Montmarault – Musée du chemin de fer de l’Allier

Epoque :  – Protection :
Propriétaire :
Visite :
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone :
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Actualités : Ils sont fiers du patrimoine ferroviaire (La Semaine de l'Allier 20 décembre 2018)

Montmarault - Musée du chemin de fer de l'Allier (Semaine de l'Allier du 20 décembre 2018)

Actualités : Patrimoine ferroviaire (La Semaine de l'Allier du 19 mars 2020

Montmarault - Musée du chemin de fer de l'Allier (Semaine de l'Allier du 19 mars 2020)

Situation

Histoire

Les environs

Marcillat en Combraille – La Maison de la Combraille

Epoque :  – Protection :
Propriétaire :
Visite : Visite libre ou guidée sur demande
Dates et horaires : Du 01/01 au 31/05/2018.
Fermé lundi et dimanche.
De 10h à 12h et de 14h à 17h30 sur réservation.
Du 01/06 au 30/09/2018, tous les jours.
De 10h à 12h30 et de 15h à 17h30 sur réservation.
Du 01/10 au 31/12/2018.
Fermé lundi et dimanche.
De 10h à 12h et de 14h à 17h30 sur réservation.

Adresse : Place Pierre Bitard 03420 Marcillat-en-Combraille
Téléphone : 04 70 51 10 23
Courriel : maisondelacombraille@orange.fr
Site internet : http://maisondelacombraille.over-blog.com

Marcillat en Combraille - La Maison de la Combraille (medias.sit.auvergne-tourisme.info)
Marcillat en Combraille - La Maison de la Combraille (musees-bourbonnais.fr)
Marcillat en Combraille - La Maison de la Combraille (medias.sit.auvergne-tourisme.info)

Situation

Marcillat en Combraille se situe à 23 km au sud de Montluçon
La Maison de la Combraille est dans le village.

Histoire

La Maison de la Combraille est un espace ludique et interactif dédié au territoire de la Combraille. Les visiteurs partent à la découverte de toutes ses richesses en abordant divers thèmes : géologie, paysages et milieux naturels, faune et flore, archéologie et peuplement, habitat, vie sociale et quotidienne au XIXe siècle, patrimoine monumental. Des animations numériques font voyager les visiteurs dans l’espace et le temps.

(source : www.allier-auvergne-tourisme.com)

Les environs

Virlet – Abbaye Notre Dame de Bellaigue à 5,7 km  au sud-est

Ronnet – Le Donjon à 8,9 km au nord-est

Sainte Thérence – Château de l’Ours à 13 km au nord

Jaligny – La Maison Aquarium Val de Besbre

Propriétaire :
Visite : oui
Dates et horaires : 11 février – Mai : Du lundi au vendredi 14H-18H.Dimanche 14H-18H (sauf 18/03-25/03-01/04)
Juin-Août : Lundi 11H-13H et 14H-19H Mardi au vendredi: 10H-13H 14H-19H Dimanche: 14H-19H
Septembre-4 novembre : Du lundi au vendredi 14H-18h Dimanche: 14H-18H (sauf 16/09-23/09-30/09-07/10-14/10)
Adresse : chemin du stade 03220 Jaligny
Téléphone : 04 – 70 – 34 – 80 – 81
Courriel : smat-valleedelabesbre@orange.fr
Site internet : www.aquarium-valdebesbre.fr

Jaligny - Maison Aquarium Val de Besbre (www.allier-auvergne-tourisme.com)
Jaligny - Maison Aquarium Val de Besbre (www.allier-auvergne-tourisme.com)
Jaligny - Maison Aquarium Val de Besbre (medias.sit.auvergne-tourisme.info)
Jaligny - Maison Aquarium Val de Besbre (medias.sit.auvergne-tourisme.info)

Situation

Jaligny se situe à 31 km au sud-est de Moulins

La Maison Aquarium se situe à 300 m au nord du centre ville.

