Epoque : – Protection :
Propriétaire :
Visite :
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet :
Brout-Vernet – Escolles
Epoque : – Protection :
Propriétaire :
Visite :
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet :
Situation
Histoire
Installée sur un bombement du relief qui a pu être une ancienne motte féodale, la construction appelée “le château” était plutôt une maison-forte du XVe siècle, complètement remaniée. Au XVIe siècle, Nicolas de Nicolay en parle comme d’un “vieux chasteau Sioule”. De la construction primitive, il reste une partie du corps de logis flanqué d’une petite tour ronde, couverte d’un toit conique et abritant un escalier en vis. Un pavillon a été édifié au XVIIIe siècle, dans la cour rectangulaire de l’enceinte primitive; il est aujourd’hui utilisé comme colonie de vacances. Un édifice, plus récent, édifié au XIXe siècle, dans un joli parc, porte le nom de château d’Escolles. Il appartient à la famille Burelle. Le corps de bâtiment, de plan carré, à deux niveaux et niveau de comble, a une allure un peu massive, rompue par le toit qui s’éclaire de lucarnes de style néo renaissance.
(source : Châteaux, Fiefs, Mottes, Maisons Fortes et Manoirs en Bourbonnais, éditions De Borée)
Les environs
Bressolles – Les Guénaudins
Epoque : fin XVIII° – début XIX°- Protection :
Propriétaire :
Visite :
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet :
Situation
Histoire
Logis, fin XVII° – début XIX°, pavillon porche, pavillon carré.
Les environs
Braize – La Pacaudière
Epoque : – Protection :
Propriétaire :
Visite :
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet :
Situation
Histoire
Les environs
Billy – Château-Gaillard
Epoque : – Protection :
Propriétaire :
Visite :
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet :
Situation
Histoire
Du château, il ne reste plus que le souvenir du nom du lieu. “Château Gaillard”, qualificatif répandu pour désigner une forteresse, a pu être un ouvrage avancé du château des seigneur de Bourbon, voire d’un premier château, avant la construction, au XIIe siècle, du château de Billy. Aujourd’hui un manoir édifié au XVIIe siècle dans le style classique, occupe l’emplacement de l’ancien château. Cette construction aux allures de maison bourgeoise est placée à la sortie nord de Billy à côté de l’étang.
(source : Châteaux, Fiefs, Mottes, Maisons Fortes et Manoirs en Bourbonnais, éditions De Borée.)
Les environs
Autry-Issards – Bigut
Epoque : XVII°- Protection : non
Propriétaire : Privé
Visite : non, mais visible du chemin à partir de la D 293
Adresse :
Téléphone : Bigut 03310 Autry-Issards
Courriel :
Site internet :
Situation
Autry- Issards est à 17 km à l’ouest de Moulins
Bigut est à 2.7 km au nord-ouest d’Autry-Issards
Histoire
La terre de Bigut qui se trouve actuellement sur Autry appartenait autrefois à la paroisse de Saint Menoux. On ne trouve pas mention de Bigut avant le XVIIe siècle: les registres paroissiaux font état de membres d’une famille Esgrin, sieurs de Bigut en 1601, 1606 et 1611. Vers 1629 1648, c’est Pierre de Teneuille qui était sieur de Courdin et de Bigue; il avait épousé la fille d’un conseiller au présidial de Moulins. Il donna ses fiefs de Bigue et de Villards en paroisse de Saint-Menoux, s’en réservant l’usufruit en 1657. Les registres paroissiaux nous apprennent l’existence d’une ancienne famille de Bigut : en 1671, se mariait Odile de Bigut alias Bigue, écuyer, seigneur de Chéry (à Souvigny), La Grange et Le Guay, fils de Louis de Bigut, écuyer, sieur dudit lieu et de Diane de Valzergue, de Souvigny. Il paraît s’être définitivement installé dans cette ville. Bigut appartint jusqu’en 1680 à Jean Devillard, notaire royal demeurant dans la seigneurie de Bigut, dont l’hérière, Élisabeth, morte en 1697, avait épousé le chirurgien Aubery, demeurant à Bigut. A la même période sont mentionnés dans les registres paroissiaux Marie Amy et Gilbert Aubery son mari, sieur du Petit Bigut. Dès ce moment, il semble donc qu’il y ait eu deux maisons d’habitations sur l’ancien fief. Vers 1724, ce fut un marchand de Saint-Menoux, Jean Aubouer, et ses deux frères, laboureurs, qui se portèrent acquéreurs du fief et seigneurie des Grand et petit Bigut, de Nicolas Doublet, chevalier et conseiller au Parlement de Paris. C’est en 1783 qu’apparaît comme parrain dans un registre paroissial de Saint-Menoux Jean Claude Jarsaillon, chevalier, capitaine d’infanterie et seigneur de Bigut, il s’était installé récemment dans la région; son père, Claude, écuyer, était baron de Jarsaillon et seigneur de Chalmoux et Fontette. Le 21 novembre 1790, Claude de Jarsaillon démissionna de sa charge de maire ayant accepté celle de juge de paix, pour laquelle il prêta serment le 27 décembre 1790. Entre-temps, la conjoncture lui étant devenue défavorable, Claude de Jarsaillon dut quitter Saint-Menoux; on le trouve sur la liste des émigrés…
(source : www.chateau-fort-manoir-chateau.eu)
Les environs
Saint-Menoux – L’Abbaye à 4.8 km au nord-est
Souvigny – La Prieurale à 8 km au sud-est
