Noyant d’Allier – Le musée de la mine

Epoque :  – Protection :
Propriétaire : Association des amis de la mine de Noyant d’Allier
Visite : Réouverture en avril 2023
Dates et horaires : 
Adresse : Les Amis de la Mine, 31 rue de la Mine 03210 Noyant d’Allier
Téléphone : 
Courriel : centre-animation-minier@orange.fr
Site internet :  https://centre-animation-m.wixsite.com/musee-mine-noyant

Devant le puy de la mine (medias.sit.auvergne-tourisme.info)
Galerie reconstituée au musée de la mine (Wikipédia : A.BourgeoisP)
Matériel roulant du train touristique du musée de la mine (Wikipédia : A.BourgeoisP)

Situation

Noyant d’Allier est situé à 20 km au sud-ouest de Moulins

Le musée de la mine est situé à 500 m au nord-est du centre ville

Histoire

Visite guidée. Le chevalement ainsi que le bâtiment minier dit « puits central », tous les deux de construction d’Eugène Freyssinet , constituent avec le site qui les entourent le musée de la Mine. Des circuits ferroviaires en fonctionnement permettent aux visiteurs d’avoir une première approche originale du site. Le musée possède aussi une fabuleuse collection de matériel minier, tant pneumatique que ferroviaire ; les galeries reconstituées, modestes mais utile,s complètent le parcours extérieur. Enfin l’exposition de petits outillages et de matériel didactique dans la chambre chaude achève la visite. Cette salle abrite une cuisine reconstituée grandeur nature telle qu’elle se présentait dans les années trente dans les corons. C’est dans cette salle que se déroulent des expositions temporaires

(source : “www.allier-auvergne-tourisme.com”)

Les environs

Noyant d’Allier – La Pagode et le Bouddha à 500 m au nord

Meillers – L’église Saint-Julien à 6.6 km au nord-ouest

Souvigny – La Prieurale à 8 km au nord-est

Montluçon – Traction Vapeure – AAATV

Association : Amicale des Anciens et Amis de la Traction Vapeur
Protection : Le pont tournant, sa voie d’accès et la signalétique correspondante sont inscrits MH.
Création
: 8 décembre 2009
Visite :
Dates et horaires :
Adresse : AAATV -Section Montluçon Auvergne – 2 rue Pierre Sémard 03100 Montluçon
Téléphone :
Courriel : aaatvmontlucon@sfr.fr
Site internet : aaatvmontlucon.fr

Arrivée à Commentry de la 141 TD 740 (www.simtrain-fr.com)
Le dépôt (www.aaatvmontlucon.fr)
Présentation des Diesels sous la rotonde (www.simtrain-fr.com)
Le dépôt (www.aaatvmontlucon.fr)

Situation

2, rue Pierre Sémard à Montluçon

Historique du dépôt

Pourquoi un dépôt ferroviaire (et une rotonde !) à Montluçon ?

La construction du dépôt de Montluçon à débuté en 1862
 Au début du XIXème siècle, Montluçon voit son activité industrielle se développer à la suite de la présence de ressources minérales importantes ainsi que des gisements de houille à proximité de : Commentry, Chamblet, bassin de l’Aumance et Saint Eloy-les Mines. L’arrivée du chemin de fer depuis Moulins vers Commentry et Montluçon en décembre 1859 va concurrencer sévèrement le canal du Berry vers Bourges et Tours, avec en second lieu la construction de la ligne Bourges-Montluçon. Pas encore de dépôt à Montluçon, mais deux ans plus tard, la circulation a beaucoup augmenté suite au raccordement de la ville à Paris via Bourges, Vierzon et les Aubrais. Montluçon vient de devenir un nœud ferroviaire. Un dépôt est alors construit autour d’une rotonde permettant d’abriter 16 machines. L’implantation du dépôt est effective en 1880. La radiale Paris-Montluçon-Béziers via Eygurande croise la transversale Bordeaux-Lyon-Genève avec branche sur Commentry-Moulins-Strasbourg. Montluçon constitue le point de passage obligé depuis Paris par trains rapides et express pour Aurillac, le Mont-Dore, Ussel. Le nœud ferroviaire est devenu étoile et avant 1900 la Compagnie est obligée d’agrandir les installations, le nombre des locomotives en service ne cessant d’augmenter. En 1883, la gare représente le 3ème tonnage des gares de la Compagnie du P.O. Mais une autre raison explique l’implantation de ce dépôt à Montluçon : la ville se trouve au contact des régions relativement plates du Bassin parisien au nord et des zones bien plus accidentées du Massif Central dans les autres directions.

