Moulins – Hôtel de La Ferronays

Epoque : XVII° – Protection : inscrit MH partiellement (1927), Classé MH partiellement (1942), inscrit MH ( 1977).

Propriétaire : privé – Copropriété
Visite : non
Adresse : 7, rue de Paris

Moulins - Hôtel de La Ferronays (P. Guibal)
Moulins - Hôtel de La Ferronays (P. Guibal)
Moulins - Hôtel de La Ferronays (P. Guibal)

Situation

7, rue de Paris 03000 Moulins

Historique :

C’’est sur l’emplacement de l’ancien hôtel Popillon du Riau qu’en 1749 Jean-Denis Guériot, receveur des tailles de l’élection de Moulins, construit l’actuel hôtel. En 1765, il est racheté par le comte Pierre de La Ferronays qui lui laissera son nom. Après être passé entre différents propriétaires au XIXe, l’hôtel est divisé en appartements au XXe siècle.

Architecture :

L’imposante façade de grès se remarque par les trois hautes baies en plein cintre du premier étage ouvrant sur un large balcon supporté par deux puissants atlantes. La porte cochère en arc surbaissé se remarque par  ses ouvrants ornés de bustes de femmes dans le goût de la Renaissance. Il s’agit là du seul vestige de la demeure des Popillon. Le rez-de-chaussée a été malheureusement dénaturé par l’ouverture de locaux commerciaux.
La cour intérieure comporte deux ailes en retour d’équerre en briques et pierre qui ouvrait autrefois sur un jardin. Profondément modifié au XIXe et divisé en appartements, il ne reste que peu de choses du décor d’origine, hors mis quelques cheminées et trumeaux. Toutefois, l’aile Nord conserve un remarquable escalier à la française qui est sans doute le plus beau de la ville.  Ses élégantes ferronneries à décor de courbes et de contrecourbes se  déploient autour d’un spacieux vide central et se développent sur les deux étages de l’édifice

(P. Guibal)

Moulins – Hôtel du Buisson de Douzon

Epoque :  XVIII°,  – Protection : inscrit et classé MH (2000)
Propriétaire : Privé – Copropriété
Visite : non
Dates et horaires :
Adresse : 3, rue de Paris 03000 Moulins
Téléphone :
Courriel :

Site internet : 

Moulins - Hôtel du Buisson de Douzon (P. Guibal)
Moulins - Hôtel du Buisson de Douzon (P. Guibal)
Moulins - Hôtel du Buisson de Douzon (P. Guibal)

Situation :

3, rue de Paris 03000 Moulins

Historique :

L’hôtel est construit au milieu du XVIIIe sur l’emplacement de l’ancien hôtel de la famille de Lingendes pour Denis-Michel du Buisson, comte de Douzon, qui sera gouverneur militaire de Moulins en 1775, puis député de la noblesse du Bourbonnais aux Etats-Généraux de 1789 avant d’être guillotiné sur ordre de Fouché en 1793. Après avoir été divisé au XIXe, l’hôtel est aujourd’hui en copropriété.

Architecture :

La façade en grès de Coulandon se caractérise à l’étage noble par un alignement sur la rue de douze portes-fenêtres encadrées de grès et ornées de garde-corps au double chiffre D entrelacé. La cour intérieure fermée sur ses quatre côtés est percée de fenêtres régulières à petit bois qui se détachent sur un bel appareillage de briques losangées, datant de l’ancien hôtel de Lingendes. A l’angle de la cour, se remarque une tête de vieillard, vestige d’un ancien vivier. L’intérieur, qui a conservé l’essentiel de son décor, renferme trois escaliers ornés d’élégantes ferronneries dont l’un conduit à un exceptionnel salon de compagnie d’époque Louis XVI. Orné de pilastres cannelés et de dessus de portes en stuc en fort relief figurant des allégories des quatre saisons, il comporte un remarquable plafond bordé d’une frise d’entrelacs supportant une coupole aplatie. Son décor, digne du faubourg St Germain, est attribué au grand architecte parisien Etienne-Louis Boulée.

(Patrick Guibal)

Saint-Didier la Forêt – Abbaye Saint-Gilbert

Epoque :  Roman, XII°, XVII° – Protection : classé MH (1969) et ISMH (2001)
Propriétaire : Privé
Visite : Libre et gratuite
Dates et horaires :
Adresse : 6 rue de l’Abbaye 03110 Saint Didier la Forêt
Téléphone : 06 43 23 81 59
Courrielabbaye.saint.gilbert@gmail.com

Site internet : abbaye-saint-gilbert.com

Saint-Didier la Forêt - Abbaye Saint-Gilbert (www.patrimoine-religieux.fr)
Saint-Didier la Forêt - Abbaye Saint-Gilbert (1001salles.com)
Saint-Didier la Forêt - Abbaye Saint-Gilbert (www.patrimoine-religieux.fr)
Saint-Didier la Forêt - Abbaye Saint-Gilbert (1001salles.com)
Saint-Didier la Forêt - Abbaye Saint-Gilbert (www.patrimoine-religieux.fr)
Saint-Didier la Forêt - Abbaye Saint-Gilbert (1001salles.com)
Saint-Didier la Forêt - Abbaye Saint-Gilbert (www.patrimoine-religieux.fr)

Situation

Saint-Didier la Forêt est à 22 km au nord de Vichy et à 35 km au sud de Moulins .

