Epoque : – Protection :
Propriétaire :
Visite :
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet :
Epoque : – Protection :
Propriétaire :
Visite :
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet :
Epoque : – Protection :
Propriétaire :
Visite :
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet :
Epoque : XVIII°- Protection :
Propriétaire :
Visite :
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet :
Epoque : – Protection :
Propriétaire :
Visite :
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet :
Epoque : – Protection :
Propriétaire :
Visite :
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet :
Epoque : – Protection :
Propriétaire :
Visite :
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet :
Epoque : XVIII°- Protection :
Propriétaire :
Visite :
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet :
A la place d’une maison-forte médiévale dont il subsiste probablement une tour comprise dans les communs, une maison de plaisance a été édifiée au XVIIIe siècle. Conçue symétriquement et presque à l’image des communs plus anciens, situés de l’autre côté de la cour, elle s’en différencie par sa toiture à combles brisés et la finesse de ses menuiseries extérieures. Les intérieurs comprennent un salon orné d’un papier peint panoramique, et un salon transformable en chapelle doté d’un décor stuqué. Les communs ont été aménagés en habitation au XVIIIe et ont conservé des vestiges de décors de rocaille. Vers 1860, l’ancien jardin à la française a été remplacé par un parc à l’anglaise.
(source : www.chateau-fort-manoir-chateau.eu)
Epoque : – Protection :
Propriétaire :
Visite :
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet :
Epoque : – Protection :
Propriétaire :
Visite :
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet :
Epoque : – Protection :
Propriétaire :
Visite :
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet :
Au XIIIe siècle, Montcombroux est le siège d’une prévoté qui appartient à Jean de Bourgogne, époux d’Agnès, dame de Bourbon. La circonscription judiciaire fut transformée en seigneurie, et en 1301, Jean de Montcombroux reconnait-il tenir en fief ses terres de Montcombroux et autres lieux. Après avoir appartenu à la famille Grutel au XIVe siècle, puis aux Maréchal au XVe siècle, le fief de Montcombroux est, en 1587, aux mains d’Adrien Gerbe, aussi seigneur de Gléné d’Ande. En 1629, le nouveau propriétaire est Jacques de James, l’ancienne demeure seigneuriale ne devait plus être très confortable, son fils Henri, époux de Louise de Ramas, donne à deux maîtres maçons, en 1649, la charge de transformer la maison paternelle en une agréable demeure en forme de pavillon. Saisie en 1691, la terre de Montcombroux changea plusieurs fois de propriétaires et, à la veille de la Révolution, elle appartenait à la famille Meilheurat, seigneur de Grosbois.
(Source :Châteaux, Fiefs, Mottes, Maisons Fortes et Manoirs en Bourbonnais aux éditions De Borée)