 

La rotonde et ses ponts tournants

La rotonde semi-circulaire permettant d’abriter 38 locomotives est alors desservie par trois ponts tournants de vingt quatre, quatorze et neuf mètres. Ces deux derniers seront remplacés en 1949 par un demi-pont secteur (sorte de pont tournant coupé en 2) de vingt trois mètres destiné à desservir le centre autorails. Il est placé à l’extrémité du pont restant, disposition unique en France – paraît il ! Un atelier complète l’ensemble. Un troisième pont tournant sera implanté en 1954 près des bureaux administratifs pour virer les 141R du dépôt de Vierzon en escale, mais il n’a jamais servi, les virages se faisant sur le pont de la rotonde.

 

Les machines

Du fait de son implantation géographique le dépôt de Montluçon comprend des machines de vitesse destinées à la circulation en plaine, et des plus lentes mais très puissantes pour les sections montagneuses. En 1872, on compte 60 machines de plaines et de montagnes. L’effectif atteint une centaine de machines en 1938, et même 120 de1939 à 1950.

Séries de machines attachées à Montluçon
* Série 4200 (230 G), série 1700, série 5000 (140-B), série 6000 (150 A)
* Série 1516 / 1565 (030), série 792 / 941 (030A), série 1114 / 1140 (040-B)
* Série 1021 / 1030 (030T).
Entre les deux guerres, Montluçon abritait quarante deux 5600 / 700 (141-TB).
En 1921, arrivent des Pacific 4500 (231 A Sud-ouest), chassées de la ligne Limoges-Brive par l’électrification.
En 1929, Montluçon compte 129 machines à ses effectifs.
En 1951, il y a 119 machines en pression.
En juin 1952, arrivée de 12 autorails types VH.

 

Les hommes

En juillet 1952 par exemple, Montluçon compte : 200 agents de conduite, 180 agents aux ateliers, 25 agents administratifs, 10 agents du magasin, 60 agents du service intérieur, 12 personnes de l’encadrement et direction, 37 apprentis. En 1967, il y avait 417 agents. En 2008 le dépôt est unité de production traction, rattaché à Clermont avec un chef d’UP, un CTT et 25 conducteurs.

 

Fin de l’activité

La crise de la sidérurgie dans le Centre et l’Allier intervient à la fin des années 50, les usines ferment une à une. L’exode rural n’arrange pas les choses pour les petites lignes, la crise du charbon fait fermer les mines de Noyant en 1940, Commentry en 1960, Saint Eloy fin 1977. L’activité diminue au fur et à mesure de la fermeture des lignes.
Si l’activité “vapeur” disparait en 1969, l’activité “autorails” perdure. Le centre autorail ferme ses portes en octobre 1970, transférant ses vingt X 2400 à Limoges. Montluçon devient dépôt-relais. Des 141 R de Vierzon viennent en escale (dont la 141 R 840) jusqu’en 1971.
Des fermetures de lignes font perdre la charge de travail au personnel de Montluçon
La rotonde du dépôt a été partiellement démolie en octobre 1975, entraînant une simplification du plan de voie et la suppression de 2 des 3 ponts ainsi que la destruction de l’estacade à charbon et des ateliers désaffectés.
En décembre 2010, fin de l’activité du dépôt. Le site est remis à disposition par le service de la Traction SNCF au propriétaire foncier interne SNCF : la D.T.I. (Direction Territoriale Immobilière).

 

Disparition de la rotonde et du pont tournant

Créée en décembre 2009, l’A.A.A.T.V. section Montluçon-Auvergne a pour objectif principal de préserver en état de fonctionnement, restaurer et mettre en valeur le site du dépôt ferroviaire historique de Montluçon, notamment sa rotonde et son pont tournant. Pour cela plusieurs projets pour valoriser au mieux le site, avec bien sûr un évènement ponctuel à fréquence annuelle : Le Festirail Montluçon, grande fête populaire autour du thème du chemin de fer.

 

Une nouvelle étape

Par un arrêté préfectoral du 3 février 2011, la rotonde ferroviaire de la gare de Montluçon avec son pont tournant, sa voie d’accès et la signalétique correspondante sont inscrits au titre des monuments historiques.

(source :”www.aaatvmontlucon.fr”)

Les environs

Montluçon – le Musée MUPOP à 1.5 km au nord

Montluçon – le château des Ducs à 1.4 km au nord

Montluçon – église Notre Dame à 1.5 km au nord

Bagneux – Forêt des Prieurés de Bagnolet

Propriétaire : Forêt domaniale (Etat)
S
uperficie : 2637 ha
Visite : libre ou guidée
Téléphone : 04 70 48 14 34

Courriel : s.durix@agglo-moulins.fr
Site internet :

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Une allée dans la forêt de Bagnolet (www.randos-allier.com)
Etang dans la forêt de Bagnolet (www.randos-allier.com)
La forêt de Bagnolet - chevreuil
Forêt de Bagnolet - Equipage du Percevent (e.percevent.free.fr)

Situation

La forêt des Prieurés de Bagnolet est située à 15 km au nord-ouest de Moulins

Histoire

Le village de Bagneux englobe une partie de la forêt domaniale de Bagnolet, que Nicolas de Nicolay qualifiait de “belle et grande étendue”.

