des châteaux les plus fortifiés de la région : cinq tours carrées, reliées par de puissantes murailles et doublées de larges fossés avec herse et pont-levis. Au XIIe siècle, Brandon, seigneur de Gouttières, lutte contre le seigneur de l’Ours, puis contre Archambaud 1er, seigneur de Montluçon. En 1170, le château est pris par Henri Plantagenêt, puis est enlevé aux Anglais, en 1188, par Philippe Auguste et Guy de Dampierre. En 1359, il est repris par Robert Knowles, lieutenant du Prince Noir, puis pillé en 1568 par les réformés. A la fin du XVIIIe siécle, il est vendu à Sébastien Bizet. Les tours, rasées, furent reconstruitent par la suite. Le château actuel, du XVe siècle, se compose d’un corps de bâtiment rectangulaire à deux niveaux avec deux grosses tours sur les façades latérales, une tour d’escalier et deux tourelles d’angle à l’arrière.
(Source : P. BOUGEROLLE – “Société d’Emulation du Bourbonnais, 1962-63”)

Les environs

Saint-Félix – Le Tremblay

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Saint-Félix - Le Tremblay (www.chateau-fort-manoir-chateau.eu)
Saint-Félix - Le Tremblay (www.allier-hotels-restaurants.com)
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Saint-Félix - Le Tremblay (www.allier-hotels-restaurants.com)

Situation

Histoire

La maison forte de Tremblay est une construction relativement massive du XV ème siècle. le corps de bâtiment de plan barlong, à deux niveaux, est flanqué aux angles de deux tours rondes, couvertes de toits coniques. Cette première construction est doublée d’un second corps de logis plus imposant, à deux niveaux et niveau de comble, qui a été profondément remanié au XVIII ème siècle.

Les environs