Saint-Pourçain sur Sioule – Les Guénégauds

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Situation

Histoire

Il est fait mention des Guénégauds en 1300, date à laquelle Béatrix de Verneuil reconnaît tenir en fief la terre et seigneurie. Ce fief existait avant 1243, car un damoiseau du nom de Galvaynetus, reconnaît tenir en fief de noble homme Archambaud de Bourbon tout ce qu’il a à Guinesgaux. Après 1682 Le château est vendu à une famine Parent dont une fille le fait passer par manage a la famille de la Cadre, dans laquelle il reste jusqu’au XXe siècle. Reconstruit au XIXe siècle, l’édifice, accompagné d’un domaine agricole, est une construction quadrangulaire dont la façade principale sud est flanquée d’une tour circulaire; à l’arrière, une autre tour circulaire avec un niveau en encorbellement sur faux mâchicoulis fait retour sur le pignon nord. Elle est également flanquée d’une tour ronde plus fine et plus haute. L’ensemble est couvert de toitures en ardoises, percées de lucarnes à hauts frontons triangulaires. Sur la tour nord-ouest sont sculptées les armes des constructeurs : Louis René Marie de La Cadre de Montpansin et son épouse. Parmi les communs, une chapelle coiffée d’un clocheton.

(source : Châteaux, Fiefs, Mottes, Maisons Fortes et Manoirs en Bourbonnais aux éditions De Borée)

Les environs

Saint-Pont – La Lécholle

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Saint-Pont - La Lécholle (capture google map)
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Situation

Histoire

Demeure habitée au XVIIe siècle par Granghon des Simons, le corps central de l’édifice semble avoir été construit dans la deuxième moitié du XVIIe siècle ; qualifiée de château sur le cadastre de 1839, avec des bâtiments de ferme autour des deux cours. Au milieu du XIXe siècle, modification du plan au sol par la construction de deux tours carrées contre le nord de l’édifice. Elevé au milieu d’un beau parc, le château de La Lécholle bénéficie d’une belle ordonnance classique. Le bâtiment principal, à deux niveaux et niveau de comble, est ouvert de six fenêtres à l’étage et de trois lucarnes sur le toit. Une tour carrée à quatre niveaux flanque l’angle ouest et s’élève au-dessus du corps de logis, ornée de pierres d’angle et d’encadrements en calcaire blanc. Les communs sont importants et conservent des traces d’ancienneté, mais ils ont été transformés au XVIIIe siècle. Le bâtiment le plus important est composé d’un long corps rectangulaire, aux ouvertures du rez-de-chaussée en arc en plein cintre ou en arc surbaissé. Le 1er niveau est bâti en forme de galerie à croisillons de bois. Entièrement intégré dans le bâtiment, un gros pigeonnier carré a lanternon déborde à peine en avant-corps.

(source : Châteaux, Fiefs, Mottes, Maisons Fortes et Manoirs en Bourbonnais aux éditions De Borée)

Les environs

Saint-Pierre Laval – Beauvert

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Histoire

Au moyen-âge, le fief de Bost Vert dépendait, avec la terre de Mauvernet, de la seigneurie de Châtelus. Il est possible que la première fortification de Bost Vert ait été une motte féodale, dont il existerait encore les traces. Dès le XVe siècle, la famille Montjournal est installée à Beauvert et, en novembre 1443, Ploton de Montjournal, écuyer, rend hommage pour son “hostel de Bonvert à Ande, dans les chatellenies de Billy et de Vichy”, estimé à un revenu annuel de 49 livres. En 1503, Hugues de Montjournal reconnaît tenir en fief de Madame la duchesse de Bourbon sa “terre et seigneurie de Bost Vert… en toute justice, haute, moyenne et basse…”. La demeure actuelle est une belle construction du XIXe siècle, qui marie avec bonheur la pierre blanche et la brique rose pour les angles et les encadrements polychromes. Deux corps de logis, disposés en T, montrent l’importance de l’édifice, le corps principal à deux niveaux et niveau de comble est flanqué d’une tour de plan barlong à quatre niveaux, coiffée d’un toit élancé qui s’élève au dessus de l’ensemble. Prise en oeuvre dans toute la largeur du corps de logis, elle forme avant corps au centre de la façade sud. Cette façade principale qui s’ouvre sur un parc ombragé est agrémentée de chaînages à chaque niveau et d’un entablement de pierre moulurée alors que deux cheminées couronnent chaque pignon. Le second corps de bâtiment, plus élevé, à trois niveaux et niveau de comble, est orné de trois belles fenêtres en lucarnes, à pieds-droits et frontons néo-Renaissance. Le toit en pavillon de ce corps de logis, comme celui de la tour, est surmonté de paratonnerres et de frises de faîtage. Le château appartient aujourd’hui à la famille Nouvellet.

