Audes – musée du canal de Berry

Epoque :  – Protection :
Propriétaire :
Visite : oui
Dates et horaires : du 1er avril au 1er novembre
Avril • Mai • Juin • Septembre • Octobre
ouvert du mardi au dimanche après-midi de 14 h 00 à 18 h 00 ainsi que les jours fériés
Juillet • Août • vacances de Pâques et de Toussaint
ouvert du mardi au dimanche de 10 h 00 à 12 h 30 et de 14 h 00 à 18 h 00
Adresse :
Magnette – 03190 Audes
Téléphone :
04 70 06 63 72
Courriel :
Site internet :
canal de Berry

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Musée du canale de Berry (static.apidae-tourisme.com)
Plan du musée (museecanaldeberry.fr)
Musée du canale de Berry (www.hdmedia.fr)

Situation

Audes se situe à 16,6 km au nord de Montluçon

Le musée du canal de Berry se situe à Magnette à 3,8 km à l’est d’Audes

Histoire

Situé au bord du Canal de Berry en plein cœur du Val de Cher, le musée fut créé en 1978 sur le site d’anciens fours à chaux par l’amicale laïque de Reugny. Chaque année, cette association de bénévoles créait une exposition sur un thème local et elle ne savait pas que l’exposition consacrée au canal de Berry allait être le début d’une grande aventure.
René CHAMBAREAU et quelques bénévoles ont réuni quelques pièces récupérée ici ou là, des dons de mariniers, d’éclusiers, de cantonniers, des dizaines de recherches, de rencontres et ont permis trente ans plus tard de constituer une collection unique sur le Canal de Berry. Ce fond est composé de près de 4000 pièces regroupant des documents administratifs, des plans d’époques, des objets de mariniers mais aussi des pièces monumentales comme des portes d’écluses et deux authentiques péniches ayant naviguées sir le Canal de Berry sauvées d’une destruction certaine.
Le canal, aujourd’hui, offre un nouvel engouement par la création d’une voie verte pour les amoureux des balades calmes sans moteur et pour les sportifs.

Les environs

Audes – Le château de la Crête à 3,2 km à l’ouest

Reugny – le prieuré Notre Dame à 1,1 km à l’est

Saint- Désiré – église Saint-Désiré à 16,6 km au nord-ouest

Noyant d’Allier – Le musée de la mine

Epoque :  – Protection :
Propriétaire : Association des amis de la mine de Noyant d’Allier
Visite : Réouverture en avril 2023
Dates et horaires : 
Adresse : Les Amis de la Mine, 31 rue de la Mine 03210 Noyant d’Allier
Téléphone : 
Courriel : centre-animation-minier@orange.fr
Site internet :  https://centre-animation-m.wixsite.com/musee-mine-noyant

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Devant le puy de la mine (medias.sit.auvergne-tourisme.info)
Galerie reconstituée au musée de la mine (Wikipédia : A.BourgeoisP)
Matériel roulant du train touristique du musée de la mine (Wikipédia : A.BourgeoisP)

Situation

Noyant d’Allier est situé à 20 km au sud-ouest de Moulins

Le musée de la mine est situé à 500 m au nord-est du centre ville

Histoire

Visite guidée. Le chevalement ainsi que le bâtiment minier dit « puits central », tous les deux de construction d’Eugène Freyssinet , constituent avec le site qui les entourent le musée de la Mine. Des circuits ferroviaires en fonctionnement permettent aux visiteurs d’avoir une première approche originale du site. Le musée possède aussi une fabuleuse collection de matériel minier, tant pneumatique que ferroviaire ; les galeries reconstituées, modestes mais utile,s complètent le parcours extérieur. Enfin l’exposition de petits outillages et de matériel didactique dans la chambre chaude achève la visite. Cette salle abrite une cuisine reconstituée grandeur nature telle qu’elle se présentait dans les années trente dans les corons. C’est dans cette salle que se déroulent des expositions temporaires

(source : “www.allier-auvergne-tourisme.com”)

