Ygrande – Château de Mont

Epoque :  XIX°- Protection :
Propriétaire : Monsieur et Madame Tissier
Visite : non
Adresse : Le Mont 03160 Ygrande
Téléphone : 04.70.66.33.11
Courriel : château d’Ygrande
Site internet : www.chateauygrande.fr
Vidéo :
Chateau de Mont

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Situation

Ygrande est situé à 33 km à l’ouest de Moulins.
Le château de Mont est situé à 4 km à l’est d’Ygrande.

Histoire

À quelques kilomètres de la forêt de Tronçais, voici une adresse de grande classe alliant à l’élégance de ses intérieurs, décorés de meubles anciens et de panneaux de soie, la convivialité qui sied dans un tel cadre naturel. Les amoureux des grands espaces seront comblés dans ce beau château du XIXème siècle surplombant le bocage bourbonnais du haut de sa colline. 40 hectares de parc, des chevaux (le haras est splendide) pour y galoper, une piscine près du verger, ce qu’il faut pour pêcher, une terrasse pour profiter de la vue sur les bois et les étangs qui tapissent l’horizon. Table et cave recherchées, cours de cuisine et calme absolu.

Demeure entièrement rénovée et aménagée avec raffinement, comprenant 16 chambres très confortables avec salles de bain individuelles modernes, meublé et décoré avec des objets anciens conservant son charme romantique, le Château d’Ygrande offre à ses hôtes en quête de dépaysement un environnement exceptionnel dans une région où la campagne se conjugue avec authenticité, gastronomie, détente et culture.

Le Château d’Ygrande, anciennement nommé Château du Mont, fut construit en 1836 par le comte Eugène de la Roche au milieu d’un parc et à côté du vieux château fortifié aujourd’hui en ruines. A cette époque, le château était un corps de bâtiment moderne orné sur les côtés par des ailes élevées d’un simple rez-de-chaussée recouvert d’une terrasse. La famille et descendants de la Roche y vécurent jusqu’en 1910 ajoutant au château d’amples communs et des jardins remarquablement entretenus.
Dès la fin de la première guerre mondiale, le nouveau propriétaire, Lemaire de Marne, entreprit des travaux importants avec en particulier l’adjonction des étages et toitures des deux ailes et des lucarnes de l’étage de service qui donnent au château son aspect actuel.

En 1925, le château fut acheté par la famille Souchard de la Voreille, riches propriétaires de grands vignobles bourguignons à Santenay et Pommard. Après le décès des parents de la Voreille en 1969, la fille cadette Chantal céda le château M. Bizet.

Bizet vendit le domaine en 1983 à Roger Bardot, éleveur de chevaux islandais. Les investissements portèrent alors sur la partie agricole où le bocage fut souvent remplacé par des grandes étendues de culture ou des pâtures à chevaux. Les bergeries furent restaurées et aménagées en luxueux haras. Après la cession de près de 200 Ha et de deux fermes en 1998 , le Château du Mont, son haras et ses 40 Ha restant furent finalement rachetés par Monsieur et Madame Tissier-Malergue afin d’y ouvrir un château-hôtel, rebaptisé Château d’Ygrande, du nom du village voisin. Des aménagements importants furent alors entrepris afin de mettre l’établissement aux normes, d’y créer 16 chambres et des cuisines modernes.

Le Château d’Ygrande, entièrement redécoré et remeublé, fut ouvert au public le 24 avril 1999. Son hôtellerie***NN et sa restauration constituent un ensemble unique dans toute la région bourbonnaise.

(source:”www.auvergne-centrefrance.com”)

Les environs

Ygrande – Eglise Saint-Martin à 4 km à l’ouest

Ygrande – Musée Emile Guillaumin à 3 km à l’ouest

Bourbon l’Archambault – La Forteresse à 8 km à l’est

Marcenat – Chateau du Lonzat

Epoque : XII°-XIX° – Protection :
Propriétaire : Privé
Visite : non, mais visible de l’exterieur
Adresse : château du Lonzat 03260 Marcenat
Téléphone :
Courriel :
Site internet :
Vidéo :
Le Lonzat