Espaces :

La salle des aquariums :
une véritable sensation d’immersion au bord de la rivière en zone de montagne, puis en zone de plaine.
– 17 aquariums représentant les 25 espèces de poissons et écrevisses d’eau douce que l’on rencontre dans la rivière Besbre, de ses sources en montagne bourbonnaise sur le versant nord du Puy de Montoncel à sa confluence avec le fleuve Loire en plaine à Diou.
– Une double cimaise de présentation ludique et interactive de découverte de la faune
et de la flore présentes le long de la rivière, côté montagne, et côté plaine.
– Des illustrations graphiques pour mieux comprendre le cycle de l’eau, la rivière,
la pyramide écologique, les poissons.
– Une borne multimédia avec un quizz sur les thèmes de l’eau, de la rivière,
des poissons, des écrevisses.

La salle de projection vidéo : « Les 4 saisons de la Besbre » : la rivière Besbre, de ses sources à sa confluence,à travers la vision de l’écrivain du pays René FALLET.
Film de 25 minutes de Daniel MARTINEAU
50 places assises.
Salle de 70 m² environ avec 2 toilettes pouvant être utilisée pour des conférencesou des réunions.

Les salles d’expositions temporaires :
2 à 3 expositions temporaires dans l’année autour des thèmes de la nature, des milieux aquatiques d’eau douce, de la faune, de la flore.

(source : www.aquarium-valdebesbre.fr)

Les environs

Jaligny – le château à 300 m au sud

Chatelperron – Préhistorama à 4,5 km au nord-est

Saint-Léon – Puy Saint Ambroise (point de vue) à 10,5 km au nord-est

Chatelperron – Préhistorama

Epoque :  – Protection :
Propriétaire :
Visite : oui
Dates et horaires : du 1er avril au 30 septembre : 10h à 12h  et  14h à 18h (fermé le mardi)
ouvert dimanche et jours fériés : 14h à 18h
Adresse : La Gare 03220 CHATELPERRON
Téléphone : 04.70.34.84.51.
Courriel :prehistoramachatelperron@orange.fr
Site internet : 03web.fr

Chatelperron - Préhistorama (www.auvergne-centrefrance.com)
Chatelperron - Préhistorama (www.allier-auvergne-tourisme.com)
Chatelperron - Préhistorama (www.randos-allier.com)

Situation

Chatelperron se situ à 36 km au sud-est de Moulins età 44 km au nord-est de Vichy

Le musée se situe dans l’ancienne gare de Chatelperron.

Histoire

C’est grâce à la construction du chemin de fer qui devait relier le bassin houiller de Bert-Montcombroux au port de Dompierre-sur-Besbre que fut découvert en 1848 l’abri de « La Grotte des Fées ».

Fouillée dès 1850, cette grotte ne livra tout d’abord que quelques outils en os et bien plus tard de nombreux silex taillés qui témoignaient de l’existence d’une civilisation bien particulière, à laquelle on donna le nom de « Châtelperronienne ».

Il s’agit d’un groupe de trois grottes dont deux subsistent mais sont aujourd’hui bouchées. C’est Albert Poirrier, qui dirigeant la construction de la voie ferrée, enleva les couches qui s’étendaient devant l’entrée. Il y recueillit des ossements et quelques objets en silex et os.
C’est ensuite le Docteur Guillaume Bailleau, qui a effectué de 1867 à 1872 des fouilles dans les trois cavités de la grotte, découvrant un grand nombre de silex taillés et d’ossements, dont une défense de mammouth atteignant plus de deux mètres de longueur.
La collection récoltée par Bailleau comprend plusieurs centaines d’outils en silex. Elle est aujourd’hui dispersée entre le British Museum de Londres, le musée d’Archéologie Nationale de Saint-Germain-en-Laye, l’institut de paléontologie humaine de Paris et le musée Anne de Beaujeu de Moulins.