Les environs

Noyant d’Allier – La Pagode et le Bouddha à 500 m au nord

Meillers – L’église Saint-Julien à 6.6 km au nord-ouest

Souvigny – La Prieurale à 8 km au nord-est

Moulins – Musée Anne de Beaujeu

Epoque : fin XV° – Protection : MH (1840)
Propriétaire : Conseil Général de L’Allier
Visite : oui
Dates et horaires : Ouvert toute l’année.
– Jusqu’au 30 juin et à partir du 1er septembre, du mardi au samedi de 10h à 12h et de 14h à 18h. Les dimanches et jours fériés (sauf 1er janvier, 1er mai et Noël), de 14h à 18h.
– En juillet-août : du lundi au samedi de 10h à 12h30 et de 14h à 18h30. Les dimanches et jours fériés de 14h à 18h30.
Adresse : 3 place du Colonel Laussedat 03000 Moulins
Téléphone : 04 70 20 48 47
Courriel : mab@cg03.fr
Site internet : musees.allier.fr

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www.france-voyage.com
www.allier-auvergne-tourisme.com
culturebox.francetvinfo.fr
musees-bourbonnais.fr

Situation

Place du Colonel Laussedat à Moulins

Histoire

Histoire
Le pavillon Anne de Beaujeu
A coté de la « Mal-Coiffée » vestiges du château du XIVème siècle se trouve le pavillon Anne de Beaujeu.
Quand en 1488, Pierre et Anne de Bourbon devinrent duc et duchesse du Bourbonnais, leur pouvoir politique était déjà grand, Anne de Bourbon, appelée aussi Anne de Beaujeu ou Anne de France était la fille du roi Louis XI. Pendant la minorité de son frère, le roi Charles VIII, elle avait été régente du royaume de France, jusqu’en 1488. Anne de Beaujeu engagea l’agrandissement du château vers le nord. Elle fit construire une nouvelle aile de 70 mètres de long, selon une architecture gothique flamboyante, terminée par une chapelle dédiée à saint Louis, et contre laquelle serait construit, à partir de 1497, un pavillon destiné aux séjours de son frère… mais Charles VIII, mort l’année suivante, n’en profitera jamais. Ce pavillon fut construit dans
un style nouveau, utilisant les formules de la Renaissance. Il s’agit de l’une des toutes premières constructions Renaissance en France (fort probablement la première de cette envergure). Le pavillon voulait sans doute rappeler à Charles VIII les splendeurs artistiques qu’il avait pu admirer lors des guerres d’Italie ; d’ailleurs, son architecte, Marceau Rodier avait fait appel à des artisans italiens. Néanmoins, le style architectural y est encore empreint d’une tradition gothique “à la française”, perceptible notamment dans la volonté de faire pénétrer, en les faisant buter, les archivoltes des arcs contre les pilastres (idée de pénétration des nervures propre au gothique flamboyant) ou encore dans l’exubérance du décor sculpté ; les motifs architecturaux, comme les tondi, au niveau des écoinçons, sont quant à eux d’inspiration italienne. Sur la façade du pavillon peuvent se lire de nombreuses références aux Bourbons, comme les initiales des commanditaires (“P” pour le duc Pierre II et “A” pour la duchesse Anne), la “ceinture Espérance” (insigne de l’ordre de l’Écu d’Or, ordre de chevalerie fondé par Louis II, rappelant la devise du duché “d’espérance mes ailes restent symbole”), ou encore le Cerf Ailé (référence symbolique au Christ et aux ailes d’espérance) ainsi que le Chardon (symbole issu peut-être d’un jeu de mot avec “cher don”, en référence au mariage de Louis II et d’Anne d’Auvergne). À l’image du triptyque du maître de Moulins conservé à la cathédrale, ou des tombeaux de la prieurale de Souvigny, la façade Renaissance de ce pavillon demeure un témoin de l’ampleur du mécénat des Bourbons.
Les jardins Renaissance
Outre les agrandissements du château, Anne de Beaujeu fit également transformer les anciens jardins médiévaux, avec leurs tonnelles et parterres carrés, en de vastes jardins Renaissance qui s’étendaient à l’Ouest de la Mal-Coiffée, jusqu’à l’actuelle place Jean Moulin. Ces jardins se voulaient, là encore, être à l’image des plus grandes créations du royaume de Naples, puisque agrémentées de parterres aux plantes très diverses, de terrasses, de grandes allées, d’un labyrinthe, mais aussi d’un potager, dans la tradition des jardins médiévaux, ou encore d’une orangerie, et aussi d’une ménagerie regroupant différents animaux exotiques, comme des dromadaires ou des lions. Anne de Beaujeu demanda même à Laurent de Médicis s’il lui était possible de lui faire parvenir… une girafe ! Ces jardins étaient également ornés de fontaines, dont une, réalisée en pierre de Volvic, présentait des formes complexes, avec deux étages de bassins et différents jets d’eau, fontaine qui subsista jusqu’au milieu du XIXème siècle dans la grande cour du château, près de la Mal- Coiffée. Depuis 1995, les jardins bas du château, sans commune mesure avec ceux du XVIème siècle, évoquent néanmoins leur souvenir.