L’Abbaye Saint-Gilbert est à 3.2 km au nord du bourg

Histoire

L’abbaye a été fondée au XIIème siècle, la construction s’étalant entre 1150 et 1151. Elle comprenait à l’origine un monastère d’hommes, doté d’une église en croix latine, et une léproserie. Une salle de justice se trouvait également au sein de l’abbaye.

En 1612, la flèche de l’église s’écroule, le bâtiment étant vétuste.

En  1779, le logis de l’abbaye est construit, à l’ouest, hors de l’enceinte du monastère.

En 1850, les vestiges de l’église, le bâtiment sud, qui abritait l’hôtellerie, et un bâtiment à l’ouest de la cour du logis abbatial sont démolis. Le reste de l’abbaye est alors converti en ferme.

Les bâtiments sont rachetés en 1950; ils sont alors en très mauvais état. Ils seront restaurés par la suite.

Il ne reste aujourd’hui que deux bâtiments : l’ancien hôpital, dont l’étage supérieur abritait le dortoir des moines, daté du XIIème siècle et le bâtiment abritant la salle capitulaire, le chauffoir et les cellules, qui a, lui, été réaménagé en 1750.

L’ensemble relève de l’architecture romane cistercienne.

Un ferronnier d’art à réalisé un très grande plaque foyère, pesant près de 500 k, dédiée à saint Gilbert qui est installée dans l’âtre de la cheminée du chauffoir. Cette salle est reliée à la salle capitulaire par un couloir étroit. L’ensemble constitue le bâtiment est, tandis que l’autre à perdu ses divisions intérieures. C’est aujourd’hui une propriété privée, proposant des chambres d’hôtes et tables d’hôtes ainsi que des locations de salles. A noter, que les visites sont gratuites. (Andy Pinoteau).

Histoire et dates importantes

L’abbaye de Neuffontaines appartenait à l’ordre des prémontrés. Elle a été fondée par Gilbert de Neuffronts, plus tard canonisé sous le nom de Saint Gilbert, à son retour de croisade.

De retour des croisades, Gilbert décide de se retirer dans un monastère. Il fonde alors le prieuré d’Aubeterre pour sa femme et sa fille, puis construit à Neuffontaines une abbaye d’hommes, une église, un hôpital et une léproserie. Selon la légende, les travaux commencés au lieu-dit Le Creux-de-l’Enfer sont stoppés par des oiseaux, qui transportent tout à l’emplacement actuel.

Mort le 6 juin 1152, Gilbert est canonisé en 1159. L’abbaye est vendue pendant la Révolution. Elle est alors démembrée et ses pierres sont en partie dispersées. L’étage est modifié au XVIIIe siècle et accueille des appartements. Au XIXe siècle, l’ensemble est transformé en ferme.

Pendant la Révolution, le , l’abbaye fut vendue comme bien national au prix de 132 100 livres et achetée par un notable local Jacques-Antoine de Combes des Morelles (1752-1823) ; elle devint une exploitation agricole.

De l’abbaye, décrite en 1856 comme « entourant un quadrilatère de 900 m2 », ne subsistent que deux bâtiments rectangulaires parallèles (Andy Pinoteau)

À partir de 1960, les bâtiments furent progressivement réhabilités.

(source : www.patrimoine-religieux.fr et wikipédia.fr)

Les environs

Saint-Pourçain sur Sioule – église sainte-Croix à 8.1 km au nord

Billy – La Forteresse à 8.6 km à l’ouest

Chareil-Cintrat – Le château de Chareil à 11.3 km à l’ouest

Broût-Vernet – église Saint-Mazeran

Epoque :  X°-XI°- Protection : ISMH
Propriétaire : Commune
Visite :
Dates et horaires : 0uvert toute l’année de 10h à 18h
Adresse :
Téléphone : 04 70 58 21 23
Courriel :
Site internet : église peintes du Bourbonnais

Broût-Vernet - église Saint-Mazeran (wikikédia.fr)
Broût-Vernet - église Saint-Mazeran (httpeglisespeintesenbourbonnais.planet-allier.com)
Broût-Vernet - église Saint-Mazeran (Ⓒ Monsieur Mondière)
Broût-Vernet - église Saint-Mazeran - Sarcophage de Saint-Mazeran (wikikédia.fr)
Broût-Vernet - église Saint-Mazeran (comcom-ccspsl.fr)

Situation

Broût-Vernet est à 17.9 km au nord-ouest de Vichy et à 44.4 km au sud de Moulins

Description :

Le plan de l’église est de type basilical avec un chœur fermé par une abside en hémicycle, une nef et des bas-côtés à cinq travées sans transept, chaque bas-côté étant fermé par une absidiole. La plupart des voûtes et des arcades datent probablement de la fin de l’époque romane.