À partir de 1951 Henri Delporte reprend les fouilles, recueillant un mobilier assez important déposé aujourd’hui au musée d’Archéologie Nationale. Pour la première fois à Châtelperron, Henri Delporte établit dans la grotte « effondrée » une stratigraphie, c’est à dire une superposition de couches archéologiques.

Les environs

Chatelperron – Le château

Jaligny – La Maison Aquarium du Val de Besbre à 4,5 km au sud-est

Saint-Léon – Puy Saint-Ambroise (point de vue) à 7 km à l’est

Moulins – Villa Mantin

Epoque :  XIX°- Protection : ISMH (1986)
Propriétaire : Conseil départemental de l’Allier
Visite :
Dates et horaires : L’entrée à La Maison Mantin est commune avec celle du musée Anne-de-Beaujeu
Les visites doivent être réservées par téléphone au 04 70 20 48 47
(Réservation du lundi au vendredi,  de 10h à 12h et de 14h à 18h)
Adresse : 1-3 place du Colonel-Laussedat 03000 Moulins
Téléphone : 04 70 20 48 47
Courriel :
Site internet : www.mab.allier.fr

Villa Mantin (www.allier-auvergne-tourisme.com)
Villa Mantin (www.allier-auvergne-tourisme.com)
Villa Mantin (www.allier-auvergne-tourisme.com)

Situation

La Villa Mantin est située 1-3 place du Colonel-Laussedat 03000 Moulins

Histoire

Louis Mantin, bourgeois fortuné, fit construire à la fin du 19e siècle une imposante demeure autour de ses collections.
Se sachant malade, il prit toutes ses dispositions et rédigea un testament à l’attention des visiteurs du futur, léguant sa maison et son contenu afin de montrer cent ans après sa mort « un spécimen d’habitation d’un bourgeois du 19e siècle… ».
Mais l’excentrique donateur n’a rien laissé sur l’histoire de sa vie.
​En parcourant sa maison, figée pour l’éternité, on découvre de magnifiques cuirs dorés, des tapisseries d’Aubusson, des vitraux anciens illuminant chaque fenêtre, chaque pièce…
La maison Mantin est conçue comme un écrin pour l’art. Avec un goût prononcé pour la rareté, l’insolite, l’éclectisme et l’exotique, Louis Mantin a orné chaque pièce d’un étourdissant dédale de peintures, de livres, de photographies, d’objets miniatures, d’animaux naturalisés, de sculptures…
Le temps a passé mais cette collection est restée intacte. Parmi ces objets, on découvre une série d’indices bizarres, laissés peut-être à dessein.
En approfondissant la visite, on s’aperçoit que cette demeure ressemble à un portrait crypté et drôle du mystérieux Louis Mantin. Le bâtisseur a voulu survivre à travers cette maison donnée à la postérité, en conviant le visiteur à percer le mystère de sa personnalité.

(source : www.allier-auvergne-tourisme.com)

Les environs

Le musée Anne de Beaujeu sur le même site

Le Palais Ducal  sur le même site

La Cathédrale sur le même site

Montluçon – Musée de la musique – MUPOP

Epoque :  – Protection :
Propriétaire :
Visite :
Dates et horaires : Ouvert du mardi au dimanche :
Du 1er juin au 31 août de 10h à 19h
Du 1er septembre au 31 mai de 14h à 18h (et sur rendez-vous le matin pour les groupes)
Fermé du 1er au 31 janvier inclus pour maintenance (réouverture le 1er février), le 1er mai et le 25 décembre et tous les lundis.
Adresse : 3 rue Notre-Dame 03100 Montluçon
Téléphone : 04 70 02 19 62
Courriel :
Site internet : www.mupop.fr

MUPOP (jaimelafrance.tourisme.fr)
MUPOP (www.expositif.fr)
MUPOP (image1.lamontagne.fr)

Situation

le MUPOP est situé à Montluçon : 3 Rue Notre Dame, 03100 Montluçon.

