Bresnay – château de Givry

Epoque :  – Protection :
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Bresnay - Givry (ebay.fr)
Bresnay - Givry (J.P. Luce)
Bresnay - Givry
Bresnay - Givry (ebay.fr)

Situation

Histoire

Les environs

Aurouer – château de La Motte Ponay

Epoque :  – Protection :
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Situation

Histoire

Les environs

Coulandon – Château de la Chassagne

Epoque :  – Protection :
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La Chassagne (H.Rebours)
La Chassagne (H.Rebours)

Situation

Histoire

Les environs

Agonges – Praingy

Epoque :  XIX°- Protection :
Propriétaire : Monsieur et Madame Compagnon
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Praingy (lamontagne.fr)
Praingy (www.larondedeschateauxagonges.fr)

Situation

Agonges est situé à 18 km à l’ouest de Moulins

Praingy est situé à 3.9 km au nord du bourg

Histoire

Demeure du XIXiéme siècle construite très probablement sur l’emplacement d’une motte féodale, ˮla Motte Varennesˮ. Praingy est alors plus gentilhommière que château.

La première mention d’un propriétaire de Praingy, datant du 8 septembre 1610, concerne Antoine de Gastel, alias Gastet, seigneur de Marcibaut  et Pringy puis, en 1613, Pierre de Mercy, fils d’Étienne de Mercy, écuyer, sieur de Pringy, et de Gabrielle de Gastet. Le 6 mars 1623 est mentionné René de Mercy, fils d’Etienne, seigneur de Pringy, et de Gilberte Gastet.

Le 18 avril 1646 apparait Marie Thévenin, femme de Jean Vigier, seigneur de Praingy, procureur à Bourbon, le 17 octobre 1653, Gilbert Vigier, également procureur de Roi. En mars et septembre 1657 sont mentionnés Gilbert et Jean Vigier. C’est très certainement ce Jean Vigier, décédé le 23 mai 1698, qui a fait ériger, en 1686 la croix de carrefour qui se trouve dans l’église.

Une certaine Madeleine Vigier de Praingy, née vers 1656 épousera Matthias Troussebois, lui-même né vers 1653 .

Anne-Elisabeth de Troussebois se marie dans la chapelle de Beaumont, le 8 avril 1749 avec Edouard de Beaufort-Montboissier-Canillac.

Est –ce du fait de cette union que Praingy entre dans les possesions des Canillac ? Toujours est-il que lors de la vente de Beaumont, en mars 1785 par Ignace Comte de Canillac, ˮpatrice romain, prince de l’église, Mestre de camp, Lt-commandant du régiment de Bourbon Infanterieˮ, époux de Dame Elisabeth de Roucherolles, à Jean Gilbert Faure, ˮavocat en parlement, conseiller du roi, Président Trésorier de France au bureau de finances de la Généralité de Moulinsˮ, est mentionné dans l’acte de venteˮ….la terre de Praingy comprenant un château et six domainesˮ

Donc les Faure entre en possession de Praingy à cette date. Selon des Gozis, la famille Faure était d’ancienne origine bourbonnaise transplantée en Nivernais Le nouveau châtelain ne jouit que cinq ans de sa propriété puisqu’il trépassa en 1790 laissant une veuve et une fille. Cette dernière, Marie Honorée Théodate Faure étant décédée peu après son père, les biens se partagent entre sa mère née Anne Paris et ses oncle et tante paternels: Charles Faure chanoine du ci-devant chapitre d’Hérisson et Françoise Faure veuve en 2ème  noces de Claude Perceau chirurgien à Hérisson. Ce partage a eu lieu le 9 novembre 1792 et on attribue après tirage au sort Beaumont et Le Breuil à la veuve.

Gilbert Saulnier achètera Praingy en 1802  et en fera don à son fils Fernand. Ce dernier ne l’occupera qu’après que certains travaux de restauration n’aient été réalisés.

(Source : Histoire d’Agonges : A. Martin Saint-Léon)

Les environs

Agonges – église Notre Dame à 3.9 km au sud.

Agonges – château de l’Augère à 204 km au sud-est.

Saint Menoux- Abbaye à 6.4 km au sud.