Dans le chœur se trouve une peinture murale datant de 1530-1540 et représentant saint Mazeran. Selon la tradition, il est l’auteur des plans de l’église originale, il est donc représenté avec les attributs de l’architecte, une équerre et un fil à plomb sur un des vitraux datant du XIXe siècle.

Un vitrail de 1906 représentant sainte Élisabeth, réalisé par le maître verrier chartrain Charles Lorin est répertorié à l’Inventaire général du patrimoine culturel.

Le clocher actuel sur le bas-côté sud date de 1840, le précédent ayant disparu.

L’autel en marbre date du XVIIe siècle.

Un sarcophage en grès, dit « sarcophage de saint Mazeran » et datant probablement de l’époque mérovingienne, est exposé dans l’église.

Histoire :

L’église fut édifiée vers 1070, au lieu-dit de Brout, par les seigneurs d’Escoles et de la région, les Majoran. Dans la seconde moitié du Xe siècle, Théobald (baldus) Majoran, plus connu sous le nom de saint Mazeran, entre en religion et entreprend la construction d’une église, rattaché à prieuré clunisien la région, à Souvigny. Selon la légende, il aurait lui-même dressé les plans de l’église. A une date incertaine, elle fut érigée en prieuré

Agrandie et remaniée en 1168, elle devint alors église paroissiale. Les paroisses de Broût et Vernet dépendaient avant la Révolution du diocèse de Clermont. Vendue en 1796, l’église fut rachetée sous le Consulat par Claude Bourgoing, curé du Vernet, qui n’ayant pas d’église dans sa paroisse y célébra les messes à partir de 1803.

L’édifice, sauf le clocher, est inscrit au titre des monuments historiques en 1933.

En 1974, lors de fouilles dans le chœur, un sarcophage en grès de forme trapézoïdale, caractéristique de l’époque mérovingienne, a été mis au jour. Sa cuve monobloc était vide, et son couvercle brisé en quatre. Une plaque en marbre brisée a également été retrouvée, datant elle du XVIIe siècle et de même facture que l’autel avec l’inscription « SAINT MAGERAND ». Le sarcophage est exposé depuis 2005 dans l’église.

(source : wikipédia)

Les environs

Saint-Pont – Le château à 4.6 km au sud-est

Saint-Didier la Forêt – Abbaye de Saint-Gilbert à 9.4 km au nord-est

Etroussat – Château de Douzon à 9.6 km au nord-ouest

Hérisson – Musée du terroir hérissonnais

Epoque :  – Protection :
Propriétaire : Privé
Visite :
Dates et horaires : Du 15/04 au 15/11/2020 de 15h à 18h. Fermé le mardi.
Adresse : Place Joseph Lesage 03190 Hérisson
Téléphone : 04 70 06 89 40 (Michel Moreau)
Courriel :
Site internet :

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Hérisson - Musée du terroir hérissonnais (Capture google map)
Hérisson - Musée du terroir hérissonnais (auvergne-centrefrance.com)
Hérisson - Musée du terroir hérissonnais (allier-auvergne-tourisme.com)
Hérisson - Musée du terroir hérissonnais (auvergne-centrefrance.com)

Situation

Hérisson est à 23.4 km au nord de Montluçon et à 53.5 km à l’ouest de Moulins

Histoire

Des objets traditionnels de la vie domestique, agricole et artisanale aux XVIIIe et XIXe siècles complètent la visite : mouvement de l’ancienne horloge de la ville, évocation d’une chambre bourbonnaise du début du siècle, collection de tableaux d’artistes français “École de l’Aumance”.

Les environs

Hérisson – La Forteresse dans le bourg

Hérisson – L’église de Chateloy à 1.8 km au nord-ouest

Vallon en Sully – château de Peufeilhoux à 11.2 km au nord-ouest

Gannat – Musée Yves Machelon

Epoque :  – Protection : Musée de France – Musée municipal
Propriétaire : Commune
Visite : oui
Dates et horaires :
Adresse : 1, esplanade Pierre Roch Jurien de la Grvière 03800 Gannat

Téléphone : 04 70 90 23 78
Courriel : musee@ville-gannat.fr
Site internet : www.facebook.com/museemachelon