Description

Activement soutenu par le ministère de la Culture et de la Communication et labellisé Musée de France, le MuPop abrite la plus grande collection d’instruments et d’objets musicaux de France depuis le milieu du XVIIIe siècle. Il a ouvert ses portes le 21 juin 2013, jour de la fête de la musique. Il est installé, sur une surface de 3300 m2, dans des hôtels historiques du centre ville, les hôtels Charnisay et Méchain, qui abritent les collections d’instruments, tandis qu’une extension moderne accueille les espaces d’animation.
On y trouve 3500 instruments de musique répartis sur trois parcours (parcours musical immersif, parcours instrumental enrichi, parcours numérique interactif), 200 points d’écoute mobile, un espace d’exposition temporaire, un espace de médiation et un centre de documentation.

Historique

Le musée tire son origine du musée de la vielle, qui s’était développé à Montluçon dans les années 1960-1970. Progressivement, le musée a élargi son territoire aux cornemuses, puis aux guitares électriques et à tous les aspects des musiques populaires, tant traditionnelles que contemporaines. Il a alors été nécessaire de concevoir pour lui un cadre d’exposition plus large et une muséographie plus attractive.

Cadre architectural

Le MuPop est installé dans deux hôtels particuliers du vieux Montluçon : l’hôtel Charnisay et l’hôtel Méchain. Leur rénovation, conçue par l’architecte Philippe Tixier (Atelier 4), en groupement avec Bruno Morel architecte, ingénieur, architecte du patrimoine, Pascal Payeur scénographe et l’entreprise générale GFC, a duré trois ans. Les deux hôtels voisins ont été traités différemment : l’hôtel Charnisay a été restauré dans le respect de son intégrité patrimoniale, tandis que l’hôtel Méchain, qui avait beaucoup souffert au cours des siècles, a été habillé d’une enveloppe contemporaine ; cette alliance entre tradition et modernité correspond à celle qu’on trouve dans les collections du musée. Les deux bâtiments sont reliés par une extension moderne en béton qui abrite l’entrée du musée.

(source : wikipédia)

Ferrières sur Sichon- Musée de Glozel

Epoque :  – Protection :
Propriétaire :
Visite :
Dates et horaires : De juin à septembre inclus, le Musée de Glozel est ouvert tous les dimanches après-midi de 14h à 18h
Adresse : Musée de Glozel – Glozel – 03250 Ferrières-sur-Sichon
Téléphone : 04 70 41 12 96
Courriel : contact@museedeglozel.org

Site internet : www.museedeglozel.org

Glozel (www.allier-auvergne-tourisme.com)
Emile Fradin et le le chanoine Côte (© Musée de Glozel)
Glozel (jean.dif.free.fr)
Fouilles de Glozel (www.valeursactuelles.com)
Ferrières sur Sichon - Glozel (Emile Fradin)
Ferrières sur Sichon - Glozel (entrée de la Grotte de Puyravel)
Ferrières sur Sichon - Glozel (le champ des fouilles)
Ferrières sur Sichon - Glozel (le musée)
Ferrières sur Sichon - Glozel (le musée)
Ferrières sur Sichon - Glozel (les fouilles)
Ferrières sur Sichon - Glozel (les fouilles)
Fouilles de Glozel (www.valeursactuelles.com)

Actualités : Glozel ... Une incroyable aventure (La Semaine de l'Allier 7 mars 2024)

Situation

Ferrières sur Sichon se situe à 26 km au sud-est de Vichy

Le musée de Glozel se situe à 5 km au nord-ouest de Ferrières sur Sichon

Histoire

1924 : une chambre de la maison familiale…

Le Musée de Glozel est aussi ancien que l’invention du gisement. En effet, dès la fin de l’hiver 1924, époque des premières découvertes, les conditions muséographiques, à savoir conservation et exposition, sont déjà réunies. Les objets recueillis sont rassemblés au village de Glozel. On expose en plein air les éléments de structure (dalles et briques à cupules). Le mobilier archéologique, quant à lui, est conservé à l’intérieur d’une chambre de la maison de Claude Fradin, inventeur du gisement avec son beau-fils Antoine et son petit-fils Emile. Rapidement les curieux, essentiellement de Ferrières et des communes voisines, commencent à affluer. La visite est libre.

