Souvigny

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La Prieurale de Souvigny (medias.sit.auvergne-tourisme.info)
Souvigny - le vieux château (www.ville-souvigny.com)
Souvigny - Le vieux château (wikipédia.fr)
Pèlerinage de Souvigny (www.souvigny-sanctuairedelapaix.com)

Actualités : Souvigny mise sur le tourisme spirituel (La Montagne 15 novembre 2019)

Souvigny (La Montagne 15 novembre 2019)

Situation

Histoire

Les environs

Ebreuil

Epoque :  – Protection :
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Site internet de la commune : Ebreuil
Site internet : Petite cité de caractère

Ebreuil (www.france-voyage.com)
Ebreuil (Edgar and Ron - Busy)
Ebreuil (www.ville-ebreuil.org)
Ebreuil - Abbaye Saint-Léger (Copyright Georges Jousse)

Actualité : Ebreuil, petite cité de caractère

Ebreuil - Petite cité de caractère (La Montagne 10 février 2019)

Situation

Histoire

Les environs

Hérisson

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Site internet de la commune : Hérisson
Site internet : petite cité de caractère

Hérisson - Petite cité de caractère (petitescitesdecaractere.com)
Hérisson (www.lasemainedelallier.fr)
Hérisson (www.mairie-herisson.fr)

Actualités : Hérisson petite cité de caractère

Hérisson - Petite cité de caractère (La Montagne 10 février 2019)

Actualités : Hérisson, un an après le label, où en est la petite cité de caractère ?

Hérisson - Où en est la petite cité de caractère (La Semaine de l'Allier 19 décembre 2019)

Situation

Histoire

Les environs

Bourbon l’Archambault

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Site internet de la commune : Bourbon l’Archambault
Site internet : Petites cités de caractères

Bourbon l'Archambault - Petite cité de caractère (petitescitesdecaractere.com)
Bourbon l'Archambault
Bourbon l'Archambault - Petite cité de caractère (www.mesvoyagesenfrance.com)
La Tour Qui qu'en Grogne à Bourbon l'Archambault (medias.sit.auvergne-tourisme.info)
La Forteresse de Bourbon l'Archambault (medieval.mrugala.net)

Actualités : Bourbon l'Archambault, petite cité de caractère.

Bourbon l'Archambault - Petite cité de caractère (La Montagne 10 février 2019)

Situation

Histoire

Les environs

Montluçon

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Montluçon

Actualités : Montluçon, plus vieux qu'il n'y paraît

Montluçon (semaine de l'Allier du 25 avril 2019)

Situation

Histoire

Les environs

Moulins (Ville d’art et d’histoire)

Service patrimoine – Hôtel Demoret
83 rue d’Allier 03000 Moulins
Tel : 04 70 48 01 36
Internet : ville-moulins.fr
Courriel : patrimoine@ville-moulins.fr

Place de l’Ancien Palais (© LL )
Vieux Moulins - Ruelle pavée (www.france-voyage.com)
Vieux Moulins - façade de maisons (www.france-voyage.com)
Vieux Moulins (medieval.mrugala.net)

Un peu d’histoire

L’important développement de la ville jusqu’au XVe siècle s’explique principalement par trois dates :

En 1232, Archambaud VIII, Sire de Bourbon, accorde à Moulins une charte de franchise (le beffroi, le Jacquemart) qui favorise son développement économique et augmente sa population.
En 1276, Beatrix, dame de Bourbon, épouse Robert de Clermont (fils de Saint- Louis).
En 1327, leur fils Louis devient le premier Duc de Bourbon, le roi, Charles le Bel ayant érigé le Bourbonnais en duché. 
Cette situation profite à Moulins et elle devient capitale du Bourbonnais en accueillant l’administration ducale à la fin du XIVème siècle. Le duc Louis II, reconstruit et agrandit le château, il fait édifier le donjon appelé de nos jours la Mal Coiffée, créé une chambre des comptes et érige la chapelle ducale en Collégiale.

Le caractère imposant du château illustre l’emprise des Ducs de Bourbon, qui reste absolue jusqu’au début du XVIème siècle. 
Le XVème siècle est celui de l’apogée, Pierre de Beaujeu devient duc de Bourbon, succédant à ses deux frères aînés, Jean II et Charles II. Pierre de Bourbon a épousé Anne de France (fille du roi Louis XI).

En 1495, durant la première campagne d’Italie, menée par le Roi Charles VIII, (frère cadet de la duchesse Anne) le royaume de France est gouverné depuis Moulins par Pierre et Anne. Cet âge d’or se caractérise par l’affluence d’artistes de valeur.