Ce massif forestier d’environ 1900 hectares s’étire du nord au sud de la vallée alluviale de l’Allier, au nord de Moulins. Le chêne est l’essence dominante, tandis que le hêtre est plutôt abondant au nord. La faune abritée par la forêt est riche et diversifiée, et les sources de nourriture sont multiples. L’avifaune comprend plusieurs rapaces et Pics nicheurs, et présente cinq espèces d’intérêt communautaire.

Les nombreux ruisseaux affluents de l’Allier, ainsi que la présence de plusieurs étangs en bordure permettent, par exemple, la présence dans la forêt de la tortue bourbeuse, une espèce d’intérêt communautaire, figurant sur la liste rouge des espèces menacées. La gestion retenue par l’Office National des Forêts est la futaie régulière de chêne rouvre avec sous-étage de charme et de hêtre.

Quelque part dans cette forêt se trouve la tombe dite de l’ermite. Elle est en pierre, daterait des XIVème ou XVème siècles. Sur cette tombe est représentée en demi-relief un calice et deux croix. Il est probable que ce soit la sépulture d’un prêtre qui vivait en solitaire. Les fondations d’un petit édifice, qui devait être une chapelle dédiée à sainte Marie Madeleine ont été découvertes à proximité. Après la mort de l’ermite, ses rares fidèles durent l’inhumer dans cette chapelle, et placer cette pierre pour perpétuer son souvenir. Par la suite, l’oratoire est tombé en ruine, et la dalle a été déplacée.

(source :”www.randos-allier.com”)

Les environs

Agonges – Chateau de L’Augère à 3 km à l’ouest

Agonges – Eglise Notre Dame à 4 km au sud-est

Villeneuve sur Allier – Le château du Riau à 11 km au nord-est

Ebreuil – Les gorges de la Sioule

Visite : en canoë à Ebreuil
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet :

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Les gorges de la Sioule (Wikipédia)
Les gorges de la Sioule à Chouvigny (mapio.net)
Les méandres de la Sioule - environs de Menat (www.bellesroutesdefrance.fr)
Les gorges de la Sioule à Chouvigny (www.auvergne-tourisme.info)

Situation

Dans le Bourbonnais, les Gorges de la Sioule de dessinent entre le pont de Menat et Ebreuil :

à 31 km à l’ouest de Vichy
à 54 km au sud-est de Montluçon
à 61 km au sud de Moulins

Description

Avant de rejoindre les eaux calmes de l’Allier, la Sioule dévale les contreforts du Massif-Central dans un environnement sauvage qui mérite le détour. La rivière, qui marquait jadis le pas entre le Bourbonnais et l’Auvergne, entre oc et oil, délimite encore aujourd’hui l’Allier sur sa rive gauche et le Puy-de-Dôme à sa droite.

Juché sur la falaise, le château de Chouvigny, ancienne forteresse du XIIIe siècle, domine les gorges, que les promeneurs prennent plaisir à découvrir en remontant le lit de la rivière.

Entre les vallées de la Sioule et de la Bouble, la forêt des Colettes arbore 1600 ha de chênes et de hêtres, repère des amateurs de champignons. Le massif forestier abrite également une base VTT et cyclo labellisée FFCT, le Vert Plateau, qui propose là, 280 km de sentiers balisés pour une découverte plus sportive.

Parmi les nombreuses églises romanes qui font le charme des environs (Gannat, Mazerier, Biozat…), l’église Saint-Léger à Ébreuil, ancienne abbatiale, rappelle qu’une puissante abbaye bénédictine a siégé là pendant près de 900 ans. Les fresques de la tribune, exécutées vers 1125, sont les plus anciennes parmi les nombreux ornements de l’édifice.

(Source : “www.allier-auvergne-tourisme.com”)

Les environs

Ebreuil – L’abbaye Saint-Léger

Chouvigny – Le château de Chouvigny à 10 km à l’ouest d’Ebreuil

Saint-Remy de Blot (63) – Ruines de Château Rocher à 18 km à l’ouest d’Ebreuil

Veauce – église Sainte-Croix

Epoque :  XI°- Protection : MH (1840)
Propriétaire :
Visite :
Dates et horaires : Du 01/01/2018 au 31/12/2018 ( 09:00 / 20:00 )jusqu’à 18h du 01/11 au 31/03
Adresse : 2 rue de l’Église 03450 Veauce
Téléphone : 04 70 58 53 03
Courriel :
Site internet :

Eglise Sainte-Croix (www.flickr.com)
Eglise Saint-Croix (mes voyages en France)
Eglise Sainte-Croix (atlas roman))
Eglise Sainte-Croix - le clocher (myopenweek.com)