1926 : … puis le séjour…

Mais le volume croissant des découvertes et leur médiatisation, entraînant une fréquentation toujours plus importante, rendent nécessaire une organisation muséographique plus élaborée. Joseph Loth, membre du Collège de France et de l’Institut, après sa visite et ses fouilles d’octobre 1926 avec Henri Breuil, encourage vivement l’aménagement d’un véritable musée. On décide alors d’affecter une pièce de la maison à cet usage. Ce sera le séjour. Des étagères sont d’abord accrochées aux murs. Puis des vitrines leur sont substituées. Un panneau, fixé au-dessus de la porte d’entrée, signale le Musée et en affiche le statut. Un droit de visite est désormais perçu.

1929 : aménagement d’une salle d’exposition

Enfin, en 1929, après les deux années les plus bruyantes de l’affaire, un nouveau local, dans le prolongement nord de la maison, est réaménagé pour accueillir les collections. Le panneau du Musée change de porte. C’est cette pièce unique qui, aujourd’hui encore, constitue le Musée de Glozel. Elle a bénéficié entre-temps de quelques aménagements. Ils n’ont toutefois pas entamé ce charme des cabinets d’antiquités

(source : www.museedeglozel.com)

Les environs

Ferrières sur Sichon – Château de Montgilbert à km au nord

Ferrières sur Sichon – Grotte des fées à 6 km au sud-est

Lavoine – Rocher Saint Vincent à 12,4 km au sud-est

Lurcy-Levis – Street Art City

Epoque :  – Protection : non
Propriétaire : Gilles et Sylvie Iniesta
Visite : oui
Dates et horaires : Ouvert au public du 30 mars au 4 novembre 2018 tous les jours de 11h à 19h.
Adresse : Château de Béguin, Les Bruyères de Béguin, 03320 Lurcy-Lévis
Téléphone :
06 44 95 59 86
Courriel :
contact@street-art-city.com
Site internet : www.street-art-city.com

Street Art City (moulins-tourisme)
Street Art City (lamontagne.fr)
Street Art City (jorisdelacour.fr)

Situation

Lurcy-Levis se situe à 39,5 km au nord-ouest de Moulins

Street Art City se situe à 2,7 km au sud-ouest de Lurcy-Levis

Histoire

Gilles et Sylvie Iniesta. Ils ont revendu leur société de marketing direct, fondée en Espagne à la fin des années 90. Ils sont arrivés à Lurcy-Lévis après avoir acheté et réhabilité, le château de Béguin, depuis revendu à un groupe hôtelier. La propriété comprenait le centre des PTT auquel ils cherchaient à « redonner une âme »

Au milieu d’un paysage rural, un lieu unique au monde dédié à l’Art City et au Graffiti cueille le visiteur et le saisit de stupéfaction. Époustouflant et inattendu, le site offre une découverte visuelle au cours d’une promenade architecturale et artistique en immersion totale. La déambulation le propulse dans une incroyable sensation, l’ absorbant tout entier au cœur d’une perpétuelle métamorphose graffi’K sans précédent. La diversité artistique provoque le sentiment d’insatiabilité, de ne pas pouvoir tout voir en une seule fois et le plonge dans la magie d’une étape éphémère.
La découverte du site peut être complétée par la visite intérieure de l’Hôtel 128 : les artistes se sont approprié chacun l’espace d’une chambre de l’ancien hôtel désaffecté du site et ont laissé libre cours à l’expression de leur créativité.
Une aventure à vivre et revivre encore sans modération !