Lusigny – Château d’Orvalet

Epoque :  XVI°- Protection :
Propriétaire : Monsieur et Madame de La Serre
Visite :
Adresse : château d’Orvalet 03230 Lusigny
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Orvalet (www.caue03.com)
Orvalet (eBay)

Situation

Lusigny est situé à 13 km à l’est de Moulins

Orvalet est situé à 3 km au sud de Lusigny

Histoire

Orvalet était un manoir de l’ancienne paroisse de Saint-Pourçain-Malchère dont subsistent deux tours rondes à lanternon, rappelant le tracé d’une ancienne enceinte. Le colombier, le pavillon et le corps de logis actuellement visibles sont cités dans un texte de 1619. De 1654 à 1682, la terre fut possession d’une famille Bourderel. Pierre, écuyer, était en 1654 conseiller du roi et son maître d’hôtel ordinaire. Puis succède Pierre du Buisson, fondateur en l’église de Saint Pourçain Malchère en 1688. A cette époque consiste ledit fief en un chasteau composé d’un grand pavillon et de deux tours situées dans une motte entourée de fossés. André du Boisson le vendit à Annet Mignot, procureur audit Présidial et à sa femme. C’est le trésorier de France à Moulins, Jean Jacques Pierre de Saincy, qui le possédait en 1731, il mourut à l’age de 90 ans. Son fils occupa la même charge et fut guillotiné le 31 décembre 1793 à Lyon. Sa fille resta cependant en possession du château. Le parc du château d’Orvallée est inscrit au pré-inventaire des jardins remarquables.

(source :”Châteaux, Fiefs, Mottes, Maisons Fortes et Manoirs en Bourbonnais aux éditions De Borée “)

Les environs

Chezy – le château des Louteaux à 7,5 km au nord

Lusigny – le château de Pomay à 5,8 km à l’est

Yzeure – Eglise Saint-Pierre à 12,4 à l’ouest

Vaumas – Préréal

Epoque :  XV° – Protection :
Propriétaire : Monsieur et Madame de Thé
Visite : non
Adresse : château de Préréal 03220 Vaumas
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Vaumas - Préréal (M. de T.)
Préréal - coté nord (www.randos-allier.com)
Préréal - coté ouest (www.randos-allier.com)

Situation

Vaumas est situé à 28 km au sud-est de Moulins

Le château de Préréal est à 2 km au nord de Vaumas

Histoire

Le fief de Préréal fut la propriété d’une famille de ce nom dès le XIVe siècle. En 1503, c’est Anthoine de Préréal, écuyer, qui fait aveu à la duchesse de Bourbon, pour lui et pour ses frères, de ” sa maison, granges, estableries, appelée de Préréal, avec le domaine et chevance, prés, terres, bruyères, boys, deux petits estangs…”. Il semble qu’au début du XVI° siècle Mathieu de Préréal épousa une demoiselle Devaulx, dont le fille falque de Préréal aurait légué vers 1554 cette terre à un membre de sa famille Maternelle : Hugues Devaulx, bailly de Bourbon Lancy. En 1637, Marguerite Devaulx porta le fief à Alexandre d’Oradour, gentilhomme Auvergnat. Malgré de nombreux enfants, après la mort d’Alexandre en 659, Préral fut vendu à Antoine Rogier. Hérité par Marie Rogier, celle-ci épousa en 1747 Joseph Gilbert de Saulnier de la Vauvre. Leurs enfants vendirent Préréal en 1781 à Gaspard Picard du Chambon. Ayant émigré en 1792, ses biens furent saisis et vendus à la Révolution. On peut penser que la construction qui existait au XIV° n’a pas résisté aux occupations anglaises que subirent également ses voisins Thoury et Beauvoir pendant la guerre de Cent ans, et l’édifice actuel date du XV°. Installé sur les rives de la Besbre, le château est composé d’un logis à un étage coiffé d’un toit en bâtière, dont le mur pignon, côté Besbre, est cantonné aux angles de deux tours rondes. Sur le côté opposé est accolé un haut logis rectangulaire couvert d’un toit en pavillon.

(source :”www.chateau-fort-manoir-chateau.eu”)

Neuvy – Château de Toury

Epoque :  XIV° – XIX°- Protection : non
Propriétaire : Famille de Ségonzac
Visite : non
Adresse : château de Toury 03000 Neuvy
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Situation

Neuvy est situé à 4 km à l’ouest de Moulins.

Le château de Toury est situé à 5 km au nord du bourg.