Commun, de l’âge d’or aux destructions
Quand le duché du Bourbonnais fut démantelé en 1531, le château devint propriété royale. Une trentaine d’années après, il était encore décrit par Nicolas de Nicolaï, géographe ordinaire du roi, comme étant “de telle grandeur et structure que peu s’en trouvent plus accommodés pour recevoir rois et princes”. Catherine de Médicis, héritière douairière du Bourbonnais, y fit faire quelques modifications. Elle y résida plusieurs mois, en 1566 à la fin de son grand tour de France avec le roi Charles IX. En 1601, la reine de France, Louise de Lorraine, veuve d’Henri III, mourut au château de Moulins, où elle s’était retirée. En 1634, la duchesse de Montmorency, à la suite de l’exécution de son époux, y fut forcée à résidence. En 1661, le château devint la propriété du prince de Condé, et commença dès lors à être peu entretenu, et mal utilisé par différents locataires. Dès la fin du XVIIème siècle, des pans de murs s’effondrèrent. L’état du bâtiment fut propice au développement d’un incendie, qui en 1755 ravagea l’aile ouest construite par Anne de Beaujeu. En 1774, l’état du château, devenu désastreux, imposa alors son classement comme “ruine” ; les bâtiments furent morcelés en lots et les destructions furent nombreuses. Sous la Révolution, la majeure partie des bâtiments fut vendue comme Bien National, à un charpentier qui eut à cœur de démolir les restes de construction pour revendre les terrains et les matériaux récupérés. Le pavillon Anne de Beaujeu doit quant à lui sa sauvegarde non seulement à sa réutilisation en gendarmerie, à partir de 1839, mais également à son inscription sur la première liste des Monuments Historiques, dressée par Prosper Mérimée en 1840.
L’ensemble du pavillon fut largement restauré et complété de bâtiments annexes en 1907, date à partir de laquelle les locaux reçurent le musée d’art et d’archéologie. À l’emplacement de l’ancienne aile ouest, Louis Mantin, riche bourgeois de la ville, fit édifier sa maison, en 1896, selon un éclectisme stylistique propre à cette époque. Sous la maison Mantin subsistent encore plusieurs galeries souterraines, vestiges cachés et vagues souvenances de la splendeur et de la puissance de l’ancienne cour des Bourbons.
Le musée
Après la Révolution : les prémices du musée Avant la création du musée d’art et d’archéologie dans sa configuration actuelle, Moulins a connu plusieurs expériences de collections publiques. Le premier musée, comme dans de nombreuses villes, voit le jour lors de la Révolution française. Face au vandalisme exercé contre les biens de l’aristocratie et du clergé, l’Etat demande aux municipalités de lutter contre le pillage des demeures et églises et de rassembler les objets sauvés. Le district de Moulins nomme donc en 1795 un conservateur qui regroupe ces collections dans la chapelle du couvent de la Visitation. Mais faute de réelle volonté politique, elles seront rapidement dispersées dans divers lieux : églises, lycée… Le premier musée moulinois meurt officiellement en 1834 ! Quelques années plus tard, en 1842, la Ville crée par délibération du conseil municipal son musée. Quelques toiles appartenant à la Ville au moment de la Révolution ainsi que des dons et des achats forment l’embryon de cette collection. Peu à peu, le musée se déploie dans toutes les salles de l’Hôtel de ville. Les collections sont alors essentiellement composées de peintures et de médailles.
Le rôle déterminant de la Société d’Emulation du Bourbonnais
Fondée en 1845, la Société d’Emulation du Bourbonnais se donne pour mission « de s’occuper activement de former une collection d’objets d’art [en donnant] avant tout la préférence à ceux qui auraient été découverts dans le département de l’Allier ». Cette collection ne débute finalement qu’en 1851, à l’occasion de fouilles archéologiques sur la commune voisine, Yzeure. Devant l’importance des collections acquises, la Société sollicite les pouvoirs publics pour gérer ce patrimoine. C’est ainsi qu’en 1861, le Département dégage les fonds nécessaires à la création d’un musée départemental à la condition que la Société y mette en dépôt l’ensemble de ses collections. Un second musée est donc inauguré à Moulins le 15 août 1863 dans les bâtiments du palais de justice.
(Source : « Ville de Moulins-Service du patrimoine »)

