Neuilly le Réal – Les Places

Epoque : XVII°- Protection :
Propriétaire :Privé
Visite : non
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Neuilly le Réal - Les Places (PMSL)
Neuilly le Réal - Les Places (PMSL)

Situation

Neuilly le Réal est à 14.7 km au sud-est de Moulins.

Les Places sont à 4,6 km au nord de Neuilly le Réal dans les bois de Leyde.

Histoire

Rendez-vous de chasse, XVII°., avec aile 1830 et aile 1907, néo-gothiques. Ancienne paroisse.

(source : A la découverte du Bourbonnais : Corrocher et Dussourd)

Les environs

Toulon sur Allier – église Sainte-Marthe à 10 km à l’ouest

Moulins – Palais Ducal  à 15.9 km à au nord-ouest

Saint-Pourçain sur Besbre – château de Thoury à 18.3 km à l’est

Saint-Gérand de Vaux – Royet

Epoque :  XVII° – Protection :
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Saint-Gérand de Vaux - Royet (www.randos-allier.fr)
Saint-Gérand de Vaux - Royet (www.chateau-fort-manoir-chateau.eu)
Saint-Gérand de Vaux - Royet (www.allier-hotels-restaurants.com)
Saint-Gérand de Vaux - Royet (Hervé Rebours 2016)
Saint-Gérand de Vaux - Royet (www.allier-hotels-restaurants.com)

Situation

Histoire

Château datant du XVIIe, XIXe siècle. Royer est un ancien domaine appartenant à la terre de Bel Air, reconstruit en maison de plaisance au XVIIIe siècle sans doute par les Michel, famille de fonctionnaires royaux dont est issu le poète moulinois Théodore de Banville. La propriété changea de main au cours des XVIIIe et XIXe siècles; en 1874 s’y installa une colonie de fouriéristes, groupés sous la direction de M. Hardy, ingénieur des Ponts et Chaussées. Malgré les efforts de chacun, l’expérience tourna court et Hardy mourut ruiné à Lyon, non sans avoir participé aussi à la Commune. Le château, assez vaste, comporte un corps de bâtiment unique à un seul niveau, couvert d’un toit à croupe percé de lucarnes, flanqué de deux tours circulaires. La travée centrale, où est ouverte la porte d’entrée, est surmontée d’un mur pignon à fronton triangulaire. La cour d’honneur est bordée de communs dont les angles Nord-Ouest et Sud-Ouest sont flanqués de deux tours polygonales, et les abords caractérisés par de nombreux bâtiments de communs ainsi qu’un parc paysager d’aspect typiquement bourbonnais.

(source : Châteaux, Fiefs, Mottes, Maisons Fortes et Manoirs en Bourbonnais aux éditions De Borée)

Les environs

Ferrières sur Sichon – Le château

Epoque :  XI° – XIII° – XVI° – XVII°- Protection :
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Ferrières sur Sichon- Le Château (Daftintin76)
Ferrières sur Sichon- Le Château (www.auvergne-centrefrance.com)
Ferrières sur Sichon- Le Château (www.cpauvergne.com)
Ferrières sur Sichon- Le Château (www.cpauvergne.com)
Ferrières sur Sichon- Le Château (www.cpauvergne.com)
Ferrières sur Sichon- Le Château (www.cpauvergne.com)
Ferrières sur Sichon- Le Château (www.cpauvergne.com)

Situation

Histoire

L’actuel château de Ferrières conserve de l’ancienne construction une tour d’entrée monumentale à encorbellement, flanquée d’une élégante tourelle en poivrière. Le corps de bâtiment de plan carré, à trois niveaux, est couvert d’un toit en pavillon. Il reçoit à l’angle ouest une haute tour d’angle ronde, couverte d’un toit conique élancé, à bord relevé. A quelque distance de là, une autre tour ronde construite en flanquement de l’enceinte a été couverte d’un toit conique. La forteresse était cantonnée de quatre tours, pour protéger un fort donjon carré, mais d’après Nicolas de Nicolay, elle était déjà ruinée en 1569. Le premier seigneur connu de Ferrières est en 1249, Gaucher de Châtillon connétable de France. En 1454, ce sont Louis de Beaufort et Jehanne de Norry, sa femme, qui possèdent les terres et les châteaux de Gaffier et Ferrières. Le fief de Ferrières fut vendu à plusieurs reprises au début du XVIIIe siècle. En 1720, il est au seigneur de Châteldon, mais il est revendu en 1756 à Jean Claude Douet, fermier général. Il était la propriété du vicomte Le Jeans au cours du XIXe siècle.

(source : www.chateau-fort-manoir-chateau.eu)

Les environs

Neuilly le Réal – Le Frêne

Epoque :  – Protection :
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Neuilly le Réal - Le Frêne (www.randos-allier.com)
Neuilly le Réal - Le Frêne (www.allier-hotels-restaurants.com)
Neuilly le Réal - Le Frêne (www.allier-hotels-restaurants.com)

Situation

Histoire

Le château de Frêne, ci-contre, est mentionné dès 1401. Les communs délimitent une vaste cour carrée. On y découvre une construction élégante dans le ton de l’architecture du XVIIème siècle. Très pittoresque, avec son corps de bâtiments en briques roses et noires, et ses toits en tuiles plates, le Frêne est le seul spécimen de construction de l’époque dans la région.