Histoire

Pour Nicolas de Nicolay, il n’y avait à Neuvy qu’une “paroisse et chasteau fort situé sur un haut coteau, sur l’Allier”, indéniablement le château de Toury. Celui-ci appartint tout d’abord à une famille de ce nom vers 1260, la seigneurie était en indivis entre Catherine dame de Thory sur Allier et son frère. Catherine avait épousé Jean Breschard, dit de Bressolles, chevalier et seigneur du Réray à Aubigny, sergent du duc de Bourbon et le fils de Raoul, baron de Bressolles. Les seigneuries de Toury et du Réray connurent un sort commun ; à la fin du XIIIe siècle, Guy de Toury, damoiseau, et sa femme, reconnurent tenir en fief de Guillaume de Dampierre, seigneur de Belleperche et Saint Just, 25 livrées de terre sur Aurouer et Aubigny. Goussaut de Toury fut, en 1374, maitre des Eaux et forêts, ce fut la Chambre des Comptes elle-même qui le traduisit en justice pour malversations; il avait, avec l’argent de la recette des Eaux et Forêts, acheté sur son compte personnel des biens dans les châtellenies de Verneuil et de Hénsson. En 1377, Louis II lui laissa néanmoins l’usufruit des biens détournés. Goussaut de Toury se comportait comme un grand seigneur et maintenait les traditions féodales. En 1381, Jeanne de Thoury épousa un autre Jean de Bressolles; leur petit-fils, Antoine, eut trois enfants. L’aîné entra en religion, ce qui l’exclut de la succession, mais les deux cadets se disputèrent l’héritage. Gilbert se vit attribuer Le Réray et Jean reçut Toury, qu’il vendit dans des conditions assez obscures à Anne de France. Cette dernière dut faire intervenir un sergent royal de la prévôté de Saint-Pierre-le-Moûtier pour entrer en possession de son acquisition. Le Roi Charles VII y avait séjourné en 1457 ainsi que l’atteste une lettre en date du 26 août dressée de Thoury près de Moulins à ses gens du parlement. Le château fut ensuite vendu à une famille d’officiers ducaux, les le Tailleur. En 1729, il appartenait à un chanoine de Moulins, le sieur Provost de Ruelle. Le dernier propriétaire de Toury, Pierre Legros, également propriétaire de la Queune, émigra au cours de la Révolution; il était le frère de Charles Legros de Laugère à Montilly, exécuté le 21 nivôse an II.

Description
Dés le début du XIII éme siècle, Thoury est considéré comme château fort et l’une des quatre principales baronnies du Bourbonnais. La façade est a été considérablement moins remaniée que la façade ouest, mais perd néanmoins son caractère de forteresse lorsque Anne de Beaujeu devient propriétaire des lieux. C’est dans cette demeurer que Jean de Meung a compose une partie du roman de la rose ,oeuvre très populaire au moyen age .

(source :”www.allier-hotels-restaurants.com” et “www.chateau-fort-manoir-chateau.eu”)

Les environs

Moulins – Le Musée du costume CNCS  à 4 km à l’est

Neuvy – Les Vieux Melays à 3 km au sud-est

Neuvy – Eglise Saint-Hilaire à 5 km au sud

Autry-Issards – Le château du Plessis

Epoque :  XV° (1497)- Protection : ISMH ( 1928)
Propriétaire : Privé
Visite : non
Adresse : château du Plessis 03210 Autry-Issards
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Situation

Autry-Issards se situe à 1è km à l’ouest de Moulins

Le château du Plessis se situe à 2,4 km au sud-est d’Autry-Issards

Histoire

Le Plessis appartenait sans doute aux seigneurs d’Issards, les de Laye, et échut à la famille de Murat par mariage en même temps que le fief voisin. Dans la seconde moitié du XVe siècle, leurs descendants prirent le nom du fief, en 1497 Jean Nicolas du Plessis fut autorisé par le duc Pierre II à faire fortifier sa maison ainsi qu’à y faire construire un colombier. Disposer d’un colombier est donc symbole de notoriété à la fin du XVe siècle. Vers 1520, il appartenait à un forézien venu faire une carrière au service du duc, Jacques Tavard, lieutenant général du baillage de Forez à Montbrison, maître des requètes en l’hôtel du duc de Bourbon, était devenu à cette époque, lieutenant de la châtellenie de Chantelle. Trente ans plus tard, ce fut un marchand, également maire de Moulins, Jean Aubery, voulant asseoir sa position sociale par l’achat d’une maison noble, qui en devint propriétaire. Jean d’Aubery, qui hérita du château, fut médecin du roi. A sa mort, en 1625, un inventaire décrivait assez la splendeur du château. Pendant la Révolution, le propriétaire était un avocat au présidial de Moulins, François Lomet, déjà seigneur du Lys à Bressolles et député à l’Assemblée constituante. Mais il fut taxé de lourdes “contributions volontaires”, accusé d’incivisme et arrêté en 1793. Le Plessis fut mis sous séquestre; François Lomet échappa à la guillotine et fut libéré à la mort de Robespierre. Il fut élu conseiller général de l’Allier, tout comme son fils Claude, aussi avocat et qui obtint des lettres d’anoblissement en 1815. La famille garda le Plessis jusqu’à la fin du siècle. En 1890, Le Plessis devint la propriété du docteur Petit. Sa descendance habite toujours le château.