Les environs

Le Château – La Mal-Coiffée sur le même site

La Villa Mantin sur le même site

La Cathédrale sur le même site

Le Veurdre – Maison de la Batellerie

Ouverture :  1977
Propriétaire : Association La Chavannée – patrimoine fluvial
Visite : oui
Dates et horaires : les dimanches après-midi du jeudi de l’Ascension aux journées du patrimoine (sept) de 15h à 18h. Groupe sur rendez-vous

Adresse : Maison de la batellerie 3-5, rue du Trou-Gandou
03320 Le Veurdre
Téléphone : 04 70 66 43 27 – 04 70 66 43 82
Courriel : frederic.paris@lachavannee.com

Toutes informations – page facebook :  https://www.facebook.com/profile.php?id=100063606301421

Site internet : lachavannee.com

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Situation

Le Veurdre se situe à 34 km au nord-ouest de Moulins
Le musée se situe dans le bourg

Histoire

Histoire de la Marine d’Allier en Bourbonnais
Au début du XIXe siècle, Le Veurdre fut le premier port du Bourbonnais pour l’importance de ses installations. Située entre Moulins et le Bec d’Allier, cette commune fut célèbre pour la qualité de ses bateaux de chêne : bachots, chênières, bascules à poissons, bacs… Pendant des siècles, les charpentiers en bateaux et les mariniers ont fait vivre cette rivière d’Allier.
La Maison de la Batellerie évoque ce temps où “l’Allier portait bateau”, depuis les premières pirogues monoxyles jusqu’aux péniches de 38 mètres, en passant par les fûtreaux, les toues et les fameux Inexplosibles !
La vie des mariniers est illustrée par des objets de la vie quotidienne et une iconographie passionnante.

Une exposition permanente
Le musée est installé dans une maison du quartier historique des gens de rivière, près du Coin des Feugnants où les mariniers attendaient l’embauche.
Le rez-de-chaussée est entièrement ouvert au public. Trois salles présentent ce patrimoine méconnu. Un intérieur bourbonnais début XIXe évoque l’habitat traditionnel d’un charpentier en bateaux du Veurdre.

Mariniers et charpentiers en bateaux
La Maison de la Batellerie conserve une pièce exceptionnelle : un bateau construit par Fernand Bissonnier, dans les années trente, aux chantiers du Veurdre. Vous pourrez le voir en fin de visite, aux côtés d’autres témoins de cette charpenterie des bords d’Allier.
(source : “www.lachavannee.com“)

