Verneuil en Bourbonnais – château des Garennes

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Verneuil en Bourbonnais - Les Garennes (www.allier-hotels-restaurants.com)
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Situation

Histoire

Les environs

Garnat sur Engièvre – château de Mont

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Garnat sur Engièvre - Mont (www.bellesdemeures.com)
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Situation

Histoire

Les environs

Avermes – Château de Champfeu

Epoque :  – Protection :
Propriétaire : I.F.I. 03 
Visite : Non
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Avermes - Champfeu (IFI 03)
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Histoire

La Grange-Champfeu est une construction de style Louis XIII. Au XVe siècle, ce lieu était dénommé la Grange Cadier et appartenait sans doute à une exploitation agricole qui dépendait de La Brosse-Cadier, la seigneurie voisine. Le 22 août 1444, jean Cadier, écuyer, racheta les cens qu’y prélevait le chapitre Notre Dame de Moulins: une terre “franche” était en effet de meilleur aloi si l’on voulait la faire passer pour noble. De 1635 à 1684, elle appartint à une famille Chacaton et fut connue sous le nom de Grange Chacaton, ce furent sans doute eux qui firent édifier la demeure, acquise en 1701 par le maire perpétuel de Moulins, Bernard de Champfeu, qui lui laissa son nom. C’est un beau bâtiment de plan rectangulaire à deux niveaux et niveau de comble au pignon duquel est construite une tour ronde à entablement soutenant un toit conique. La façade est percée de fenêtres disposées symétriquement à la porte centrale. Le toit couvert en ardoise a reçu des lucarnes à la mode Renaissance;

(source : www.chateau-fort-manoir-chateau.eu)

Les environs

Autry-Issards – Château d’Ardennes

Epoque :  – Protection :
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Autry-Issards - Ardennes (www.gites-de-france-allier.com)
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Situation

Histoire

Ardennes, qualifiée en 1690 de maison, terre et seigneurie d’Ardaine, est un logis datant du début du XVIIe siècle, dont était alors propriétaire Jacques de Dreuille. Le seigneur d’Ardennes est mentionné par Nicolay comme vassal du duc en 1559. Le premier d’entre eux qui nous soit connu était, en 1549, Jacques de Montassigier, qui portait ce titre à cause de sa femme Peronnelle d’Ardaine. Pressé par des besoins d’argent liquide, il emprunta à plusieurs personnes, dont Geoffroy Aubery, marchand et bourgeois moulinois, constituant des rentes dans l’espoir de pouvoir les racheter. Mais G. Aubery les racheta en ses lieu et place, avant d’acquérir, en janvier 1557, la maison d’Ardaine, pour laquelle il rendit l’hommage au roi. Selon les regisres paroissiaux, en 1597 existait une “confrérie de Monsieur Saint-Hubert, d’Ardaine”. Les Aubery possédèrent cette terre, en 1646, Hugue Aubery était sieur d’Ardennes. Puis ce bien fut transmis par Marie Aubery à son mari Jacques de Dreuille, écuyer. En 1682 il a réuni Issard et Ardennes. Cette deuxième propriété fut affermée par lui aux frères Bernard le 16 novembre 1690. Des Chérion furent également fermiers d’Ardennes en 1770 et au Plessis en 1782.

(source : Châteaux, Fiefs, Mottes, Maisons Fortes et Manoirs en Bourbonnais, éditions De Borée)

Les environs

Aubigny – Château des Roches

Epoque :  – Protection :
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Histoire

Les environs

Bessay – château de Paray

Epoque : XVII° – Protection :
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Histoire

Les environs

Sauvagny – château de La Varenne

Epoque :  XVII° – XVIII°- Protection :
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Histoire

Les environs

Saint-Menoux – château de Souys

Epoque : XVII – Protection : ISMH (1952)
Propriétaire : Ville de Bobigny
Visite : non
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Souys (patrimoine-de-france.com)
Souys (jbsvilletaneuse.free)
Souys (Wikipédia)
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Situation

Saint- Menoux se situe à 5 km à l’ouest de Moulins

Le château de Souys se situe à 2 km au nord-est de Saint-Menoux

Histoire

C’est Pierre Gaudon qui fit construire le château au milieu du XVIIe siècle. Ses plans sont attribués à Mansart. Il est composé d’un corps de logis flanqué de deux ailes formant avant corps sur chaque façade, chaque corps de bâtiment est couvert d’une toiture en ardoises, indépendante, en pavillon, les façades sont ornées de chaînes d’angles traitées en gros bossages à fort relief. Le château est disposé au fond d’une cour d’honneur dont l’accès s’effectue par un portail en plein cintre encadré d’une ordonnance ionique également traitée en forts bossages. De chaque côté de l’entrée s’élève un pavillon dans le style du château abritant, à gauche, des dépendances, à droite, une chapelle établie sur plan en rotonde et couverte d’une coupole. A droite de la chapelle s’étendent les communs avec un portail à bossages et un comble brisé.