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Situation

Marcenat se situe à 15 km au nord de Vichy

Le Lonzat est à 1,7 km au nord de Marcenat

Histoire

Un château existe à cet emplacement depuis au moins de XIIe siècle. Il est agrandi ou reconstruit au XVe siècle. Longuement laissé à l’abandon, c’est sur une ruine que le comte d’Arfeuilles fit construire la demeure actuelle dans le style néo-gothique, sur les plans de Jean Moreau. Du bâtiment ancien, on ne garde que la grosse tour du XVe siècle.
Le château est composé d’un sous-sol, de trois niveaux et d’un niveau de combles. Les chaînages harpés sont en pierre claire, les murs sont recouverts d’un enduit gris clair. Les toitures sont en ardoise, mais les souches de cheminées sont en briques rouges. Le corps de logis en L (la partie saillante est très courte) est flanqué au sud d’un haut pavillon avec une fine tourelle qui assure la jonction entre le pavillon et le logis, reprenant en cela la disposition du projet de 1885. L’autre face latérale est animée par la massive tour médiévale à laquelle répond une tour d’angle plus fine. Cette dernière est prolongée par une chapelle à pans coupés et contreforts. Entre les deux, on retrouve la cuisine aménagée par René Moreau: elle occupe toute la place au rez-de-chaussée, mais seulement la moitié à l’étage.
Le château est visible dès l’entrée, au bout d’une large allée. Côté cour, on voit la face lisse du logis, elle a cinq travées. Les baies du deuxième étage sont très hautes et leur fronton déborde sur le toit. La travée du centre est la plus importante. Bien que n’étant pas plus décorée que celles qui l’entourent, elle est plus large, ses baies ont des ouvrants doubles à tous les étages. Les travées qui la jouxtent directement ont des ouvrants doubles au rez-de-chaussée et au premier étage, mais pas au second. Les travées les plus externes ont des baies simples à tous les niveaux; les combles n’ont même plus de lucarne dans ces parties. Le rez-de-chaussée de la tour et le chœur de la chapelle ont des baies en plein cintre à remplage de pierre en gothique flamboyant. Les autres fenêtres de la tour sont rectangulaires. Le pavillon est très haut, comme sur le premier projet, il a quatre étages plus des petits combles. Le rez-de-chaussée reçoit une grande porte entourée d’un très beau portail gothique à multiples ressauts, avec fleuron et pinacles. Le sommet du pavillon a l’allure d’un chemin de ronde avec mâchicoulis.
La travée centrale du corps de logis ouvre sur le vestibule qui donne directement sur un grand couloir et sur le grand escalier à trois volées droites. Derrière l’escalier, se trouve le fumoir et dans le pavillon on aménage une très grande salle de billard. De l’autre côté : il y a l’escalier de service et la lingerie. En face de l’escalier de service, c’est la salle à manger. C’est de ce côté que René Moreau ajoute la cuisine, celle du sous-sol ne convenant apparemment plus. La salle à manger ouvre donc du côté jardin, comme les autres pièces de réception: le salon bibliothèque et le grand salon. Notons qu’il est étrange que la porte la plus ornée soit celle du billard. C’est peut-être un billard/bureau qui offre une entrée directe aux personnes extérieures à la famille.
Au premier étage il y a trois très grandes chambres et quatre plus petites, toutes ont une cheminée. La grande chambre au nord-est du logis est ouverte sur la chambre de la tour médiévale. La grande chambre de l’aile en retour est précédée d’une antichambre, elle dispose de cloisons internes (rangements, et cabinet de toilette). Elle est de plus ouverte d’un côté sur une petite chambre (probablement destinée à un jeune enfant) et de l’autre sur la tourelle qui forme un sas ouvrant sur une autre grande chambre. Cette dernière dispose d’une annexe, c’est probablement la chambre de monsieur. Celle de madame, au centre, est spacieuse et bien éclairée, elle est en liaison avec la chambre du mari et de l’enfant, sans en commander aucune. Chacun dispose d’un espace qui lui est propre, où il est autonome. Les antichambres (entre les grandes chambres et avant la chambre supposée être celle de madame) assurent la tranquillité des occupants. L’escalier d’honneur monte jusqu’au deuxième étage, où il dessert une très grande chambre avec de nombreuses annexes, deux chambres plus petites, deux autres pièces (chambre, débarras, bureau, salle de classe?). Le dernier tiers de l’étage est séparé du reste par un mur percé d’une porte, puisque c’est là qu’il y a l’escalier de service, c’est probablement une partie réservée au domestiques

Ce château sera la résidence d’été du maréchal Pétain en 1944.