Il se compose d’une demeure et d’un bâtiment de communs délimitant une vaste cour carrée. Il comporte un corps de logis rectangulaire à deux niveaux, flanqué de tours à l’est et de pavillons inégaux à l’ouest. Celui du nord est plus étroit et plus élancé que celui du sud. Deux autres pavillons ont été rajoutés au nord, alors qu’un second pavillon et une tour ronde au diamètre important, mais de faible hauteur, terminent le bâtiment au sud. Le commun à un seul niveau conserve lui aussi une tour à l’est et une à l’ouest. L’ensemble des volumes sont terminés par des toits à quatre pentes ou en cônes. Peu de décor, à part l’appareil polychrome, et quelques sculptures ornant la fenêtre centrale du premier étage de la façade sur cour du château, ainsi que l’encadrement de la porte.

(source : www.randos-allier.com)

Les environs

Target – Verzun – Le vieux château

Epoque :  – Protection :
Propriétaire : Privé
Visite : non
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Target - Verzun - Le vieux château (Ch. de Veauce)

Situation

Histoire

A l’origine il existait un octroi entre les communes de Target et Montmarault ( « la cout » octroi fortifié dont subsiste de part de d’autre de la départementale tour et gites et auberges.
De part et d’autre de cet octroi, deux « seigneuries fortifiées entourées de douves » Boussac et Verzun propriétés confisquées durant la révolution puis rachetées comme biens nationaux par la famille Gardien.

Au 19ème, la famille Gardien, pour leurs enfants, a cherché à « embourgeoiser » ces deux seigneuries Boussac ( propriété de De Lachaise ou Delachaise) et Verzun.
Pour Boussac nous ne connaissons pas quel architecte a restructuré dans sa forme actuelle cette très belle gentilhommière.

Par contre pour Verzun, ils ont eu recours à Moreau Père & fils, qui en 1870 ont rasé une grande partie de l’ancienne seigneurie ne gardant qu’une partie des bâtiments « bourgeois » une tour sur 4, un partie des douves, pour un logement de régisseur et rasant le surplus.

Aujourd’hui c’est ce que nous appelons le vieux château.

A moins de 500 m, Jean Bélisaire Moreau fit construire, le nouveau château ou plutôt « folie » par la taille et déco intérieure au milieu d’un parc arboré par l’entreprise Treyve, construction en pierres de Touraine et briques polychromes.

Les deux constructions de Verzun sont quasi invisibles de la route départementale, exclusivement visibles très partiellement des champs environnants et du chemin vicinal desservant les fermes de Verzun du Bas à plus de 500 m.
(source : Ch de Veauce)

Les environs

Agonges – château des Brosses

Epoque :  XVII°- Protection : non
Propriétaire : Privé
Visite : non
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Agonges - Les Brosses (PMSL)
Agonges - Les Brosses (PMSL)
Agonges-Brosse

Situation

Agonges est à 18 km au nord-ouest de Moulins.

Les Brosses sont à 2.7 km au nord d’Agonges

Histoire

Ancienne maison forte. Le bâtiment actuel, rectangulaire, possède une tour et un pigeonnier aux angles et date du XVIIième siècle. Le sieur de La Brosse est cité par Nicolas de Nicolay comme vassal du duc de Bourbonnais. En juin 1411, l’écuyer Jehan Boutefeu « fait aveu au duc de Bourbon de son hostel de Broces, à Agonges, dans la châtellenie de Bourbon ». En 1503, l’écuyer Antoine du Boutz dit « tenir le lieu de La Brosse, paroisse d’Agonges…où il y a maison, grange, estables, coulombier, prés, terres, vignes, boys, buissons, garenne pour une rente annuelle de 15 livres ».

En 1666 est mentionné Gaspard Dosche, lieutenant des eaux et forêts, sieur de Brosse et en 1667 à nouveau Gilbert Guillaud, sieur de Brosse, maintenant chanoine de Moulins.

En 1681, c’est Jeanne de Troussebois qui est dite « dame de Pravier, du Breuil et de La Brosse ».

C’est enfin en 1721 Antoine Douche mentionné Sieur de Brosse, receveur en la maîtrise de Montmarault. Brosse sera achetée au XIXième siècle par Gabriel de Praingy qui le donnera en héritage à sa fille Marthe, épouse de François de Borne de Grandpré.

(source :Alain Martin Saint-Léon)

Les environs

Agonges – Eglise Notre Dame à 2.7 km au sud

Agonges – Château de L’Augère à 1.5 km au sud-ouest

Saint Menoux – Abbaye à 5,4 km au sud

Agonges – Les Sacrots

Epoque : XVII° – Protection : ISMH (2001)
Propriétaire : Privé
Visite :
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Agonges - Les Sacrots (PMSL)
Agonges - Les Sacrots (PMSL)
Agonges - Les Sacrots (PMSL)

Situation

Agonges est à 18 km au nord-ouest de Moulins.