C’est à cette époque que le maître de Moulins peint son célèbre Triptyque : la Vierge en gloire entourée d’anges et sur les panneaux latéraux, les donateurs présentés par leur Saint Patron, le duc Pierre II et la duchesse Anne, accompagnée de sa fille, Suzanne. Le Triptyque du maître de Moulins est considéré comme un chef d’œuvre de l’art primitif français.

C’est aussi à cette époque qu’est construit le pavillon commandé par Anne de Beaujeu , l’un des tous premiers édifices Renaissance construits en France. Pourtant, malgré ces commandes fastueuses, le duché est fragile et faute de descendant mâle, après la mort du Connétable de Bourbon, Charles III (gendre de Pierre II), le duché de Bourbonnais est rattaché à la couronne de France en 1531.

Attribué aux Reines–Mères pour constituer leur douaire, le Bourbonnais reçoit à plusieurs reprises Catherine de Médicis qui apprécie ses séjours au château de Moulins.
En 1566, elle y reçoit le Roi Charles IX et la Cour séjourne à Moulins pendant plusieurs mois. Le Roi signe alors « l‘Ordonnance de Moulins », réforme de la justice due au chancelier Michel de L’Hospital.

Ce rattachement au Royaume n’interrompt pas le développement de la ville. L’extension des faubourgs se poursuit hors de l’enceinte, le long des principaux axes de communication, nécessitant la construction d’une seconde enceinte qui restera cependant inachevée.

A partir des années 1680, l’enceinte médiévale est remplacée par les promenades plantées, les cours. La présence active des Intendants entraîne de nombreux embellissements urbains, dont l’aménagement de boulevards à l’extérieur de la seconde enceinte.

Les années 1750 apportent enfin un dénouement durable à un double problème posé par l’Allier ; les violentes crues de la rivière provoquent non seulement de très fréquentes inondations dans la ville, mais elles emportent systématiquement les ponts que l’on doit inlassablement remplacer. 
La solution est finalement trouvée par l’ingénieur Louis de Régemortes : il élargit et endigue le lit de la rivière afin de limiter la force des crues. La construction dure environ dix ans. 
Grâce à la construction du pont, le quartier de la rive gauche de l’Allier, désormais à l’abri des crues est disponible pour l’élaboration d’un nouvel urbanisme conçu, dans l’esprit néo-classique, suivant un plan en damier. 
Le premier bâtiment entrepris sera le Quartier de cavalerie Villars, qui abrite actuellement le Centre National du Costume de Scène.

Un patrimoine riche:

Descriptions et fiches

Verneuil en Bourbonnais

Contact :Office de Tourisme en Pays Saint Pourcinois
29, rue Marcellin Berthelot 03500 Saint Pourçain sur Sioule
Tel : 04 70 45 32 73
Courriel : ot.stpourcain@wanadoo.fr
Antenne de Verneuil-en-Bourbonnais
rue des Remparts
Tel: 04 70 35 26 25
Site internet : www.payssaintpourcinois.com

Verneuil en Bourbonnais (www.auvergne-tourisme.info)
Notre Dame sur l'eau (www.culture.allier.fr)
Notre Dame sur l'eau (www.verneuil-en-bourbonnais.fr)
Musée du lavage et repassage (www.auvergne-tourisme.info)
Le géant endormi (www.france-voyage.com)

Situation

Verneuil en Bourbonnais est situé à 28 km au sud de Moulins

Histoire

Verneuil est au Moyen Âge une des dix-sept châtellenies du
Bourbonnais. Elle est donc ceinte de remparts et elle est l’une des villes les plus importantes du duché de Bourbon ; elle est dotée d’un collège de chanoines, 60 à l’origine, établis en la collégiale Saint-Pierre. Le duc Louis II de Bourbon y construisit un château. La ville est prise en 1465 par Louis XI, qui fait démanteler les remparts et le château.
Verneuil devient ensuite châtellenie royale.
De cette histoire à rebondissements, Verneuil conserve aujourd’hui
quelques vestiges de son château et de ses murs d’enceinte ainsi que
quelques maisons anciennes.
Aussi, tous les ans les habitants décorent le village d’épouvantails
variés et amusants.

Visites possibles dans le village :

La collégiale Saint-Pierre :
L’ancienne collégiale Saint-Pierre est une création des Bourbon, propriétaires du château voisin, qui souhaitèrent se ménager la faveur divine : Guy de Dampierre, sire de Bourbon, créa un chapitre de 20 chanoines, qui devaient prier pour le repos des âmes de la famille.