(source :”www.allier-hotels-restaurants.com” et “www.chateau-fort-manoir-chateau.eu”)

Les environs

Billy – La Forteresse à 4,3 km au sud-est

Saint Didier la Forêt – Abbaye Saint-Gilbert à 5,3 km à l’ouest

Paray sous Briailles – Château de Cordeboeuf à 6,3 km au nord

Sanssat – Château de Saint Alyre

Epoque : XVIII°-XIX° – Protection :
Propriétaire : Privé
Visite : non, hôtel
Adresse :
Téléphone : Château de Saint Alyre 03150 Sanssat
Courriel :
Site internet :

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Situation

Sanssat se situe à 17 km au nord de Vichy

Le château de Saint Alyre est 2.9 km au sud-est du bourg

Histoire

L’édifice médiéval construit à la fin du XV ème siècle fut très restauré au XVIII ème siècle, puis à nouveau remanié à la fin du XIX ème siècle. C’est un corps de logis rectangulaire à un étage, flanqué d’une tour circulaire sur la façade postérieure et sur l’autre face, d’une tour d’escalier percée d’une petite porte surmontée d’un écusson aux armes de Chouvigny, et au-dessus duquel font toujours saillie les trois corbeaux d’une ancienne bretèche.

Le bâtiment du XIX ème siècle, de style néo-gothique, comporte un gros pavillon à trois niveaux plus combles. Il est accosté à un pavillon plus étroit qui assure la transition avec le vieux logis, et que flanque, sur la façade principale, une tour d’escalier ronde percée d’une porte à tympan sculpté aux armes des Desmaroux de Gaulmin. Le château est occupé aujourd’hui par un hôtel, gites.

Les environs

Billy – La Forteresse à 6.4 km à l’ouest

Rongères – Le château du Méage à 7.2 km au nord

Montaigu le Blin – La Forteresse à 7.7 km au nord

Lurcy-Levis – Chateau de Beguin

Epoque :  XIX°- Protection :
Propriétaire : Privé
Visite :
Dates et horaires :
Adresse : Château de Béguin 03320 Lurcy-Lévis, France
Téléphone : 04 70 66 74 78 
Courriel : info@chateaudebeguin.fr 
Site internet : chateau de beguin
Vidéo :  le chateau de Beguin

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Situation

Lurcy-Levis est à 39 km au nord-ouest de Moulins

Le château de Beguin est à 2,5 km au dus-ouest de Lurcy-Levis

Histoire

Le château de Béguin date du milieu du XIX ème siècle, il subsiste néanmoins une tour de l’ancien manoir du XV ème siècle. C’était un château fort, auquel on a adjoint, au cour du XIX ème siècle, une grande construction de brique et de pierre. Le long corps de logis principal est à deux niveaux et niveau de comble. On accède au rez de chaussée surélevé par un escalier sur perron. 3 pavillons, de tailles inégales, sont accolés en façade, deux en angle, en retour d’équerre, le troisième en avant corps, recevant une porte d’entrée monumentale.

(source ” www.allier-hotels-restaurants.com”)

Autry-Issards – Issards

Epoque :  XV°-XIX°- Protection : ISMH ( 2001)
Propriétaire : Messieurs de Belmont
Visite : non
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet : 

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Situation

Autry-Issards est situé à 17 km de Moulins.

Issards est situé à 2 km au sud du bourg

Histoire

Vers 1280, Jean de Dreuille, damoiseau, seigneur de Dreuille et d’Issards épouse Brune de Bayet. Depuis cette date, les Dreuille furent les seigneurs d’Issards durant le Moyen-âge. Le 25 août 1459, Jean de Dreuille, écuyer, seigneur de Dreuille et d’Issards, épousa Marguerite Vigier. Parallèlement, le fief eut d’autres seigneurs : en 1346, Jean de Verri, puis vers 1370 sa petite fille, Jeanne de la Laye, qui porte en mariage une partie de la terre et maison forte d’Issards à Jean de Murat. Le 18 octobre 1458, Pierre de Murat, époux de Marguerite de Chari, est seigneur d’Issards.