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Gannat - Yves Machelon (www.ville-gannat.fr)
Gannat - Yves Machelon (www.ville-gannat.fr)
Gannat - Yves Machelon - Anciennes cellules (www.ville-gannat.fr)
Gannat - Yves Machelon (www.ville-gannat.fr)
Gannat - Yves Machelon - L'Evangéliare carolingien (www.ville-gannat.fr)

Situation

Gannat est à 21.9 km à l’ouest de Vichy et à 56.3 km au sud de Moulins

Le Musée Yves Machelon est 1 esplanade P. Roch Jurien de la Gravière à Gannat

Histoire

Un peu d’Histoire

Le château, musée municipal, Yves Machelon est un ancien château fort des Sires de Bourbons, transformé en prison jusqu’en 1967. C’est à cette date que la commune, sous la Municipalité d’Yves Machelon, a racheté les bâtiments qu’elle a ensuite transformé en lieu de découverte du patrimoine Gannatois.

Que trouve-t-on au musée Yves Machelon ?

Les collections du musée municipal sont multiples.
La pièce maitresse est sans aucun doute l’Evangéliaire carolingien, d’une valeur inestimable.
L’Evangéliaire contient les textes des quatre évangiles et est conservé dans une cage de verre, à l’abri des manipulations. Il a été numérisé en 2007, afin de permettre à tous de le consulter sur une borne interactive.

Au-delà de ce trésor culturel, le musée possède de nombreux autres objets composant ses collections : documents datant de la résistance Gannatoise, véhicules anciens, objets d’Art Déco, œuvres d’art religieux, artisanat et traditions populaires…

Une vingtaine de salles auxquelles s’ajoutent les expositions temporaires, programmées le temps d’une saison.

Des collections… Et des animations !

Pour les enfants en période de vacances scolaires, le musée propose des après-midis “chasse au trésor” ainsi que plusieurs ateliers ludiques et éducatifs sur des thèmes qui varient en fonction des expositions temporaires programmées chaque saison.

La Nuit des Musées, en mai et les Journées Européennes du Patrimoine, en septembre, accueillent aussi le public pour d’autres surprises.

(source : www.ville-gannat.fr)

Les environs

Gannat – église Sainte-Croix à 700 m au sud-est

Gannat -Paléopolis (route de Bégues) à 3.4 km au nord-ouest

Saint-Bonnet de Rochefort – château de Rochefort à 10 km au nord-ouest

Echassières – Wolframines

Epoque :  – Protection : Musée municipal
Propriétaire : commune
Visite : Oui
Dates et horaires : Du 12/04 au 01/11 Ouverture le lundi, mercredi, jeudi, vendredi, samedi et dimanche de 14h à 18h.
Juillet-Août 10h-18h.

Animations : En juillet et août : un documentaire en Scénovision qui retrace l’histoire de l’exploitation du tungstène, ainsi qu’un power point sur la minéralogie et une interview de l’initiateur du musée, Roger Barrel, complètent agréablement la visite. Une exposition temporaire permet aussi de découvrir le département de l’Allier sous l’angle de la géologie. À l’extérieur, pour ceux qui aiment mettre la main à la pâte, la visite s’agrémente d’une récolte de petits minéraux sur le terrain, grâce aux outils prêtés par le musée, suivie de leur observation à la binoculaire, émerveillement garanti !…
Adresse : Carrefour de la Bosse 03330 Echassières
Téléphone : 04 70 90 44 99
Courriel : wolframines@ccspsl.fr
Site internet : www.facebook.com/Wolframines

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Echassières - Wolframines (www.allier-auvergne-tourisme.com)
Echassières - Wolframines (echassieres.com)

Actualités : Wolframines : le musée rouvre dimanche 9 avril (La Semaine de l'Allier du 6 avril 2023)

Echassières - Wolframines (La Semaine de l'Allier du 6 avril 2023)

Situation

Echassières est à 35.4 km au sud-est de Montluçon, à 48.5 km à l’ouest de Vichy et à 66.6 km au sud-ouest de Moulins.

Wolframines (lieu-dit La Bosse) est à 2.9 km au sud-est d’Echassières.

Histoire

Musée minéralogique et de l’histoire minière…

L’espace Wolframines, au cœur de la magnifique forêt des Colettes, permet à tous de découvrir, de comprendre et d’apprécier les mystères du monde minéral. Un Scénovision (spectacle audio-visuel) fait revivre l’épopée minière d’un secteur au sous-sol d’une incroyable diversité. Des minéraux aux formes et aux couleurs saisissantes font l’objet d’une présentation thématique dans les salles d’exposition. Circuits découvertes de la géologie locale, fouilles et différentes animations pour petits et grands sont également proposés, permettant une approche active du monde minéral.