Situation

Veauce est situé à 39 km à l’ouest de Vichy

L’église est dans le village

Histoire

La date précise de sa construction n’est pas connue, mais son histoire est liée à celle du château.
Elle existe au XIème siècle (don d’Aimon de Veauce à l’abbaye Saint-Léger d’Ebreuil en 1080). Elle fut construite par les Bénédictins pour leur usage. Ils avaient probablement leur monastère à proximité.
A la fin du XVème siècle, un chapitre collégial y fut fondé sous le patronage de Saint-Vénérand, par Jean Bessoles. Ce chapitre disparut en 1766.
De style roman, cette église fut élevée sous l’influence de l’école auvergnate.
Le chevet est entièrement construit en pierres calcaires disposées en assises régulières. Il est proche par le plan et la structure des églises majeures de la Limagne romane.
On y voit une multitude de marques de tâcherons, surtout de grandes lettres B, E; H,
En 1779 (date inscrite au-dessus de la porte), la nef fut amputée de deux travées et la façade reconstruite.
Le clocher a été rehaussé en 1882. Les trois cloches furent offertes par le Baron Charles Eugène De Cadier de Veauce.
L’église est classée monument historique depuis 1840.
Depuis 1997, l’église est illuminée tous les samedis, dimanches soirs et les jours de fête, jusqu’à minuit.

(source : “mairie-veauce.planet-allier.com”)

Les environs

Veauce – Le château au sud-ouest du village

Bellenaves – Le château à 6.8 km au nord

Ebreuil – Abbaye Saint-Léger à 7.2 km au sud

 

Saint-Désiré – église Saint-Désiré

Epoque : XI°-XII° – Protection : MH (1875)
Propriétaire : Commune de Saint-Désiré
Visite :
Dates et horaires : Du 01/01/2018 au 31/12/2018 ( 07:30 / 19:30 En cas de fermeture demander les clés en mairie
Adresse : Place de l’Église 03370 Saint-Désiré
Téléphone : 04 70 07 10 12
Courriel :
Site internet :

église de Saint-Désiré (www.allier-auvergne-tourisme.com)
église de Saint-Désiré (www.france-voyage.com)
église de Saint-Désiré (www.france-voyage.com)
Eglise Saint-Désiré - La Crypte (Wikipédia)
Modillon sculpté (tête grotesque) de l'église romane Saint-Désiré (www.france-voyage.com)

Situation

Saint-Désiré est situé à 24 km au nord-ouest de Montluçon

L’église Saint-Désiré est dans le village

Histoire

Vers 500, le château construit sur la motte de Salviacus devient la propriété des évêques de Bourges. Le village est attesté depuis l’époque gallo-romaine. Il était situé à proximité de la voie antique reliant Châteaumeillant à Néris. Une communauté chrétienne a dû exister très tôt à la suite de l’évangélisation par saint Martial de Limoges.

L’évêque de Bourges saint Désiré y serait mort en 552 au retour d’un concile à Clermont.

Il existe une crypte du XIe siècle construite autour du tombeau de saint Désiré, probablement antérieur. Le prieuré a été fondé en 1055 par Ebe de Charenton, et Archambaud II de Bourbon, frère d’Aymon de Bourbon (1030-1070), archevêque de Bourges. Le prieuré est placé sous la dépendance de l’abbaye Saint-Michel de la Cluse. Ce choix vient probablement du fait que l’abbaye Saint-Michel de la Cluse a été fondé, vers 960, par un seigneur de la maison d’Auvergne, Hugues de Décousu à son retour d’un voyage à Rome. L’église a d’abord été dédiée à saint Martial et a été occupée par des moines du prieuré voisin de la Chapelaude. Les moines décident de la construction de l’église entreprise entre 1066 et 1091 d’après le cartulaire de la Chapelaude autour de la crypte plus ancienne où reposait le corps de saint Désiré.

En 1130, Suger prétendit qu’un pseudo-diplôme de Dagobert donnait la propriété du prieuré à l’abbaye de Saint-Denis. L’affaire fut portée devant le roi de France et le pape, mais à la Révolution l’église Saint-Désiré relevait de l’abbaye Saint-Michel de la Cluse. La notoriété du lieu venait du corps de saint Désiré.

Au XIXe siècle, l’église a été amputée des deux premières travées occidentale. La nef centrale est alors recouverte par un berceau en bois qui avait remplacé une voûte en maçonnerie à une époque non connue mais dont il subsistait des amorces. Cette charpente avait nécessité le surhaussement des murs goutteraux.

L’église est restaurée, entre 1866 et 1890, par les architectes Denis et Georges Darcy qui ont cru nécessaires de lui ajouter un clocher-porche à l’ouest. Les murs gouttereaux sont repris vers 1889 et la voûte en plein cintre de la nef centrale rétablie. Les restaurations ont fait disparaître les fresques anciennes. Les relevés qui en avaient été faits auparavant ont donné un nom, peut-être celui du peintre ou d’un moine du prieuré de la Chapelaude : Omblardus monacus, avec une date MCXVI.., qui serait 1118.

