Pierrefitte sur Loire – La Saulnière
Pierrefitte sur Loire – Château-Morand
Situation
Histoire
Les environs
Saligny sur Roudon- Le château à 7 km au sud-ouest
Diou – Abbaye de Sept Fons à 12,2 km au Nord-Ouest
Saint-Pourçain sur Besbre – Château de Thoury à 17 km à l’ouest
Saint-Priest en Murat – Virlobier
Situation
Saint-Priest en Murat est à 28.7 km à l’est de Montluçon et à 48.6 km au sud-ouest de Moulins.
Virlobier est 1.9 km au sud de Saint-Priest en Murat.
Histoire
Virlobier est édifié sur l’éperon de confluence du Reuillon, au sud, et d’un ravin profondément encaisse, à l’ouest, pouvant avoir été aménagé en étang. L’actuel château, très remanié des XVIe et XVIIe siècles, a conservé une tour carrée accolée à sa façade, deux tours rondes d’angle, munies de meurtrières. Une chapelle archaïque garde des restes de peintures. Il ne reste aucune trace apparente de fossés. Le nom du château proviendrait de villa orbata, la construction en rond qui a pu être l’aspect premier du castrum, à l’intérieur d’une enceinte circulaire dont les indices sont encore décelables dans les tracés voyers. Dès 1300, l’on rencontre Perronin de Ville Lobet, qui rend hommage au seigneur de Bourbon pour des cens, tailles et autres devoirs, dans plusieurs paroisses. En 1375, Jean de la Peyrouse est seigneur de Cornassat, Le Theil et Virlobier. Sa fille épouse, avant 1397, un seigneur de Beaucaire. En 1481 Colas Déperet, bourgeois de Montluçon et seigneur de Bien-Assis, achète “les bois, garennes, prés, étangs et terres labourables situés à Virloubier”. Dès 1485, Jacques de Breschard rend foi et hommage pour Virlobier. Il renouvelle l’aveu en 1503 à la duchesse de Bourbon, pour “sa maison, hostel de Villelobier, alias La Tour avec maisons, plus en arrière-fief du seigneur de Chaulmont, maison, estangs, terres, prés, domaines…”. En 1569, le chasteau et seigneurie de Virelobier dépend de la châtellenie de Murat. Vers 1600, Pierre Chacaton semble être devenu propriétaire des seigneuries de Virlobier et des Bouis, qui passèrent à son fils Philibert, conseiller du roi et lieutenant général civil en l’élection de Montluçon. La terre resta longtemps dans cette famille.
(source : Extrait : Châteaux, Fiefs, Mottes, Maisons Fortes et Manoirs en Bourbonnais aux éditions De Borée)
Les environs
Saint-Bonnet de Four – église Saint-Bonnet à 6 km au sud
Murat – ruines du château à 9,2 km au nord
Doyet – Donjon de la Souche à 10,6 km à l’ouest
Luneau – Rosières
Situation
Histoire
Installée sur une ancienne motte féodale, la petite maison forte des Rosières est une construction du XIVe siècle. Le corps de bâtiment à colombages, de plan rettangulaire, à deux niveaux, est flanqué d’une petite tour cylindrique qui donne belle allure à l’ensemble. Au début du XIVe siècle, le fief de La Ronzière appartenait à la famille de Semur. C’est Lucque, une des descendantes des Semur qui, par son mariage le porta à Humbert de Bonnant, seigneur d’Avrilly. Les vassaux du Donjon se succédèrent à la Seigneurie de La Ronzière. Après les de la Varenne au XVIe siècle et les Duryer au XVIIe siècle, ce sont les Dupuy puis les Paray qui portèrent le titre de seigneurs de La Ronzière.
(source : Extrait : Châteaux, Fiefs, Mottes, Maisons Fortes et Manoirs en Bourbonnais)
Les environs
Haut-Bocage-Maillet – Brie
Situation
Histoire
Brie est une maison forte de hauteur, encore entourée de ses douves, surveillant un vaste horizon. Elle a conservé quelques aspects de l’ancien château. C’est une construction massive, à l’allure d’un gros donjon carré de trois niveaux et deux travées, auquel est accolé un pavillon rectangulaire, lui aussi à trois niveaux, flanqué en façade d’une tour carrée, couverte en terrasse. Au XVe siècle, Loys Pançon, escuier, dénombre son “chastel, manoir, domicile, mothe, faussés, terre-seigneurie du lieu de Brys”. En 1503, plusieurs aveux sont faits à la duchesse de Bourbon pour le fief de Brie qui est détenu en coseigneurie: Loys Pançon ne détient que la quarte partie dudit lieu et domaine de Brys, par indivis avec Loys de Brys et les héritiers d’Anthoine de Cousture, À la fin du XVIe siècle, Gaspart Samson est devenu seigneur de Brys et des Oules, alors qu’en 1686, c’est le sieur de Sagonne qui détient le fief de Brie.
