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La Chapelaude – Montroir
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Histoire
L’actuel château date de 1753, mais a été restauré par Mme et M. Fournier. Des douves l’encadrent encore au sud et à l’ouest. La construction se présente comme une maison longue de 40 mètres, composée d’un rez de chaussée surmonté d’un étage. Le château primitif paraît avoir eu deux tours dont l’une servait de chapelle. En 1584, Me Esmé Morichon se qualifie seigneur de Jouer et de Montrouer. En 1618, Étienne Charreton, écuyer, est seigneur de Montrouer, Le Boucheroux et La Genevrière. En 1703, noble Jean Garreau est chevalier, seigneur du Clos, Montrouer et autres lieux, acquiert le domaine. A la Révolution, le château est vendu comme bien national.
(source : Châteaux, Fiefs, Mottes, Maisons Fortes et Manoirs en Bourbonnais aux éditions De Borée)
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La Celle – La Garde
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Histoire
Le toponyme de La Garde souligne le rôle de ce point de surveillance et de défense en limite. Au XVIe siècle, cette seigneurie appartenait aux Châteaubodeau et, en 1623, le sieur de Chastellar donne a son fils Annet, écuyer, “les maisons et seigneuries de la Grande et Petite Garde, avec la chapelle, et de Montigny, avec leurs courts, jardins, vergiers, garennes, tuileries, trois pescheries, deux touches de bois de haulte fustay, deux étangs dont l’un appelé l’étang neuf”. Le château est une gentilhommière avec une grosse tour circulaire du XVe siècle, à un angle, et une autre tour plus récente. Montigny est cité en 1366 comme “Castellania Montecilio”. Seigneurie voisine de La Garde, son histoire se confond avec elle.
(source : Châteaux, Fiefs, Mottes, Maisons Fortes et Manoirs en Bourbonnais aux éditions De Borée)
Les environs
Jaligny – Le Lonzat
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Histoire
Le Lonzat s’apparente au domaine noble que l’on rencontre en bourbonnais. Il intègre des communs et des dépendances dans une composition classique, où les fonctions sont hiérarchisées et valorisent le logis des maîtres, placé au centre de l’ordonnance. Volumes, implantations des bâtiments, surfaces des cours et jardins forment un ensemble équilibré et harmonieux où chaque partie concoure à la majesté du tout. Bâtiments et décors furent complétés au XIXe dans l’esprit du siècle précédent. Le rajout des tourelles angulaires sur la façade postérieure donne au Lonzat une originalité de composition unique dans la région…
(source : www.chateau-fort-manoir-chateau.eu)
Les environs
Hauterive – Les Husseaux
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Château construit après 1839, il ne figure pas sur le cadastre, et avant 1856, date à laquelle il est dit achevé, dans un domaine agricole mentionné comme ferme sur la carte de Cassini, après 1856, création d’un parc et d’un étang. Les deux maisons en rez-de-chaussée au sud-ouest du château sont en pisé, matériau que l’on retrouve aussi partiellement et irrégulièrement sur les façades latérales de la grande grange-étable au sud-ouest. Le corps de logis principal est constitué de deux espaces rectangulaires avec formes emboîtées, à deux niveaux et niveau de comble, épaulés en pignon par des pavillons de pieds carrés. Les ouvertures ont suivi l’ordonnancement classique, rythmé au centre de la façade par un avant-corps. Celui-ci, de forme rectangulaire, se termine par une terrasse entourée d’une balustrade de pierre. Le château semble avoir, dès sa construction, appartenu au marquis de Bouillé, mais fait comte en 1760, celui-ci délaisse les Husseaux pour Rilhat. Les Sainsbut de Garennes sont propriétaires du château qu’ils habitent encore en 1906. En 1971, les Husseaux appartiennent au général Girardon.
(source : Base Mérimée, culture.gouv.fr/patrimoine : http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/merimee.fr)
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Hauterive – Le Grand Domaine
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Le domaine mentionné en 1823, consiste sur le cadastre de 1839 en bâtiments et deux maisons autour de deux cours parallèles; vers 1851 destruction ou transformation des maisons en château et communs par adjonction de corps de bâtiments, aménagement d’un parc sur l’emplacement de bâtiments détruits et du chemin dont le tracé est repoussé plus au nord. La façade principale nord-ouest se compose de bordure décorative formée de quatre rangs de briques rouges et noires avec des fenêtres rectangulaires à appuis rectilignes saillants et feuillures, une porte centrale dans l’axe à encadrement de claveaux saillants, crépi gris sur la façade, et peinture beige sur les angles et l’entourage de fenêtres. Toit d’ardoise et épis de faîtage. Témoignage de l’architecture bourgeoise du XIXe siècle, cette demeure présente surtout de l’intérêt dans la mesure ou elle pourra s’insérer dans une étude concernant les constructions de cette époque. Elle constitue un pastiche très simple des demeures de la fin du XVIIe siècle et du XVIIIe siècle dont elle adopte le plan.