Audes – musée du canal de Berry

Epoque :  – Protection :
Propriétaire :
Visite : oui
Dates et horaires : du 1er avril au 1er novembre
Avril • Mai • Juin • Septembre • Octobre
ouvert du mardi au dimanche après-midi de 14 h 00 à 18 h 00 ainsi que les jours fériés
Juillet • Août • vacances de Pâques et de Toussaint
ouvert du mardi au dimanche de 10 h 00 à 12 h 30 et de 14 h 00 à 18 h 00
Adresse :
Magnette – 03190 Audes
Téléphone :
04 70 06 63 72
Courriel :
Site internet :
canal de Berry

Musée du canale de Berry (static.apidae-tourisme.com)
Plan du musée (museecanaldeberry.fr)
Musée du canale de Berry (www.hdmedia.fr)

Situation

Audes se situe à 16,6 km au nord de Montluçon

Le musée du canal de Berry se situe à Magnette à 3,8 km à l’est d’Audes

Histoire

Situé au bord du Canal de Berry en plein cœur du Val de Cher, le musée fut créé en 1978 sur le site d’anciens fours à chaux par l’amicale laïque de Reugny. Chaque année, cette association de bénévoles créait une exposition sur un thème local et elle ne savait pas que l’exposition consacrée au canal de Berry allait être le début d’une grande aventure.
René CHAMBAREAU et quelques bénévoles ont réuni quelques pièces récupérée ici ou là, des dons de mariniers, d’éclusiers, de cantonniers, des dizaines de recherches, de rencontres et ont permis trente ans plus tard de constituer une collection unique sur le Canal de Berry. Ce fond est composé de près de 4000 pièces regroupant des documents administratifs, des plans d’époques, des objets de mariniers mais aussi des pièces monumentales comme des portes d’écluses et deux authentiques péniches ayant naviguées sir le Canal de Berry sauvées d’une destruction certaine.
Le canal, aujourd’hui, offre un nouvel engouement par la création d’une voie verte pour les amoureux des balades calmes sans moteur et pour les sportifs.

Les environs

Audes – Le château de la Crête à 3,2 km à l’ouest

Reugny – le prieuré Notre Dame à 1,1 km à l’est

Saint- Désiré – église Saint-Désiré à 16,6 km au nord-ouest

Moulins – Musée Anne de Beaujeu

Epoque : fin XV° – Protection : MH (1840)
Propriétaire : Conseil Général de L’Allier
Visite : oui
Dates et horaires : Ouvert toute l’année.
– Jusqu’au 30 juin et à partir du 1er septembre, du mardi au samedi de 10h à 12h et de 14h à 18h. Les dimanches et jours fériés (sauf 1er janvier, 1er mai et Noël), de 14h à 18h.
– En juillet-août : du lundi au samedi de 10h à 12h30 et de 14h à 18h30. Les dimanches et jours fériés de 14h à 18h30.
Adresse : 3 place du Colonel Laussedat 03000 Moulins
Téléphone : 04 70 20 48 47
Courriel : mab@cg03.fr
Site internet : musees.allier.fr

www.france-voyage.com
www.allier-auvergne-tourisme.com
culturebox.francetvinfo.fr
musees-bourbonnais.fr