(source :”wikipédia”)

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Moulins – Le Jacquemart

Epoque :  XV°- Protection : MH (1929)
Propriétaire :
Visite : oui
Dates et horaires : de 17h à 18h les 9/04, 28/05, 11 et 18/06, 9 et 23/07, 3 et 10/09, 1er et 8/10 ;
– de 18h à 19h le 7/05 ;
– de 18h30 à 19h15 les 6 et 13/08 ;
– à 18h et 20h dans le cadre de la Nuit des Musées le 21/05 ;
– de 15h à 17h le 2/07 : Jacquemart et quartier historique
Adresse : Le Jacquemart Place de l’Hôtel-de-Ville 03000 Moulins
Téléphone : 04 70 48 01 36
Courriel :
Site internet : ville-moulins.fr

Le Jacquemart (Wikipédia)
Le Jacquemart (medieval.mrugala.net)
Le Jacquemart - Les automates (Wikipédia)
Le Jacquemart - détail des automates (etudiant.aujourdhui.fr)
Incendie du Jacquemart nuit du 12 au 13 mai 1946 (image1.lamontagne.fr)

Situation

Moulins, Place de l’Hotel-de-Ville

Histoire

La tour actuelle a été construite entre 1452 et 1455. Son aspect alors ne ressemble pas à celui d’aujourd’hui, la tour ayant subi deux incendies. Elle ressemblait initialement à une flèche, surmontée de gargouilles et d’une corniche ornée. À son sommet, elle était couronnée d’une aiguille.
De 1451 à 1455, quatre consulats (les gouvernements de la ville) consécutifs se consacrent à l’acquisition et à la construction d’une tour d’horloge perfectionnée, à l’image de celles construites en Flandre.
Pour ce faire, le 16 mai 1452, un impôt spécial « sur le fait de l’horloge » est levé (ainsi qu’en 1653 et 1654) par Jean II de Bourbon : « Par le commandement de Monseigneur le chancelier bailler leur porçion de l’impoct de l’orloge de la dicte ville. ».
Au début de l’année 1453, la tour est élevée. C’est « l’ancêtre » de la tour Jacquemart actuelle.
En 1454, elle reçoit un couronnement de charpente en bois puis l’année suivante, en 1455, ses derniers accessoires. Cette même année, le fût est coiffé d’une fine aiguille en ardoise d’Orléans, ornée de pennons et de bannières armoriées par Jehan Chasteau.
La cloche est fondue par Robert Bresmant. Elle est ornée des armes du duc, de la duchesse de bourbon et de la ville.
Il y a alors un seul sonneur, un automate en fer peint qui frappe une cloche en égrenant les heures. Un soleil et une lune figurent au niveau du cadran de l’horloge.

Incendie de 1655

Il n’y a pas d’avaries notoires pendant deux siècles malgré les réparations courantes qui doivent être effectuées sur le mécanisme.
Mais dans la nuit du 20 au 21 novembre 1655, un incendie qui partait des Halles, vers la collégiale, ravageât le Jacquemart. Les Halles sont entièrement détruites. La tour ne garde que sa carcasse de pierre, sauvegarde considérée alors comme miraculeuse, l’incendie s’arrêtant lorsqu’est jeté dans les flammes le voile qui recouvre la Vierge noire de la ville.

Reconstruction de 1656

En 1656, de la construction primitive, il ne subsiste que la partie en soubassement qui sert de base à une restauration.
Le 18 septembre 1656, la tour est reconstruite, mais a subi les influences du siècle avec l’apparition d’une nouvelle couverture en impériale et de la haute lanterne octogonale (détruite par l’incendie en 1946).
L’unique sonneur est remplacé par une famille complète de quatre jaquemarts — père, mère, fils et fille — taillés dans du bois de chêne et de châtaignier et recouverts de plomb. Les parents mesurent 1,80 m et les deux enfants, 1 m. Chacun est muni d’un marteau et pivote sur son axe, d’une seule pièce.
La tenue du père est proche de l’uniforme de garde-française (autrefois grenadier). Ce vêtement est réduit à une veste courte, pour faciliter sa rotation. Sa coiffe est ornée aux armes de la ville. Celle de la mère, Jacquette, à l’anatomie réaliste, est en tenue de roturière et porte un bonnet. Un ventre rebondi peut laisser penser à la représentation d’une femme enceinte ou à l’embonpoint des mères de famille bourgeoises.
La fille, Jacqueline, au profil mutin et nez pointu, est coiffée d’une bonnet gaufré et est vêtue d’une robe à pli. Quant au fils, Jacquelin, il est coiffé d’un béret et est habillé d’un modeste justaucorps juponnant.
Les Jacquemarts de 1655 sonneront jusqu’en 1946.
La première cloche, détruite par l’incendie de 1655, est remplacée par trois timbres pour les parents et pour chaque enfant de la famille :
La cloche centrale pour Jacquemart et “Jacquette”, nommée « Marie-Anne » car placée sous le parrainage de la reine-mère Anne d’Autriche, la mère de Louis XIV. La fonte de la cloche a été faite par Pavie et Mangeot en 1656 dans la cour de l’Hôtel de Ville. Cette cloche est d’un diamètre en 1,74 m et pèse 4 250 kg.
Les deux petites cloches pour “Jacquelin” et “Jacqueline”. Fondues en octobre 1658, elles pèsent 150 et 125 kg et font 0,64 et 0,68 m de diamètre.
Approximativement, le père et la mère frappent 56 940 coups par an et les enfants, qui frappent les quarts d’heure, environ 175 200 coups par an.