(source : www.chateau-fort-manoir-chateau.eu)
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Gennetines – Château-Péchins
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Une maison bourgeoise avec tour carrée en façade, constuite en briques rouges au XIXe siècle, porte le nom de château-Péchins. On rencontre une famille du Peschin au XIVe siècle. En 1452, les coseigneurs du Peschin étaient Jacques du Peschin, écuyer, et son oncle, Pierre du Peschin, curé de Lucenay en Avallet. En 1598, la seigneurie était aux mains de Jean Breugnon. Le seigneur de Peschin était en 1611 Antoine Cadier, seigneur de la Brosse Cadier. La dernière héritière, Marie Anne Cadier, épousa Simon Coiffier de Demoret et fut la mère de l’historien du Bourbonnais. Comme Simon Coiffier avait émigré, Le Peschin fut confisqué en 1792 en même temps que ses autres biens : l’hôtel Babute, Demoret, La Brosse, etc.
(source : www.chateau-fort-manoir-chateau.eu)
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Fleuriel – La Tronçais
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Histoire
La villa de la Tronçais fut construite entre 1909 et 1912 pour le vicomte Robert Hutteau d’Origny, sur un terrain dont il avait hérité de sa mère. Le choix d’un style balnéaire pour ce « château-villa » est probablement inspiré des villas de Deauville, dont R. d’Origny affectionnait l’architecture. L’architecte en fut Louis Laroque, qui exerçait à Moulins et mena un certain nombre de chantiers en Bourbonnais. Le parc fut dessiné par Treyve, horticulteur-paysagiste à Moulins.
(source : monumentum.fr)
Les environs
Ferrières sur Sichon – Le château
Epoque : XI° – XIII° – XVI° – XVII°- Protection :
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Histoire
L’actuel château de Ferrières conserve de l’ancienne construction une tour d’entrée monumentale à encorbellement, flanquée d’une élégante tourelle en poivrière. Le corps de bâtiment de plan carré, à trois niveaux, est couvert d’un toit en pavillon. Il reçoit à l’angle ouest une haute tour d’angle ronde, couverte d’un toit conique élancé, à bord relevé. A quelque distance de là, une autre tour ronde construite en flanquement de l’enceinte a été couverte d’un toit conique. La forteresse était cantonnée de quatre tours, pour protéger un fort donjon carré, mais d’après Nicolas de Nicolay, elle était déjà ruinée en 1569. Le premier seigneur connu de Ferrières est en 1249, Gaucher de Châtillon connétable de France. En 1454, ce sont Louis de Beaufort et Jehanne de Norry, sa femme, qui possèdent les terres et les châteaux de Gaffier et Ferrières. Le fief de Ferrières fut vendu à plusieurs reprises au début du XVIIIe siècle. En 1720, il est au seigneur de Châteldon, mais il est revendu en 1756 à Jean Claude Douet, fermier général. Il était la propriété du vicomte Le Jeans au cours du XIXe siècle.
(source : www.chateau-fort-manoir-chateau.eu)
Les environs
Doyet – La Chassignole
Epoque : – Protection :
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Histoire
C’est le château du bourg. Il est situé discrètement en dessous de l’église, et le mur de son parc longe la rue des Grands-prés. Quand et par qui a-t-il été construit, c’est impossible à dire. Lorsque les de Courtais sont venus de Condat-en-Combraille vers 1575 à la suite d’un mariage, il existait déjà puisque la mariée Françoise d’Hérisson l’apportait en dot à son époux Louis de Courtais. Il était très vaste, et la surface de ses bâtiments et dépendances est maintenant beaucoup plus réduite. Les de Courtais passaient la belle saison à la Chassignole, mais quand arrivait l’hiver, ils préféraient le confort de leur maison de Montluçon, l’hôtel de Courtais rue Notre-Dame, devenu l’hôtel Charnisay puis maintenant le Musée Mupop. Après le général de Courtais, le château fut habité par son petit-neveu le vicomte Gaston Paillhou, puis par des cousins, les de Bodinat, qui ont vendu à Mr et Mme Libbes.
(source : www.doyet.fr)