Situation

Place du Colonel Laussedat à Moulins

Histoire

Histoire
Le pavillon Anne de Beaujeu
A coté de la « Mal-Coiffée » vestiges du château du XIVème siècle se trouve le pavillon Anne de Beaujeu.
Quand en 1488, Pierre et Anne de Bourbon devinrent duc et duchesse du Bourbonnais, leur pouvoir politique était déjà grand, Anne de Bourbon, appelée aussi Anne de Beaujeu ou Anne de France était la fille du roi Louis XI. Pendant la minorité de son frère, le roi Charles VIII, elle avait été régente du royaume de France, jusqu’en 1488. Anne de Beaujeu engagea l’agrandissement du château vers le nord. Elle fit construire une nouvelle aile de 70 mètres de long, selon une architecture gothique flamboyante, terminée par une chapelle dédiée à saint Louis, et contre laquelle serait construit, à partir de 1497, un pavillon destiné aux séjours de son frère… mais Charles VIII, mort l’année suivante, n’en profitera jamais. Ce pavillon fut construit dans
un style nouveau, utilisant les formules de la Renaissance. Il s’agit de l’une des toutes premières constructions Renaissance en France (fort probablement la première de cette envergure). Le pavillon voulait sans doute rappeler à Charles VIII les splendeurs artistiques qu’il avait pu admirer lors des guerres d’Italie ; d’ailleurs, son architecte, Marceau Rodier avait fait appel à des artisans italiens. Néanmoins, le style architectural y est encore empreint d’une tradition gothique “à la française”, perceptible notamment dans la volonté de faire pénétrer, en les faisant buter, les archivoltes des arcs contre les pilastres (idée de pénétration des nervures propre au gothique flamboyant) ou encore dans l’exubérance du décor sculpté ; les motifs architecturaux, comme les tondi, au niveau des écoinçons, sont quant à eux d’inspiration italienne. Sur la façade du pavillon peuvent se lire de nombreuses références aux Bourbons, comme les initiales des commanditaires (“P” pour le duc Pierre II et “A” pour la duchesse Anne), la “ceinture Espérance” (insigne de l’ordre de l’Écu d’Or, ordre de chevalerie fondé par Louis II, rappelant la devise du duché “d’espérance mes ailes restent symbole”), ou encore le Cerf Ailé (référence symbolique au Christ et aux ailes d’espérance) ainsi que le Chardon (symbole issu peut-être d’un jeu de mot avec “cher don”, en référence au mariage de Louis II et d’Anne d’Auvergne). À l’image du triptyque du maître de Moulins conservé à la cathédrale, ou des tombeaux de la prieurale de Souvigny, la façade Renaissance de ce pavillon demeure un témoin de l’ampleur du mécénat des Bourbons.
Les jardins Renaissance
Outre les agrandissements du château, Anne de Beaujeu fit également transformer les anciens jardins médiévaux, avec leurs tonnelles et parterres carrés, en de vastes jardins Renaissance qui s’étendaient à l’Ouest de la Mal-Coiffée, jusqu’à l’actuelle place Jean Moulin. Ces jardins se voulaient, là encore, être à l’image des plus grandes créations du royaume de Naples, puisque agrémentées de parterres aux plantes très diverses, de terrasses, de grandes allées, d’un labyrinthe, mais aussi d’un potager, dans la tradition des jardins médiévaux, ou encore d’une orangerie, et aussi d’une ménagerie regroupant différents animaux exotiques, comme des dromadaires ou des lions. Anne de Beaujeu demanda même à Laurent de Médicis s’il lui était possible de lui faire parvenir… une girafe ! Ces jardins étaient également ornés de fontaines, dont une, réalisée en pierre de Volvic, présentait des formes complexes, avec deux étages de bassins et différents jets d’eau, fontaine qui subsista jusqu’au milieu du XIXème siècle dans la grande cour du château, près de la Mal- Coiffée. Depuis 1995, les jardins bas du château, sans commune mesure avec ceux du XVIème siècle, évoquent néanmoins leur souvenir.
Commun, de l’âge d’or aux destructions