Les environs

Château sur Allier – Le château de Saint-Augustin à 6 km au nord-ouest

Lurcy-Lévis – le château de Lévis à 13 km au sud-ouest

Lurcy-Lévis – Street-Art à 12 km au sud-ouest

Magnet – Electrodrome

Création : 2003
Propriétaire : Association Magnet Village Electrifié
Visite : Oui
Dates et horaires : L’ELECTRODROME® est ouvert toute l’année (sur rendez-vous), et les samedi, dimanche et jours fériés, du 1er avril au 11 novembre inclus.
Heures d’ouverture: de 14h à 18h
Les visites sont guidées.
Adresse : Magnet Village Electrifié – Electrodrome 11, rue du Bourg 03260 Magnet
Téléphone : 04 70 58 27 99 ou 06 89 25 05 88 (fondateur-Président, Monsieur André ROUX)
Courriel :
Site internet : www.electrodrome.org

Vidéo : Electrodrome

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Situation

Magnet est situé à 16 km au nord de Vichy

L’electrodrome® est situé dans le bourg

Histoire

Le projet ÉLECTRODROME débute, en 2003, avec l’achat d’un ancien bâtiment industriel au coeur du village de Magnet par MVE. L’idée initiale de l’utiliser seulement comme lieu de stockage ne satisfait pas totalement les adeptes les plus fervents de l’association.
Un projet ambitieux voit le jour, celui d’en faire un lieu de promenade rétrospective pour le public. Les travaux de réhabilitation, effectués par les adhérents de l’association, ont duré 4 ans. Quatre années pour transformer ces locaux en un espace muséal répondant aux règles appliquées à l’accueil du public.
Après sa rénovation complète, le bâtiment sert de lieu d’exposition pour tous les objets collectés et rénovés au travers d’une sélection répartie sur 8 thèmes.
L’électroménager
La Mesure de l’électricité
Les mutations dans l’agriculture
Les évolutions dans l’Industrie
Les avancées du Médical
Les outils de l’Artisanat
Le monde de l’Image et du son (la radio/télévision et le 7ème art)
La production et le transport d’électricité
Au coeur du parcours se dévoile le chapitre dominant des « Trente Glorieuses », au lendemain de la Deuxième Guerre mondiale, ces années qui vivent déjà au rythme des inventions qui bouleversent la vie quotidienne.
Lors de son inauguration en 2007 l’ELECTRODROME® affiche une double vocation de mémoire. Tout d’abord en s’appuyant sur les deux expériences historiques nationales réalisées à Magnet en 1936-39 puis en 1952. La deuxième mission est la projection dans l’avenir par l’intérêt aux applications nouvelles, voire futures, de l’électricité, à la domotique et aux innovations technologiques.
Le site s’adresse à tous les curieux souhaitant revoir ou découvrir les premiers appareils électriques d’avant et après les deux guerres mondiales (1914-1918 et 1939-1945).
En complément, une salle de réunion avec sa bibliothèque est équipée et permet d’accueillir élèves, étudiants et chercheurs.
Depuis 2007 l’équipe de passionnés de MVE  organise des visites guidées permettant de retracer  l’histoire de l’électrification et son impact sur le mode de vie de notre quotidien.
(source : “www.electrodrome.org“)

Les environs

Lapalisse – Le Château à 11 km au sud-ouest

Billy – La Forteresse à 7 km à l’ouest

Saint-Etienne de Vicq – Château de Verseilles à 6 km au sud

Vichy – Musée de l’Opéra

L’équipe du Musée
Victoria Gesset : Présidente de l’association « Musée de l’Opéra de Vichy »
Fabien Noble : Directeur
Philippe Ségard : Archiviste
Josette Alviset : Membre d’honneur et fondatrice du Musée de l’Opéra
Les bénévoles : Brigitte Galtier-Gerbout, Patrick Boyer
Visite : Oui
Dates et horaires : Le Musée est actuellement fermé aux visites.
La nouvelle exposition ouvrira ses portes le 15 mai 2018.
Adresse : 16 rue du Maréchal Foch 03200 Vichy
Téléphone : 04 70 58 48 20
Courriel :
Site internet : www.operavichy-musee.com

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Situation

16 rue du Maréchal Foch 03200 Vichy

Histoire

Le Musée de l’Opéra de Vichy est une structure unique en France qui conserve et met en valeur les archives de l’Opéra de Vichy. Il possède un des fonds les plus importants d’Europe : reflétant ainsi l’exceptionnelle vie artistique de la ville qui fut la “capitale d’été de la musique”.