(source : Châteaux, Fiefs, Mottes, Maisons Fortes et Manoirs en Bourbonnais aux éditions De Borée)

Les environs

Saint-Léopardin d’Augy – Le Prieuré

Epoque : XI° – XVI° – Protection :
Propriétaire : Privé
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Situation

Saint-Léopardin d’Augy est à 26.2 km au nord-ouest de Moulins.

Le Prieuré est à 2.6 km à l’ouest de saint-Léopardin d’Augy.

Histoire

Le prieuré de Saint-Léopardin est bien antérieur à sa première occurrence dans la documentation régionale. Une charte de 1040 nous apprend qu’il y avait déjà des moines sur place, et que le prieuré était connu sous le nom de Vivaris (du Vivier), lorsque s’y tint une intéressante cérémonie, dirigée par l’archevêque de Bourges Aymon, en présence de son frère aîné, Archambault de Bourbon, donateur de nombreux droits et terres au bénéfice des religieux de Saint-Léopardin. Avec toute la solennité qui convenait à cet instant fut déterré le corps de saint Léopardin, sans doute pour être déposé dans un reliquaire accessible à tous, peut-être identique à celui de saint Menoux, encore visible à quelques lieues du prieuré berrichon.
Il est impossible, faute d’éléments textuels ou archéologiques, de préciser l’époque de fondation de ce prieuré de moines berruyers rassemblés autour des reliques de Léopardin. Sachant que d’autres actes du cartulaire de Saint-Sulpice situent des dons initiaux à l’établissement de prieurés dès l’époque carolingienne, très fertile en actes de piété de cette nature, il est loin d’être impossible que les Bénédictins de Bourges aient été présents dans la vallée de l’Allier avant le temps des invasions scandinaves et hongroises. L’initiative de l’archevêque Aymon, elle, s’inscrit parfaitement dans ce renouveau spirituel que fut la réforme grégorienne, qui marqua tant le temps du prélat.

Une question se pose : qui fut Léopardin ? Le hiatus documentaire qui s’attache à sa personne ne permet d’échafauder que des hypothèses tirées du contexte historique particulier dans lequel s’est développée cette partie du futur Bourbonnais. Rappelons que deux autres saints, dont les reliques étaient réputées être miraculeuses, attiraient les pèlerins dans la même région : Patrocle (étudié il y a quelques semaines, voir les articles précédents) et Menoux, cité plus haut. Ce secteur du Bourbonnais est aussi très marqué par la pratique du grattage des pierres des églises, dont nous avions évoqué l’importance il y a plusieurs années, avec une possible relation avec la présence de reliques dans les lieux de culte concernés. Léopardin, auquel l’archevêque de Bourges accorde tant d’importance peut avoir été un anachorète dont la sépulture aurait attiré la piété des habitants de la contrée ou même de pèlerins venus d’au delà des limites du Berry.
Un denier détail historiographique : Mabillon, qui avait eu le texte en main, estimait en son temps que le mot Prioratus aurait été employé pour la première fois à Saint-Léopardin dans le sens, bien connu, de prieuré. D’autres latinistes ont sans doute réussi à remonter ailleurs plus loin dans la chronologie, mais l’information est assez curieuse pour être rapportée.