Située à proximité des carrières de kaolin de la forêt des Colettes, la maison de la géologie possède une importante collection de minéraux. Sa visite vous permettra de découvrir des minéraux de la région dont le sous-sol est riche, notamment en wolfram, étain, lithium. Il faut savoir que près de 62 minéraux ont été recensés dans le secteur. D’autres échantillons en provenance du monde entier vous entraîneront dans le monde fascinant de la minéralogie. Vous pourrez voir un série de minéraux fluorescents. Très prochainement, un spectacle de Scénovision® ouvrira et retracera la découverte du wolfram, son exploitation et la vie des mineurs. La visite permet de découvrir des minéraux de la région dont le sous-sol est riche, notamment en wolfram, étain, lithium, principales ressources de ce site.

Wolframines vous propose de découvrir les merveilles du monde minéral. Un Scénovision, spectacle audiovisuel, unique en Allier, vous fera revivre l’aventure humaine et scientifique qui rythma la vie de cette région, durant prés de 150 ans. Vous découvrirez également une collection exceptionnelle de minéraux provenant de différentes régions du monde, présentée de façon thématique afin de mieux apprécier et comprendre l’origine de ces merveilles. Les richesses géologiques locales ont également la part belle, le site de la Bosse étant mondialement réputé pour son sous-sol.

Le musée propose un espace boutique, en partenariat avec le Comptoir d’Echassières, qui permet aux visiteurs de compléter leur collection de minéraux, tels que citrine, améthyste ou cristal de roche, et de petits bijoux toujours en rapport avec les roches, comme des colliers en jade, des bracelets en hématite ou des bagues en aigue-marine, ainsi que des sorties sur le terrain animées, avec au programme, des battées dans la Sioule, des recherches en carrière, des randonnées à thème (réservation obligatoire).

(source : www.auvergne-centrefrance.com)

Les environs

Chouvigny – Le château à 7.2 km au sud

Bellenaves – le château à 10.6 km à l’est

Saint-Remy de Blot (63) – Forteresse (ruines) de Château-Rocher à 20.9 km au Sud-est

Treignat – église Saint-Julien

Epoque : Roman – XIII° – XIX° – Protection :
Propriétaire : Commune

Affectataire : Paroisse Saint-François d’Assise
Visite :
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet :

Treignta - église Saint-Julien (paroissesaintfrancoisdassise.eklablog.com)
Treignat - église Saint-Julien (mobtrip.over-blog.com)
Treignat - église Saint-Julien (www.allier-hotels-restaurants.com)

Actualités : Le fief des Le Groing - si son histoire m'était contée (La semaine de l'Allier 19 mars 2020)

Treignat - église Saint-Julien (la Semaine de l'Allier 19 mars 2020)

Situation

Treignat est à 22.2 km à l’ouest de Montluçon

Histoire

Eglise Saint Julien et le clocher Saint Gervais

L’originalité du site est donnée par la présence de deux monuments voisins, une église et un clocher, en fait deux églises car, au XIIème siècle, la paroisse se trouvait, comme maintenant, à la limite des diocèses de Bourges et Limoges, et il y avait sans doute, ou certainement, des rivalités.

Le clocher

C’est l’ancienne église St Gervais, patron de la paroisse. A sa création, elle dépend du prieuré de Chambon/Voueize, donc du diocèse de Limoges. Elle date sans doute du début du XIIème siècle, et devait comporter : une tour carrée, moins haute que l’actuelle, le clocher, avec une couverture à quatre niveaux et, sur le mur sud, vers la place du marché, une abside demi-circulaire. La corniche de cette abside était supportée par des modillons : des têtes d’animaux fantastiques . L’un d’eux ,une tête de vache ou de cheval, tenant un rouleau dans sa gueule est enchâssé dans la façade de la maison à l’ouest. Voir à Boussac-Bourg dit encore Boussac-les-deux-Eglises ,où existe un clocher sans doute identique.
Elle est encore fonctionnelle à la fin du 17ème siècle, selon des actes d’inhumation, mais elle est signalée ruinée en 1733, par un rapport de la visite de Mgr de la Rochefoucauld, évêque de Bourges.
Mais la cloche la plus ancienne du clocher actuel est datée de 1739. On pense donc à une restauration d’un clocher, à cette date, avec installation d’une cloche.
Des devis de réparation du début du XIXs permettent d’imaginer un aspect différent de l’actuel avec 2 étages de toitures encadrant un “beffroi” surmonté d’une flèche,
La forme actuelle est acquise en 1880 par une reconstruction à la suite d’un incendie. Elle persistera à travers des surélévations et restaurations. La dernière date de 2001 suite à la tempête de 1999.
A noter que la forte charpente intérieure, qui porte les cloches, descend jusqu’au sol et est indépendante de la maçonnerie, laquelle n’est donc pas soumise à des efforts lors de la sonnerie. Cette charpente date certainement de 1739. Elle porte des traces de l’incendie de 1880. Sous cette charpente et sur le mur Est, on peut encore voir l’ancien enduit intérieur de l’église, en terre et peint à la chaux.
Le mur sud montre une porte murée, avec seuil, linteau et montants en éléments de réemploi, elle donnait accès, par le clocher, au second cimetière, sur la place dite du marché .Le premier cimetière était devant les deux églises. Sur la place près de cette porte, on peux observer des vestiges de sarcophages issus de ce second cimetière , levé en 1903.