Un château dessiné pour Madame de Montespan ?

Le château est l’objet de récits quasi-légendaires, transmis par les différentes familles qui ont habité les lieux. Elles concernent toutes le personnage de Madame de Montespan, favorite royale, mère de huit enfants qu’elle a du roi Louis XIV. Le château aurait été construit sur l’ordre du Roi pour Madame de Montespan. Le fait s’avère inexact. Madame de Montespan ne fait que séjourner à Souys : on est sûr qu’elle y est reçue en mai 1700 alors qu’elle se rend aux eaux de Bourbon-l’Archambault ; son passage à Saint-Menoux est signalé le 17 mai. Peut-être s’y est-elle arrêtée à d’autres moments entre 1692 et 1707, date à laquelle elle est meurt à Bourbon-l’Archambault.

La tradition fait même référence à un séjour en 1668. Madame de Montespan y aurait accouché d’un enfant. La chambre du premier étage a été appelée pendant longtemps « chambre de Madame de Montespan » ou « chambre rouge ».

Souys à partir du XVIII°

En 1692, Jacques Faverot acquiert en même temps que Souys la terre voisine de Cluzor. Les deux fiefs réunis forment un ensemble important, d’une superficie de 600 à 700 hectares.

Madame de Serre de Saint-Roman achète le château en 1775. Quand éclate la Révolution, la famille de Saint-Roman quitte Paris pour Souys. Jacques-Pierre de Saint-Roman est condamné à mort et sera guillotiné. Madame de Serre de Saint-Roman voit quant à elle tous ses biens mis sous séquestre. Cependant, un arrêté de février 1799 lui réattribue Souys et Cluzor.

En 1849, les terres de Souys et son château sont acquis par Léonce Thomas et sa belle-mère. La famille Thomas reste attachée à Souys et à sa région pendant plusieurs générations, Max Thomas choisissant sa première épouse dans une famille d’Agonges, les Saulnier de Praingy. C’est Max Thomas qui commande à l’architecte Moreau des travaux et qui transforme la décoration intérieure. À sa mort en 1911, tous ses biens de Souys sont l’objet d’un long et difficile partage lors du règlement de sa succession : il avait eu onze enfants. Le château devient le lieu de vacances de toute la famille Thomas jusqu’en 1945. La fille d’Henri Thomas prend la décision de le vendre en 1948. L’acquéreur est Monsieur de La Motte Rouge ; il le cèdera à la municipalité de Bobigny qui cherche un lieu pour installer un centre de vacances.

(source : wikipédia)

Les environs

Saint-Menoux : L’église à 2 km au sud-ouest

Moulins – Le musée du Costume – CNCS à 12.3 km à l’est

Souvigny – La Prieurale à 7.7 km au sud

Lurcy-levis – Château de Levis

Epoque :  XIV° – XVII°- Protection : ISMH (1945)
Propriétaire : Privé
Visite : non
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Situation

Lurcy- Levis se situe à 40 km au nord-ouest de Moulins

Le château de Levis se situe à 5 km au sud-ouest de Lurcy-Levis

Histoire

Description :

Construit dans les débuts du règne de Louis XIV, il est d’une architecture sobre et, avec son escalier central et ses pavillons, il rappelle le château de Fontainebleau plus ancien.

Depuis sa vaste cour d’honneur, au sud, entourée de douves et bordée par deux bâtiments de dépendances que longe une double allée de tilleuls, on découvre ce château et son escalier flanqué sur le pavillon central bâti au niveau du soubassement ; il est surplombé par un haut toit en pyramide. Il compte trois travées ; le premier étage est au niveau de l’étage des combles du corps central qui fait une soixantaine de mètres de long. Les portes fenêtres du rez-de-chaussée ouvrent sur le perron d’un escalier à double révolution.

Les pavillons à chaque extrémité des ailes plus larges et plus saillantes que l’avant-corps s’étagent sur quatre niveaux avec les combles. Ces pavillons sont en harmonie avec l’ensemble de la construction. Le corps central présente onze travées réparties inégalement de part et d’autre de l’avant-corps. Le pavillon central et les escaliers des deux façades ont été construits vers 1880.

Les combles sont éclairés par des lucarnes à ailerons couronnées d’un fronton cintré.

Le rez-de-chaussée est affecté aux pièces de service, les pavillons latéraux aux appartements, l’étage noble au centre est réservé aux pièces de réception. Celles-ci ont pour la plupart conservé leurs lambris, leurs plafonds à solives et poutres apparentes, ainsi que leurs cheminées de marbre ou de porphyre. La salle à manger conserve sa cheminée en pierre blanche dont le manteau repose sur des jambages en rétrécissant à la base et ornés d’une coquille. La hotte est garnie d’un tableau représentant une scène de cour.