(Source : berry.medieval.over-blog.com – © Olivier Trotignon 2017)

Saint-Léon – Montperroux

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Situation

Histoire

Montperroux, ancienne paroisse, a conservé son église, qui porte les traces de transformations du XVe siècle. En 1503, le fief est détenu par Colin de Saint-Romain, qui fait aveu à la duchesse de Bourbon, pour sa “maison et chasteau de Montperroux…”, estimés à 60 livres de revenu annuel. A proximité, sur une élévation naturelle de terrain, se dresse le château de la Douaire, dont on connait une famille de ce nom, au XVIIe siècle. La terre passe, par mariage, aux Girin, que l’héritier, vend vers 1700, à son beau-frère Jean Croizier.
Aujourd’hui, un château d’inspiration néo-gothique occupe les lieux. Il a été construit au XIXe siècle. Une tour ronde crénelée, toute proche, sur motte et cave, appartint à Jules Picard de Grandchamp, qui pratiquait ici des expérience de vinification.

(source : Châteaux, Fiefs, Mottes, Maisons Fortes et Manoirs en Bourbonnais aux éditions De Borée)

Les environs

Saint-Germain de Salles – Céron

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Saint-Germain de Salles - Céron (www.allier-hotels-restaurants.com)
Saint-Germain de Salles - Céron ( Hervé Rebours)
Saint-Germain de Salles - Céron ( Hervé Rebours)

Situation

Histoire

Ce château était installé sur l’ancienne paroisse de Saint Cyprien. Nicolas de Nicolay mentionne en 1569 “la maison noble de Céron alias de Daume” qui, vers 1600, est portée par Marie de Céron, dernière de sa lignée, à Michel Menudel seigneur de Chassignat à Chareil Cintrat. Après avoir appartnu à la famille de la Roche, en 1694, la seigneurie de Céron fut acquise par messire Gilbert Simon Roussaut, écuyer, seigneur de Boussat à Target, la terre resta dans cette famille Roussaut jusqu’au XIXe siècle, et ce n’est qu’en 1840 que le château et le domaine de Céron furent vendus à la famille Desgranges. La demeure a conservé, en partie seulement, ses caractères de la fin du moyen age, à travers les restaurations du XVIIIe siècle. Logis principal de plan rectangulaire allongé, à deux niveaux, la façade avant reçoit en son centre, une tour ronde, coiffée d’un toit conique. A l’arrière, une tour ronde, aménagée en pigeonnier, surmontée d’un lanterneau, a été intégrée dans les constructions postérieures.

(source : Châteaux, Fiefs, Mottes, Maisons Fortes et Manoirs en Bourbonnais aux éditions De Borée)

Les environs

Saint-Gérand le Puy – Saint-Etienne

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Propriétaire : Dr. Håvard Valvatne
Visite :
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Adresse : Lieu-dit Saint Étienne – Le Château – 03150 Saint-Gérand-le-Puy
Téléphone : 06 48 62 96 12
Courriel : contact@chateausaintetienne.fr
Site internet : www.chateausaintetienne.fr

Saint-Gérand le Puy - Saint-Etienne (www.chambres-hotes.fr)
Saint-Gérand le Puy - Saint-Etienne (www.allier-auvergne-tourisme.com)
Saint-Gérand le Puy - Saint-Etienne (www.allier-auvergne-tourisme.com)
Saint-Gérand le Puy - Saint-Etienne (www.allier-auvergne-tourisme.com)

Situation

Histoire

Le Château de Saint-Etienne est un manoir très beau et très spacieux construit sur les ruines d’un ancien château possédé par les Anglais. Sa construction initiale remonte au XIIIème siècle et le château fut reconstruit ensuite en deux étapes au XVIIème et XVIIIème siècle.

Le château fut un des bâtiment principaux de l’ancien village Saint-Étienne-de-Ciernat, qui a fusionné avec Saint-Étienne-du-Bas pour devenir Saint-Gérand-le-Puy en 1832.
Ces dernières années, le château a été rénové par les propriétaires actuels pour créer un endroit confortable, plein de style pour vivre, travailler et bien entendu pour être visité.