Notre Dame sur l’eau :
L’église, en partie construite sur les remparts gallo-romains de l’éperon barré qui dominait le Douzenan (la Motte- Coquet), appartenait au diocèse de Clermont et dépendait de l’abbaye de Tournus en Bourgogne. Elle fut église paroissiale jusqu’à la Révolution où elle fut transformée en grange.

Musée du lavage et du repassage : Adresse : 9, rue des Remparts Tél : 04 70 35 26 25 ou 04 70 45 32 73 Ouverture : de mai à octobre, du mardi au samedi de 14h à 19h ainsi que dimanche et jours fériés de 14h à 18h. Tarifs Adultes : 2.50€ par personne Réservation Toute l’année pour les groupes sur réservation Contact : Elodie ou Gérard à l’Office de Tourisme en Pays Saint-Pourcinois Tél : 04 70 45 32 73 Courriel : groupes@payssaintpourcinois.com.

Le Géant endormi : Sculpture monumentale de bois due à Cyrille André, couchée depuis 2001 au pied d’un arbre, sur la butte boisée de la Motte Coquet.

Les environs

Louchy-Montfand – Le château de Montfand à 5,5 km au sud

Saint-Pourçain sur Sioule – Eglise Sainte-Croix à 5,5 km au sud

Monétay sur Allier – Le château de Montcoquier à 6,5 km au nord

Charroux – le village

Epoque :  XII°-XVI°- Protection :
Visite : Oui
Dates et horaires : Visites guidées de groupes sur RDV toute l’année. Visites guidées pour les particuliers tous les mercredis à 11h en juillet et août. Visites avec audioguide toute l’année à se procurer aux heures d’ouverture de l’Office de Tourisme
Contact : 5 rue de la Poulaillerie 03140 Charroux
Téléphone : 04 70 56 87 71
Courriel : contact@charroux.com
Site internet : www.charroux.com

Situation

Charroux est situé à 27 km au nord-ouest de Vichy.
Situé à 413m d’altitude, Charroux est un petit village du canton de Chantelle d’environ 320 habitants, qui domine les plaines et les vallées alentour. Cette position lui fournit un magnifique panorama au nord sur la plaine de la Limagne et au sud sur les monts d’Auvergne.
Classé parmi les plus beaux villages de France, Charroux est le seul village à posséder ce label dans le département. De ce qui fut dès le Moyen-âge une ville fortifiée autonome, avec ses privilèges, Charroux a gardé la complexité et l’étendue de sa structure urbaine. Le village offre de nombreux services touristiques (hébergement-restauration).

