Meillers – La Salle

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Histoire

Ce château du XIIIe siècle qui a été agrandi à la fin du XVe siècle, présente une réelle homogénéité, une grande authenticité et certaines dispositions architecturales originales : des corps de bâtiments disposés selon un plan en croix, avec murs pignons et contreforts circulaires disposés à chaque angle, il a conservé ses baies à encadrements gothiques, notamment la porte d’entrée, ainsi que ses douves. A l’intérieur, cheminées monumentales, plafonds et cloisons à pans de bois.

(source : monumentum.fr)

Les environs

Meaulne – Le Mortier

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Histoire

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Meaulne – Bellevue

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Histoire

Le château de Bellevue à Meaulne, construit en 1882, et qui fut résidence de la famille de La Tour Fondue, est dans la même situation que le château des Alliers, et se remarque par sa haute terrasse, on y note de curieux carreaux émaillés, sous corniche, ornés de grotesques.

(source : Châteaux, Fiefs, Mottes, Maisons Fortes et Manoirs en Bourbonnais aux éditions De Borée)

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Meaulne – Les Alliers

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Le bâtiment central était au XVIIe siècle, un rendez vous de chasse. Il s’agrandit ultérieurement de deux ailes terminées par des pavillons d’angle. La construction actuelle est ce qui subsiste d’un ensemble comprenant de vastes communs encadrant une cour centrale. Mais, construits en bordure de la forêt de Tronçais, et dans l’agréable vallée du Cher, les Alliers furent plutôt une résidence de plaisance qu’une grande seigneurie. Au XIXe siècle, une dame du Taillant y recevait ses amis dont le Duc de Morny et le Duc d’Harpigny. Les parents maternels du philosophe Jacques Chevalier y résidèrent à la fin du siècle, ainsi que, récemment la romancière Jacqueline Pelletier-Doisy.

(source : www.chateau-fort-manoir-chateau.eu)

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Mazerier – La Vernue

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Au XVIe siècle, le fief de La Vernue est tenu par Antoine Mynard, trésorier du Bourbonnais. Avec Charlotte Coiffier, sa femme, ils le vendent en octobre 1513 au seigneur de Jenzat, Ythier d’Aubigny. Le château actuel est récent, à deux ou trois étages qui, avec ses avant-corps en forme de pavillons ou de tourelles, prend l’allure d’un beau petit château. La famille d’Aubigny conserva la terre de La Vernue jusqu’en 1618, date à laquelle Gilberte, leur héritière, transporta, par son second mariage, le fief à son époux, Gilbert de Champfeu, écuyer, seigneur du Riage. À la fin du XVIIe siècle, la Vernue est cédée à Gilbert de Chabannes. Vendue en 1711 au sieur Étienne Thévenin, la Vernue fut transmise par la fille de ce dernier à la famille Bernard qui demeura seigneur de la Vernue jusqu’à la Révolution. Au cours de la Seconde Guerre mondiale, Daladier y trouva refuge.

(source : Châteaux, Fiefs, Mottes, Maisons Fortes et Manoirs en Bourbonnais aux éditions De Borée)

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Marcenat – Le Rondet

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Magnet – Noailly

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Histoire

Ce fief, sans justice, est connu à partir du XIVe siècle. Le damoiseau Jehan de Villefort en était seigneur en 1342. Il rend hommage au duc de Bourbon pour son “hostel, domaine et seigneurie de Noalhe”. Sa fille porta le fief, par mariage, à Robert de Grezolles qui fait aveu pour sa maison de Noalhe en 1350. Apres avoir appartenu en 1378 à Guillaume Rechain, puis de 1405 à 1446 à la famille de Bosredon, le fief fut acquis, dans la seconde moitié du XVe siècle, par la famille Girard de Girardière. Par alliance, Noally appartiendra successivement à la famille du Saix, puis au XVIIe siècle aux La Queille de Châteaugay, à qui il sera confisqué en 1792.
Château de plan quadrangulaire flanqué de deux tours dans les angles de la façade nord et d’une tour ronde contenant un escalier en vis contre la façade sud. L’angle sud est du château s’étant effondré, il laisse voir des cheminées s’étageant sur trois niveaux, les étages étaient séparés en deux pièces ouvrant chacune par une porte sur l’escalier. Sans créneaux ni mâchicoulis, le château était cependant défendu par de nombreuses meurtrières très soignées adaptées pour le tir à feu. Subsistent quelques fenêtres à meneaux. A l’intérieur, grandes cheminées à large manteau timbré d’un écusson, sur faisceau de colonnettes.

Eléments Protégés MH : le château de Noailly en totalité : inscription par arrêté du 8 mai 1933.