(Source : Extrait : Châteaux, Fiefs, Mottes, Maisons Fortes et Manoirs en Bourbonnais)
Les environs
Haut-Bocage-Maillet – La Bourse
Situation
Histoire
En position dominante, le château de la Bourse occupe un site d’éperon et pourrait avoir été occupée anciennement. En 1503, François de Chaslus, écuyer, fait aveu à la duchesse de Bourbon de “son hostel et maison de la Brousse, et de plusieurs dixmes”, estimés à 37 livres de rente annuelle. Aujourd’hui, une maison de maître construite au XIXe siècle occupe les lieux.
(source : Extrait : Châteaux, Fiefs, Mottes, Maisons Fortes et Manoirs en Bourbonnais aux éditions De Borée)
Les environs
Haut-Bocage-Maillet – Champigny
Situation
Histoire
Le beau château de Champigny situé sur une terrasse de la vallée du Cher, est d’époque moderne. Le parc abrite une chapelle de style néo gothique. Le château consiste en un grand corps de logis rectangulaire à deux niveaux, agrémenté de deux ailes en léger retour d’équerre. Si l’on accède à l’entrée principale par un large escalier à l’avant du bâtiment, la façade arrière reçoit un joli avant-corps central de plan carré, couvert d’un toit à quatre pans, avec épis et frise de faîtage.
(source : Extrait : Châteaux, Fiefs, Mottes, Maisons Fortes et Manoirs en Bourbonnais aux éditions De Borée)
Les environs
Haut-Bocage – Maillet – Beauregard
Situation
Histoire
Près de l’église de Maillet, le château ferme de Beauregard, a sans doute remplacé un château plus ancien, dont on avait conservé une tour aujourd’hui démolie. C’était ici le château primitif, autour duquel s’est constitué le bourg, un “pré du canal” semble indiquer qu’il fut entouré de fossés. Une famille Baudeau, au XVIIe siècle, se déclarait sieur de Beauregard Villeneuve, alors qu’en 1686 c’est le sieur de la Fauconnière qui possède le fief de Beauregard.
(source : Extrait : Châteaux, Fiefs, Mottes, Maisons Fortes et Manoirs en Bourbonnais aux éditions De Borée)
Les environs
Servilly – Les Gadins
Situation
Servilly est à 26 km au nord-est de Vichy et à 42 km au sud-est de Moulins.
Les Gadins sont à 400 m à la sortie nord de Servilly.
Histoire
Cette ancienne maison-forte a pris le nom de Château-Gadin. Construite au XVe siècle, et aménagée aux siècles suivants, elle est formée d’un corps de logis rectangulaire à deux niveaux et niveau de comble, flanqué de deux tours circulaires couvertes de toits coniques. Le premier seigneur connu des Gradins est, en 1491, Henri Gadin, seigneur de Château Gadin. La famille conserva le seigneurie jusqu’à la fin du XVIIe siècle et donna de nombreux officiers seigneuriaux. En 1676, Geoffroy Gadin était lieutenant général en la châtellenie de Billy, c’est sa fille qui par son mariage, porta la terre de Château-Gadin aux Blanchardon. A la fin du XVIIIe siècle, la famille Virotte en devint propriétaire jusqu’en 1872, date à laquelle Château-Gadin fut acquis par la contesse de Dienne.
(source : Extrait : Châteaux, Fiefs, Mottes, Maisons Fortes et Manoirs en Bourbonnais aux éditions De Borée)
Les environs
Cindré – château de Puyfol à 5.1 km au nord
Lapalisse – château de La Palice à 5.9 km au sud-est
Montaigu le Blin – la Forteresse à 6.7 km à l’ouest
Saint-Nicolas des Biefs – Les Hormières
Situation
Histoire
Le bâtiment présenté est une ancienne maison forte du XVème siècle. Son corps de logis de plan rectangulaire, à trois niveaux, est flanqué d’une tour ronde à l’angle ouest, aujourd’hui tronquée. Les ouvertures du XVème siècle y sont encore visibles malgré les restaurations, et en particulier la porte d’entrée avec ses angles chanfreinés. Il se compose d’un corps de logis central à deux niveaux et niveau de comble, et de deux pavillons bas à deux niveaux, accolés de chaque côté. Le corps principal est épaulé par une tour de plan barlong, prise en oeuvre et qui forme un avant-corps. Elle accueille la porte d’entrée sur perron, dont l’accès est conduit par un petit escalier à double révolution.
La façade est soulignée par des chaînages à chaque niveau et par un entablement de pierres moulurées. La toiture élancée s’éclaire de lucarnes à oeil-de-boeuf, alors que celle de la tourelle s’orne d’un fronton et d’une lucarne néo-renaissance. Les pavillons construits en retrait s’intègrent bien à l’ensemble. Le logis principal, de style classique, a été dressé par les architectes Durand, père et fils, de Roanne, alors que la construction des communs a été l’oeuvre de l’architecte Moreau. Le parc, quant à lui, a été dessiné par les paysagistes Treyve-Marie. A une cinquantaine de mètres de cette ancienne maison forte, un petit château a été édifié au XIXème siècle, au milieu d’un parc ombragé.
(source : www.randos-allier.com)
Les environs
Saint-Nicolas des Biefs : Les allées des Géants à 1.7 km au sud
Saint-Clément – La Montagne Bourbonnaise à 12.4 km à l’ouest
Châtel-Montagne – église Notre Dame à 14.2 km au Nord-ouest