Description
Le château, couvert d’un toit de tuile plate à deux croupes et bâti en pierre de taille (grès), a été entièrement construit d’un bloc en 1497. L’ensemble est caractérisé par un système défensif austère, peut-être en lien avec l’utilisation d’armes nouvelles. Au nord, une tour carrée aux petites pièces voûtées d’ogives comporte deux chemins de ronde intérieurs éclairés d’archères à trou central. Un glacis protège le bas des murs. Au sud, la tour d’escalier se termine par une pièce de défense : des mâchicoulis couverts sur consoles forment un chemin de ronde intérieur. S’y ajoutent de fausses couleuvrines dissuasives, des archères, de nombreux trous de visée de canonnières. Des contreforts ronds en forme d’échauguette protègent les angles du logis du tir des canons. De l’enceinte extérieure, il ne reste que les deux tours de défense qui flanquaient le pont-levis. Ce manifeste souci de défense s’allie au confort. Les chemins de ronde font office de latrines, les deux tours d’enceinte de pigeonnier et de chapelle. Toutes les cheminées, à hottes droites et de style gothique flamboyant, sont conservées. Elles étaient peintes à l’origine. En témoignent le blason plat autrefois peint d’une des cheminées du logis central, ainsi que les traces de pigment noir d’origine sur la cheminée de la tour d’escalier. Les Aubery ont fait placer une porte de fer d’un travail très soigné à l’étage de la tour carrée.

(source :”www.chateau-fort-manoir-chateau.eu”)

Les environs

Autry-Issards – Eglise de la Sainte-Trinité à 2,4 km au nord-est

Souvigny – La Prieurale à 7,4 km à l’est

Bourbon l’Archambault – La Forteresse à 10 km au nord-ouest

Agonges – La Pommeraye

Epoque :  XVII°- XIX° Protection : ISMH (2001)
Propriétaire : Privé
Visite : Non
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
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Situation

Agonges est situé à 17 km au nord-ouest de Moulins

La Pommeraye est située à 4.8 km au nord-ouest d’Agonges

La Pommeraye

La façade nord de cette demeure réunit les deux tours rondes d’un manoir du XVème siècle et le logis classique d’une gentilhommière de l’ancien régime qui fut remanié à la fin du XVIIème siècle. L’ajout d’un escalier à ferronnerie date du XVIIIème siècle.

Au XIXème siècle la famille Moulin, alors propriétaire, commanda à l’architecte Jean Bélisaire Moreau le remaniement de la façade sud.

C’est aujourd’hui une grande demeure à deux niveaux, le bâtiment central de forme rectangulaire est accosté de deux pavillons carrés en retour d’équerre, et de tours rondes à l’arrière.

Le premier possesseur connu est Simonnet de la Pomerie, en 1410, qui avoue tenir en fief, relevant de la châtellenie de Bourbon, le domaine de La Pomerie en la paroisse d’Agonges. Puis ce furent, entre autres, les familles de Laugère, Barbe, Feydeau, de La Celle, Le Borgne, puis le fameux marquis Joseph de Beaucaire.

Le Marquis de Beaucaire (1807-1879).

Il est l’un des plus étonnants veneurs de tous les temps. Ses forces herculéennes lui permettaient d’affronter les pires fatigues sans la moindre peine et la chasse à courre lui paraissait un exutoire indispensable à l’impétuosité vitale qui bouillonnait en lui.

Une anecdote : arrivant en selle, selon sa coutume, à Bourbon, il apprend qu’un de ses meilleurs amis vient de descendre dans un hôtel et s’y trouve logé au dernier étage. Qu’à cela ne tienne. Dans sa hâte de le retrouver, le marquis de Beaucaire y dirige son cheval, l’engage dans l’escalier au plus vite et ne descend qu’à la porte de celui qu’il cherche. Sa visite achevée, il réussit le tour de force de faire descendre l’escalier à sa monture, comme si de rien n’était.

A partir de 1860, il délaissa la Pommeraye pour le rendez-vous de chasse du Point-du-Jour, à Cérilly, à côté de la majestueuse forêt de Tronçais où désormais il déploya ses exploits cynégétiques.

En 1865, Aléxis Moulin se rendit acquéreur de la Pommeraye qui depuis est restée dans cette famille.

Il possédait un équipage de chasse à courre, « l’équipage de La Pommeraye » et chassait le sanglier en forêt de Bagnolet.

La propriété est inscrite au titre des monuments historiques : Château en totalité, y compris ses décors intérieurs (cage d’escalier à ferronnerie, lambris, cheminées, buffet encastré), ses communs et son parc. Inscription par arrêté du 3 décembre 2001

Les environs

Agonges – église Notre Dame à 4.8km au sud-est

Agonges – Château de L’Augère à 5 km à l’est

Bourbon l’Archambault – La Forteresse à 7km au sud-ouest