L’église St Julien (Julien de Brioude, soldat romain martyr)

Elle dépend du diocèse de Bourges . Son aspect extérieur actuel, résulte d’ne importante restauration entreprise en 1895 . Sa construction débute sans doute au cours du XIIème siècle, et peut-être par une simple chapelle qui serait le chœur actuel, soutenu par 6 contreforts épais, mais toujours visibles. Le mur de façade de ce chœur qui fait pignon arrière de la nef, porte une niche avec une cloche et faisait peut-être office de clocher. Ce n’est qu’une hypothèse. Ce chœur à chevet plat montre une voûte romane en pierre avec des fresques sur des épisodes de la vie et mort du Christ.
L’arc triomphal du chœur est soutenu par deux colonnes avec chapiteaux, très particuliers.
Ils montrent chacun 7 masques ou figures humaines, apparemment chevelus, avec des orbites creux , certains ayant contenu des globes. Ils sont surmontés d’abaques avec décors de billettes. Ces chapiteaux et les colonnes, sont en granite très érodé, ce qui implique une longue exposition extérieure. On peut donc penser qu’ils proviennent d’un édifice antérieur disparu et inconnu, pas forcément religieux.
La nef, plus courte que l’actuelle, est contemporaine ou ajoutée peu après. Elle avait une voûte en planches, peintes à la chaux, en léger arc brisé, directement sous la charpente du toit et encore existante. Le toit ne comporte pas de fermes, mais seulement des tirants. On construira ensuite successivement, deux voûtes en plein cintre en armature de lattes couvertes de terre et peinte à la chaux, et la voûte actuelle en briques en 1895, en même temps qu’on ajoutera une travée. Cette nef primitive était prolongée, devant le porche par une sorte d’auvent en bois,” le caquetoi”. L’endroit où l’ on « caquette »
Peut-être vers 1560 , Haubert Le Groing, Seigneur de Villebouche et Treignat, fait construire “sa chapelle”, la chapelle latérale gauche. Elle porte une voûte en pierre et il y fait creuser le caveau où il sera vraisemblablement inhumé. Un mausolée sera sans doute édifié dans la chapelle , son aspect est inconnu.  Elle communique avec le chœur par deux passages en arc roman entre les contreforts du chœur.
Cette chapelle recevra ensuite, après 1515, le tombeau de Anthoine Le Groing, construit dans une niche du mur latéral avec, comme conséquence, une fragilisation de l’édifice et la construction d’un imposant contrefort extérieur, encore visible. C’est probablement à cette date qu’est ajoutée la sacristie, ce qui va masquer la baie centrale en ogive, mise à jour lors d’une réfection d’enduits. La voûte en pierre est détruite en 1895. Le mur latéral repoussé dégage le tombeau.
Près de la porte de cette chapelle dans le mur de la nef, une petite porte murée avec linteau sculpté, est la « porte du seigneur ». Les Le Groing entraient par cette porte réservée.
La chapelle latérale droite sera construite probablement au XIIIème siècle, mais aucun document n’est connu. Elle porte alors une voûte en plein cintre faite de lattes avec enduit de terre et peinture à la chaux. La voûte actuelle de 1895 est en briques.
Ces deux chapelles étaient moins larges, et leurs toits, à une pente en continuité avec celui de la nef. Les toits actuels à deux pentes donnent à la ligne de faîtières une forme de croix.
En 1895 , on construit les rampants des toitures et les contreforts.

