Marcenat – Le Rondet

Epoque : XX° – Protection :
Propriétaire :
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Dates et horaires :
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Marcenat - Le Rondet
Marcenat - Le Rondet (capture google map)

Situation

Histoire

Les environs

Magnet – Noailly

Epoque :  – Protection :
Propriétaire :
Visite :
Dates et horaires :
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Site internet :

Magnet - Noailly (www.sanssat.net-luc@photopassion.eu)
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Situation

Histoire

Ce fief, sans justice, est connu à partir du XIVe siècle. Le damoiseau Jehan de Villefort en était seigneur en 1342. Il rend hommage au duc de Bourbon pour son “hostel, domaine et seigneurie de Noalhe”. Sa fille porta le fief, par mariage, à Robert de Grezolles qui fait aveu pour sa maison de Noalhe en 1350. Apres avoir appartenu en 1378 à Guillaume Rechain, puis de 1405 à 1446 à la famille de Bosredon, le fief fut acquis, dans la seconde moitié du XVe siècle, par la famille Girard de Girardière. Par alliance, Noally appartiendra successivement à la famille du Saix, puis au XVIIe siècle aux La Queille de Châteaugay, à qui il sera confisqué en 1792.
Château de plan quadrangulaire flanqué de deux tours dans les angles de la façade nord et d’une tour ronde contenant un escalier en vis contre la façade sud. L’angle sud est du château s’étant effondré, il laisse voir des cheminées s’étageant sur trois niveaux, les étages étaient séparés en deux pièces ouvrant chacune par une porte sur l’escalier. Sans créneaux ni mâchicoulis, le château était cependant défendu par de nombreuses meurtrières très soignées adaptées pour le tir à feu. Subsistent quelques fenêtres à meneaux. A l’intérieur, grandes cheminées à large manteau timbré d’un écusson, sur faisceau de colonnettes.

Eléments Protégés MH : le château de Noailly en totalité : inscription par arrêté du 8 mai 1933.

(source : Châteaux, Fiefs, Mottes, Maisons Fortes et Manoirs en Bourbonnais aux éditions De Borée)

Les environs

Loriges – Tout y Fault

Epoque : XIX° – Protection :
Propriétaire : Nicolas Williams
Visite : non
Dates et horaires :
Adresse : 03500 Loriges
Téléphone : 04 70 49 07 99
Courriel : nsl.williams@live.co.uk
Site internet : https://www.chateaudetoutyfault.fr/

Loriges - Tout y Fault (www.tripadvisor.fr)
Loriges - Tout y Fault (www.allier-hotels-restaurants.com)
Loriges - Tout y Fault (www.allier-auvergne-tourisme.com)
Loriges - Tout y Fault (www.allier-hotels-restaurants.com)