Créé en 1987 par Josette Alviset, le fonds rassemble des programmes, affiches, journaux, plans, maquettes de décors, photographies, ouvrages, enregistrements sonores et archives administratives, 50 éléments de mobilier, 20 décors et accessoires de décors, 1 000 maquettes planes et en volumes de décors, 100 costumes et accessoires de costume, 50 audiocassettes, 200 disques relatifs à la vie artistique du Grand Casino de Vichy de 1901 à nos jours.

C’est un véritable site de découverte d’œuvres artistiques relatant l’histoire de la comédie, du théâtre, de la littérature, de la culture et de la musique françaises depuis le début du XIX ème siècle. La plupart des costumes de scène exposés dans la grande salle ont tous été portés par des célèbres comédiens de 1901 jusqu’à nos jours. Ce musée, l’un des édifices culturels de France, dispose des collections théâtrales les plus riches et les plus originales. Il recèle pas moins de 10 000 articles, documents scénographies sur des projets de théâtre, croquis de costumes ainsi que décors de scène. Il abrite également une multitude de photographies d’illustres danseurs, comédiens, chefs d’orchestres et chorégraphes. Son rez-de-chaussée comporte une salle audio-visuelle, en prime de la salle d’exposition principale. C’est l’un des meilleurs endroits pour admirer un important patrimoine culturel, littéraire et artistique du XIX ème jusque dans les années 60.

(source:” www.allier-auvergne-tourisme.com“)

Les environs

Vichy – les Parcs
Busset – Le château à 13 km au sud
Billy – La Forteresse 13 km au nord

Cusset – Musée de la Tour Prisonnière et Souterrains

Epoque :  XV°- Protection :
Propriétaire : Ville de Cusset
Visite : Oui
Dates et horaires :

En Haute-Saison :
Du 1er  mai au 30 juin : ouvert uniquement les week-ends, ponts et jours fériés
10h à 12h et 14h à 18h
Du 1er  juillet au 31 août : ouvert tous les jours
14h à 19h
Du 1er  septembre au 30 septembre : ouvert uniquement les week-ends
14h à 18h

En Basse-Saison :
Possibilité de visites uniquement pour les groupes à partir de 10 personnes payantes (renseignements et réservations auprès du Service Patrimoine).

TARIFS :
Ils comprennent la visite libre du musée et la visite guidée des souterrains.
Plein tarif : 5€
Tarif réduit : 4€ (étudiants, -de 18 ans et détenteurs du Pass’Allen et de la carte Nov’ML)
Tarif groupe et CE : 3.50€ (pour les groupes uniquement à partir de 10 personnes)
Gratuit : – 10 ans, scolaires et étudiants de Vichy Communauté, détenteurs du Pass’ Agglo Vichy Communauté.

OFFRES :
–       Visite libre du musée selon les différentes périodes d’ouvertures de celui-ci.
–       Visite guidée des souterrains avec un départ depuis le musée toutes les heures suivant les horaires d’ouverture du celui-ci.
Durée de la visite : 1h – Présence d’un guide obligatoire

Contacts :

  • Musée de la Tour Prisonnière : rue des Fossés de la Tour Prisonnière 03300 Cusset
  • Téléphone : 04 70 96 29 17  –
  • Service du Patrimoine : place Victor Hugo 03300 Cusset
  • Téléphone : 04 70 30 95 24

Courriel : cusset-tourisme@ville-cusset.fr
Site internet : www.ville-cusset.com

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Situation

Cusset se situe à 3.1 km à l’est de Vichy

Histoire

au rez-de-chaussée :

  • une présentation de la géologie de Cusset et de ses environs ;
  • des objets de fouille des époques préhistorique, gallo-romaine et gauloise (dont une urne cinéraire en verre du IIe siècle ap. J.-C.) ;
  • un ensemble lapidaire et un mobilier urbain du Moyen Age et de la Renaissance (dont des chapiteaux romans provenant des anciennes églises) ;
  • les mains, vestiges de la Vierge en majesté romane ;
  • la maquette de la ville à la fin du XVe siècle et l’éclaté de la porte Saint-Antoine, qui constituent le point de départ à la visite des souterrains.