Les Sacrots sont à l’entrée est d’Agonges

Histoire

Les Sacrots.

Louis Guillouet, premier propriétaire connu s’intitulait en 1657 ˮSieur des Sacrotsˮ. Il semble que jusqu’à cette date les Sacrots était une simple exploitation agricole.

Château du 17e siècle, constitué d’un logis flanqué de deux tours carrées à lanternon et percé de baies régulières à bossages vermiculés. Avec ses dépendances agricoles, il s’inscrit dans un enclos fermé par un portail monumental avec deux pavillons d’entrée.

Louis Guillouet d’Orvilliers.

Est associé au château des Sacrots la mémoire de Louis Guillouet, comte d’Orvilliers, né à Moulins le 26 mars 1710 et mort en 1792 également à Moulins. Une avenue de Moulins porte son nom.

Il sert pendant cinquante ans au sein de la Marine royale pendant la guerre de Succession d’Autriche et la guerre de Sept Ans ; lieutenant général des armées navales et Commandeur de Saint-Louis il se distingue particulièrement pendant la guerre d’indépendance des États-Unis et notamment à la bataille d’Ouessant en juillet 1778, au cours de laquelle il défait la flotte britannique de l’amiral Keppel.

Il y a une vingtaine d’année, les Sacrots ont été achetés par une famille de médecins qui restaure et embellie cette demeure dans un esprit familial.

La propriété est inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du 3 décembre 2001 : Château en totalité, y compris ses décors intérieurs, ses dépendances, son jardin avec ses pavillons et sa clôture (mur, portails)

Les environs

Eglise Notre Dame dans le bourg

Château de L’Augère à 3 km au nord

Saint Menoux – Abbaye à 3.3 km au sud

Agonges – La Pommeraye

Epoque :  XVII°- XIX° Protection : ISMH (2001)
Propriétaire : Privé
Visite : Non
Adresse :
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Courriel :
Site internet :

Situation

Agonges est situé à 17 km au nord-ouest de Moulins

La Pommeraye est située à 4.8 km au nord-ouest d’Agonges

La Pommeraye

La façade nord de cette demeure réunit les deux tours rondes d’un manoir du XVème siècle et le logis classique d’une gentilhommière de l’ancien régime qui fut remanié à la fin du XVIIème siècle. L’ajout d’un escalier à ferronnerie date du XVIIIème siècle.

Au XIXème siècle la famille Moulin, alors propriétaire, commanda à l’architecte Jean Bélisaire Moreau le remaniement de la façade sud.

C’est aujourd’hui une grande demeure à deux niveaux, le bâtiment central de forme rectangulaire est accosté de deux pavillons carrés en retour d’équerre, et de tours rondes à l’arrière.

Le premier possesseur connu est Simonnet de la Pomerie, en 1410, qui avoue tenir en fief, relevant de la châtellenie de Bourbon, le domaine de La Pomerie en la paroisse d’Agonges. Puis ce furent, entre autres, les familles de Laugère, Barbe, Feydeau, de La Celle, Le Borgne, puis le fameux marquis Joseph de Beaucaire.

Le Marquis de Beaucaire (1807-1879).

Il est l’un des plus étonnants veneurs de tous les temps. Ses forces herculéennes lui permettaient d’affronter les pires fatigues sans la moindre peine et la chasse à courre lui paraissait un exutoire indispensable à l’impétuosité vitale qui bouillonnait en lui.

Une anecdote : arrivant en selle, selon sa coutume, à Bourbon, il apprend qu’un de ses meilleurs amis vient de descendre dans un hôtel et s’y trouve logé au dernier étage. Qu’à cela ne tienne. Dans sa hâte de le retrouver, le marquis de Beaucaire y dirige son cheval, l’engage dans l’escalier au plus vite et ne descend qu’à la porte de celui qu’il cherche. Sa visite achevée, il réussit le tour de force de faire descendre l’escalier à sa monture, comme si de rien n’était.

A partir de 1860, il délaissa la Pommeraye pour le rendez-vous de chasse du Point-du-Jour, à Cérilly, à côté de la majestueuse forêt de Tronçais où désormais il déploya ses exploits cynégétiques.

En 1865, Aléxis Moulin se rendit acquéreur de la Pommeraye qui depuis est restée dans cette famille.

Il possédait un équipage de chasse à courre, « l’équipage de La Pommeraye » et chassait le sanglier en forêt de Bagnolet.

La propriété est inscrite au titre des monuments historiques : Château en totalité, y compris ses décors intérieurs (cage d’escalier à ferronnerie, lambris, cheminées, buffet encastré), ses communs et son parc. Inscription par arrêté du 3 décembre 2001

Les environs

Agonges – église Notre Dame à 4.8km au sud-est

Agonges – Château de L’Augère à 5 km à l’est

Bourbon l’Archambault – La Forteresse à 7km au sud-ouest