(source : Châteaux, Fiefs, Mottes, Maisons Fortes et Manoirs en Bourbonnais aux éditions De Borée)

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Loriges – Tout y Fault

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Histoire

Le château est construit vers 1880 par Honoré Vianne. Mais il subit de nombreuses modifications. Selon la tradition, le propriétaire, en rivalité avec un de ses cousins lui aussi châtelain, aurait fait complexifier sa demeure (d’un coup ou petit à petit?) pour répondre aux embellissements entrepris par son parent.
Le logis est rectangulaire, il est flanqué au nord-est d’un important pavillon et reçoit au sud-ouest une tour circulaire massive. La façade d’honneur est marquée par un mur pignon (même alignement que le reste) qui occupe la surface de deux travées mais qui n’est pas tout à fait centré. La porte-fenêtre de l’étage ouvre sur une terrasse qui forme un petit avant-corps qui protège l’entrée. La façade arrière est dotée d’un avant-corps central, un mur pignon décentré et de deux tourelles d’angle, une montant de fond et une sur culot. Le logis est composé de deux niveaux plus des combles (et vraisemblablement un sous-sol). Le pavillon et la tour ont trois niveaux. L’ensemble est couvert d’un enduit clair qui laisse apparaître les chaînages harpés en pierre beige. Les toits sont couverts d’ardoises et, au moins, le toit et l’avant-corps reçoivent des épis de faîtages. Côté cour, le logis est percé au rez-de-chaussée de cinq baies en plein cintre, à l’étage de croisées rectangulaires avec linteau mouluré à l’aplomb des précédentes et la toiture reçoit trois lucarnes à fronton qui sont au-dessus des trumeaux des baies des niveaux inférieurs. Le mur-pignon est légèrement décentré (trois travées à gauche et deux à droite), il permet ainsi de compenser la taille plus modeste de la tour par rapport au pavillon massif. La terrasse, bordée e garde-corps en pierre sculptée, est supportée par des arcs déprimés qui laissent passer un maximum de lumière. On accède à la terrasse par une porte-fenêtre entourée de baies plus étroites, regroupées sous un linteau mouluré. La partie haute du pignon est percée d’une simple baie rectangulaire. Le pavillon est marqué en son centre par une travée unifiée par la pierre beige qui lui donne beaucoup de présence. Le rez-de-chaussée reçoit une petite saillie à pans coupés qui a l’allure d’un bow-window dont le toit forme une petite terrasse pour la chambre de l’étage. On y accède par un triplet: une porte fenêtre et deux petites baies. La dernière baie est surmontée d’un fronton d’inspiration Renaissance avec une petite niche en conque et trois candélabres stylisés (réduits à un empilement de parallélépipèdes rectangles surmontés d’une pointe polygonale à base carrée). Juste sous le toit, des petits modillons de pierre semblent répondre aux pseudo-mâchicoulis de la tour.
La façade postérieure est marquée par une très grande rectitude: tout est carré ou rectangulaire, même l’une des tourelles, celle sur culot, est polygonale. Le seul élément arrondi est la tourelle montant de fond. Cette face est segmentée avec (de droite à gauche): deux travées, une travée de mur-pignon, un grand avant-corps (qui équivaut à un peu plus de deux travées), puis trois travées. Toutes les baies sont rectangulaires, celles qui ont des décors reçoivent des moulures en segments de droites se coupant à angle droit. Le mur pignon est couronné de pas moineaux (un motif qui n’est guère fréquent dans la région). Les chaînages harpés, bien visibles, confortent cette impression de sécheresse géométrique. Les seules fantaisies de cette partie sont l’adoption d’une porte-fenêtre au lieu d’une fenêtre à la deuxième travée et le jeu des baies entre le mur-pignon et l’avant-corps. Le mur-pignon a deux baies jumelées au rez-de-chaussée et un triplet à l’étage, alors que l’avant-corps présente trois baies jumelées au rez-de-chaussée et deux baies jumelées à l’étage.

(source : www.chateau-fort-manoir-chateau.eu)

Les environs

Loddes – Le Coude

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Histoire

Ce fief sans justice appartenait, au XVe siècle, à la famille de Lorry, originaire de Rongères en Bourbonnais. En 1461, Jacques de Lorry est seigneur du Coude et de Presles. Il est encore cité en 1496 parmi les témoins de l’acte de fondation du chapitre voisin de Montaigut. A la mort de Jean de Lorry en 1519, le domaine passe aux mains des Servajan qui le portent en mariage en 1624 aux d’Obeilh. En 1652, à nouveau par mariage, Le Coude passe aux Viry qui le conservent jusqu’à la révolution. Le château du Coude sera vendu par leurs héritiers en 1811 à Antoine Godin, armateur et commissaire du gouvernement en Angleterre. En 1822 M. Le Lorgne Ydeville, député de La Palisse, s’en rend acquéreur et fait entièrement reconstruire l’édifice. De caractère Restauration, c’est une bâtisse de plan rectangulaire à deux étages couverte d’un toit en croupe. Ses longues façades ne présentent aucune décoration. Un très beau parc boisé du XVIIe entoure le château et lui confère l’essentiel de son charme.

(source : www.chateau-fort-manoir-chateau.eu)

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Le Vilhain – Les Bordes

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Le Vilhain - Les Bordes (PMSL)

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Histoire

Une ancienne maison seigneuriale a été transformée en habitation plus confortable, au XVII ème siècle, par Nicolas Menudel, qui était, en 1612, lieutenant en la vice sénéchaussée du Bourbonnais. C’est un bel ensemble avec maison de maître et communs à lucarnes de bois et belvédère, installé dans un grand parc arboré, ou l’on découvre une petite chapelle néo-romane…

(source : www.allier-hotels-restaurants.com)

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