(source : www.chateausaintetienne.fr)

Les environs

Saint-Gérand le Puy – Gondailly

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Situation

Histoire

Cette terre appartient au XIIIe siècle à la famille de Vichy. Au XIVe siècle, le fief a changé de mains: Pierre de Chantemerle en est dit le seigneur en 1367. Gondailly demeure dans cette famille jusqu’au XVIe siècle, puis on voit se succéder en 1521 Antoine de Chabannes, évêque du Puy, en 1587, Marc de la Grave, en 1619, Jean de Villard, seigneur de la Brosse-Raquin à Tortezais, puis en 1629, Philibert de Chazerat. Pendant un siècle, les Chazerat se succèdent à Gondailly. En 1670 Gilbert de Chazerat, ingénieur des fortifications, participe aux côtés de Vauban à la remise en état des défenses du nord. Ils vendent Gondailly en 1731 à Claude Barbonnet, dont l’un des descendants, Bonnet, sera maire de Moulins en 1777. Le fief est revendu au XIXe siècle à M. Richard d’Aubigny, puis à M. de Saint-Gilles, et en 1872 à M. Bichard qui fit détruire le château médiéval, et bâtir la haute bâtisse actuelle. Les terres de Gondailly ont été rachetées par l’entreprise Vicat pour y exploiter une carrière; la maison, isolée sur son tureau calcaire, a été totalement pillée et certainement vouée à une disparition prochaine.

(source : Châteaux, Fiefs, Mottes, Maisons Fortes et Manoirs en Bourbonnais aux éditions De Borée)

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Saint-Gérand de Vaux – Royet

Epoque :  XVII° – Protection :
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Saint-Gérand de Vaux - Royet (Hervé Rebours 2016)
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Situation

Histoire

Château datant du XVIIe, XIXe siècle. Royer est un ancien domaine appartenant à la terre de Bel Air, reconstruit en maison de plaisance au XVIIIe siècle sans doute par les Michel, famille de fonctionnaires royaux dont est issu le poète moulinois Théodore de Banville. La propriété changea de main au cours des XVIIIe et XIXe siècles; en 1874 s’y installa une colonie de fouriéristes, groupés sous la direction de M. Hardy, ingénieur des Ponts et Chaussées. Malgré les efforts de chacun, l’expérience tourna court et Hardy mourut ruiné à Lyon, non sans avoir participé aussi à la Commune. Le château, assez vaste, comporte un corps de bâtiment unique à un seul niveau, couvert d’un toit à croupe percé de lucarnes, flanqué de deux tours circulaires. La travée centrale, où est ouverte la porte d’entrée, est surmontée d’un mur pignon à fronton triangulaire. La cour d’honneur est bordée de communs dont les angles Nord-Ouest et Sud-Ouest sont flanqués de deux tours polygonales, et les abords caractérisés par de nombreux bâtiments de communs ainsi qu’un parc paysager d’aspect typiquement bourbonnais.

(source : Châteaux, Fiefs, Mottes, Maisons Fortes et Manoirs en Bourbonnais aux éditions De Borée)

Les environs

Saint-Gérand de Vaux – Le château

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Situation

Histoire

Entièrement refaçonné en 1820 sur une construction plus restreinte du XVIIIème siècle, la maison du notaire royal Couppery fut, de 1870 à 1925, le siège d’un équipage de chasse à courre, un vautrait, c’est-à-dire de chasse au sanglier. L’escalier est garni de trophées de chasse, amis aussi de têtes des chiens qui, tués par un sanglier, ont été admis au champ d’honneur. Ensemble homogène et symétrique, avec des dépendances: fermes, chenils, pressoir, étables, granges et fours. Il est un temps pas si lointain où les fermiers venaient encore y presser leur vin. Le parc à l’Anglaise d’une dizaine d’hectares avec des arbres remarquables tels des cèdres du Liban et des cyprès chauves sur l’étang.

(source : www.randos-allier.com)

Les environs