Le tombeau

Ce monument valorisant de l’église a été certainement réaménagé en 1895 lors de la restauration de l’église, avec un encadrement de granite, et son aspect initial est inconnu.
La partie la plus remarquable est un gisant dans un enfeu. Le gisant, et la dalle qui le porte, sont sculptés dans le même bloc, un calcaire beige à grain fin, sans doute originaire de Bourgogne, seul le dais est rapporté On ignore qui était le sculpteur, certainement un artiste confirmé . Sur le pourtour de la dalle, l’épitaphe d’ Anthoyne Le Groing est sculptée en relief.
Au fond de l’enfeu, sur un cartouche en pierre, est sculptée en relief, l’épitaphe de Jehan Le Groing.
Dans la partie haute, un Christ écoté et deux fleurons ,appartenaient peut-être au tombeau de Haubert.
La chapelle et le tombeau nous ramènent évidemment à la famille Le Groing.
Cette famille est peut-être arrivée d’Espagne vers 850 ou 900 et l’ultime descendant direct meurt en1927. Un millénaire de « règne »
On ne retiendra que trois personnages directement liés à l’église et au tombeau.
-Haubert Le Groing ou Aubert, naît vers 1435, il se marie en 1460 avec Jeanne de la Forest. C’est un guerrier qui servira sous Charles VII et Louis XI. Il construit sans doute le château de Villebouche. Il a deux fils, Anthoine et Jehan.
Il meurt vers 1483 et laisse un testament assez délirant, organisant ses obsèques. Il est vraisemblablement inhumé dans “sa chapelle”.
-Anthoyne ou Antoine, Gentilhomme de Charles VII et Enseigne sous Louis XII. Marié à Jeanne des Barres, sans descendance, il meurt le 18 Mars 1505 et son épouse fait édifier le mausolée ou il est représenté par le gisant.
-Jehan ou Jean, son frère prend la succession. Il s’est marié le 1er Janvier 1498 à Gilberte Bertrande. Il sert sous Charles VIII, Louis XII et François 1er.
Il est sans doute blessé à Marignan, le 14 Septembre 1515, et meurt à Pavie le 26 Septembre, ainsi que le rapporte son épitaphe.
On ne sait quand la nouvelle de sa mort est arrivée à Villebouche. Mais en 1534 son épouse songe à rapatrier ses restes et, pour cela, elle vend la moitié de sa vaisselle d’argent.
Il est vraisemblable que le rapatriement a eut lieu car l’épitaphe porte « fut appourté dudit paye en ce lieu à la requeste d’ honorable dame madame Gilberte Bertrande femme dudit seigneur Le Groing par veuve amour conjugalle qu’elle lui pourtoit »
En 1534, le voyage Treignat-Pavie et retour, avec les restes d’un guerrier décédé depuis près de vingt ans , fut certainement une entreprise remarquable
Il y a eu des polémiques au sujet du gisant, certains affirmant que c’était Jehan, mais l’épitaphe de la dalle ne laisse aucun doute.
Des têtes de lions apparaissent sur de multiples blasons . Le blason des Legroing se disait « D’argent ,à trois têtes de lions arrachées de gueule, et couronnées d’or »

A cette description, on peut ajouter deux énigmes.

A gauche du perron de l’église, un morceau de colonne, haut ou bas, volumineux, en granite local, a une origine inconnue, mais laisse supposer qu’il y a peut-être eu, à Treignat, des constructions importantes disparues. Un rapprochement à faire avec les piliers et chapiteaux du chœur.
A droite de l’église, un « lion » couché, est assez grossièrement sculpté, dans un granite à gros grains ,non local. Il est resté très longtemps à l’angle du clocher au coin de l’emplacement du premier cimetière. Sa signification est inconnue : protecteur des défunts, ? Représentation de l’Anglais d’Aquitaine ?
La fête de Treignat a lieu le second dimanche de Juin, près de la fête St Gervais patron de la paroisse. Il y avait aussi une autre fête fin septembre, près de la fête de St Julien, patron de l’église, et c’est St Julien qui est représenté sur la fontaine.

(source : treignat-allier.weebly.com)

Les environs

Huriel – Donjon de la Toque à 12.4 km à l’est

Saint-Désiré – église Saint-Désiré à 21.3 km au nord

Sainte-Thérence – château de l’ours à 27.2 km au sud-est

Saint-Gérand de Vaux – église Saint-Gérand et Saint-Julien

Epoque :  XIV °au XVIII°- Protection :
Propriétaire : Commune

Affectataire : Diocèse de Moulins
Visite :
Dates et horaires : Toute l’année et tous les jours. Téléphone : 04 70 45 08 83 (Mairie)
Adresse : 24 rue de l’Eglise 03340 Saint-Gérand-de-Vaux

Téléphone :
Courriel :
Site internet :

Visite virtuelle : Université de Columbia – Media Center for Art History

Saint-Gérand de Vaux - église Saint-Gérand et Saint-Julien (www.allier-auvergne-tourisme.com)
Saint-Gérand de Vaux - église Saint-Gérand et Saint-Julien (preciosa.eklablog.com)
Saint-Gérand de Vaux - église Saint-Gérand et Saint-Julien (www.fondation-patrimoine.org)
Saint-Gérand de Vaux - église Saint-Gérand et Saint-Julien (allier-hotels-restaurants.com)
Saint-Gérand de Vaux - église Saint-Gérand et Saint-Julien (allier-hotels-restaurants.com)
Saint-Gérand de Vaux - église Saint-Gérand et Saint-Julien (allier-hotels-restaurants.com)

Actualités : L'église de Saint-Gérand de Vaux se refait une beauté (La Semaine de l'Allier 19 mars 2020)

Saint-Gérand de Vaux - église Saint-Gérand et Saint-Julien (La Semaine de l'Aller 19 mars 2020)