Situation

Histoire

Le château est construit vers 1880 par Honoré Vianne. Mais il subit de nombreuses modifications. Selon la tradition, le propriétaire, en rivalité avec un de ses cousins lui aussi châtelain, aurait fait complexifier sa demeure (d’un coup ou petit à petit?) pour répondre aux embellissements entrepris par son parent.
Le logis est rectangulaire, il est flanqué au nord-est d’un important pavillon et reçoit au sud-ouest une tour circulaire massive. La façade d’honneur est marquée par un mur pignon (même alignement que le reste) qui occupe la surface de deux travées mais qui n’est pas tout à fait centré. La porte-fenêtre de l’étage ouvre sur une terrasse qui forme un petit avant-corps qui protège l’entrée. La façade arrière est dotée d’un avant-corps central, un mur pignon décentré et de deux tourelles d’angle, une montant de fond et une sur culot. Le logis est composé de deux niveaux plus des combles (et vraisemblablement un sous-sol). Le pavillon et la tour ont trois niveaux. L’ensemble est couvert d’un enduit clair qui laisse apparaître les chaînages harpés en pierre beige. Les toits sont couverts d’ardoises et, au moins, le toit et l’avant-corps reçoivent des épis de faîtages. Côté cour, le logis est percé au rez-de-chaussée de cinq baies en plein cintre, à l’étage de croisées rectangulaires avec linteau mouluré à l’aplomb des précédentes et la toiture reçoit trois lucarnes à fronton qui sont au-dessus des trumeaux des baies des niveaux inférieurs. Le mur-pignon est légèrement décentré (trois travées à gauche et deux à droite), il permet ainsi de compenser la taille plus modeste de la tour par rapport au pavillon massif. La terrasse, bordée e garde-corps en pierre sculptée, est supportée par des arcs déprimés qui laissent passer un maximum de lumière. On accède à la terrasse par une porte-fenêtre entourée de baies plus étroites, regroupées sous un linteau mouluré. La partie haute du pignon est percée d’une simple baie rectangulaire. Le pavillon est marqué en son centre par une travée unifiée par la pierre beige qui lui donne beaucoup de présence. Le rez-de-chaussée reçoit une petite saillie à pans coupés qui a l’allure d’un bow-window dont le toit forme une petite terrasse pour la chambre de l’étage. On y accède par un triplet: une porte fenêtre et deux petites baies. La dernière baie est surmontée d’un fronton d’inspiration Renaissance avec une petite niche en conque et trois candélabres stylisés (réduits à un empilement de parallélépipèdes rectangles surmontés d’une pointe polygonale à base carrée). Juste sous le toit, des petits modillons de pierre semblent répondre aux pseudo-mâchicoulis de la tour.
La façade postérieure est marquée par une très grande rectitude: tout est carré ou rectangulaire, même l’une des tourelles, celle sur culot, est polygonale. Le seul élément arrondi est la tourelle montant de fond. Cette face est segmentée avec (de droite à gauche): deux travées, une travée de mur-pignon, un grand avant-corps (qui équivaut à un peu plus de deux travées), puis trois travées. Toutes les baies sont rectangulaires, celles qui ont des décors reçoivent des moulures en segments de droites se coupant à angle droit. Le mur pignon est couronné de pas moineaux (un motif qui n’est guère fréquent dans la région). Les chaînages harpés, bien visibles, confortent cette impression de sécheresse géométrique. Les seules fantaisies de cette partie sont l’adoption d’une porte-fenêtre au lieu d’une fenêtre à la deuxième travée et le jeu des baies entre le mur-pignon et l’avant-corps. Le mur-pignon a deux baies jumelées au rez-de-chaussée et un triplet à l’étage, alors que l’avant-corps présente trois baies jumelées au rez-de-chaussée et deux baies jumelées à l’étage.

(source : www.chateau-fort-manoir-chateau.eu)

Les environs

Loddes – Le Coude

Epoque :  – Protection :
Propriétaire :
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Loddes - Le Coude (locations.filmfrance.net)
Loddes - Le Coude (locations.filmfrance.net)
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Histoire

Ce fief sans justice appartenait, au XVe siècle, à la famille de Lorry, originaire de Rongères en Bourbonnais. En 1461, Jacques de Lorry est seigneur du Coude et de Presles. Il est encore cité en 1496 parmi les témoins de l’acte de fondation du chapitre voisin de Montaigut. A la mort de Jean de Lorry en 1519, le domaine passe aux mains des Servajan qui le portent en mariage en 1624 aux d’Obeilh. En 1652, à nouveau par mariage, Le Coude passe aux Viry qui le conservent jusqu’à la révolution. Le château du Coude sera vendu par leurs héritiers en 1811 à Antoine Godin, armateur et commissaire du gouvernement en Angleterre. En 1822 M. Le Lorgne Ydeville, député de La Palisse, s’en rend acquéreur et fait entièrement reconstruire l’édifice. De caractère Restauration, c’est une bâtisse de plan rectangulaire à deux étages couverte d’un toit en croupe. Ses longues façades ne présentent aucune décoration. Un très beau parc boisé du XVIIe entoure le château et lui confère l’essentiel de son charme.

(source : www.chateau-fort-manoir-chateau.eu)

Les environs

Le Vilhain – Les Bordes

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Le Vilhain - Les Bordes (PMSL)
Le Vilhain - Les Bordes (PMSL)

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Histoire

Une ancienne maison seigneuriale a été transformée en habitation plus confortable, au XVII ème siècle, par Nicolas Menudel, qui était, en 1612, lieutenant en la vice sénéchaussée du Bourbonnais. C’est un bel ensemble avec maison de maître et communs à lucarnes de bois et belvédère, installé dans un grand parc arboré, ou l’on découvre une petite chapelle néo-romane…

(source : www.allier-hotels-restaurants.com)