au 1er étage :

  • des archives sur Jean de Doyat, cussétois anobli par Louis XI pour avoir surveillé les travaux de la fortification ;
  • une collection de mesures, de mortiers et de pots à pharmacie provenant de l’ancienne abbaye de bénédictines ;
  • l’évocation du Cusset thermal.
  • l’exposition “De bronze et de feu”, prêt de longue durée d’artillerie médiévale de la part de la Ville de Montluçon.

au 2e étage :

  • une collection de tableaux et de gravures sur Cusset et ses environs, de statuaire de sculpteurs cussétois

Le musée offre chaque année une exposition estivale

– Plaquette du musée

(source : “www.ville-cusset.com”)

Les environs

Abrest – Château des Chaussins à 5.8 km au sud

Busset – le Château à 13 km au sud

Billy – La Forteresse à 12 km au nord

Moulins – Le Centre National du Costume de Scène – CNCS

Quartier Villars – Epoque :  XVIII°- Protection : MH (1984)
Le musée : ouverture en 2006
Propriétaire : Ville de Moulins
Visite : 
Dates et horaires : Du 17 septembre au 13 octobre : de 14h à 18h.
Du 14 octobre au 11 mars : de 10h à 18h.
Du 12 mars au 6 avril : de 14h à 18h.
Du 7 avril au 30 juin : de 10h à 18h.
En juillet et août : de 10h à 18h30 
Adresse : Quartier Villars
Route de Montilly 03000 MOULINS
Téléphone : 04 70 20 76 20
Courriel :
Site internet : www.cncs.fr

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Situation

Le CNCS est situé sur la rive gauche de l’Allier, face à la ville de Moulins, à quelques minutes du centre ville en traversant l’Allier par le pont Régemortes.

Histoire

Commencée en 1767, la construction des bâtiments s’étend sur un siècle. Son premier architecte, Jacques Denis Antoine, est un artiste de grande réputation, concepteur, entre autres, de l’Hôtel des Monnaies, à Paris. Sublime, forcément sublime, le Quartier Villars reflète la magnificence de la monarchie et de son armée ! C’est en effet la première caserne édifiée sous le règne de Louis XV, dans le cadre de la réforme des armées initiée par le Duc de Choiseul, mettant fin à l’hébergement des soldats chez l’habitant, source de nombreux désordres.

Nommée Villars, en hommage au maréchal natif de Moulins, Claude Louis Hector, Duc de Villars (1653 -1734),  grand homme de guerre de Louis XIV, la caserne, qui abrite un régiment de dragons de cavalerie, s’inscrit dans l’esthétique classique du XVIIIe siècle : elle se compose d’un bâtiment central, encadré de deux pavillons bas, avec un l’intérieur trois escaliers desservant au rez-de-chaussée les écuries et aux étages les chambrées des cavaliers. Les bâtiments en grès de Coulandon (une carrière locale) relèvent de prouesses techniques dans la taille de la pierre et d’une ingéniosité rare du plan, destiné à permettre une mobilisation rapide des troupes et à loger au mieux hommes et chevaux.

Au cours des siècles, le Quartier Villars reçoit divers corps d’armée ce qui conduit à des modifications sensibles de l’architecture. La magnifique caserne confinant à l’œuvre d’art connaît des heures brillantes rayonnant au-delà de son enceinte : revues, manœuvres, bals et concerts. C’est au bras d’un bel officier de cavalerie cantonné au Quartier Villars qu’une jeune et jolie couturière, Gabrielle Chanel, surnommée Coco, quitte Moulins pour « monter » à Paris et devenir une icône de la mode.

Mais la Première guerre mondiale marque le début du déclin de la caserne, la cavalerie étant progressivement remplacée par des troupes portées. Endommagé en 1940, le bâtiment principal est ensuite occupé par le corps de gendarmerie jusqu’au début des années quatre-vingt, puis délaissé. Avant de renaître en 2006 pour accueillir le CNCS et son régiment de costumes.