Bourbon l’Archambault – La Forteresse à 7.3 km au nord-ouest
Aurouër – L’Arizole
Epoque : – Protection :
Propriétaire :
Visite :
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet :
Situation
Histoire
Du château fort d’Arizolles ou de Darizolles, élevé à la fin du XIVe siècle par Lorin de Pierrepont sur une motte dont les fossés sont encore eau, ne subsistent plus que deux tours d’angle. Laurent ou Lorin de Pierrepont vint du Beauvaisis comme page du duc Louis II. Il devint trésorier général du Bourbonnais, secrétaire du duc et en 1374, fut un des quatre premiers membres de la Chambre des Comptes de Bourbonnais, nouvellement créée avec Goussaut de Thoury et les doyens des chapitres collégiaux de Hérisson et de Montluçon. Il fit construire le château d’Arizolles auquel furent rattachés tous les droits seigneuriaux de la motte d’Arizolles qu’il avait achetée. Lorin de Pierrepont épousa l’héritière d’une famille de bourgeois moulinois, Jacquette Bertine, qui en 1393, alors qu’elle était veuve, “vidua defuncti aurentii de Petraponte”, se vit confirmer sa noblesse par le Roi ainsi que celle de ses enfants et leur postérité. La motte d’Arizolles ou d’Aurouer, qu’il ne faut pas confondre avec le château d’Arizolles, figurait en 1269, parmi les possessions des seigneurs de Toury-sur-Allier. Il ne reste plus de cette seigneurie que des traces de fossés. Un logis bourbonnais y fut édifier en 1777. Le dernier seigneur d’Arizolles, le comte Andrault de Langeron, était un Nivernais et à la Révolution, il émigra en Russie et commanda une division russe à Austerlitz, pour finir sa carnière comme gouverneur d’Odessa, le château fut confisqué et démoli.
(source : www.chateau-fort-manoir-chateau.eu)
Les environs
Archignat – Lombost
Epoque : – Protection :
Propriétaire :
Visite :
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet :
Situation
Histoire
Longbost est connu dès 1354, lorsque Louis de Brosse fait aveu de sa terre d’Huriel au duc de Bourbon, pour son vassal Philippe de Lombost, qui détient en arrière fief sa seigneurie de Lombost. En 1503, Jehan de Longboz, écuyer, reconnait par son procureur François de la Croix, curé de Tronger, tenir en fief du seigneur de Ponthièvre, à cause de sa châtellenie d’Huriel, “sa maison, grange et pourpris de Lomboz, moulin, terres, deux estangs, prés, pescherie, garennes, boys, buissons, cens, rentes, et tailles”. Le fief confortable assure à son seigneur un revenu annuel estimé à 60 livres. La même année, damoiselle Marguerite de Lombost tient elle aussi en fief du seigneur de Penthièvre “une petite maison couverte de pailhe, deux prés, grange, vacherie, garennes et terres labourables à deux boeufs, cens, rentes, tailles”, évaluée à 100 sols de rente annuelle. La maison forte de Lombost est en 1663, le fief de Gilbert de la Gastine écuyer, qui donne 300 livres de rente au curé d’Archignat, pour fonder une messe par semaine. Mais dès la fin du XVIIe siècle Longbost appartient avec avec la terre de Frontenat et autres fiefs, à la famille des Jehannot de Bartillat. La maison-forte était édifiée à l’emplacement de la ferme actuelle. Elle a été démolie il y a un siècle environ. Aujourd’hui un manoir élevé au XIXe siècle garde l’appellation de château. Le corps de logis flanqué d’une tour hexagonale, est installé dans le grand parc boisé. A proximité, un pigeonnier avec harpages de briques marquait le privilège seigneurial.
(source : Châteaux, Fiefs, Mottes, Maisons Fortes et Manoirs en Bourbonnais, éditions De Borée.)
Les environs
Arpheuilles Saint-Priest – Charbonnier
Epoque : – Protection :
Propriétaire :
Visite :
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet :
Situation
Histoire
L’ancien château des Charbonniers est encore un solide bloc cubique des XV ème et XVI ème siècles, adossé a un promontoire rocheux à vue ouverte vers l’ouest et le nord. Sur le sommet de la colline, la photo aérienne permet de distinguer des anomalies de terrain qui pourraient marquer la situation d’un château plus ancien. Au XV ème siècle Charbonnier fut le siège d’une baillie, le lieu est situé à la limite de l’ Auvergne et du Bourbonnais.
(Source : www.allier-hotels-restaurants.com)
Les environs
Andelaroche – Gajun
Epoque : – Protection :
Propriétaire :
Visite :
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet :
Situation
Histoire
Gajun est une construction surprenante qui mêle le style néo-gothique en façade avant et le style néo-enaissance en façade arrière. Le château s’est voulu romantique, il est l’oeuvre de l’architecte Henri Bietrix à la fin du XIXe siècle. Les bâtiments sont en général bas, à un étage et disposés en équerre, à l’intérieur d’un beau parc avec un petit lac et bois. Les pignons aux toits éffilés qui s’intercalent dans la façade, les nombreuses fines tourelles et élancées qui dominent, et un portique crénelé composent un décor de théatre à la mode romantique des châteaux allemands qu’admirait l’architecte, réalisateur du projet.
(source : Châteaux, Fiefs, Mottes, Maisons Fortes et Manoirs en Bourbonnais, éditions De Borée.)