Après la Révolution

La couronne royale qui surmontait le couronnement disparaît pendant la Révolution.
La tour est classée au titre des monuments historiques le 10 octobre 1929.

Incendie de 1946 et reconstruction

Des feux de Bengale que l’on avait placés au sommet du Jacquemart, pour fêter le premier anniversaire de la victoire des Alliés et la Libération, causèrent un incendie qui ravagea le haut de la tour dans la nuit du 12 au 13 mai 1946, seul le fut principal est épargné. L’enquête révéla que des feux de Bengale avaient été installés sur la plate-forme haute du campanile — en bois — et non sur l’étage inférieur — en pierre —.
La partie haute va être reconstruite à l’identique, en partie grâce à une souscription. Le 23 août 1946, une délibération du Conseil municipal décide l’établissement des travaux de reconstruction qui seront confiés à l’architecte Génermont.
À partir de cette date, débute l’établissement de devis, tous plus ou moins respectés. Il y aura de nombreux contre temps dus aux difficultés inhérentes à la période de l’après-guerre avec un manque de matériaux, un manque d’essence, la longueur des démarches pour obtenir des bons de rationnement pour les ouvriers qui ont un statut spécial de “travailleurs de force”, etc. La première date prévue pour l’achèvement des travaux était alors le 6 septembre 1947 mais la nouvelle tour ne sera opérationnelle qu’en juin 1948, des travaux se poursuivant encore l’année suivante.

 

Un timbre de la tour sera émis en 1955 et une flamme philatélique du millénaire de Moulins en 1990.

(source :”Wikipédia”)

Les environs

Moulins – Le Palais Ducal à 200m au nord

Moulins – le musée Anne de Beaujeu à 300m au nord

Moulins le CNCS (musée du costume) à 3 km à l’ouest

Châtel de Neuvre – église Saint-Laurent

Epoque : XI° – Protection : MH (1927)
Propriétaire : Commune de Châtel de Neuvre
Visite : ouverte toute l’année de 9h à 18h
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet :

Eglise Saint-Laurent à Châtel de Neuvre (maj-photoseglises.blogspot.ch)
Eglise Saint-Laurent à Châtel de Neuvre (Wikimédia)
Eglise Saint-Laurent à Châtel de Neuvre (lieuxsacres.canalblog.com)
Eglise Saint-Laurent à Châtel de Neuvre (www.cartesfrance.fr)

Situation

Châtel de Neuvre est situé à 18 km au sud de Moulins.

L’église Saint-Laurent est situé à la sortie sud de Châtel de Neuvre

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Histoire

Oppidum gaulois puis castrum romain, Châtel-de-Neuvre fut le chef lieu d’une viguerie appartenant à un certain Aymard qui est le fondateur de la souche…des Bourbons. De son riche passé historique, Châtel-de-Neuvre a conservé de nombreuses traces dont une église classée. Les premières étapes de sa construction remontent au IXe siècle. L’église Saint-Laurent recèle en outre des fresques des XIV ème et XV ème siècles. La paroisse de Châtel-de-Neuvre appartenait au diocèse de Clermont. L’église Saint-Laurent, située au sommet d’une butte dominant la vallée de l’Allier, occupe l’une des positions les plus spéctaculaires du département Le transept peu saillant fut modifié au nord à l’époque gothique. Les absidioles, asymétriques, sont légèrement plus tardives que la nef. Le clocher, dont la souche remonte également à l’époque romane, a été amputé de sa flèche.