Histoire

Charroux-en-Bourbonnais fut, du XIIe au XVIe siècle, une importante place affranchie et fortifiée par les sires de Bourbon, devenus par la suite ducs de Bourbonnais et d’Auvergne. La cité comportait alors, à l’extérieur de la cité médiévale, deux établissements religieux de moines-soldats : l’une préceptorie templière dite de « La Marche », puis commanderie Hospitalière, l’autre relevant de l’ordre de Saint-Antoine de Viennois Ordre de Saint-Antoine puis remis entre les mains des Bénédictines qui y installèrent une école de filles ; l’ensemble de leurs bâtiments furent rasés par la municipalité au début des années 1960 pour faire place à un parking bitumé. La ville de Charroux-en-Bourbonnais comportait alors deux paroisses et cinq lieux de culte. De cette gloire passée sont conservés l’église Saint-Jean-Baptiste au curieux clocher tronqué (XIIe siècle), deux portes de ville, deux tours de défense, hélas tronquées, quelques lambeaux de rempart, quelques bâtiments remarquables, notamment une maison à colombages qui comporte des éléments du XIVe siècle. L’étonnante configuration des rues et des quartiers est centrée sur une place circulaire dite la « Cour des Dames », comportant la maison Prévôtale.
La cité connut un premier déclin après la crise de la fin du Moyen Âge et les guerres de religion. À l’écart de la route qui conduisait de Clermont à Paris, elle ne pouvait plus jouer le rôle politique qu’elle avait eu au temps des sires de Bourbon et ducs de Bourbonnais. Elle devint un gros village, dont l’activité principale était la viticulture jusqu’à la crise du phylloxéra à la fin du XIXe siècle. Charroux était alors liée au vignoble de Saint-Pourçain, mais n’appartient pas à cette zone de production. De cette époque restent notamment de belles propriétés bourgeoises ou agricoles aux façades austères mais imposantes, des granges aux belles proportions, de très nombreuses caves voûtées, une halle publique, un superbe belvédère. Le musée local conserve de nombreux témoignages de cette fonction agricole et du passé de la cité médiévale. Charroux possédait anciennement deux paroisses (Saint-Jean, dont l’église subsiste, et Saint-Sébastien, qui se trouvait à l’ouest de la cité, à proximité du belvédère actuel, et qui a disparu).
L’originalité de Charroux tient à son caractère de village groupé qui contraste avec l’aspect beaucoup plus lâche et dispersé de l’habitat environnant. Toutefois, même à l’apogée de son rayonnement au XIIIe siècle, les fonctions urbaines de Charroux furent limitées, notamment dans les domaines religieux et judiciaire. L’histoire de Charroux au Moyen Âge ne peut être séparée de celle du duché de Bourbonnais : elle n’est pas une anomalie, mais le résultat des rapports de pouvoir entre les sires de Bourbon, les structures ecclésiastiques, les ordres souverains et les familles aux XIIe et XIIIe siècles. Le bâti se révéla ensuite adapté à l’activité agricole et viticole prédominante, malgré de nombreuses constructions et reconstructions qui réutilisaient fréquemment les structures préexistantes.
La crise du phylloxéra puis la Première Guerre mondiale furent la cause d’un nouveau déclin qui s’est traduit par une perte importante de population, comme dans toutes les campagnes bourbonnaises. Depuis l’issue de la Seconde Guerre mondiale, l’urbanisation organisée des populations explique la poursuite du déclin démographique de la cité qui ne comporte plus que 300 habitants sédentaires en 2011. Le tourisme constitue aujourd’hui le dernier pôle d’activité du village.
Visites possibles dans le village :
La Cour des Dames :
Cour des Dames – Gratuit – (04 70 56 85 21)
“L’ancien château était installé au centre de la ville. Le plan des constructions actuelles permet d’en suivre les contours. Une motte féodale, aujourd’hui aplanie, d’une trentaine de mètres de diamètre avec des
fossés tout autour, était défendue par une seconde enceinte, elle aussi entourée de fossés. Là était édifié le château, mais celui-ci fut très tôt
Les Caves de la Cour des Dames :
Charroux possède une longue tradition de cultures viticoles. Et si aujourd’hui les vignes ont quasiment disparu il nous reste un ensemble exceptionnel de caves pour la plupart malheureusement cachées du public. Cependant vous pouvez en découvrir deux accessibles gratuitement dans la Cour des Dames. Pour y accéder, il faut pousser la porte de la “Boutique Magique”
Le Musée de Charroux :
5, rue de la poullaillerie (04 70 56 80 31)
Site internet : www.musee-charroux.fr
Le musée retrace l’histoire locale: archéologie, collections de pierres sculptées, archives communales et des communautés religieuses du Moyen-âge au XIXe siècle, documents de la période révolutionnaire, artisanat et activités locales aux XVIIIe et XIXe siècles (huileries…). Vous pourrez parcourir deux bâtiments dont les collections vous feront voyager de la période gallo-romaine au XXème siècle. Vous y retrouverez l’histoire médiévale et celle de la Révolution dans une cité portée à la revendication de ses libertés, celle des pertes humaines de la première guerre mondiale et tous les métiers dont se souviennent les visiteurs plus âgés et qu’ils font découvrir à leurs petits-enfants.
Maisons des Horloges :
22, rue de l’horloge – Gratuit- (04 70 56 87 39)
Avril/ Mai Samedi et dimanche après midi Juin à septembre TLJ 10/12h 14/18 h
« Cinq siècles d’horloges publiques mécaniques » présentation en fonctionnement d’une quarantaine d’horloges d’édifice du XVI ème au début du XX ème siècle plus horloges comtoises du début XVIII ème au début XXème siècle. Daniel Fonlupt, amoureux des horloges anciennes, ne se contente pas de collectionner ses objets, il les répare, les rénove, leur redonne pour beaucoup une seconde vie.
Les Pots de Marie :
18, rue des fossés – Gratuit (04 70 56 88 80)
Exposition permanente et gratuite de près de 500 pots à épices anciens en porcelaine visible dans une grande vitrine éclairée pour tous les curieux qui le souhaitent. La plupart des pots viennent de Tchécoslovaquie (Victoria, Urbach frères) de Hollande (Delft) et de France (Badonviller, Sarreguemines, Saint Amand, Limoges, Lunéville ….) , certains étaient offerts en cadeaux de mariage et c’est pourquoi le prénom de la mariée est gravé au-dessous de quelques séries de pots.
(source :”www.charroux.com”)