Histoire de la rénovation

Quel destin pour ce grandiose bâtiment et son enceinte? À l’entame des années 1980, la question préoccupe la population et les édiles. Après bien des péripéties, le Quartier Villars, voué à la destruction et en grande partie démoli, est finalement sauvé en 1984 grâce à un classement au titre des Monuments historiques.

La question de la réhabilitation se pose alors : que faire du Quartier Villars ?

Dix ans après le classement, l’Etat décide la création du Centre national du costume de scène et de la scénographie, dont les missions premières sont la conservation d’un fonds patrimonial important et sa valorisation auprès du public.

Les restaurations à effectuer sur le quartier Villars sont importantes. Il faut à la fois restituer l’état d’origine des principaux éléments classés, réhabiliter l’ensemble des bâtiments disposés autour d’une immense place d’armes, construire une nouvelle aile et adapter le tout à son nouvel usage.

La rénovation du bâtiment principal est confiée à François Voinchet, architecte en chef des Monuments historiques. L’architecte Jean-Michel Wilmotte remporte, quant à lui, le concours pour les aménagements intérieurs et la création de la nouvelle aile destinée à héberger les collections de costumes du CNCS. Accolées au bâtiment principal, ces réserves, conçues sur la base de volumes contemporains et stricts, s’insèrent parfaitement dans l’architecture originelle dont elles respectent les proportions et la rigueur, tout en évoquant le textile et l’ancienne occupation militaire par la pose d’une maille d’acier recouvrant le béton.

Description de l’architecture

Le bâtiment principal

Ce bâtiment est remarquable à divers titres, l’élégance des proportions, la qualité de l’appareillage, la grandeur des cages d’escalier, comme aussi l’audace de ses procédés de construction, maçonnerie armée, voûtes sarrasines… L’édifice, long de 93m et large de 20m, comporte trois niveaux de 1450m2 chacun. Il est desservi par trois escaliers monumentaux particulièrement élégants, par leur architecture comme par la pierre, du grès de Coulandon, dont les carrières sont situées dans le voisinage de Moulins.

Le bâtiment est distribué de part et d’autre de ces cages d’escalier en 9 travées régulières, anciennes chambrées des cavaliers.

Au rez-de-chaussée, servant autrefois d’écuries, des espaces d’accueil du public et billetterie, l’escalier d’honneur, la boutique, le restaurant et un auditorium de 100 places. Depuis  octobre 2013 trois nouvelles travées sont ouvertes en permanence au public, présentant la Collection Noureev.
Le premier étage est entièrement consacré aux expositions temporaires, avec huit salles vitrines, et une grande salle sur une double hauteur,  équipée d’un gril de théâtre pour la présentation d’élément de décor ou tout autre scénographie théâtralisée.
Au deuxième étage, des espaces pédagogiques (deux salles d’ateliers de 300 m2), des salles de réunion, le centre de documentation (300 m2) et l’administration.

L’ensemble de ces bâtiments était à l’ouverture un site pilote EDF, car équipé d’un système de chauffage / climatisation de PAC (pompe à chaleur) sur une nappe phréatique, faisant du CNCS un site précurseur en matière de développement durable.

Commencés en 1996 et terminés en 2006, ces travaux, d’un montant total de 22 millions d’euros, ont été financés par le Ministère de la culture et de la communication, les collectivités territoriales et le FEDER. L’aménagement de la place d’armes et des abords a été pris en charge par la Ville de Moulins.

Ainsi drapé dans son nouvel habit de lumière, le Quartier Villars transformé en temple du costume est rapidement devenu une bête de scène, l’un des fleurons indispensables de la culture et du tourisme en Auvergne. 

(Source : “www.cncs.fr”)

Les environs

Moulins – la Cathédrale  à 2 km à l’est.

Moulins – le musée Anne de Beaujeu  à 2 km à l’est.

Souvigny – église Prieurale à 10 km au sud-ouest.