A mi-hauteur de la façade ouest, de chaque côté, on remarque deux stèles funéraires gallo-romaines très usées, qui confirment, comme certains éléments sculptés remployés dans le parement du côté sud-ouest du transept, la présence d’un ancien établissement antique sur ce site. L’église comporte une nef très étroite, l’une des plus anciennes de l’Allier. Celle-ci est éclairée directement et contrebutée de bas-côtés voûtés en quart de cercle.Le transept peu saillant fut modifié au nord à l’époque gothique. Les absidioles, asymétriques, sont légèrement plus tardives que la nef. Le clocher, dont la souche remonte également à l’époque romane, a été amputé de sa flèche.A mi-hauteur de la façade ouest, de chaque côté, on remarque deux stèles funéraires gallo-romaines très usées, qui confirment, comme certains éléments sculptés remployés dans le parement du côté sud-ouest du transept, la présence d’un ancien établissement antique sur ce site.

(source :”www.allier-hotels-restaurants.com”)

Bessay sur Allier – église Saint-Martin

Epoque : XII° – Protection : MH (1910)
Propriétaire : Commune de Bessay
Visite : ouverte toute l’année
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet :

église Saint-Martin à Bessay (www.randos-allier.com)
église Saint-Martin à Bessay (photos-eglises.fr)
église Saint-Martin à Bessay (photos-eglises.fr)
église Saint-Martin à Bessay (www.jacquet.fr)

Situation

Bessay sur Allier est situé à 15 km au sud de Moulins

L’église Saint- Martin est dans le centre ville de Bessay

Histoire

L’église ( XI et XIIème siècles ) dédiée à l’évèque de Tours est l’oeuvre des moines bénédictins qui se voient confirmer la possession du prieuré de Bessay par Pascal II en 1105. Ils assument alors le service de l’église paroissiale avant qu’un prieur-curé soit établi vers la fin du XVI ème siècle.

L’église est construite dans l’enceinte du cimetière et comporte une nef de quatre travées, des bas côtés, un transept légèrement saillant et un chevet plat précédé d’une travée droite. Deux chapelles rectangulaires communiquent avec le transept. Le clocher de l’édifice est carré avec un faisceau de colonnettes caractéristiques du début du XIIIème siècle. Il abrite quatre cloches, la plus ancienne datant de 1687, une autre provenant comme le bénitier, de l’église de Neuglise.

Transept
La porte de l’église est surmontée d’une archivolte de deux voussures en plein cintre. Le linteau est sculpté d’une représentation insolite de l’agneau pascal, entouré de deux loups. La composition est due à la volonté du donateur de l’oeuvre, le prince Czartoryski, propriétaire de Chaugy. D’origine polonaise, il a voulu ainsi évoquer par l’agneau la Pologne menacée par deux loups, la Prusse et la Russie.

Linteau de l’église
Les voûtes de la nef ont fait l’objet, à la fin de l’époque romane, d’une réfection quasi intégrale. La communication des chapelles latérales avec la travée droite s’opère par des arcs en plein cintre retombant sur des impostes garnies de rinceaux.

Fonts baptismaux
Outre des fonts baptismaux carrés de l’époque romane, le mobilier de l’édifice comprend un bénitier provenant de l’église de Neuglise, détruite vers 1850. De dimension disproportionnée par rapport à l’intérieur de l’église, il est orné d’un relief bas. Un petit personnage est distinct sur la face avant.

(source :”bessay.sur.allier.pagesperso-orange.fr”)

Moulins – Le pont Régemortes (les ponts)

Epoque :  milieu du XVIII°- Protection : MH (1946)
Concepteur : Louis de Régemortes
Longueur  : 301.50m
Portée principale : 19.50 m
Matériaux : Pierre

Le Pont Régemortes - face sud (fr.wikipedia.org)
Le Pont Régemortes - vue aérienne (Jean-Louis Zimmermann - CC BY 2.0)
Le Pont Régemortes (Gérard JOYON - CC BY 3.0)
Le Pont Régemortes -face nord (Mapio.net)
Le Pont Régemortes (www.agora-photo.com)
Destruction d'une arche du pont de Régemortes le 18 juin1940 (A. D. Allier, 1 J. © A. D. Allier)
Le Pont Régemortes (User:Otourly - CC BY-SA 3.0)

Actualités : les ponts à Moulins, il reste beaucoup à découvrir

Pont Régemortes (La Montagne 25 novembre 2019)

Actualités : les ponts à Moulins, il reste beaucoup à découvrir

Moulins - Les ponts (La Montagne 20 octobre 2022)

Situation

Le pont Régemortes est situé à l’ouest du centre ville de Moulins, reliant le quartier des Mariniers à celui de la Madeleine.

Histoire

Le pont Régemortes est un pont en pierre au dessus de l’Allier, à Moulins, dans le département homonyme. Il porte le nom de Louis de Règemorte, l’ingénieur qui l’a conçu et construit au milieu du XVIIIe siècle. Pont innovant pour son époque, il fut le premier à résister aux fortes crues de la rivière.