Situation

Saint-Gérand de Vaux est à 23.6 km au sud de Moulins et à 31.2 km au nord de Vichy

Description architecturale :

L’église est de plan longitudinal à transept non saillant, terminé par une abside à pans coupés.
Le clocher est une tour-clocher sommée d’une flèche d’ardoise, accolée au flanc sud de l’édifice, au niveau du chœur.
Le portail est lui en arc-brisé surmonté d’une rosace.
L’église comprend une nef de deux travées, la travée orientale étant d’époque romane, mais très remaniée. L’autre datant du XIVe siècle. A l’Est, il se termine par un chœur et un abside à pans du XVe siècle.
Deux chapelles latérales sont construites au XVIe siècle, à l’initiative du maréchal de La Guiche. Des voûtes d’ogives aux nervures moulurées d’un tore couvrent la nef et reposent sur de lourdes colonnes.
Un épais doubleau brisé, à deux rangées de claveaux, porté par des impostes chanfreinées, sépare les deux travées ; l’arc triomphal, de même tracé, retombe sur des chapiteaux à crochets.

La voûte d’ogives du chœur, pourvue d’une lierne, présente de nervures prismatiques. De même profil sont les nervures de la voûte à cinq compartiments lancée sur l’abside et pourvue d’une clef à écusson entourée de motifs flamboyants découpés. Les retombées se font sur des gracieux culots ornés, dans le chœur, des emblèmes des évangélistes et, dans l’abside, deux angelots et deux blasons aux armes des La Guiche et Soreau.

Toutes les fenêtres du chevet sont brisées, munies d’un meneau central qui les divise en deux baies trilobées.

La façade a été reprise à l’époque moderne.  Quant au clocher carré, élevé contre le mur latéral nord, en avant de l’abside, et que domine une flèche de pierre construite en 1875 par l’architecte Moreau, de Moulins.

Un mobilier intéressant, une statue de Saint-Georges à cheval terrassant le dragon, goupe en pierre de la fin du XVe siècle. Le saint est représenté avec l’armure de plates du règne de Louis XI.

Le groupe est très vivant et bien sorti de la masse ; la figure du saint, d’un assez bon travail, a des traits enfantins. Cette sculpture provient de l’ancienne église collégiale Saint-Georges de Luzeray, aujourd’hui disparue.

Principales étapes de construction :

L’église fut construite au XIIème siècle.

A l’époque romane, la première travée, celle orientale date de l’époque romane, tandis que la seconde datera du XIVème siècle.

A l’Est, un choeur et une abside datant du XVème siècle.

Deux chapelles latérales furent construites au XVIème siècle par le biais du maréchal de La Guiche.

Le clocher carré, où domine une flèche de pierre, fut construite en 1875 par l’architecte Moreau, de Moulins.

(source : https://www.patrimoine-religieux.fr)

Les environs

Saint-Gérand de Vaux – Le château de Saint Géran à 1 km au sud

Saint Gérand de Vaux – Le château des Guichardeaux à 3.4 km au nord-ouest

Châtel de Neuvre – église Saint-Laurent à 8.1 km au nord-ouest

Etroussat – église Saint-Georges

Epoque :  X° et XI°- Protection :
Propriétaire :
Visite :
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet :

Etroussat - église Saint-Georges (www.etroussat.fr)
Etroussat - église Saint-Georges (Pierre Bastien)
Etroussat - église Saint-Georges (Pierre Bastien)
Etroussat - église Saint-Georges (www.etroussat.fr)
Etroussat - église Saint-Georges (www.etroussat.fr)
Etroussat - église Saint-Georges (www.etroussat.fr)

Situation

Etroussat est à 22 km au nord-ouest de Vichy et à 42.6 km au sud de Moulins

Histoire

Une première église existait déjà au XIème siècle, reconnue parmi les possessions de l’Abbaye de Tournus en 1105. Seul le carré du transept (1) qui supporte le clocher, en est le témoin.
Quant à l’église actuelle, elle est le résultat de plusieurs campagnes de travaux, dont la plus importante menée entre 1856 et 1863, par l’Abbé Bobier, lui conserva un style neo-roman.
De la construction du XIIème  siècle il ne subsiste que l’absidiole sud (2), en hémicycle. Le clocher fut reconstruit au XIVème siècle et coiffé d’une flèche de pierre octogonale. Plusieurs agrandissements successifs ont ouvert des chapelles latérales, pour certaines disparues aujourd’hui : au nord, cinq chapelles gothiques furent édifiées, à la fin du XVème siècle; au sud, deux chapelles au milieu du XVIème siècle. La flèche du clocher, abattue en 1793, fut remplacée à la fin du XIXème siècle par une toiture de charpente à jet d’eau. Aujourd’hui, le vaisseau comporte cinq travées, flanquées de collatéreaux.

(source : www.etroussat.fr)