Quand le duché du Bourbonnais fut démantelé en 1531, le château devint propriété royale. Une trentaine d’années après, il était encore décrit par Nicolas de Nicolaï, géographe ordinaire du roi, comme étant “de telle grandeur et structure que peu s’en trouvent plus accommodés pour recevoir rois et princes”. Catherine de Médicis, héritière douairière du Bourbonnais, y fit faire quelques modifications. Elle y résida plusieurs mois, en 1566 à la fin de son grand tour de France avec le roi Charles IX. En 1601, la reine de France, Louise de Lorraine, veuve d’Henri III, mourut au château de Moulins, où elle s’était retirée. En 1634, la duchesse de Montmorency, à la suite de l’exécution de son époux, y fut forcée à résidence. En 1661, le château devint la propriété du prince de Condé, et commença dès lors à être peu entretenu, et mal utilisé par différents locataires. Dès la fin du XVIIème siècle, des pans de murs s’effondrèrent. L’état du bâtiment fut propice au développement d’un incendie, qui en 1755 ravagea l’aile ouest construite par Anne de Beaujeu. En 1774, l’état du château, devenu désastreux, imposa alors son classement comme “ruine” ; les bâtiments furent morcelés en lots et les destructions furent nombreuses. Sous la Révolution, la majeure partie des bâtiments fut vendue comme Bien National, à un charpentier qui eut à cœur de démolir les restes de construction pour revendre les terrains et les matériaux récupérés. Le pavillon Anne de Beaujeu doit quant à lui sa sauvegarde non seulement à sa réutilisation en gendarmerie, à partir de 1839, mais également à son inscription sur la première liste des Monuments Historiques, dressée par Prosper Mérimée en 1840.
L’ensemble du pavillon fut largement restauré et complété de bâtiments annexes en 1907, date à partir de laquelle les locaux reçurent le musée d’art et d’archéologie. À l’emplacement de l’ancienne aile ouest, Louis Mantin, riche bourgeois de la ville, fit édifier sa maison, en 1896, selon un éclectisme stylistique propre à cette époque. Sous la maison Mantin subsistent encore plusieurs galeries souterraines, vestiges cachés et vagues souvenances de la splendeur et de la puissance de l’ancienne cour des Bourbons.
Le musée
Après la Révolution : les prémices du musée Avant la création du musée d’art et d’archéologie dans sa configuration actuelle, Moulins a connu plusieurs expériences de collections publiques. Le premier musée, comme dans de nombreuses villes, voit le jour lors de la Révolution française. Face au vandalisme exercé contre les biens de l’aristocratie et du clergé, l’Etat demande aux municipalités de lutter contre le pillage des demeures et églises et de rassembler les objets sauvés. Le district de Moulins nomme donc en 1795 un conservateur qui regroupe ces collections dans la chapelle du couvent de la Visitation. Mais faute de réelle volonté politique, elles seront rapidement dispersées dans divers lieux : églises, lycée… Le premier musée moulinois meurt officiellement en 1834 ! Quelques années plus tard, en 1842, la Ville crée par délibération du conseil municipal son musée. Quelques toiles appartenant à la Ville au moment de la Révolution ainsi que des dons et des achats forment l’embryon de cette collection. Peu à peu, le musée se déploie dans toutes les salles de l’Hôtel de ville. Les collections sont alors essentiellement composées de peintures et de médailles.
Le rôle déterminant de la Société d’Emulation du Bourbonnais
Fondée en 1845, la Société d’Emulation du Bourbonnais se donne pour mission « de s’occuper activement de former une collection d’objets d’art [en donnant] avant tout la préférence à ceux qui auraient été découverts dans le département de l’Allier ». Cette collection ne débute finalement qu’en 1851, à l’occasion de fouilles archéologiques sur la commune voisine, Yzeure. Devant l’importance des collections acquises, la Société sollicite les pouvoirs publics pour gérer ce patrimoine. C’est ainsi qu’en 1861, le Département dégage les fonds nécessaires à la création d’un musée départemental à la condition que la Société y mette en dépôt l’ensemble de ses collections. Un second musée est donc inauguré à Moulins le 15 août 1863 dans les bâtiments du palais de justice.
(Source : « Ville de Moulins-Service du patrimoine »)

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