Construction du pont

En 1750, Louis de Régemortes, ingénieur des turcies et levées de la Loire, fut chargé d’étudier le projet d’un pont destiné à remplacer celui qui avait été dessiné par Mansart en 1705 et qui avait été emporté par la crue de 1710 avant même d’être terminé. Les ponts à Moulins, comme ceux de la ville plus en aval de Vichy, ont au cours de l’histoire régulièrement été emportés par les violentes crues de l’Allier. Fort de son expérience sur la Loire et de l’échec du pont de Mansart, il constate que l’effondrement des ponts est du à la puissance des crues mais également à la mobilité et à l’épaisseur des sables sur lesquels il repose, pouvant atteindre jusqu’à 16 m. Les pilotis, sur lesquels reposaient les piles des précédents ponts ne pouvaient pas atteindre la couche de roche dure.

De 1750 à 1753, Régemortes établit un projet, qui fut approuvé par la municipalité de Moulins puis par un arrêt du conseil du Roi le 6 mai 1753. Ce projet comporte deux innovations :
un radier général, déjà employé mais à plus petite échelle sur la Vienne, qui va apporter une bonne rigidité artificielle,
une large ouverture pour le passage des eaux avec 253 mètres (pour une longueur totale d’environ 300 mètres) alors que le pont de Mansart n’en prévoyait que 113 mètres).

Les travaux vont durer 10 ans, de 1753 à 1763. Régemortes fait détruire le quartier de la Madeleine en rive gauche, et y creuse, protégé de la rivière par un mur, la risberme, la première partie du radier sur une profondeur d’un 1,65 mètre et une largeur de 34 mètres. Une première moitié de pont est construite coté rive gauche, entre 1753 et 1759. Une fois achevée, il fait construire une digue légère pour orienter le débit de la rivière sous cette partie du nouveau pont et permettre la construction d’un radier coté rive droite puis de la seconde moitié du pont. L’ouvrage complet est achevé en 1763. Les déblais extraits de la rivière pour y placer le radier servent à la construction de digues coté rive droite pour protéger la ville de Moulins des crues.

Le pont mesure alors 300 mètres entre nus de culées avec 13 arches de 19,5 mètres. C’est le premier pont de grande dimension qui ait été construit sur un radier général avec un tablier horizontal et droit.

En 1771, Régemortes a publié un volume richement illustré décrivant la construction du pont de Moulins et les techniques utilisées.

Depuis la construction

Le pont résistera jusqu’à nos jours à tous les crues dont les deux crues exceptionnelles de 1790 et de 1866. Le pont servira de modèle pour le pont de Loire à Nevers et le pont-canal du Guétin.

Jusqu’à l’achèvement en 1859 du pont ferroviaire (dit Pont de fer ou Pont noir) situé en amont, il sera le seul pont de Moulins et environs franchissant l’Allier.

Seconde Guerre mondiale

Lors de la Seconde Guerre mondiale, le colonel d’Humières était en charge de la défense du secteur de Moulins2. Il décida, contre l’avis du maire, René Boudet, qui souhaitait une « ville ouverte », d’établir une ligne de défense sur la rive gauche de l’Allier et de miner une des arches du pont, la troisième en partant de la rive gauche, en disposant dessus six tonnes de nitrite.

Quand les Allemands envahirent la ville en provenant de Nevers et de la rive droite, le 18 juin, il fit sauter l’arche du pont, à 14h10, pour empêcher, la traversée des troupes allemandes. Le souffle de l’explosion détruisit de nombreuses vitres de Moulins, dont celles de la salle du conseil municipal, alors en réunion extraordinaire.

Une passerelle en bois sera assez rapidement installée et l’arche sera reconstruite en béton quelques mois plus tard.

Durant l’Occupation, cette partie de la rivière Allier marquait la ligne de démarcation qui séparait la France en deux, une zone occupée au nord et à l’ouest et zone libre au sud. La ligne séparait également le quartier de la Madeleine (seule partie de Moulins en zone libre) du reste de la ville. Le pont Régemortes sera un des principaux points de passage, situé sur la route entre Vichy où siégeait l’État français et Paris.

Ne peuvent alors franchir le pont que les possesseurs de laisser-passer. Outre les contrôles de l’armée puis de la douane allemande, la gendarmerie française contrôle elle aussi le pont, pour lutter contre le marché noir. Le passage clandestin seul ou avec l’aide de passeurs à travers la rivière est alors la seule solution pour ceux qui ne possèdent pas de laisser-passer.

Après guerre

Le pont est inscrit aux Monument historiques le 17 juillet 1946.

L’exploitation de gravières après guerre, contribueront à l’abaissement du lit de l’Allier, fragilisant le radier1. Pour le renforcer, un seuil d’enrochement sera créé et du béton sera injecté.

(source:”Wikipédia”)

Les environs

Moulins – Le Palais Ducal à 900 m au nord-est

Moulins – La Cathédrale à 900 m au nord-est

Moulins – Le CNCS (Musée du costume) à 500 m au nord-ouest