Cusset – Lafond
Cusset – Aubepierre
Situation
Histoire
Le village d’Aubepierre était assez important pour avoir été le siège d’une paroisse au XVe siècle. C’est à Chavanon, près de ce village, dépendance du Max d’Aubepierre, que l’abbesse de Cusset, Françoise de Lespinasse, fit édifier une demeure d’été pour les abbesses. La seigneurie d’Aubepierre a été constituée grâce à une politique d’achat de biens fonciers complétée par des dons commencée vers 1517 et poursuivie tout au long du XVIe siècle. Quel rapport existait-il entre cette seigneurie ecclésiastique d’Aubepierre et le fief du sieur Hugues d’Aubepierre de 1321 à 1356, ou de Jean Joseph Gardin, sieur d’Aubepierre en 1662 ? On trouve en 1748, Pierre Préveraud, seigneur de l’Aubespierre. La maison qui subsiste a conservé ses structures du XVe siècle, mais a été restaurée. C’est un logis quadrangulaire, à deux niveaux et niveau de comble, flanqué d’une tour carrée en façade et prolongé par un petit corps de bâtiment en pignon, alors qu’une tour ronde a été arasée.
(source : Extrait : Châteaux, Fiefs, Mottes, Maisons Fortes et Manoirs en Bourbonnais aux éditions De Borée)
Les environs
Cusset – Genat
Situation
Histoire
Les environs
Cusset – Chambon
Situation
Histoire
En 1444, le fief du Chambon est signalé comme appartenant à Antoine de la Motte, qui est dit seigneur de Chambon. Il subsiste dans le parc une construction du XIXe siècle, qui a conservé les bases de l’édifice du XVe siècle. De plan rectangulaire, le logis principal, à deux niveaux et niveau de comble, est accosté de deux pavillons surbaissés en pignon. La tour porche de plan carré, à toit à quatre pans et lucarne, est surmontée d’un lanterneau. Elle est épaulée par une seconde tour carrée, plus petite, mais l’ensemble est d’inspiration XVe siècle.
(source : Extrait : Châteaux, Fiefs, Mottes, Maisons Fortes et Manoirs en Bourbonnais aux éditions De Borée)
Les environs
Creuzier le Vieux – Maison forte
Situation
Histoire
La merveilleuse situation fait bien de cette forteresse la capitale féodale du pays, mais du vieux château-fort, il subsiste peu de chose, et Creuzier le Vieux se compose actuellement d’une élégante construction de la fin du XVe siècle, appliquée contre la nef d’une église fort ancienne, mais refaite. Devant la façade, côté nord, se développent les fossés et le rempart de la forteresse primitive, dont il reste encore une moitié de tour, avec des détails intéressants du XIVe siècle. Dès 1301, c’est un chevalier Uffain qui fait aveu de sa terre et seigneurie de Creuzet-le-Vieux. En 1380, Regnaude Uffain porte, par son mariage, Creuzet-le-Vieux à Archambaud Méchin dit Baudequin, damoiseau, seigneur de La Motte-Vesset à Tréteau. Àu milieu du XVIe siècle, c’est la famille de Montmorillon qui possède la seigneurie et la conservera jusqu’au mariage de Louise de Montmorillon en 1588, avec César de Bourbon-Busset. La demeure resta dans cette famille jusqu’au milieu du XIXe siècle et fut vendue vers 1850 par Charles Ferdinand, comte de Bourbon-Busset.
(source : Extrait : Châteaux, Fiefs, Mottes, Maisons Fortes et Manoirs en Bourbonnais éditions De Borée)
Les environs
Saint-Léon – Marcellange
Situation
Histoire
En 1357, Perrin de Marcellange rend aveu de ses possessions au sire de Châtelperron. Puis le fief est porté par mariage à la famille des Molles à la fin du XVIe siècle. Légué en 1666 à François des Escures, il fut acquis en 1693 par Jean Feydeau. Le château de Marcellange changea par la suite plusieurs fois de propriétaires. Vendu en 1848 à M. de la Bouteresse des Quillets, il échu à son gendre, le comte des Ulmes de Torcy, qui le fit restaurer vers 1895 par l’architecte moulinois, Jean Moreau, dans le style néo-gothique. Le château de Marcellange s’élève sur une légère éminence. C’est un corps de logis rectangulaire à trois niveaux, plus les combles éclairés par des lucarnes à fronton triangulaire. Il est flanqué sur la façade antérieure d’une tour d’angle circulaire et d’une tour d’escalier polygonale bâtie en grès rouge avec chaînage de pierre blanche, et dont la partie supérieure carrée repose sur des culs-de-lampe ornés. La façade opposée, encadrée par deux tours rondes, est précédée d’un perron à escalier tournant à trois volées droites, conduisant à une porte d’entrée surmontée d’un entablement à frise ornée de triglyphes, et coiffée d’un fronton percé de deux petites fenêtres.
(source : Châteaux, Fiefs, Mottes, Maisons Fortes et Manoirs en Bourbonnais aux éditions De Borée)
Les environs
Saint-Léon – Le Seu
Situation
Histoire
Les environs
Saint-Léon – La Voulte
Situation
Histoire
Les environs
Saint-Léon – Coulon
Situation
Histoire
Les environs
Saint-Sornin – Montbillon