Dans la basse-cour extérieure à l’ouest du château existe toujours le colombier, coiffé d’un toit conique aux tuiles brunes que surmonte une lanterne à l’impériale.

L’édifice est inscrit à l’Inventaire des monuments historiques en 19451. Abandonné depuis une dizaine d’années, vandalisé, il est actuellement en grand péril. Une campagne a été lancée en 2018 pour obtenir sa restauration;

Historique :

Il existait au Moyen Âge, sur l’emplacement de l’actuel château, un château fort portant le nom de Poligny, Poligni ou encore Poleigné, en bordure de la voie romaine allant de Clermont à Bourges par Bourbon-l’Archambault et Sancoins.

Ce château a été construit par la famille de Poligny ; le fief passe au XIIe siècle aux La Porte, seigneurs de Bannegon, en Berry. Au XIIIe siècle Guillaume de La Porte accorde une charte d’affranchissement aux habitants de Poligny qui s’obligent en contrepartie à régler la Taille, la Corvée, « clôtures et palissades » ainsi que le guet et garde en cas d’hostilité.

À la mort, en 1366, du dernier descendant mâle de la famille, il passe en indivision aux filles, l’une épouse du sieur des Barres qui possède Bannegon, et l’autre mariée à un Châteaumorand. L’indivision cessera au XVe siècle lorsque Jean de Châteaumorand, conseiller et chambellan du roi Charles VI, réunit entre ses mains la totalité du fief.

Sa fille, Agnès de Châteaumorand, apporte le domaine de Poligny dans la famille de Lévis en épousant Brémond de Lévis, chambellan du duc de Bourbon, seigneur de La Voulte et descendant de Guy Ier de Lévis.

Son fils Louis de Lévis rend hommage pour son fief en 1506 au roi Charles VIII, dont il est le chambellan. Son successeur sera Charles de Lévis, grand maître et général réformateur des Eaux et forêts de France sous le règne du roi Henri II. Vient ensuite Claude de Lévis, panetier du roi et futur chambellan du duc d’Alençon. Il fut le père de Jean de Lévis, mort assassiné en 1611, et dont le petit-fils Roger de Lévis héritera du fief de Poligny dont la terre sera érigée en marquisat. Il fut lieutenant général au gouvernement de Bourbonnais ; on lui doit la construction de ce château qui prendra le nom de Lévis. Le château passe ensuite au fils de Roger, Charles-Antoine de Lévis (vers 1643-1719), maître de camp de cavalerie dont l’épouse Marie-Françoise de Béthisy (vers 1637-1719) dont Saint-Simon dans ses Mémoires, nous fait part de son avarice notoire et de sa passion frénétique pour le jeux. Son petit-fils, Charles Eugène de Lévis-Charlus (1669-1734), s’illustre dans la cavalerie à la bataille de Fleurus (1690), au siège de Mons (1691), à la bataille de Steinkerque (1692), et aux sièges de Namur (1692) et de Charleroi (1693).

Dernier des marquis de Poligny, Charles Eugène obtint, le 13 février 1723, pour lui et ses descendants mâles, que les terres et seigneuries de Lurcy-le-Sauvage, Poligny, etc. soient érigées en duché-pairie sous le nom de duché de Lévis (ou Lévy). Le titre s’éteignit avec lui.

Après un incendie, en 1744, le château fut reconstruit par Mansart de Jouy. Les deux pavillons d’angle datent de cette époque. Ses trois frères étant morts avant leur père, Marie-Françoise de Lévis, seule héritière du duc de Lévis, apporta la terre et le château de Lévis à la famille de Castries qui les vendit en 1752 à Jacques Hardouin-Mansart. Le château est saisi en 1759 et adjugé à André de Sinéty (1712-1846), gouverneur des Enfants de France, et son épouse Marie-Anne de Ravenel. Lévis changera plusieurs fois de propriétaires par ventes ou héritages; ceux-ci furent :
le marquis Louis de Sinéty, qui ouvre une manufacture de porcelaine dans le château même, et part s’installer au château de Neureux. Les ateliers seront transférés en 1850 à Couleuvre, le nouveau propriétaire désirant habiter Lévis ;
Castellane : Louise-Cordélia-Eucharis Greffulhe, épouse séparée de biens du maréchal de France comte Boniface de Castellane, achète ce château et le domaine de 45 006 ha à Alphée de Sinéty, née Alphée Thuret pour la somme de 1 600 000 francs en 1823. Elle le revendra en 1833 à :
Thuret : Isaac Thuret fit effectuer quelques restaurations en 1852 ;
Waldner de Freundstein, par le mariage d’Adèle Thuret, petite-fille d’Isaac, avec le diplomate Eugène de Waldner de Freundstein en 1872.

(source :”Wikipédia”)

Les environs :

Lurcy-Lévis – Street Art City à 3km au nord-ouest

Château sur Allier – La Chavanée à 10 km au nord-est

Château sur Allier – Château de Saint-Augustin à 12 km au nord-est