En 1586, le mariage de Jacques de Dreuille et Marguerite de Murat reconstitue la seigneurie dans son entier. Vers 1470-1490, époque de construction des vestiges étudiés, il y eut deux possesseurs, les Dreuille et les Murat, et deux logements distincts. Jean de Dreuille pourrait être le commanditaire du logis neuf dont il ne reste que l’escalier d’honneur et la tour. Jean de Murat aurait quant à lui fait moderniser l’ancien corps de bâtiment. Une lithographie de 1838 présente ces ensembles distincts encore debout. Le logis raffiné d’époque Louis XI semble construit d’un seul jet, alors que l’autre mêle des constructions d’âges différents. Sur une photographie des années 1860-1875 on y distingue une tour du XVème siècle servant de pigeonnier. La chapelle du château fut profanée par les Huguenots, et rendue au culte le 25 mai 1658. Le soleil de Louis XIV et la devise ‘Nec pluribus impar (1) ” dans l’escalier témoignent du passage de Mme de Montespan et du roi. En 1777, le château, entouré de fossés, comprenait chambres, grenier, tour, chapelle, jardin clos de murs, pêcherie, avenue, cour, basse-cour, pressoir, tuilerie, jardin, étang. En 1862, Louis Gabriel Carré d’Aligny épouse Marie Geneviève de Gaulmyn, qui lui apporta Issards en dot.

Entre 1862 et 1870, ils firent reconstruire le château par l’architecte Jean Moreau, à l’exception de la tour noble et de l’escalier d’honneur. La guerre de 1870 interrompit le chantier. En 1924, le comte d’Aligny demanda à l’architecte Mitton d’achever le perron d’entrée…

Description : 

Construit en pierre de taille, le château est couvert d’ardoise (autrefois tuile). Du XVème siècle ne subsistent que la tour noble et l’escalier d’honneur accolé. La base de la tour est renflée sous un talus et percée de trois canonnières. A l’intérieur, trois étages superposés ont chacun une salle, un cabinet, des latrines et un judas surveillant l’escalier. Chaque salle comporte une cheminée sculptée à hotte droite et un plafond à lambris sur poutrelles. La lucarne ancienne est conservée. Les fenêtres de ce corps de bâtiment sont à appui saillant, décors sculptés, croisée et encadrement de moulures. La porte d’entrée comporte un galbe en accolades et un tympan à décor armorié martelé. L’escalier se termine par une colonne centrale d’où rayonnent les huit nervures d’une voûte en parapluie reçues, sur l’extérieur, sur des culots de feuillages et personnage grotesque. Le château du XIXème siècle comprend un porche d’entrée à toit en pavillon surmonté d’une chapelle, une tourelle d’angle, et, accolé à la partie ancienne, un logis presque carré double en profondeur, desservi par un escalier central et traversé par un couloir.

Détails

Les fenêtres et la porte de l’escalier sont décorées de personnages, feuillages, masques et animaux. Les trois cheminée de la tour sont sculptées (restes de polychromie). En haut de l’escalier, cul-de-lampe avec fou tenant sa marotte. Les lucarnes du logis récent portent les armoiries d’Aligny (échiqueté d’argent et d’azur au chef d’or, chargé d’un lion léopardé de sable, armé, lampassé et couronné de gueule) -De Gaulmyn (d’azur, à trois glands d’or) , d’Aligny-Raffin de Pommier (d’azur au chevron d’or accompagné de trois écrous de même) , De Gaulmyn-Damoiseau (d’azur à l’aigle d’or, becquée de gueule).

Architecture

Seule une tour ronde subsiste du château du XVème siècle. Moreau choisit le style néo-gothique pour la reconstruction d’Issards : fenêtres à meneaux, arcs en accolade, lucarnes couronnées de gâbles, donjon ceinturé de mâchicoulis et pourvu d’échauguettes … Ce retour au style médiéval était une façon de rappeler les grandes heures de la féodalité française.

(extrait de : www.auvergne-centrefrance.com)

Les environs

Autry-Issards – Eglise Sainte Trinité à 2 km au nord

Souvigny – Eglise Prieurale à 7 km à l’est

Meillers – Eglise Saint-Julien à 6km au sud-ouest