Les environs

Le Veurdre – Le Pavillon

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Histoire

Le Pavillon est une maison bourgeoise datant de 1880, construite sur une colline. La terre s’appelait à l’origine Fontenay: “Fontenay-le-Haut vulgairement appelée le Pavillon”. Jean de la Tour rendit hommage en 1323 puis en 1350 pour la “terre, justice et juridiction de Fontenay”; il n’y avait alors apparemment que des domaines agricoles. En 1503, dans le dénombrement des fiefs, Fontenay est désigné comme château et Sigard de Luxembourd fait aveu à la duchesse de Bourbon de son “chastel de Fontenay, avec deux terres” formant un petit fief estimé à 40 sols de revenu annuel. Les archives de La Baume nous apprennent qu’en 1669, elle appartenait à une communauté de paysans, celle des Robins. En 1836, il y avait une maison de maitre, trois domaines etvtrois locateries. Le château fut construit par les héritiers de Mme Cordez, qui avait acheté le pavillon en 1837. Si a l’origine la seigneurie était commune, aujourd’hui les bâtiments sont distincts. Le Pavillon possède une demeure de la fin du XVIIIe siècle, qui a hérité du style classique. Le logis est à un seul niveau sur perron, avec deux portes d’enrée. Les combles élevés du Pavillon sont éclairés de hautes lucarnes, parfaitement symétriques aux ouvertures du rez-de-chaussée. Les communs, qui ont été repris sur des bases plus anciennes, ont été restaurés au XVIIIe siècle. Ils sont constitués d’un long bâtiment, de plan rectangulaire, avec une aile en retour et un avant-corps, au centre de la façade, pour accueillir le portail de la grange.
A Fontenay subsiste les bâtiments du domaine: un long corps de logis à rez-de-chaussée, avec plusieurs entrées, qui pouvait abriter une communauté rurale. A côté, une grange étable, caractéristique du Bourbonnais, est munie d’un avant-corps, pour abriter l’entrée.

(source : Châteaux, Fiefs, Mottes, Maisons Fortes et Manoirs en Bourbonnais aux éditions De Borée)

Les environs

Le Theil – La Grande Velatte

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Histoire

Appelée également La Grande Velatte, par rapport à La Velatte de la commune voisine de Châtillon, cette maison-forte dispose d’un corps de logis, de plan rectangulaire, en façade de deux tours rondes aux angles, à la mode de certaines fortifications de la fin du Moyen-Age.

(source : www.chateau-fort-manoir-chateau.eu)

Les environs

Le Donjon – Les Bernards

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Le Donjon – Les Plantais

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Situation

Histoire

Fief de Guillaume Broutaing en 1435, le château passa au début du XVIe siècle, par héritage, aux Chanciaulx. En 1538, Jean de Damas rend aveu de la seigneurie des Plantais, En 1594, elle passe aux Buffevent et en 1618, par mariage, aux d’Augerolles. C’est à ces derniers qu’Antoine Préveraud (ancêtre de l’actuel propriétaire) acheta les Plantais en 1684. L’édifice du XVe siècle, remanié au XVIIIe, fut restauré dans le style néo-gothique par l’architecte moulinois Jean Moreau, vers 1875. C’est un corps de logis rectangulaire à rez-de-chaussée surélevé, étage et niveau de comble. Il est éclairé par de belles fenêtres à meneaux et coiffé d’un toit d’ardoise, éclairé par des lucarnes à pignon, encadrées de pinacles. La façade postérieure est flanquée dans les angles de deux grosses tours rondes. La façade est encadrée de deux tourelles dont une moitié repose sur le sol, l’autre étant en surplomb. Un escalier à deux volées courbes convergentes et garde corps ajouré donne accès à deux portes fenêtres. Ici naquit Honoré Préveraud, compagnon d’exil de Victor Hugo.

(source : www.chateau-fort-manoir-chateau.eu)

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Le Breuil – La Chaise

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Histoire

Le château primitif de La Chaise a disparu. Le château actuel est une construction du XVIIIe siècle qui en a hérité l’ordonnance classique. Le premier seigneur connu de la Chaise est Henri Chantelot, vassal de Montgilbert au XIVe siècle avant d’être en 1394 châtelain de Billy, pour le compte du duc de Bourbon. À la fin du XVe siècle, Gilbert Chantelot, seigneur du lieu, était maître d’hôtel de Charles, cardinal de Bourbon. Vers 1503, ce Gilbert de Chantelot reconnaissait tenir en fief de la duchesse de Bourbon “sa maison de la Cheze, en toute justice, haute, moyenne et basse, rentes, dixmes, tailles, corvées et gélines”. En 1778, la dernière descendante de la famille Chantelot épousa messire Gaspard Picard du Chambon, écuyer, gendarme ordinaire du roi. Elle transporta la terre de la Chaise à cette famille du Chambon qui en était encore propriétaire au XIXe siècle. Au XVIIIe siècle, l’ancien édifice, abandonné fut transformé en une habitation plus confortable, au profit des Picard du Chambon.

(source : Châteaux, Fiefs, Mottes, Maisons Fortes et Manoirs en Bourbonnais aux éditions De Borée)

Les environs